Harry Potter : mage gris ? Livre 2 : La chambre des secrets :
Disclaimer : Malheureusement pour le pauvre auteur que je suis, tout l'univers de Harry Potter n'appartient qu'à JKR, cette histoire n'as pour but que de divertir et aucun argent ne sera fait grâce à cette histoire.
Résumé du chapitre précédent : Harry « discute » avec Ton via le journal mais se le fait voler le lendemain par une personne inconnu. Il quitte au même moment une Ginny, et lui efface sa mémoire par destruction de souvenirs. Harry fait un match de haut vol avec deux cognards à ses trousses, après avoir attrapé le vif d'or, il se retrouve à l'infirmerie et assiste à l'arrivé de Crivey. Il prend part ensuite au club de duel où Maria, Draco et lui ridiculise les Gryffondors avant que Harry s'amuse avec Moon en faisant découvrir à toute l'école son de fourchelangue.
Au vacance de noël, Harry est sous la protection de Remus Lupin, grand ami de son père, pour demander l'adresse à Shon à fin de la remettre à Dumbledore ; mais en rentrant, il se retrouve face à lui-même, qui est en faîte Granger sous Polynectar, elle et Thomas, Weasley sont renvoyé pendant un mois.
Chapitre 6 : Renaissance :
Au début du mois de février, Harry reçu avec une certaine surprise, une convocation de Dumbledore, le priant de le rejoindre son bureau après le diner de ce soir pour parler du voyage à l'étranger. Harry sentit pondre un stress qu'il chassa rapidement avant de se concentrer sur un livre de potion parlant de la défiguration spontané en divers mammifère comme un troll ou d'autres créatures tout aussi sympathique d'aspect.
Mais Harry ne lisait pas ce livre pour élargir sa connaissance personnelle ou pour un devoir donné par McGonagall ou le professeur Rogue, mais plutôt pour une certaine blague en collaboration avec les jumeaux. Il avait prit leurs temps, trouvant et rassemblant les bons ingrédients, comment le faire ingurgiter et le moyen spectaculaire pour faire apparaître un petit mot pour tout les élèves. Et les professeurs, se rappela Harry. Il s'étira, un léger sourire sur les lèvres et quitta la bibliothèque d'un pas léger, il pouvait commencer.
Harry suivit avec attention un cours d'enchantements avant de s'endormir en Histoire de la magie, préférant enchanter sa plume pour qu'elle copie tout ce que disait le professeur. Il se réveilla donc à la fin du cours, avec trois parchemins rempli d'une écriture soigné sous le regard amusé de Draco et furieux de Granger qui venait de revenir il y'à peine deux jours, Harry lui fit un sourire éclatant et s'en alla, rejoignant la grande salle pour diner. Il mit alors au courant ses deux amis de la visite forcé dans le bureau du directeur et s'en alla précipitamment en voyant les jumeaux se lever de leur table. Quand il fut sortit de la salle, il les rattrapa rapidement et ils se barricadèrent dans une salle désaffecté.
- C'est bon, dit Harry, j'ai trouvé le livre que les maraudeurs ont sûrement utilisé pour l'une de leurs premières blagues.
- On va donc pouvoir commencé la potion, dit Fred d'un ton amusé, il va falloir mettre au jus Lee, il est assez fort pour les enchantements, et il faut en jeter deux ou trois je crois.
- Oui, mais c'est surtout pour faire apparaître le message, intervint George, je propose quelque chose à retardement, ainsi, personne pourra nous remarquer.
- Je pense que Dumbledore verra d'un bon œil cette blague, dit Harry, il trouve que l'humeur dans le château est peu joyeuse. J'ai aussi eu l'idée de joindre Draco à notre blague, il a une certaine autorité sur les elfes de maisons. Je ne l'aie pas encore mit au courant mais je crois que ça ne le dérangera pas.
- C'est sûr, dit George, il doit en avoir une flopé chez lui, prévient le de notre projet extrascolaire. Harry acquiesça de la tête pour montrer son accord et regarda l'heure sur sa montre.
- Je dois y aller, j'ai un rendez-vous ce soir, dit-il avant de s'en aller.
- Est-ce que notre jeune Harry aurait une touche, mon cher Forge.
- Je crois que tu as raison Gred, dit-il avant d'éclater tous les deux de rire.
Harry allongea le pas, il était sûr que le diner était maintenant fini. Il écouta avec plaisir Peeves chantait la suite de sa belle suite de rime mais grinça furieusement des dents lorsqu'il se retrouva devant la statue qui protégeait le bureau. Ce crétin de directeur ne lui avaient pas donné le mot de passe. Il prit donc ses aises et attendit, jouant avec sa baguette à faire voler une petite balle.
C'est avec un certain malheur qu'il ne vit pas McGonagall arriver d'un couloir, elle se prit donc la balle en plein dans la mâchoire. Elle lui jeta un regard furieux en se massant la partie endolorie. Harry se leva et lui servit un faux sourire d'excuse. Elle passa devant lui et ouvrit le passage (truffe !). Elle entra en frappant et Harry vit le professeur Rogue et Dumbledore le regarder arriver. Il vit aussi près de la fenêtre une forme encapuchonné d'une cape de voyage sombre, un bâton de marche posé à côté de lui et un sabre et deux couteaux pendant à sa ceinture. L'homme ne se retourna pas à son arrivé, et resta là, à moitié penché ou appuyer sur la fenêtre. Harry prit place aux côté du maître de potion.
- Bonjour Harry !
Contrairement à ce que l'on aurait pus croire, ce n'était pas Dumbledore qui avait prit la parole, c'était celui qui était accoudé à la fenêtre. Il avait une voix puissante et sûr de lui. Mais il avait clairement un accent asiatique.
- Maître, je suppose, dit Harry en fixant l'étrange personnage. Il se retourna et la première chose qu'il remarqua, c'est qu'il n'avait pas de barbe, ses traits étaient durs et tiré à l'extrême, il avait des yeux noirs d'encre. Vous seriez donc un sorcier, ou quelqu'un qui en fait au mois, ajouta-t-il.
- Deux sur deux Harry, ce qu'à dit Shon puis le professeur Dumbledore est vrai, tu as l'esprit vif, je crois que tu vas être un bon élève, le meilleur peut-être. Harry tourna sa tête vers un Dumbledore souriant.
- Comme tu as pu le voir, dit ce dernier, dès que tu m'as donné le nom de ton maître, j'ai été très surpris car je savais que c'était un sorcier, je suis donc aller le voir, et je dois dire que tu as de la chance d'être tombé sur le meilleur maître possible. C'est donc avec plaisir que j'accepte.
- Merci beaucoup, Monsieur, répondit Harry d'une voix incertaine, mais je ne vois pas pourquoi Maître Chuan Heng Maï est venu jusque là.
- Malgré le fait que le Japon est loin, nous connaissons ton histoire et nous te somme reconnaissant d'avoir débarrassé pour un temps de ce démon. Tu es aussi célèbre en Angleterre qu'au Japon, ou en Australie ainsi qu'aux Etats-Unis. Harry en resta stupéfait. Mais je dois dire que c'était surtout pour te tester. Il avait ajouté cela d'un ton badin.
- Me testé, répéta Harry d'un ton sceptique, de quelle façon.
- Un petit combat à main nu, nous deux, le premier a perdue si son dos et ses épaules à touchés le sol.
- C'est d'accord, Harry se leva et se mit en position de défense. Dumbledore décida de faire un peu de place et le maître enleva sa cape, il était chauve.
Ils se regardèrent et s'approchèrent, Harry mit alors toute son énergie à faire tomber le maître, mais celui-ci avait une fluidité dans ses coups, c'était hors du commun. Il mit en place plusieurs séries de coup qui échouèrent avec plus ou moins de risques. Il se baissa, évitant un coup de la main et fit un coup de pied tournant au sol. Le maître sauta de 1 mètre et resta ainsi pendant quelques secondes, Harry fit de gros yeux mais se releva trop tard, le maître lui lança un coup de pied terrible qui l'envoya morfler sur le beau tapis de Dumbledore, il avait perdu. Le professeur Rogue le releva et lui donna une potion. Harry la regarda et reconnu la teinte particulière de la potion tonus. Il remercia son directeur de maison et vida complètement la fiole.
- Parfait, dit le maître, sache Harry, qu'un disciple de troisième grade aurait fait le même résultat que toi, je crois que Shon à vue ton potentiel, malgré qu'il soit moldu, et t'en ai fait profiter. Tes bases sont parfaites.
Il se retourna vers Dumbledore.
- Je veux qu'Harry soit dans le temple dès qu'il aura fini ses examens de fin d'année. Mais on m'a parlé de petit problème dans votre école…
- En effet, dit Dumbledore, mais ne vous inquiétez pas, la situation est sous contrôle.
- Bien, dit-il en remettant sa cape, si jamais Harry peut être dans le temple avant ses examens, envoyez le directement. Il y'eut un grondement, une sorte de chant se fit entendre et le maître disparut sous l'air entendu de Dumbledore. Il ne restait plus qu'une fleur blanche, que Rogue se dépêcha de prendre.
- Une Zygbekial, s'était-il exclamé, une plante très rare. Et il était repartit dans les sous sols, sûrement pour la mette en sécurité. Le silence s'installa dans la pièce, puis Harry prit la parole.
- Je vais aller au Japon par quel moyen de transport.
- Il vaut mieux rester discret à cause des mangemorts, je crois que l'avion reste le meilleur moyen de transports, si les mangemorts savent que tu pars au Japon, ils ne se douteront pas que tu utiliseras ce moyen là, et une fois au temple, tu sauras sous la protection de Maitre Maï. Le professeur McGonagall va te raccompagner dans ta salle commune vu que le couvre feu est effectif.
- Merci monsieur le directeur, dit Harry avant de se retourner et suivre McGo hors du bureau.
Le 14 février fut une triste journée pour bon nombre d'élève. Lockhart avait eu la merveilleuse idée d'appelé des cupidons porteurs de messages, des nains affublé d'aile doré et d'une harpe à la main. Harry, lorsqu'il avait vu le programme, avait hoché la tête de dépit, ce professeur était vraiment idiot.
Tout au long de la journée, les nains sillonnèrent les couloirs et entrèrent dans les classes pour délivrer leurs messages, au grand agacement des professeurs. Harry se demanda qui pouvait être assez bête pour donner des messages aux cupidons. Vers la fin de l'après-midi, alors que les Serpentards changeaient de salle pour aller au cours de sortilèges, l'un des nains-le plus sinistre des douze-courut après Harry. Draco eut un regard intéressé et s'arrêta.
- C'est toi Harry Potter ? cria-t-il en donnant des coups de coude pour écarter les autres élèves.
- J'ai un message pour toi, musicale, dit il en brandissant sa harpe. Harry porta les mains à son visage. Et alors que le nain allait entonner son chant, Harry sortit sa baguette et lui envoya un puissant sort de silence. Le nain, tellement crétin, ne remarqua rien. Quand il eut fini, il lui rendit sa voix.
- Joyeuse valentin, et le nain disparut. Draco sembla déçu de ne pas savoir les belles paroles qu'aller clamer le nain. Il accepta le coup du sort avec grâce et repartit vers la salle de cours.
Harry du expliquer son aventure avec le nain à Maria afin que Draco le laisse tranquille, il prit ensuite la poudre d'escampette, un chaudron dans sa poche grâce à un sort de réduction. Les jumeaux l'attendait, avec Lee devant l'entrée du Saule Cogneur, Harry prit un longue branche et appuya sur un nœud de racine, l'arbre ne leurs fit aucun mal et Harry expliqua que ce passage menait à la cabane hurlante, lieu parfait pour préparé une potion dans le plus grand secret.
Ils passèrent une bonne partie de la nuit à faire toute les potions requise pour que les résultats soit différent, chacun ayant emmené son chaudron, Harry s'était occupé d'allumer des petits feu magique tandis que Lee préparé le mot à retardement. Harry se craqua les bras et se laissa tomber sur le lit qu'il avait un peu retapé pour qu'il y'est moins de poussière et de saleté, la cabane hurlante était leurs nouveau QG.
Harry sortit ensuite une sacoche spéciale pour transporter les fioles de potions et en rempli la moitié du sac. Ils se rassemblèrent, Harry sortit sa cape et ils disparurent soudainement.
Le lendemain, Harry se décida d'apprendre différente technique pour contrer et tuer un basilic. Il s'essaya d'abord à faire apparaître une glace de nulle part mais à chaque fois, elle était trop petite. Il relu alors son livre sur les basilics et eu une idée soudaine. Il entra dans le rayon métamorphose et chercha le livre sur les transformations vivante. Le chant du coq était mortel pour le basilic, il ne lui resterait plus qu'a essayer de transformer Mellon en coq, provisoirement bien sûr.
L'excitation, l'anticipation du rire, l'attente du grand moment. Il était vil et cruel mais que c'était bon de faire des méchancetés sur quelqu'un, et il était bien servit grâce aux jumeaux et à Lee. Ce matin était le grand jour, Draco avait accepté avec un petit sourire sadique pour ses victimes de mettre dans sa poche les elfes de maisons, et avait versé les différentes potions. Ils avaient prit la liberté de donner des antidotes à leurs amis ce matin. Lee avait placé le paquet derrière les grands sabliers hier après midi. Bientôt, le nom des maraudeurs allait renaître de ses cendres, et Poudlard tremblerait à son plus grand contentement, ses ennemis allait enfin payer. Weasemoche. Granger-miss-je-sais-tout. Moon le chieur. Bulstrode qui était définitivement passé du côté de ce Moon.
Harry s'en frottait les mains et n'avait pu dormir cette nuit, impensable alors qu'il allait commettre sa première farce, en souvenirs de ce groupe fameux. Il faudrait qu'il le raconte à Remus, il était sûr que cela lui amènerait un peu de gaieté. Il prit place au milieu de la table des Serpentards alors que personne n'était encore là à part les jumeaux et Lee. Ils se firent un clin d'œil de connivence.
Harry pensa alors à la chambre des secrets, mais décida de vite écarté cette pensé négative pour se concentrer sur ce moment qui devrait être inoubliable. La grande salle serait dans un état mais qu'est ce qu'on s'en foutait, les elfes de maison devait bien servit à quelque chose de toute façon. Il jubila quand les premiers élèves s'assirent, ne pensant aucunement ce qui se passerait dans quelques minutes maintenant.
Les meilleurs blagues des maraudeurs, ou les plus puériles selon certains, rassemblé en une seule fois. Harry regarda l'entrée de Granger et Weasley, celle-ci se retourna et Harry lui fit un sourire froid. Elle sembla trembler et détourna aussitôt son regard. Harry sortit sa baguette et l'empoigna sous la table. Cette journée allait être terrible, Harry avait pensé à mettre quelque surprise dans les couloirs. Dumbledore fit son entré, le show commença.
Harry agita sa baguette et une fissure béante cassa nette les table de bois en deux, renversant plat et surtout jus de citrouille ou autres boissons sur les pauvres élèves. Les potions firent leurs effets, et certains commencèrent à hurler d'horreur, criant à faire réveiller les morts « des souris ! ». La potion de peur extrême. Ce fut au tour de Lee d'agiter sa baguette, un paquet tomba alors du plafond et explosa en plein ciel, saupoudrant de poudre la table entière de Serpentard et Poufsouffle.
Harry, Draco ou Maria restèrent intacte, mais d'autres commencèrent à voir des membres enflé, ou des furoncles et boutons vert très malodorants apparurent sur le visage. Moon eut la triple dose, son nez et ses oreilles devinrent grande comme des soucoupes tandis que de grosses furoncles lui apparaissait sur le visage, qui explosait au nez de ses voisins les plus proches, qui s'éloignèrent. Sa peau devint alors grisâtre, et tous ses membres enflèrent, son ventre devint proéminant et Moon devint bientôt un troll qui ne sentait pas la rose. Harry lui changea alors ses vêtements qui avaient explosé en peau de bête et une massue remplaça sa baguette. Il tomba sous le poids, et beaucoup d'élèves explosèrent de rire à ce spectacle. Il grogna d'un air idiot et les rires redoublèrent, au plus grand contentement d'Harry.
Fred fit son entré en piste et des lutins de Cornouailles (idées personnelles de Harry) firent leurs entrée par la grande porte. Ils se déchainèrent longtemps sur les élèves, mais aussi sur les professeurs qui tira les oreilles à McGonagall. Le professeur Lockhart se mit par contre à blanchir, mauvais souvenir sûrement. Un grand « bang » se fit alors entendre et plusieurs élèves, dont Weasley se transformèrent en animaux pas très charmant. Weasley le cochon le fit savoir en hurlant de son groin, se qui fit exploser de rire les Serpentards. Thomas prit l'allure d'une vache qui meugla aux oreilles d'un Rogue pas très content qui avait voulu remettre un peu d'ordre, reconnaissant la plupart des blagues des maraudeurs.
George prit le relais et fit disparaitre les pieds de la table des professeurs, renversant les succulent mets sur leurs belles robes. Rogue sembla heureux d'y échapper, mais sursauta encore en entendant meugler Thomas, tandis que Percy le ouistiti lui tirait les cheveux. L'ousititi fit alors un bol vol plané et s'écrasa contre une tenture du plafond.
Il se mit alors à pleuvoir une pluie, qui bariola plusieurs élèves de différentes couleurs. Maria regarda avec ébahissement un cochon violet jaune criard passé devant elle. Harry continua le spectacle, et brisa l'enchantement qui permettait le vol stationnèrent des bougies qui s'écrasèrent sur le sol tandis qu'au même moment, Lee faisait disparaître les chaises des professeurs qui regard avec un air effaré l'état de la grande salle, des rires s'élevant d'un peu partout. Comme prévu, Dumbledore fut le seul professeur qui le prit bien, se relevant élégamment pour regarder la suite. Ca ne faisait pas de mal un petit peu de bonheur dans chaque cœur.
Des plumes firent leurs apparitions, chatouillant chaque centimètres de peau de certains élèves qui se roulèrent pas terre pour les plus chatouilleux. Rogue hurla alors et s'en alla rapidement. Une musique s'éleva et plusieurs élèves de Poufsouffles chantèrent la parodie plutôt amusante d'une chanson des bizarres sister's. Les Poufsouffles si réservé devinrent en quelques temps un peu joyeux, et beaucoup de tête firent de gros yeux devant ce spectacle. Le ouistiti fit on retour en tirant la barbe de Dumbledore tandis que le troll se cassait la figure à cause d'un liquide visqueux. La grande salle trembla légèrement.
Le coup final fut donné par George, qui était le plus près de Granger, il activa alors de sa baguette une potion que tout le monde chez Gryffondors avaient absorbé. Ses cheveux se raccourcirent et se tintèrent en blond tandis que sa longe jupe et ses grosse chaussettes de laines était transformé en une jupe en jean assez court, un petit débardeur rose avec marqué dessus « sorry, je suis blonde ». Elle fit alors tout le contraire d'une miss je sais tout, devant incontrôlé et incontrôlable. Elle quitta la salle en hurlant d'une voix haut perché, sous les siffles moqueurs de beaucoup de monde.
- JE ME SUIS ABIME UN ONGLE, AU S'COURS !
Seulement, une véritable vague d'eau déferla vers elle, la trempant de la tête au pied et faisant disparaître les effets de la potion. Elle rougit furieusement et partit en courant dans la salle commune. Harry éclata de rire avant de regarder le feu d'artifice partirent de derrière les sabliers, pile à temps, pensa Harry.
De grosses lettres noires et gothiques s'élevèrent, offrant à tout le monde le loisir de regarder.
LES MARAUDEURS VONT VOUS FAIRE HURLER DE PEUR
Le message sembla exploser puis les morceaux se rassemblèrent, comme dans un retour en arrière, cette fois-ci, il était marqué :
OU DE RIRE…
Le message explosa encore une fois, et tout le monde attendit la suite avec attention. Le message se rassembla en petite lettre.
Les maraudeurs © est une marque déposé.
Il y'eut une petite explosion suivit d'un flash blanc, faisant baisser à tout le monde la tête, quand ils la relevèrent, une dernière note était affiche haut dans le ciel.
Pour savoir qui sont les maraudeurs, allez à la bibliothèque pour lire l'histoire de Poudlard de la page 7701 à 7716.
L'après midi fut très joyeuse, des sceaux se déversant régulièrement dans les couloirs très fréquentés, tandis que Peeves s'y mettait aussi pour apporter sa généreuse aide. Les cours était souvent interrompue par une explosion malodorante où des élèves criant soudainement des insultes avant de reprendre leur travail sérieusement. McGonagall sembla souffler pendant le repas de soir, et à part Dumbledore qui trouvait ceci très amusant et Mrs Pince, qui avait eu un nombre record de passage à la bibliothèque, tout l'autre professeur était à plat.
Le professeur Rogue, particulièrement, et Harry se promit de faire attention demain, à ne pas l'énerver pendant son cours de potion. Le soir, Harry, George, Fred, Lee et Draco se rejoignirent dans un couloir pour parler de leur entreprise. Dumbledore pouvait être content d'une nouvelle chose, les deux maisons ennemies se rejoignait, mais pas pour faire des choses légales.
La fin de semaine fut tranquille pour tout le monde, chacun se remettant de ses émotions. Le samedi soir, le lendemain, le match qui opposerait Serdaigle à Gryffondor débuterait, et si par bonheur, les Gryffondors perdraient, les Serpentard avaient de grande chance. De plus, on approchait dangereuement des vacances de Pâques, et tout le monde était un peu euphorique cette après-midi.
Harry quitta la grande salle et Draco l'intercepta pour lui dire qu'il devait s'occuper de quelque chose avant de venir voir le match. Harry ne posa pas de question et prit la direction du terrain. Apparemment, Maria ne viendrais pas non plus. Il fit donc le chemin seul, pensant à tout et à rien, mais surtout à ce qu'il ferait dans bientôt dans deux mois. Il prit place dans un gradin un peu neutre, remplie de Poufsouffle et de Serpentard, Harry discuta avec un Poufsouffle, qui se nommait Andy McAlester.
Il était apparemment d'origine écossaise et était assez sympathique, ils décidèrent donc de regarder et commenter ensemble le match, ils discutèrent déjà avant le match, parlant des deux équipes et Harry fut heureux d'entendre que les Serdaigles avait de grosses chance de gagner, l'attrapeur de Gryffondor n'étant pas terrible. Andy le félicita d'ailleurs pour ses prouesses sur un balai, ce qui fit chaud au cœur à Harry de la part d'un inconnu qui ne l'était plus, Andy lui parlant de sa mère médiocrate et de son père qui était un commerçant à Pré au Lard, vendant des robes de bal uniquement pour les hommes. Il lui parla de sa petite sœur, Anya, qui était une vrai petite démone, et qui rentrerait l'année prochaine à Poudlard.
Les joueurs firent leurs entrées et Harry observa Madame Bibine lâcher les cognards qui filèrent aussitôt dans le ciel bleu de Poudlard. Le vif d'or partit aussitôt après et la professeur de vol lança alors le souaffle. Un poursuiveur de Serdaigle l'attrapa aussitôt et fit une passa à son coéquipier. Alors que Serdaigle menait de cinquante points, Harry trouva bizarre que Draco ne soit toujours pas là, il vit alors Severus Rogue se taillait un chemin et s'arrêta à ses côtés.
- Suivez-moi, Mr Potter ! Harry se leva et quitta le stade par la sortie est, près du lac donc, alors il vit McGonagall et Weasley en train de les rattraper. Il le signala à son professeur qui les attendit.
- Merci Severus, Mr Potter, salua-t-elle avant de reprendre sa marche. Vous risquez d'avoir un choc, prévint-elle. Elle prit un escalier de marbre.
- Excusez-moi, dit Harry, on ne prendrait pas la direction de l'infirmerie là.
- En effet Potter, intervint Rogue, il vient d'avoir une triple agression, et le professeur Dumbledore souhaite que la match continue pour ne pas perturber ses élèves. Harry pensa aussitôt à Draco, ou même à Maria qui n'était pas avec lui et qu'il n'avait pas aperçu.
- Mr Moon les a découvert, continua McGonagall, près de la bibliothèque. Une chance qu'il y'avait match.
- A mon avis, celui qui fait ça, ces attaques, préfèrent que le château soit assez vide, pendant le banquet d'Halloween, la nuit d'un match de Quidditch et pendant un match de Quidditch. Il préfère qu'il n'y ait pas trop de monde en même temps. C'était Harry qui avait pris la parole.
- En effet, c'est pour ça que votre directeur continue les matchs, pour éviter que les élèves soit trop dispersé, et maintenant, lors de gros rassemblement, les couloirs sont surveillé, dit Rogue en entrant dans l'infirmerie.
Harry vit alors face à lui trois lit, et ce qu'il craignait été arrivé, Draco faisait partit du lot d'agressé, et Harry se sentit en colère, le basilic de Poudlard ne tuer pas Sang Pur. Il y'avait sinon Granger et une fille, de Serdaigle selon le blason. Weasley se rapprocha aussitôt de Granger tandis qu'Harry regarda les yeux terrifié de Draco. Il avait été pétrifié, et Harry n'avait rien put faire. Le souvenir de Voldemort paierait.
- Ce miroir était à côtés d'eux. J'imagine que vous n'avez pas d'explication.
Harry se retourna aussitôt, faisant craquer les os du cou. Voilà la raison pour laquelle il n'était pas mort, il n'avait pas reçu directement le regard du basilic, et il se doutait que Draco se promène avec ce genre de matériel. Il inspecta la salle tandis que Weasley faisait signe que non, son regard toujours porté sur son amie. Il posa le regard sur la Serdaigle et ne remarqua rien de dérangeant. Il porta alors son regard sur Granger, et crut apercevoir quelque chose dans son poing fermé, il se rapprocha et vit qu'elle tenait une boule de papier dans la main. Harry attendit près de Draco, puis quand tout le monde fut partit à part Rogue, il se retourna vers son professeur.
- Je peux passer un moment seul, s'il vous plaît, demanda Harry poliment.
- Viens dans mon bureau Harry, après que tu es fini, je te donnerais quelque chose pour t'occuper. Harry baissa la tête et Rogue s'en alla. Harry soupira et regarda Draco.
- Putain ! Jura Harry. Tom, tu vas crever. Il se retourna et s'approcha de Granger, il pointa sa baguette vers le poing de Granger et la feuille de papier s'envola avant de se poser dans sa main.
Il lit alors un article sur les basilics arraché d'une page d'un livre de la bibliothèque, et Harry fut surpris que Granger ait fait ça. Il vit alors avec surprise marqué en rose « tuyaux » suivit d'un point d'exclamation. Elle était peut être chiante et obnubilé par le règlement et la supériorité des adultes, elle n'en était pas moins idiote, pas idiote du tout. Harry détruisit la page, pensant qu'il lui rester à peine deux mois avant que les mandragores soit prêtes. Il devait trouver la chambre avant juin, sinon, Granger se presserait de tout raconter, empêchant sûrement Harry d'opérer.
Le soir, Harry tournait en rond, la transformation en pierre de Draco laisser un vide non-comblé, et Maria était bizarre, complètement patraque, comme si elle avait parcourut tout les couloirs de Poudlard. Harry avait laissé son amie se coucher, avait fini ses devoirs, et lisait des livres sur des sorts d'attaque qu'on apprenait logiquement qu'en quatrième année. Harry claqua son livre et prit sa cape d'invisibilité. Hagrid lui ferait dépenser du temps, c'est fou comment il s'embêtait sans Draco, il s'en souviendrait la prochaine fois, et Draco était son meilleur ami.
Harry, parfait maraudeur de cette décennie, évita sans problème les professeurs, fantômes et préfet qui patrouillait, avant de sortir dans le parc par une sortie dérobé découverte il y'a un mois. Il fit largement le tour du saule cogneur puis se dirigea vers la cabane. Une fumé sorté de la cheminé en pierre et la lumière filtré sous les rideaux. Il porta sur le panneau de la porte trois coups rapide suivit de trois coups lent. C'était un signe avec Hagrid pour dire qu'iln'y avait rien à craindre. Il entendit des aboiements qui se turent par ordre d'Hagrid et le visage barbu mais souriant prit place dans le cadre de la porte, il ouvrit en grand la porte, le laissant passer.
- Je m'attendais presque à te voir venir, dit Hagrid en préparant du thé, je suis désolé pour Draco ; je sais que ça doit être dur pour toi, mais ne t'inquiète pas, Rogue n'est peut être pas sympa de tête, mais il s'y connaît en potion.
- Merci Hagrid, cela fait plaisir remercia le brun en touillant son thé tout chaud. Je ne savais pas quoi faire et j'ai décidé de passer. Je sais que peu de monde vous rend visite, et j'étais tout seul.
- Tu as bien fait Harry, il faut s'unir dans la solitude. Le thé est bon, demanda-t-il.
- Excellant, il est parfait Hagrid.
Il entendit alors des voix venant de l'extérieur, il fit disparaître sa présence en rangeant sa tasse dans l'évier et se cacha sous sa cape au fond du lit du garde chasse ; pendant ce temps, Hagrid prit son arbalète et ouvrit la porte, il la baissa aussitôt et laissa passer le directeur, coiffé d'une robe vermillon et d'un autre sorcier, petit, corpulent et des cheveux gris, il portait des vêtements qui n'allait pas du tout ensemble. On aurait dit un de ses bouffons du moyen âge. Il retira son chapeau melon et il reconnu le ministre de la magie, il se demandait ce qu'il foutait là.
- Bonsoir Hagrid, dit Dumbledore en prenant place à table, le ministre retira sa cape et fit de même.
- C'est moche Hagrid, et vos antécédents ne vous favorisent pas. Pas moins de cinq agressions ces derniers temps, il faut que j'intervienne. Surtout que le fils Malefoy a lui aussi était touché, la communauté à peur de ce qui peut arriver à ses élèves. Je dois agir, le ministère doit agir !
- J'ai rien fait, tonna le garde chasse.
- Cornélius, sachez que Hagrid à mon entière confiance, ajouta Dumbledore.
- Le conseil d'administration à décidé pour Hagrid, je ne fais qu'appliqué Albus.
- Eloigné Hagrid ne décantera pas la situation, reprit Dumbledore.
- Je suis désolé Albus, mais vous n'avez pas l'autorité pour ça, je dois l'emmener, et si il est blanc comme neige, il sera libéré aussitôt.
- VOUS M'EMMENEREZ PAS AZKABAN, Hurla Hagrid en frappant du poing la table, le problème fut que la porte s'ouvrit au même instant, introduisant Lucius Malefoy dans la scène.
- Déjà là Fudge, parfait, dit Malefoy. Harry retint son souffle, Malefoy avait un air victorieux, pas bon du tout, mais ses yeux hurler de fureur. J'aimerais, reprit-il d'une voix froide comme le vent d'hier, savoir pourquoi mon fils a été transformé en statut dans votre école, directeur !
- C'est un malheureux accident, et Draco n'est pas le seul touché, n'oubliez pas Miss Granger et Dauclaire. Harry renifla d'un air dédaigneux.
- Vous êtes relevé de votre poste de directeur, voici toutes les signatures du conseil, et ceci est applicable dès aujourd'hui.
- Lucius, c'est un peu exagéré de suspendre le directeur, intervint le ministre envers le directeur. Lucius ferma les yeux un instant.
- Dites ça à mon fils, Fudge, dite le lui que relevé le directeur est néfaste alors que le nombre de patient dans l'infirmerie commence à être affolant. Le ministre baissa la tête, vaincu. Dumbledore fit un sourire triste et s'approcha de l'endroit où se trouvait Harry. Il le regarda dans les yeux et Harry su que la cape d'invisibilité de fonctionnait pas avec lui, il resta bizarrement calme.
- Une aide sera toujours apporté à l'intérieur de Poudlard tant que quelqu'un me restera fidèle. Il fit un clin d'œil à Harry et se retira avec Lucius. Harry ne put qu'attendre la suite ; et Hagrid s'exclama alors :
- A ceux qui veulent comprendre ce qui se passe dans le château, suivez les araignées. Hagrid fit une dernière caresse à Crockdur avant d'être emmené par Fudge. Harry se retrouva alors seul dans la cabane plongé dans la pénombre. Il venait d'apprendre beaucoup de choses, voyons voir ce qu'avait à dire les araignées.
Il sortit de la cabane silencieusement et fit apparaître un faisceau lumineux de sa baguette magique. Il la déplaça de droite à gauche et vit alors une nué d'araignée se précipiter dans la forêt interdite, il haussa les épaules de dépit et entra lui aussi dans la sombre forêt, devant explorer toutes les pistes, celle de Hagrid étant moins mystérieuse que celle du vieux fou.
Pendant un temps, il suivit un chemin à travers la forêt, rendant la progression d'Harry assez rapide, mais après une petite heure, elle quittèrent brusquement le sentier, Harry n'hésita aucunement et suivit la petite troupe, écartant ou coupant de sa baguette la broussaille et les branches basses. Il musela rapidement une plante carnivore et stupéfixia une taupe de 1m de grosseur qui lui chercher des noises.
Soudainement, Harry s'arrêta, il avait vu une ombre se déplaçait un peu plus loin ; il se mit en position de défenses, les oreilles aux aguets, il entendit alors un léger bruit de pinces et trois araignées géantes firent leurs apparition. Une venant de la droite d'Harry, l'autre avait sauté d'une branche assez haute et avait atterrit avec brusquerie devant lui tandis que la troisième venait de son dos. Harry grogna en voyant les trois accromentulas faire un pas dans sa direction. Il sut qu'elle était trop nombreuse. Il lança un sort puissant d'expulsion que l'araignée évita lascivement. Elles étaient aussi apparemment très agiles. Il se sentit alors s'élevé, et il vit avec une certaine horreur que l'araignée de derrière en avait profité pour le prendre entre ses pinces.
Harry perdit rapidement la notion du temps et ce ne fut qu'après un long moment qu'il arriva dans une sorte de fosse, où la lune et les étoiles pouvaient apparaître. Sur le sol, des araignées de différentes tailles grouillés. Harry se maudissait et maudissait les conseils de Hagrid. L'araignée la porta jusqu'au fond de la fosse, où toutes les plus grosses araignées étaient présente, regardant et claquant des pinces en voyant le diner. Elle la lâcha soudainement devant une tente faite en toile d'araignée complètement blanche. Harry absorba le choc en roulant sui lui-même avant de se relever rapidement
Il préféra laisser ses baguettes dans ses poches, mais à porté au cas où, il essaierait de discuter avec ces monstres sur pattes. Il entendit alors l'araignée qui l'a porté hurlé dans un cliquetis de pinces :
- ARAGOG ! ARAGOG !
Un fourmillement parcourut la fosse tandis qu'une gigantesque araignée sorti de la tente très lentement. Les poils de son dos et de ses pattes grisonnaient et les huit yeux de sa grosse tête étaient tous d'un blanc laiteux. La créature, Aragog, était aveugle.
- Qu'y a-t-il ? demanda-t-elle en agitant rapidement ses pinces.
- Un humain, cliqueta l'araignée qui avait capturé Harry.
- C'est Hagrid ? demanda Aragog en s'approchant.
- Pas exactement, intervint Harry, qui voulait rester en vie. J'ai été envoyé par lui car des choses graves se passent à Poudlard.
- Hagrid ne nous a jamais envoyé d'humain, dit lentement le monstre.
- Le fait qu'il soit à Azkaban ne lui facilite pas la tâche pour vous faire parvenir les nouvelles, dit Harry d'un ton respectueux, cet idiot de ministre pense que Hagrid est coupable d'avoir lâché un monstre du fait de ses antécédents, bien que je ne connaisse ceci, je pense que cela doit être grave.
Aragog agita furieusement ses pinces. Tout autour de la fosse, les araignées l'imitèrent. Elle produisait un bruit qui ressemblait un applaudissement.
- Tout ceci s'est déroulé il y'a cinquante ans, dit Aragog de mauvaise humeur. Je m'en souviens très bien. C'est pour ça qu'ils l'ont renvoyé, ils croyaient que c'était moi, le monstre qui habitait ce qu'ils appelaient la chambre des secrets.
- Mais c'est faux n'est ce pas, dit Harry.
- En effet jeune humain, tu es très perspicace pour ton jeune âge. Un jour, on a découvert le corps d'une fille dans les toilettes, et le soir même, un certain Tom je crois, à découvert mon existence. D'après ce que j'ai entendu, il savait que je n'étais pas le monstre qui a tué la fille, mais il voulait absolument que Poudlard reste ouvert. J'ai fuie et depuis ce temps, je suis resté là dans la forêt. Hagrid m'a même trouvé une épouse, Mosag, et, comme tu peux le voir, ma famille s'est agrandie.
- Je l'ai remarqué, dit Harry en jetant un coup d'œil à la fosse, on peut dire que Hagrid à fait du bon travail. Je pense que je vais me retirer, j'ai demain un cours de potion très important, et personne ne doit savoir que je ne suis pas dans le château, la sécurité à été beaucoup renforcé et on me poserait beaucoup de question.
- Je ne crois pas que quelqu'un viendra vous chercher ici, humain et ami de Hagrid. Tuez-le !
Harry, se doutant de quelque chose, sortit ses deux baguettes, une lumière éblouissante envahie la fosse avant de se retirer, Harry vit que le sort avait parfaitement marché, toutes les araignées était à terre, sauf Aragog, dont la cécité lui donner un avantage.
- Désolé pour vos araignées, Aragog, mais j'ai envie de resté en vie.
Il sortit rapidement de la fosse tandis que d'autre araignées se lancer à sa poursuite sous l'injonction furieuse d'Aragog. Harry fit brûler un buisson pour passer rapidement et pénétra sur le nouveau sentier. Il courut rapidement, mais n'arrivant pas à distancer les araignées. Il se cacha alors dans un tronc d'arbre mort et lança un sort d'attraction sur un balai qui était dans l'armoire du terrain de Quidditch.
Les cliquetis s'approchèrent dangereusement lorsque le balai se posa devant lui, il l'enfourcha rapidement et s'éleva tandis qu'une araignée lui arrachait une mèche de cheveux, il monta au dessus des arbres et se dirigea vers la hutte de Hagrid pour reprendre sa cape d'invisibilité. Il avait eu chaud cette fois.
Il savait que quelque chose lui échappé, et il l'avait sur le bout de la langue. Il repassa alors tout ses indices sur la chambre, trois phrases en sortirent :
- Mimi Geignarde a dit qu'elle était morte devant deux yeux jaunes. Mimi dit qu'un homme avait parlé d'une voix bizarre. Aragog avait que la fille tué était celle des toilettes.
Il avait trouvé, pensa Harry. Mimi Geignarde était la fille morte dans les toilettes il y'a cinquante ans pas un basilic contrôlé par Tom Jedusort grâce au fourchelangue. Alors…alors peut-être que la chambre des secrets, l'entré, se trouvait dans les toilettes du deuxième étage. Serpentard avait choisi un endroit que personne ne soupçonnerait. Harry se posa et mit le balai sous le lit tandis qu'il enfilait sa cape, il sortit et rentra se coucher dans son dortoir, pas la peine de vérifier ça ce soir, il avait eu trop d'émotion pour une nuit.
Il regarda avec tristesse le lit vide de Draco et s'endormit, il irait voir ce week-end, il y'aurait pas mort d'homme entre temps, enfin il espérait que ce serait le cas…
TO BE CONTINUED…
NDA : Pas le temps pour le blabla je crois, j'ai mis suffisament de tmps pour vous poster ce chapitre, et j'en suis désolé. J'espère qu'il vous à satisfer et malgré mon travail de saisonier, j'essaierais de faire plus vite pour le prochain chapitre. Biz à tt le monde et laissez des reviews mercci.
