Harry Potter : mage gris ? Livre 2 : La chambre des secrets :
Disclaimer : Malheureusement pour le pauvre auteur que je suis, tout l'univers de Harry Potter n'appartient qu'à JKR, cette histoire n'as pour but que de divertir et aucun argent ne sera fait grâce à cette histoire.
Résumé du chapitre précédent :
Harry se fait convoquer par le ieux fou et rencontre enfin son maitre, puis il organise et réussit une blague mémorable en souvenirs des maraudeurs. Lors du match Gryffondor-Serdaigle, Rogue l'amène d'urgence à l'infirmerie où il découvre Draco pétrifié par le basilic. Il remarque aussi que Granger est au courant du basilic et de son moyen de déplacement.
Pendant une visite chez Hagrid, il est témoin du départ forcé du directeur et de Hagrid. Il suit alors la piste donné par le garde chasse et fait la connaissance de Aragog, une Accromentula. Après un dialogue et une dure bataille contre les araignées, Harry retrouve avec joie son dortoir…
Chapitre 7 : Première victoire :
…Il savait que quelque chose lui échappé, et il l'avait sur le bout de la langue. Il repassa alors tout ses indices sur la chambre, trois phrases en sortirent :
- Mimi Geignarde a dit qu'elle était morte devant deux yeux jaunes. Mimi dit qu'un homme avait parlé d'une voix bizarre. Aragog avait que la fille tué était celle des toilettes.
Il avait trouvé, pensa Harry. Mimi Geignarde était la fille morte dans les toilettes il y'a cinquante ans pas un basilic contrôlé par Tom Jedusort grâce au fourchelangue. Alors…alors peut-être que la chambre des secrets, l'entré, se trouvait dans les toilettes du deuxième étage. Serpentard avait choisi un endroit que personne ne soupçonnerait. Harry se posa et mit le balai sous le lit tandis qu'il enfilait sa cape, il sortit et rentra se coucher dans son dortoir, pas la peine de vérifier ça ce soir, il avait eu trop d'émotion pour une nuit.
Il regarda avec tristesse le lit vide de Draco et s'endormit, il irait voir ce week-end, il y'aurait pas mort d'homme entre temps, enfin il espérait que ce serait le cas…
Harry ouvrit les yeux soudainement. Il était dans son dortoir. Il se trouvait dans son lit, allongée droit comme un piquet. Les rideaux, parfaitement tiré, laissé transparaître une lumière tamisé. Le soleil arrivé à passé la faible couverture de laine qui séparait son lit des autres. Harry ouvrit sa bouche. Elle était complètement pâteuse. Il trouva bizarre de faire la grasse matinée, surtout un lundi matin, où il avait Potion et Métamorphose à suivre.
Il tira sa baguette de sous son oreiller, et empoigna celle qui reposait dans un repli du rideau. Il agita une de ses deux baguettes en murmurant un faible « maintenant ». De petites étincelles s'élevèrent et Harry grogna. Non seulement il avait sauté déjà deux cours, mais il avait aussi entamé celui de botaniques qui avait commencé il y'a dix minutes.
14 Heures 10 minutes, voilà ce qui était affiché en petite lettre rouge. Harry baissa sa baguette et l'heure s'effaça dans un brisement. Normalement, Draco le réveillait dans ses rares cas de sommeil qui traînait en longueur, mais aujourd'hui, il était à l'infirmerie. Maria ne pouvait pas s'inviter dans le dortoir des garçons, tout comme Pansy. Et quand Draco était pas là, Crabbe et Goyle n'était pas très vif. Il avait pas d'autre ami, et peut-être devrait-il rectifier cela un jour.
Il repensa à ce qu'il avait peut être découvert puis se leva en s'étirant et craquant la plupart de ses os. Une course poursuite dans la forêt ne vous rendait pas très en forme apparemment. Il prit une douche froide qui finit de le réveiller complètement, et prit ses affaires de Botanique avant de s'en aller en marchant vers le parc. Il refit le sort de l'heure et vit qu'il avait maintenant une heure de retard. Il fallait espérer que Chourave soit clémente, mais avec un Serpentard, ce n'était pas gagné. Il vit en approchant qu'il n'y avait aucuns élèves dans les sept serres.
Harry se demandait ce qu'il se passait quand Chourave le trouva en train de retourner vers le château. Celle-ci ralenti le pas, Harry fit de même et se mirent face à face. Le professeur prit la parole.
- Que faîtes vous là, Mr Potter.
- Normalement, le lundi à 14 Heures, j'ai botaniques, mais je ne vois personne. Je m'apprête donc à aller prendre des nouvelles auprès de mon directeur de maison. Il avait dit ça d'un ton assez cassant, et le professeur lui répondit alors.
- Et bien sachez que cela a été annulé, maintenant, si vous le voulez bien, je vais m'occuper des mandragores pour que votre ami soit remis sur pied.
Harry se décala légèrement vers la gauche et laissa passer son professeur avant de continuer sa route vers les cachots pour savoir ce qu'il se passait dans ce foutu château. Il ne croisa aucun élève jusqu'au cachot. Il frappa à la porte de la salle de classe de Rogue, où il entendait à travers la porte ce dernier donner des instructions supplémentaire à des élèves. Il s'arrêta lorsqu'il entendit ces coups porter à sa porte. Harry entendit la marche caractéristique de son professeur, et quelques secondes plus tard, le professeur Rogue et tous ses élèves le regardaient.
- Bonjour tout le monde claironna Harry, j'aimerais vous parler professeur.
- Bien sûr Harry, répondit favorablement le professeur. Jameson ! Vous surveillez, ordonna-t-il au préfet en chef, selon son insigne.
Rogue l'emmena derrière son bureau et ouvrit une porte qui menait à sa pièce privé. Il s'installa sur un canapé devant le feu. Il invita Harry à prendre place sur le fauteuil juste à côté.
- Je me suis réveillé assez tard, je n'ai d'ailleurs pas participé à votre cours, ainsi que celui du professeur McGonagall. J'en suis désolé d'ailleurs.
- Ce n'est rien, répondit le professeur. Je comprends que vous soyez mal à l'aise à cause de la perte momentanée de Draco. Cela me touche aussi, c'est mon filleul.
- Merci professeur, répondit Harry, mais que ce passe-t-il ici.
- Appelez-moi Severus en privé, nous avons dépassé la relation professeur-élève depuis longtemps Harry. Vous ne le savez pas, mais le professeur Dumbledore a été démis de ses fonctions hier pas le conseil d'administration de l'école, et le ministère de la magie a arrêté le garde chasse. McGonagall a reprit les rennes de Poudlard, et des mesures ont été prise à cause de la dernière attaque. Les professeurs doivent accompagner les élèves dans les intercours à leur prochaine matière, c'est la principale mesure.
- Merci pro… Severus.
- C'est normal Harry.
Ils se levèrent. Severus partit dans le fond de la pièce et dénicha un livre dans sa bibliothèque personnelle.
- Je sais votre talent pour la préparation des potions, en voici un guide que j'ai écris de mes mains, ainsi que quelques potions que je n'ai pas réussi à finir, je vous le donne en espérant que cela vous distraira. Et n'oubliez pas que les examens commencent lundi prochain. Il prit le livre avec reconnaissance.
- Merci beaucoup Severus, c'est un cadeau inestimable pour moi. Il le mit dans son sac avec son livre de Botanique. Avant que vous partiez, voici un livre qui vous permets d'apprendre une langue en un mois, et un dictionnaire japonais. Je pense que cela pourra vous servir lors de ton voyage.
- Je te remercie infiniment. Il ajouta les deux précieux sésames dans son sac. Ils se serrèrent la main et Harry quitta la pièce, Severus sur ses talons. Le calme était resté dans la salle de potion.
Harry décida alors de profiter de cette fin d'après midi de libre pour vérifier ses soupçons sur Mimi Geignarde. Il remonta une partie des escaliers avant de se diriger, une fois au deuxième étage, vers les toilettes des filles. Il vit alors que le message était toujours là, bien présent, le seul problème est qu'un deuxième message avait été apposé au dessous de ce premier texte sanglant.
« Son squelette reposera à jamais dans la chambre »
Harry n'eut pas le temps de se poser de question car il entendit des bruits de pas dans sa direction. Harry enfila sa cape d'invisibilité qu'il gardait toujours sur lui. Il vit alors apparaître McGonagall au détour du couloir, elle blanchit en voyant le message. Elle se rapprocha de quelque pas, avant de repartir en courant, Harry vit qu'elle se dirigeait vers la salle des professeurs. Il courut en emprunta un bon nombre de passages secrets. Il arriva avant elle et se cacha dans une armoire où étaient entreposées des capes.
Il venait à peine de baisser son rythme cardiaque, que la porte sauta littéralement de ses gonds. Rogue avait fait son entré, sa cape claquant contre le sol. Il jeta un regard dans la salle et prit place dans un fauteuil assez éloigné après les autres. Ensuite, ce fut le tour de Flitwick d'apparaître, il était arrivé comme un bolide, Chourave, Vector et Figg entrèrent et s'asseyaient confortablement. Trois ou quatre professeurs inconnu à Harry s'ajoutèrent à la liste ; il ne manquait plus que McGo, celle qui avait reçu une promotion, entra, toujours aussi blanche. Bizarrement, Lockhart n'était pas là, il se regardait peut être dans sa glace à réponse vantarde intégré.
- Le pire est arrivé, annonça-t-elle dans le silence général. Une élève a été capturé par le monstre et emmenée dans la Chambre.
Flitwick laissa échapper un petit cri tandis que Chourave plaqua les mains contre son visage. Rogue, assez crispé, prit la parole.
- Comment pouvez-vous en être sûre ? Cet élève est peut dans le parc.
- L'héritier de Serpentard a laissé un autre message, répondit le professeur McGonagall, juste au-dessous du premier message. Il a écrit : Son squelette reposera à jamais dans la chambre.
Flitwick éclata en sanglots. Rogue le regarda avec un air dégoûté et posa la question, d'un ton de celui qui n'était pas concerné.
- Qui est la victime ?
- Maria Zwillinger, répondit le professeur. Rogue se releva soudainement.
- C'est un sang pur, au nom de Merlin, c'est impossible, grogna Rogue.
Harry, dans son petit placard, en tombait des nues, après Draco, Maria. Il portait vraiment la poisse où quoi. Rogue avait d'ailleurs raison, le monstre de Serpentard devait épurer les « sangs de bourbe », pas les sangs purs. La porte s'ouvrit alors, et Lockhart fit son entré. Rogue l'attaqua presque aussitôt :
- Désolé, je m'étais endormi. J'ai manqué quelque chose ?
- Voici l'homme qu'il nous faut, dit Rogue d'une voix sardonique. L'homme idéal. Le monstre a capturé une jeune fille, Lockhart. Il l'a emmené dans la Chambre des Secrets. Harry faillit éclaté de rire, lui, l'homme de la situation, même Figg serait mieux se débrouiller.
- C'est vrai, Gilderoy, approuva le professeur Chourave. Ne disiez vous pas encore hier que soir que vous saviez depuis toujours où se trouvait l'entrée de la Chambre des Secrets ?
- Je..enfin..je..Balbutia Lockhart.
- Vous nous avez également dit que vous saviez parfaitement ce qu'elle contenait, ajouta le professeur Flitwick de sa petite voix flûtée.
- V..vraiment ? Je ne m'en rappelle pas…
- Je me souviens de vous avoir entendue dire que vous regrettiez de ne pas avoir eu l'occasion de vous trouvez face au monstre avant que Hagrid soit arrêté, déclara Rogue. Vous avez affirmé que toute cette affaire avait été très mal conduit et qu'on aurait dû vous donner carte blanche depuis le début.
Lockhart regarda ses collègues qui le fixaient avec un visage de marbre.
- Non, vraiment…je n'ai… Vous m'avez sans doute mal compris…
- Nous comptons donc sur vous, Gilderoy, dit le professeur McGonagall. Il vous faudra agir dès ce soir. Nous ferons en sorte que personne ne vienne vous déranger. Comme ça, vous pourrez neutraliser le monstre à vous tout seul. Vous avez enfin carte blanche.
Harry parait que Lockhart s'enfuirait dès qu'il aurait une occasion, ses lèvres tremblaient et sans son habituel sourire. On remarquait son menton fuyant et son visage étriqué.
- Très bien, je vais dans mon bureau me préparer.
Et il quitta la salle. Harry secoua la tête. Si c'était ça, l'équipe de sauvetage, Maria n'était pas près de revenir.
- Bien, dit le professeur McGonagall, l'air dédaigneux, au moins nous ne l'auront plus dans nos pieds. Maintenant, il faut informer les élèves de ce qui s'est produit. Vous leurs direz que le Poudlard express les ramènera chez eux demain matin. Et assurez-vous que tout les élèves ont bien regagné leurs dortoirs.
Un par un, les professeurs sortirent de la pièce. Harry quitta le placard, enfila sa cape et dégaina la carte des maraudeurs. Il vit sur la carte que Vincent et Gregory n'étaient pas loin, il pourrait servir, même si ils devraient être dans la salle commune. Il ne serait pas le seul à agir, et il était celui qui s'y connaissait le mieux. Il vit que Chourave allait bientôt les croiser, Harry se dépêcha, abusant des passages secrets, il les interpela :
- Vincent, Gregory, venez vite, Chourave arrive du couloir d'en face.
Il les fit entrer dans une salle de classe. Chourave passa devant la porte. Harry se tourna vers les deux gardes du corps de Draco.
- Draco est pétrifié, Maria a été enlevée. Je demande vengeance, dit-il d'un ton calme. Je sais que Lockhart vas essayer de s'en aller, mais il peut nous servit, n'hésiter pas à vous servir de votre baguette où de vos poings. Les deux garçons baissèrent la tête. Ils suivraient Harry, l'ami de Draco.
Harry siffla un une note aigue, et cinq minutes plus tard, Mellon arrivé avec dans ses crochets, Dur Anor. Le serpent s'enroula autour de son cou, tandis que Mellon se posait sur l'épaule droite d'Harry. Ils sortirent leurs baguettes.
- Allons-y, ordonna Harry.
La nuit tombait quand ils arrivèrent devant le bureau de Lockhart. A l'intérieur, il entendait des pas précipité, des coups sourds, et d'autres bruits divers qui témoignaient d'une intense activité. Harry posa sa main contre la clenche, et la tourna lentement. La porte n'était pas fermée à clef. Il entra, et Lockhart sursauta en voyant trois élèves, baguettes levé vers lui, entré sans frapper dans sa classe. Harry fit un signe de tête à Vincent et Gregory qui se placèrent, un devant la porte qui menait vers son bureau, tandis que l'autre se mettait juste à côté de lui. Harry, lui, passa devant le crétin et prit place dans son luxueux fauteuil tout en cuir.
- Sortez de mon fauteuil, Potter !
- Vous fuyez, n'est ce pas Vous n'irez pas chercher Maria, car vous ne saviez pas qui, et vous ne savez pas où. Heureusement pour vous, je vais pouvoir vous sauver la face, car je sais qui, car je sais où.
- Allez-y sans moi, dit Lockhart en mettant sa main vers sa poche.
- Hop ! Hop ! Hop ! Ne nous quitter pas si vite professeur. Greg, prend sa baguette veux-tu. Bien, dit Harry une fois que cela fut fait. Il se peut que vous ayez peur professeur, mais ça m'amusera, et puis vous marcherez devant, ainsi, si le monstre se pointe, il vous regardera en premier, j'aurais le temps de fermer les yeux.
Le rythme respiratoire de Lockhart s'accéléra, il avait peur, car pour la première fois, il allait combattre un monstre.
- Ne croyez pas ce que vous lisez dans les livres, Potter, j'ai tout siroté à des pauvres pecno avant de leurs jeter un sort de mémoire. Je suis particulièrement doué pour ça. Harry sourit, il avait eu raison d'enregistrer tout sur sa baguette.
- Je crains que vous ne soyez plus professeurs l'année prochaine, car même si vous vous en sortez, de la chambre, j'ai tout enregistré sur ma baguette.
- SALOP, hurla-t-il de rage.
- Mutismus ! . Je préférais éviter une visite incongrue, professeur, mais allons dans la chambre avant que l'on remarque notre absence.
Harry se leva, un sourire aux lèvres qui énerva franchement le professeur qui hurla :
- Mmmhh ! Mmmmhh !
- Bien sûr professeur, ça doit être rageant, répondit Harry, comme si il comprenait les borborygmes du professeur.
Ils sortirent de la classe de Lockhart, Vincent et Gregory encadrant le professeur tandis qu'Harry marché devant. Ils arrivèrent dans les toilettes des filles, et ceux qui accompagnait Harry firent une drôle de tête, surtout Lockhart en faîte.
- Salut Mimi, dit Harry en se dirigeant vers la cabine du fond, je suis revenue.
- Oh ! Harry, je suis heureux de te voir en vie, que fais-tu là.
- J'enquête sur ce qui se passe dans l'école, et j'aimerais que tu te rappelle de l'endroit exact où tu as vu les yeux qui à causé ta mort. Harry lui fait un petit sourire pour l'encourager.
- Près des lavabos, répondit Mimi.
- Je te remercie, dit Harry avant d'examiner les lavabos un par un.
A la fin, il remarqua que tous marchaient parfaitement sauf un, et la plomberie magique, ça tombe rarement en panne. Harry fit un examen approfondi puis se releva soudainement.
- Professeur, je crois que c'est bon. Voici l'entré de la chambre des secrets.
Lockhart le regarda lui, puis le lavabo. Il lui jeta alors un regard qui disait « encore un fou sur terre ».
- Mais je vais vous le prouvez, « ouvre-toi » siffla Harry en fourchelangue, et sous les yeux horrifié de Lockhart.
Le robinet se mit à briller d'une lueur blanche en tournant sur lui-même. Un instant plus tard, le lavabo bascula et disparut, laissant apparaître l'entré d'un gros tuyau suffisamment large pour qu'un basilic puisse entrer et sortir. Harry fit un sourire satisfait
- Approchez Professeur, j'aimerais vous montrez quelque chose d'intéressant, dit Harry d'une voix douce. Le professeur prit place à ses côtés. Harry lui fit alors une grosse tape dans le dos, qui le fit plonger dans le tuyau. Vincent et Greg suivirent la marche et Harry partit en dernier, mais il entendit une phase qui le fit sourire.
- Si tu meurs, je me ferais un plaisir de partager mes toilettes !
Harry repensa aux montagnes russes durant ce voyage, et cria en levant les bras, dommage qu'il n'y avait pas de photo. L'atterrissage fut aussi moins sympa, il se releva doucement, regardant les alentours. Vincent et Greg était déjà autour de Lockhart. Il devait être à des kilomètres sous le château. Les parois était couverte de vase et de l'eau sous forme de gouttelettes tombait souvent du plafond. L'humidité régner en maître ici.
Harry fit apparaître une boule de lumière qui se plaça au dessus de leur tête, mettant un peu de lumière dans les ténèbres. Ils s'enfoncèrent dans le tunnel, pataugeant dans le lac avec gaité. Lockhart avait été mis devant par sécurité, puis suivait notre trio du moment. Le tunnel, par son silence, ressemblait plus à une crypte qu'a une chambre secrète. Ils suivirent un coude que formait le tunnel.
- Mmmmh ! Mmmmmmhmmmmh ! dit Lockhart, la panique suintant malgré le bâillon magique.
Ils s'arrêtèrent en distinguant les contours d'une chose énorme qui s'étendait à l'autre bout du tunel. Harry augmenta la luminosité de sa torche.
- Ce n'est rien, c'est la peau mué du basilic, il rebaissa la luminosité pour ne pas trop se fatiguer et ils continuèrent leur route. Ils la contournèrent, Lockhart passa très loin en se collant au mur, Harry préféra couper tout droit en l'enjambant, Vincent et Greg firent de même.
Le tunnel ressemblait à la carapace d'un escargot, il y'avait toujours des virages et cela commençait vraiment à énerver tout le monde. Il n'aurait pas pu faire une ligne droite pour aller plus vite. Il avait enfin de voir la fin du tunnel, tiré de là Maria et de se casser, mais il redoutait en même temps de croiser le basilic dans un tournant. Enfin, Harry se retrouva devant un mur sur lequel étaient gravés deux serpents entrelacés. De grosses émeraudes étincelantes était serties à la place des yeux.
Harry s'approcha la gorge sèches. Il devina rapidement ce qu'il fallait faire, il se retourna vers les trois autres et s'éclaira la gorge avant de commencer à parler.
- Vincent, Greg, y'a un basilic à l'intérieur. Je sais que vous savez ce que c'est. Ils baissèrent la tête en signe d'acquiescement. Je préfère donc que vous attendiez ici. Si je meurs, Dur Anor ou Mellon, dit-il en pointant ses deux familiers, reviendront vers vous. Si il(s) revienne(nt), vous saurez alors que je suis mort, sinon, je reviendrais moi-même avec Maria.
- Tu sais, il y'a des risques pour qu'elle soit déjà morte.
- Il y'a aussi une chance pour que Maria soit vivante, Greg, répondit Harry. Je prends Lockhart avec moi, il pourrait servit qui sait.
Harry se retourna vers la porte, et siffla d'un ton sec : « Ouvrez ! ».
Les deux serpents se séparèrent aussitôt : les deux pans de mur sur lesquels ils étaient gravés venaient de s'écarter en silence. Quelques instants plus tard, ils avaient entièrement disparu, laissant la voie libre. Harry entra, tremblant légèrement tandis que Lockhart était presque évanoui.
Ils se trouvaient à l'entré d'une longue salle faiblement éclairée. D'immenses piliers de pierre, autour desquelles s'enroulaient des serpents sculptés, soutenaient un plafond noyé dans l'obscurité et projetaient leurs ombres noires dans une atmosphère étrange et verdâtre. Le cœur battant, Harry marcha dans le silence glacé, ses pas et ceux de Lockhart raisonnant avec force dans cette grande salle. Le basilic était-il tapi dans l'ombre d'un pilier ? Et où se trouvait Maria ?
Lorsqu'il fut arrivé au niveau des deux derniers piliers, il se retrouva face à une statue, adossé au mur du fond, et qui faisait toute la hauteur de la chambre. Harry dut tendre le cou pour apercevoir la tête de la statue : elle représentait un sorcier avec une longue barbe mince qui tombait presque jusqu'au bas de sa robe où deux énormes pieds grisâtres reposaient sur le sol lisse.
Entre les pieds, une petite silhouette vêtue d'une robe noire était allongé face contre terre. La statue était Salazar Serpentard, la silhouette était Maria. Il se retourna et avisa Lockhart du regard. Il jeta un sort de glue perpétuelle sur ses chaussures et lui attacha les mains par des lianes magiques qu'il fit apparaître de sa baguette.
- Vous ne bougez pas, je crois que j'ai retrouvé Maria.
Il la rejoignit et la retourna avec ses deux mains, jetant sa baguette sur le sol. Il lui prit son bras et il sentit avec soulagement un pou, il était assez faible mais Pomfresh pourrait la remettre sur pied. Il la gifla légèrement mais elle ne se réveilla pas.
- Allez Maria, réveille-toi nom d'un chien, le basilic va ne pas nous attendre.
- En effet, dit une voix douce derrière lui.
Harry se releva alors avec une rapidité ahurissante et sortit sa deuxième baguette, ne perdant pas de temps à trouver la première. Il eut raison car quand il regarda le jeune homme, il vit qu'il tournait entre ses longs doigts sa baguette. Il fut à moitié impressionné, mais à moitié énervé aussi. Harry dut plisser les yeux, car les contours de l'homme était comme flou.
- Tom Jedusort je suppose, dit Harry en levant un sourcil, sa baguette toujours tendue vers le meurtrier de ses parents, ainsi que le kidnappeur de Maria et la raison pour laquelle Draco était à l'infirmerie. Jedusort approuva d'un signe de tête sans quitter Harry des yeux.
- Vous êtes plutôt bien concerné pour un vieux de près de 70 ans, dit alors Harry, et la dernière fois que je vous ai « vu », vous parliez à travers un journal, comment avez vous fait.
- Je suis le souvenir de Voldemort à ses seize ans, dit-il d'une voix légèrement énervé. Et pour quitter le journal, cette petite idiote n'as qu'eut à ouvrir son cœur et à déverser ses secrets. Ses secrets les plus intimes. D'ailleurs, il est amusant de noter que les deux t'aimer et avait le même âge. Tu m'as un peu contrarié en prenant le journal, mais je t'excuse, car j'ai pu faire une nouvelle victime. Au début c'était Ginny, je crois que tu le sais maintenant. Le fait est que Maria fut elle aussi attiré, et elle était par bonheur ami du très grand et célèbre Harry Potter.
- Maria à écrit ses confidences pendant des mois et des mois, reprit Tom. Harry le laissait parler, tandis que discrètement, Dur Anor sortait par le bas de son pontalon et ramper dans la noirceur vers Tom Jedusort…mais la grande question ; le beau, le bon, le grand, le célèbre Harry Potter allait-il l'aimer un jour ?
- N'attend pas une réponse Jedusort, mais continue, répliqua Harry.
- C'est terriblement ennuyeux, une gosse de 11 ans. J'ai du faire preuve d'une grande patience. J'ai été gentil, très gentil. Enfin, elle à ouvert son âme. Il se trouve que son ame représentait exactement ce qu'il me fallait. Ses peurs les plus profondes, ses secrets les plus obscures me donnaient de la force, de plus en plus de force.. J'ai senti grnadir en moi un pouvoir bien plus grand que la petite Maria. Un pouvoir suffisant pour commencer à confier à Miss Zwillinger mes propres secrets, pour déverser un peu de mon âme dans la sienne…
Un verrou sembla sauter dans l'esprit de Harry, il venait de tout comprendre, enfin.
- C'est donc Maria qui à ouvert la chambre, qui a tracé les messages sanglants et qui à lancé le basilic sur Draco et les autres.
- Je te félicite Harry, 15 points pour Serpentards… Ahhh ! Saleté de serpent. Il jeta une sort que Dur Anor évita puis il pris la fuite et se plaça rapidement vers Harry. Bien essayé Harry, dit-il d'une voix plus énervé, mais les poisons ne peuvent rien contre moi, je ne suis pas encore totalement vivant.
- Une chose qui me turlupine, intervint Harry d'une voix calme, pourquoi Draco ?
- Ah, pourquoi Draco. Il était tout simplement ton seul ami avec Maria, ainsi, tu te retrouvais seul, malgré le fait que ce soit un sang pur, il n'aurait pas du s'affilier avec un Potter ! Mais passons, j'ai quelques questions, par exemple, comment un simple bébé sans talent magique particulier ait pu vaincre le plus grand sorcier de tous les temps ? Comment as-tu réussi à t'en tirer avec une simple cicatrice alors que les pouvoirs de Voldemort ont été détruits ?
Une leur rouge se propagea alors dans les yeux de Tom.
- Vous parlez de vous à la troisième personne ? Enfin, je pense que seul Dumbledore sait à peu près tout, moi, je ne sais rien.
- Silence, on ne parle pas ainsi de plus grand sorcier que la terre ait porté. Une leur un peu folle percer les yeux du jeune homme qui avait à peine 17 ans.
- Il est dommage que Dumbledore vous surpasse, dit alors Harry d'une voix moqueuse. Avouez que vous n'avez jamais osé l'affronter directement. La preuve : Poudlard est toujours une institution blanche. Vous auriez mieux fait d'aller à Durmstrang, vous auriez eu votre chance là-bas.
- Dumbledore a été chassé de ce château par mon simple souvenir ! dit-il d'une voix sifflante.
Harry répéta alors la phrase que Dumbledore avait dite dans la cabane de Hagrid, la voilà, la raison secrète de cette phrase :
- Une aide sera toujours apportée à l'intérieur de Poudlard tant que quelqu'un restera fidèle à Dumbledore, Tom.
Jedusort ouvrit la bouche, puis il se figea soudainement. Une musique venait de retentir. Il regarda autour de lui mais la chambre était déserte. La musique s'intensifia. C'était une mélodie poignante. Mellon s'envola alors de son épaule tandis que dans un flash lumineux, Fumsek apparut dans une gerbe de flamme rouge. Les deux oiseaux volèrent de concèrent avant de se poser su chacune des deux épaules d'Harry. Il sentit ses chaleurs contre ses joues.
- C'est un phénix, dit Jedusort en fixant l'oiseau qui le regardait depuis un moment.
- On a ensuite un Dirico, jamais réussi à en apprivoiser, renifla Tom.
Voilà ce que tu as pour te défendre, Dumbledore t'aura été d'une grande aide dit donc. Dur Anor se dressa soudainement en sifflant dangereusement « et moi crétin d'humain ! »
- Ah, et le serpent cracheur, désolé de t'avoir oublié, dit Tom en fourchelangue. Dur Anor se dressa de toute sa hauteur, dépassant d'une courte tête Harry. Tu sais, on se ressemble beaucoup Harry, aussi bien physiquement que mentalement.
- Vous ne savez rien de moi, Jedusort, répliqua Harry. Il n'aimait pas être comparé avec ce crétin.
- Soit, tu vas donc mourir. Il se retourna vers la statue et psalmodia en fourchelangue : Parle moi, Serpentard, le plus grand des quatre de Poudlard.
La bouche de Serpentard s'ouvrit en grand, laissant apparaître un trou béant, il allait lâché contre lui le basilic. Il se retourna lorsque le sol trembla sous le poids du basilic. Mellon s'envola et Harry s'excusa mentalement avant de lever sa baguette.
- Cocorico mutamen ! Un sort rouge vif s'échappa de la baguette d'Harry tandis qu'au même moment, Fumsek s'envola et que Tom hurlait :
- Tue-le !
Le sort marcha complètement, et Mellon se posa sur le sol alors qu'il était devenu un magnifique coq qui chanta aussitôt. Harry, toujours dos au basilic, s'éloigna, et apposa un bouclier magique pour empêcher Jedusort de tuer Mellon. Il y'eut alors un sifflement sonore au-dessus de sa tête. Il risqua le tout pour le tout et se retourna.
Fumsek volait autour de la tête du basilic, le phénix plongea soudain, et une cascade de sang noir se déversa sur le sol. La tête du serpent se retourna vers lui et il vit que les deux yeux du serpent avait été crevé. Dur Anor continua à chanter, et comme l'avait soupçonné Harry, Tom intervint mais le bouclier tint bon. Harry soutint son Dirico et lança à Tom un sort qui l'envoya voltiger vers la si sacré statue de son ancêtre.
Le serpent se mit à convulser, sifflant et crachant puis il tomba bouche ouverte, droit sur Harry, il s'éloigna que trop tardivement et un crochet se planta dans sa cuisse gauche. Il serra furieusement des dents. Il croisa alors Lockhart, qui avait été pétrifié. Harry se mit à sourire avant de repenser que le poison du basilic était mortel. Il retira en grimaçant le crochet, tandis que la transformation de Mellon prenait fin. Le bouclier se désintégra sous le sort furieux d'un Tom enragé par la colère. Mellon décolla aussitôt et prit place à ses côtés, tandis que Fumsek faisait de même.
Harry s'écroula, son dos contre le mur, et ferma les yeux, la douleur du poison commencé déjà à lui brûler les veines. Son sang tout entier était en train de bouillir. Une voix, chaleureuse et réconfortante commme un feu ronflant dans une grosse cheminé, lui parla.
- Harry, détruit le journal et tu tueras Tom, Harry ! Harrry !
Il était impossible que quelqu'un ai pu pénétrer son esprit. Il préféra vérifier et fut en quelques secondes en haut de la tour. Il dirigea son œil vert vers les murailles qui n'avait aucune égratignure. Il leva la tête et vit alors un oiseau volé. Il zooma grâce à son œil et fini par savoir que c'était Fumsek.
- Harry, c'est bien moi Fumsek, tu dois détruire le journal.
Harry ne savait pas que les phénix pouvait parler avec les humains.
- Je suis de tout cœur avec toi Harry, je sais que tu veux te venger sur Voldemort et Dumbledore, et Poudlard et moi t'aideront mais tu dois détruire le journal.
- J'aimerais bien, mais la mort me guette. Et puis comment tu sais, je suis occlumens !
- Non, réfuta Fumsek, n'oublie pas les capacités du phénix.
Harry rouvrit les yeux rapidement sous l'œil attentif de Tom qui s'était approché.
- Tu va mourir Harry. Mort. Même l'oiseau de Dumbledore l'a compris. Tu vois ce qu'il fait Harry, il pleure. Harry releva la tête et sourit à Tom.
- Tu as oublier quelque chose Tom, dit Harry avec une voix faible. Il sentit alors que les larmes chassée de son sang le poison. Il leva sa baguette. Il regarda sa blessure qui était maintenant complètement soigné. Merci Fumsek.
- Darrara! Tom s prit le sort dans le vente, et se mit à hurler de douleur. Alors Tom, tu es maintenant assez vivant pour te prendre des sorts on dirait. Tom chassa le sort d'un coup de baguette et se releva.
- Tu utilises les sorts noirs, Potter. Tu es sur mon terrain. Gruffidexiam! Harry n'eut pas le temps de se protéger et une longe blessure balafra son ventre, partant du bas-ventre et remontant jusqu'à son épaule. Il répéta alors le même sort, mais Harry hurla, les larmes aux yeux.
- Annihilem ! Un flash blanc zébra la salle ; Le vent se leva, puissant. Une spirale partait de la baguette d'Harry. Le cône avait son sommet au bout de la baguette d'Harry tandis que l'ellipse était grande ouverte vers Tom. Le sort entra dans la spirale sans jamais en ressortir, mais la spirale passa du blanc au jaune.
- Un sort blanc maintenant, tu es une touche à tout on dirait, mais ce sort à une limite je crois. Avada Kedavra!
Le sort de la mort entra dans la spirale, celle-ci devint noir d'encre. Harry se sentit alors faiblir. La spirale explosa, projetant tout le monde contre le mur qu'il avait derrière eux. Sous l'explosion, les deux piliers s'effritèrent avant de s'écrouler, Harry eut tout juste le temps de se remettre et de se lancer un petit bouclier. Les roches tombèrent sans endommager le bouclier. Le contre coup est qu'Harry est complètement à plat. Le sort d'annihilation était très dur à maîtriser, faisant partit du programme de 6ème année mais Harry l'avait de suite trouvé intéressant.
Le bouclier explosa et Harry put se relever en se tenant contre le mur. Il espérait juste que Dur Anor où les autres ne seraient pas blesser. Il jeta un œil vers Maria, qui était toujours endormi.
- Accio baguette ! Harry ne fit rien, n'ayant même plus la force de faire un petit lumos. Il allait devoir ruser. Je vais maintenant te tuer.
- Non, dit Harry d'une voix calme, je me suis allié à Voldemort, j'ai accepté de le rejoindre. Harry laissa échapper deux de ses souvenirs, celui avec la rencontre en première année et celui de cet été où il avait pu prendre des grimoires.
- Tu dis vrai, dit Tom en baissant sa baguette. Mais pourquoi ne l'as-tu pas dit plus tôt.
- J'n'ai pas eu trop le temps, mentit Harry en se remettant droit.
- Attend, je vais t'arranger ça. Il leva sa baguette, les os de Harry craquèrent et se replacèrent tandis qu'une attelle apparaissait à sa jambe droite, qui avait cassé quand il avait été propulsé contre le mur. Harry fouilla dans sa poche et ressortit une potion tonus qu'il avala d'un coup.
- Ca va mieux, dit Harry, désolé de t'avoir attaqué, mais je n'avais pas le choix.
- Pas grave, mais je pense que quelque chose pourra t'intéresser. Il se dirigea vers la statue et passa derrière. Harry fronça des sourcils et le suivit. Que la chambre du maître s'ouvre pour laisser passer son héritier siffla Tom, son regard dirigé vers le talon de Serpentard.
Il y'eut un grondement et la cuisse arrière de Serpentard s'ouvrit comme une porte. Ils entrèrent et soudain, le sol s'éleva, comme un ascenseur vers le haut. Il s'arrêta et Harry pu voir un gigantesque bureau, où l'or et l'argent était très présent. Il y'avait une colossal cheminée en marbre tandis que les autres murs était couvert d'une bibliothèque rempli de livre.
- Ceci est la Chambre des Secrets, dit Tom en souriant. Nous sommes à l'intérieur de la statue. Il faut remonter dans l'ascenseur pour aller à la chambre de Serpentard puis il y'a la Chambre du basilic qui se situe dans la tête de Serpentard. La chambre est à l'endroit des poumons tandis que ce bureau est vers le torse.
Ils remontèrent dans le monte charge, Tom le dirigeant avec sa baguette. Ils s'arrêtèrent cinq minutes dans la chambre qui était énorme puis montèrent encore un peu. Le plafond était en forme d'une immense coupole qui était soutenu par des piliers large comme Hagrid. Dans la noirceur de la salle, Fumsek apparut dans une gerbe de flamme et jeta le journal qu'Harry attrapa. Il tira sa baguette.
- J'ai menti, dit Harry en faisant un rictus effrayant. Evanesco ! Le journal tomba au sol et s'ouvrit laissant apparaître une écriture qui s'effaça magiquement.
- NON, hurla Tom, ENFOIRE, TRAITRE. Il se convulsa et une explosion de couleur zébra la pièce, l'éclairant pour un temps complètement. Le journal laissé échapper un filet de fumé.
Harry souffla et remonta dans l'ascenseur en mettant dans sa poche le journal. Il s'arrêta dans la chambre et piqua dans l'armoire un drap. Il descendit ensuite au dans le bureau où il dévalisa la bibliothèque en entier. Il réduit le tout d'un coup de baguette et ficela le drap avec sa baguette. Il redescendit avec la marchandise où Maria caressait Mellon et Dur Anor.
- Harry, cria-t-elle en se jetant dans ses bras. Harry la fit tourner dans les bras en riant, heureux. Tout simplement heureux. Je suis désolé, commença-t-elle en pleurant. Je t'ai apporté plein d'ennui. Je ne voulais pas faire ça…C'était moi Harry…Draco, mon dieu…Où est Jedusort…Et comment tu as tué cette…cette chose…
- Chutt, murmura-t-il en la prenant dans ses bras, tout est fini, ne t'inquiète plus. Jedusort n'est plus et son basilic non plus, ils sont mort et enterré, ne t'inquiète pas. Il l'embrassa sur le front et elle sembla s'appaiser. Tu va bien Maria.
- Oui ça va, je n'ai rien de casser.
- Je ne parle pas de ça, mais de ton état mental, dit Harry en la regardant dans les yeux, les mêmes yeux que lui.
- Je ne vais pas te cacher que je suis chamboulé mais je m'en remettrai.
- Bien allons rejoindre Vincent et Greg. Ils doivent s'ennuyer à la fin. Dur Anor monta alors autour de son bras tandis que Mellon se posait sur son épaule. Fumsek le rejoignit sur l'autre épaule. Maria lui serra un peu plus la main et il se sentit enfin complet, et bien entouré. Il souri et quitta cette salle, les livres volant derrière lui grâce à un sort de lévitation.
Vincent et Greg semblèrent soulagé de le voir enfin sortir et ils rejoignirent l'entré en discutant gaiement sur ce qu'il venait de faire.
- Oh ! Attendez moi, je reviens dit Harry en retournant sur ses pas. Il revint dix minutes plus tard avec Lockart qui flottait devant lui. Je l'avais oublié, dit Harry en haussant les épaules.
Ils éclatèrent tous ensemble de rire devant le comique de la situation. Ils se retrouvèrent bientôt au dessus de la sortie. Harry sourit et s'accrocha à Fumsek. Ils se tinrent tous par la main et ils s'envolèrent, devenant léger comme des plumes. Ils posèrent enfin pied dans les toilettes où Harry crut bon de refermer le passage avant de partir.
Harry cacha les livres au milieu d'un passage secret, recouvrant le butin de cape d'invisibilité et jetant quelques petits charmes de protection. Il rattrapa les autres rapidement et guidé par Fumsek, ils entrèrent dans le bureau de McGonagall, qui semblait être le plus proche de la chambre des secrets. Harry frappa et poussa la porte.
Il y'eut un long moment de silence que Harry brisa facilement :
- Bonjour tout le monde, professeur, je vous rends Fumsek qui m'a été très pratique aujourd'hui. Et il alla s'asseoir dans un fauteuil tandis que Fumsek poussa un petit cri avant de se poser près de Dumbledore qui rayonnait. Léa fut la deuxième à réagir en sautant sur sa sœur, les larmes aux yeux, elles se serrèrent et réconfortèrent mutuellement tandis que deux personnes les regarder au fond avec amour. C'était sûrement les parents de Maria. Le père, un grand homme avec les cheveux bruns et les yeux gris, prit la parole avec un léger accent allemand.
- Je pense qu'il de mon droit de vous remercier. Vous lui avez sauvé la vie et nous vous en serons continuellement reconnaissants.
- Comment avez-vous fait ? demanda une jeune femme aux yeux verts et à la tignasse noire.
- C'est ce qu'on aimerait tous savoir, dit Rogue qui venait d'entrer. Désolé, j'avais une potion sur le feu. Dumbledore et Harry sourirent tandis que McGonagall fronçait les sourcils. Harry mit alors un doit sur sa tête et se leva brusquement.
- Désolé, j'ai oublié quelque chose. Il revint dix minutes plus tard avec…Lockhart. Maria, Vincent et Greg éclatèrent de rire. Harry fit un sourire gêné.
- Quoi, ce n'est pas ma faute si je l'ai encore oublié. Les rires redoublèrent et Harry se joignit à ses camarades. Au fait, je crois que vous allez devoir trouver un nouveau professeur de DCFM. Je l'ai un peu malmené ce soir.
Puis Harry se mit à raconter son histoire, une histoire légèrement modifié mais la plupart des choses y était. Il vit avec horreur Dumbledore lui faire un sourire chaleureux à vomir de dégoût. Il termina par son duel contre Tom qu'il du coupé sur la fin, car il n'allait pas dire qu'il avait pactisé avec Voldy lors de sa première année. Harry ayant fini, il se tourna vers Dumbledore qui prit alors la parole.
- Ce qui est le plus intéressant à mes yeux, dit-il d'une voix douce, c'est de savoir comment Voldemort à réussi à envoûter Ginny alors que, d'après les informations qu'on m'a données, il se cache à l'heure actuelle dans les forêt d'Albanie.
- Comment ça envoûter, dit la mère des Zwillinger ?
- Tout est arrivé à cause de ce journal intime, dit Harry en le sortant de sa poche. Lors de ses seize ans, il a réussi à implanter un…un bout de son âme d'après ce que j'ai pu comprendre. Je ne sais pas comment il a fait, mais quand Maria lui à ouvert son cœur, son âme, Tom à pu reprendre des forces et ainsi déverser lui aussi son âme dans Maria, la possédant d'une certaine façon. Harry avait les sourcils froncé. Difficile à croire, mais j'ai remarqué que les contours de Tom était un peu flouté, et la morsure de Dur Anor ne lui a rien fait, contrairement au sort que je lui ai envoyé. Enfin, ce journal est la base de toute cette histoire, et la façon dont il a pu déverser une partie de son âme est…
- Très complexe, cela doit être de la magie noire extrême, aida le professeur Rogue. D'après mes compétence, on peut d'hors et déjà éliminer les potions dont je connais aucune qui permettrait cela. Il faudrait peut-être un sacrifice humain, les actes de magies kabbalistiques en ont souvent besoin, c'est même la base. McGonagall sembla grimacer quand elle vit parler Rogue de sacrifice humain sans le moindre changement. Il avait vraiment un cœur en pierre.
- La magie kabbalistique, dit Dumbledore, je trouve que c'est une bonne idée que je n'avais pas encore pensé. Selon toi Harry, Tom t'aurait dit qu'il aurait versé un peu de son âme dans Miss Zwillinger. Cela donc incluse logiquement qu'il a découpé son âme pour la transférer dans le journal, car il était obligé d'en garder une partie pour lui, un corps sans âme donne un homme après le baiser du détraqueur. C'était sans doute l'élève le plus brillant qu'on ai jamais vu à Poudlard. Il se tourna vers les Zwillinger qui semblaient abasourdis.
- Rares sont ceux qui savent que Lord Voldemort s'est autrefois appelé Tom Jedusort. J'ai été moi-même son professeur à Poudlard il y'a cinquante ans. Il a disparu après avoir quitté le collège…Il a voyagé loin, traversé de nombreux pays…puis il s'est plongé si profondément dans la magie noire, il a tant fréquenter les pires sorciers, et s'est livré à des expériences si maléfiques que lorsqu'il est réapparu sous les traits de Lord Voldemort, il était devenu impossible de le reconnaître. Qui aurait donc songé à établir un lien entre Voldemort et ce garçon si intelligent, si séduisant qui avait été préfet-en-chef de Poudlard ?
- Mais Maria, qu'est que notre Maria pouvait bien avoir à faire avec ce Voldemort, demanda le père de Maria.
- C'est son journal, sanglota Maria, je…j'écrivais dedans.
- Je crois que Miss Zwillinger devrait aller immédiatement aller voir l'infimière. Elle a besoin de beaucoup de repos. Mr Crabbe, Mr Goyle, accompagnez le professeur Lockhart à l'infirmerie où il recevra lui aussi le philtre. Minerva, une telle aventure mérite un bon festin, allez prévenir les cuisines.
- Je vais te donner une médaille pour service rendue à l'école, comme Tom il y'a cinquante ans pour les mêmes raisons, sauf que tu as découvert le vrai coupable cette fois. Je pense aussi que je vais te donner 200 points pour Serpentard, ce qui vous fait pour l'instant 950 points pour Serpentard, avec les deux matchs de Quidditch demain, vous devriez encore avoir vos points de bonus, dit-il en souriant légèrement. C'est Severus qui va être content.
Harry hocha la tête puis sentit sa tête devenir lourde, il papillonna des yeux et chercher quelque chose dans sa poche. Il trouva enfin une potion tonus qu'il avala d'un coup, sur le regard inquiet de Dumbledore.
- Tu sais que l'absorption de potion Tonus est dangereuse à la longue.
- J'en prends pas régulièrement vous savez, juste quelque fois après un entrainement de quidditch et pour finir mes devoirs, c'est grâce à ça que j'ai de si bonnes notes. Mais je fais attention et de toutes façons, c'est Sever…hum !... le professeur Rogue qui me donne certains ingrédients.
- Bien, pour commencer, j'aimerais te remercier, dit Dumbledore, le regard brillant, seul une parfaite loyauté de ta part pouvait amener Fumsek à venir à ton secours. Tu as été très fidèle.
Si le vieux fou savait que Fumsek et lui complotait contre lui, il aurait sûrement pas dit la même chose, pensa Harry avec ironie.
- Et pour finir, je t'informe que tu auras une troisième personne à tes côtés, et étant donné que les examens sont annulé, tu partiras après demain au Japon. La nouvelle partante est une élève qui va aller rejoindre ses parents qui sont japonais, j'ai pensé que cela te ferait un peu de compagnie en plus de Rémus, qui sera le troisième passager. Harry le remercia lentement avant de demander le nom de cette passagère.
- Cho Chang.
- L'attrapeuse de Serdaigle, dit Harry surpris.
- En effet, ses parents sont au courant et comme elle devait y aller seule par avion, j'ai pensé qu'elle serait heureuse de revoir ses parents plus vite. C'est la première fois depuis trois ans qu'elle retourne dans son pays d'origine.
Harry s'apprêtait à s'en aller quand Lucius Malefoy entra dans la pièce, un air furieux sur le visage et Dobby sous le bras.
- De quel droit vous revenez Dumbledore, le conseil d'administration a voté !
- J'ai été pris dans une tempête d'hiboux il y'a moins d'une heure, on me redemander de revenir d'urgence à Poudlard, disant même que vous les avez menacé pour avoir toutes les signatures.
- Et alors, vous avez réussi à attrapez le coupable, demanda Lucius d'un ton cinglant.
- En effet, dit Dumbledore avec un sourire.
- Eh bien ? Qui est-ce ?
- Le même que la dernière fois, mais cette fois-ci, Voldemort à agi par le biais d'un journal.
Harry, lui, regardait Dobby. L'elfe avait un comportement étrange. Ses grands yeux fixés sur Harry, il ne cessait de pointer le doigt sur le journal, puis sur Mr Malefoy et se donnait ensuite de grands coups de poings sur la tête. Harry ne mit pas longtemps à comprendre. Harry, qui n'avait pas trop suivit le fil de la conversation, la reprit en cours de route.
- On s'en va Dobby.
Il ouvrit brutalement la porte du bureau et fit sortir l'elfe à coups de pieds. Ils entendirent les cris de douleurs de Dobby tandis que Lucius Malefoy s'éloignait dans le couloir. Harry réfléchit un bref instant avant de rattraper le père de Draco.
- Mr Malefoy, je crois que je devrais vous dire que Dobby m'avait prévenu pour le fait que vous introduirez un journal contenant le souvenir de Voldemort. C'est inqualifiable venant d'un elfe de maison, et je pense que pour ne pas vous donner plus d'ennui, vous devriez lui donner un vêtement.
- Dobby, dit Malefoy en se retournant vers son elfe.
- C'est vrai, affirma Dobby.
- Bien, bien, BIEN, hurla Lucius Malefoy. Pendant près de cinq minutes, il lui donna des coups de bâtons avant de retirer sa cravate et de la lui jeter à la figure. Il fit demi-tour et s'en alla dans un grand claquement de cape.
- Harry Potter a libéré Dobby ! s'écria l'elfe d'une petite voix aigue.
- Une chose Dobby, ne me sauve plus la vie, plus jamais. Et Harry emprunta un autre escalier et rejoignit le dortoir où il s'endormit profondément.
Le lendemain, Harry apprenait les bases du japonais grâce à des suites de sorts et de certaines potions qui accélérait les capacités de la mémoire. L'après-midi, il explosait au Quidditch leur adversaire, gagnant ainsi la coupe des quatre maisons avec 1166 points engrangé pendant l'année. Le soir, Draco et Maria l'aidait à boucler sa valise, se disant au revoir pendant près de sept mois.
Pendant une partie de la nuit, il continua à apprendre, jusqu'à s'endormir sur son dictionnaire. Il se réveilla le lendemain très, très difficilement. Il réduisit et allégea sa valise qu'il mit dans sa poche avant de partir de la salle commune. Il mangea à la table de Serdaigle, car seul Cho Chang était là. Il était en effet 5H00 du matin. Remus entra un quart d'heure plus tard et prit place aux côtés de Harry. Lors du repas, Cho et Harry discutèrent principalement du japon. Harry voulait en savoir le plus possible sur ce nouveau pays. Elle répondit patiemment, et Remus écoutait lui aussi, pour enrichir sa culture général. Ensuite, Cho rectifia son accent qui était très mauvais selon elle, et lui appris de nouveau mots qui pourrait lui servir une fois là-bas. C'est vers 6H15 qu'ils sortirent tous trois de Poudlard sous le regard bienveillant du directeur de Poudlard qui était dans son bureau.
Une fois dehors, un taxi sorcier les attendait, dans sa robe rouge vif, qui les démarquer beaucoup des taxis moldu, souvent noire. Le trajet jusqu'à Londres fut assez long, mais Cho et Harry purent en profiter pour mieux se lier et parler d'un peu de tout, allant des cours de troisième année au Quidditch. Durant ce trajet, un lien d'amitié ce forgea petit à petit.
Ils arrivèrent devant l'aéroport vers 15 heures, l'avion partirait dans une heure. Un boucan pas possible leurs parvint aux oreilles une fois qu'ils quittèrent le taxi. Remus regarda avec anxiété un avion gros comme le lac décoller. Harry demanda les tickets à Remus qui les lui fila, ses yeux toujours pointé vers le ciel.
- On doit aller à la porte d'embarquement n° 9, vu qu'on n'a pas de grosses valises apparentes, pas besoin de passer par les bagages. On pointe et on entre dit simplement Harry.
- D'accord Harry, dit Remus d'une voix absente, nous te suivons.
Bien sûr, il fallu parcourir sur toute la longueur l'aéroport avant d'arriver à la porte neuf, il dut ensuite patienter avant de pouvoir se présenter au guichet, où ils purent choisir côté couloir, côté hublot avant d'être redirigé vers la douane où Remus donna les trois passeports que Dumbledore avait falsifié magiquement. Ils passèrent le portique pour savoir s'ils n'avaient rien de métallique avant de monter une longue volée de marche. Ils attendirent là encore devant le pont couvert qui reliait le bâtiment à l'avion. La plupart des personnes était asiatiques, et Harry sentit qu'ils étaient un peu des intrus. La femme ouvrit enfin la porte et ils purent entrer.
Lors du passage à la porte de l'avion, ils montrèrent leurs tickets à une hôtesse :
- Bonjour messieurs, bonjour Mademoiselle. Bienvenue sur le vol BA-704.
- Merci beaucoup, répondit Harry. Voici nos tickets.
- Vous êtes en première classe, nota l'hôtesse en regardant les tickets. Prenez tout de suite sur votre gauche, une autre hôtesse vous placera.
Ils la remercièrent et suivirent le chemin indiqué, là, le même rituel s'effectua :
- Place 1, 2 et 7, dit-elle, suivez-moi s'il vous plaît. Mr Potter, voici votre siège. Miss Chang, vous êtes juste en face et Mr Lupin, vous êtes ici. J'espère que vous passerez un agréable voyage.
- Merci beaucoup Madame, répondirent poliment les trois personnes.
Harry prit alors place dans un siège deux fois plus large que lui, il regarda à travers l'hublot et il vit l'aéroport grouillant de monde. Cho était juste en face d'elle, son siège était tout aussi large que le sien. Remus était dans l'allé centrale, sur la droite des deux jeunes personnes. Harry découvrit rapidement que le siège pouvait passer en position complètement allongé, avec un repose pied qui se déployait. Une lampe personnelle et un téléphone trôné sur son accoudoir large comme une livre de potions. Un écran pouvait être sortit du mur et grâce à un casque, on pouvait écouter de la musique ou lire un film. Dernière chose pratique, la table sortait du sol grâce à des vérins et était complètement réglable, aux choix de l'utilisateur.
Il fit un sourire satisfait tandis qu'il regardait la belle Cho testé elle aussi le matériel. Harry remarqua que Remus faisait de même, mais qu'il poussait en même temps des « Whoua ! » admiratif en découvrant de nouveaux gadgets. Harry remarqua aussi autre chose, tout les autres occupant été des hommes d'affaires.
Enfin, 30 minutes plus tard, l'avion décollé alors que les hôtesses de l'air leur montrait les consignes de secours en cas de problème, Harry vit du coin de l'œil Remus frissonnait. Le voyage d'Harry se déroula en plusieurs parties. Il commença par discuter un peu avec Cho, avant que celle-ci ait besoin de sommeil. Harry en profita alors et se fit un petit western suivit d'un Thriller. Ensuite, il se réveilla au doux son de la voix de Cho, il vit alors qu'il était temps de manger. Il se repositionna légèrement et sortit la table télescopique. Il prit un plat de riz avec des sushis agrémentés d'un jus de fruit. Cho et Remus prirent le même repas. Ils discutèrent après le repas un peu tous ensemble, se concertant ce qu'ils allaient faire avant de piquer un deuxième somme. Harry se réveilla vers deux heures du matin, il remit le fauteuil en mode assis et vit avec un certain plaisir que Cho était elle aussi éveillé.
Soudain, Cho se leva et prit place sur ces genoux, Harry ne fut pas en reste et entoura ses hanches de ses bras, rapprochant le contact. Ils restèrent un temps comme ça puis ils se regardèrent dans le blanc des yeux. Harry approcha doucement son visage de celui de Cho et l'embrassa timidement. Cho répondit au baiser et l'approfondit, elle entrouvrit la bouche et Harry y glissa sa langue, qui rencontra sa promise. De là commença un ballet effréné qui ne s'arrêta quand le jeune couple fut à bout de souffle.
Elle se retourna alors complètement et passa ses bras derrière le cou d'Harry tandis qu'Harry caressait doucement le dos de sa nouvelle petite-amie. Elle ronronna de plaisir et ils recommencèrent à s'embrasser langoureusement, les baisers devenant de plus en plus sauvages. Cho, devenant de plus en plus excité, leva la tête, offrant sa gorge à Harry qui en profita aussitôt. Elle gémit légèrement sous les baisers remplis d'amour et de désir. Harry se décala un peu, baissa le fauteuil et s'endormirent dans les bras de l'un et de l'autre.
Le lendemain, ce fut dans cette état que Remus les retrouva, il fit un petit sourire nostalgique avant de se dégourdir un peu les jambes. Il appela une hôtesse qui lui apporta un petit verre de whisky qu'il bu lentement en regardant Cho et Harry. Il se trouvait chanceux de pouvoir ainsi profiter de la vie d'Harry.
Remus dû les réveiller lorsque l'avion se posa à Jakarta pour remplir de kérosène l'avion. L'escale dura une petite heure, où Cho et Harry discutèrent principalement de leur nouvelle relation, Harry apprenant de plus en plus de chose sur Cho et vice versa. Ils redécollèrent et arrivèrent quatre heures plus tard en approche de Tokyo, l'aéroport qui était d'ailleurs construit sur un terre-plein. L'avion se posa sur le sol, et tout le monde applaudit le commandant de bord qui parla dans les hauts parleurs.
- Ici le commandant Lee, nous somme bien arrivé à l'aéroport international de Tokyo. La température extérieure est de 17°. L'heure locale est 22 H OO. Nous espérons que vous avez passez un bon voyage et nous vous remercions d'avoir choisis notre compagnie.
Une fois la cohue de l'aéroport fini, Cho trouva rapidement ses parents, elle embrassa avec amour Harry et partit les rejoindre en sautillant, offrant une très jolie vue pour Harry. Remus le secoua un peu et ils s'éloignèrent et trouvèrent des toilettes d'où ils transplanèrent. Ils atterrirent devant un vieux temple japonais des temps ancien. Il jeta un œil derrière lui et vit un précipice d'une bonne centaine de mètre. Harry frissonna, sachant qu'il faisait plus froid à cette altitude. Enfin, le maître arriva dans vêtu d'un pantalon en toile et d'un sorte de sweet-shirt du même acabit mais qui allait jusqu'aux genoux. Il portait aussi de petites chaussures légères. Harry se demandait comment il faisait pour ne pas avoir froid.
- Bienvenue dans mon temple, Harry…
TO BE CONTINUED….
NDA (TRES IMPORTANTE): Voilà un chapitre qui sera posté beaucoup plus rapidement. J'espère que cela vous rendra heureux. Maintenant, une petite annonce, le suite de cette histoire ( qui s'intitulera HPMG : Livre 3 : L'entrainement et le traître) aura son premier chapitre de poster vers la mi-septembre, ce qui me permettra de créer une petite réserve de chapitre qui me permettra de vous faire moins attendre.
Pour ceux et celles qui lit mon autre fic, HP et la chasses aux Horcruxes, le prochain chapitre sera poster dans la fin de la semaine prochaine normalement, et je continuerais à poster comme d'habitude, aucun changement donc.
J'en profite (de ce mini-bilan) pour remercier tous ceux qui lisent mes fics et me laisse des reviews, même très courte, depuis que j'ai commencé à écrire. Voilà pour le côté sentimental et à bientôt.
Mellon.
