Note de la Traductrice: Bonjour tout le monde ! Voilà le 11ème chapitre et le avant, avant, avant, avant dernier chapitre de cette traduction lol J'espère seulement que vous allez l'aimer et que j'aurais tout plein de review en rentrant la semaine prochaine mdr J'vais esayer de poster demain Amnésie mais je ne promet rien parce que j'ai mon raport, un travail en histoire ainsi qu'un travail de socio à terminer pour vendredi ... les salaud ils me pourrissent la vie juste avant de partir Merci à Miss Lup et Ilys pour leurs corrections ! Bref, l'histoire appartient Erythros et tout est à JK Rowling

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Except her

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Chapitre 11 : Je ne peux pas

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Ce n'était pas juste.

C'était vraiment injuste. Il était là, aimait une fille de tout son cœur qui, en retour, pensait qu'il étaittotalement méprisable.

Pourquoi la vie était-elle si injuste ?

Drago ne pouvait comprendre. Il envisagea d'abandonner, il savait qu'il n'avait aucune chance. C'était clair qu'Hermione était très amoureuse de son meilleur ami. En plus, il savait qu'il y avait des millions de filles dans le monde, à la fois moldu et sorcier qui méritaient mieux d'avoir son cœur que la fille avec qui il désirait être.

Mais il voulait Hermione.

Elle était la seule fille avec qui il se sentait vivant. Personne d'autre n'avait son intelligence ni sa beauté. Personne ne possédait son rire ou son sourire. Personne d'autre n'avait son aura qui avait attiré Drago en premier lieu.

Personne d'autre, dans tout l'univers, était comme Hermine Granger. Personne n'avait capturé son cœur, sauf elle.

Et probablement, réalisa t-il, c'était pour cela qu'il était déterminé àà la faire sienne.

Mais, il se souvint de ce qu'elle lui avait dit la nuit où ils étaient seuls dans la calèche. J'aurais aimé que tu sois Ron.

Même si elle avait bu, il savait très bien qu'elle ne mentait pas. Elle aimait toujours Ron Weasley.

Et pas qu'un peu en plus. Comment pouvait-il le concurrencer et gagner ?

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Hermione ferma les yeux pendant qu'elle lisait le livre d'arithmancie. Elle le lisait depuis le début de la journée sur la terrasse du château, sans vouloir faire autre chose tant qu'elle n'aurait pas terminé ce livre. Alors, ses yeux était fatigués. Bien que ses yeux soient fatigués, elle ne s'était pas arrêtée. C'était, après tout, pour elle, le seul moyen de ne pas penser à son ex petit-ami. Son espritavait déjà vagabondé plusieurs foissur Ron et, il avait cessé quand elle avait finalement décidé de se focaliser sur un lourd sujet, son sujet préféré.

Pas que le souvenir désagréable de Ron serait vite oublié.

Et voilà, j'y repense encore, pensa Hermione en tournant rageusement la page quand l'image du rouquin traversa son esprit. Arrête ça, Hermione. Tu te fais du mal pour rien.

Un groupe de jeunes de deuxième année passa près d'elle, perturbant le calme dans lequel elle se trouvait. Hermione soupira et referma le livre. Il faisait très beau aujourd'hui et là, elle étudiait l'arithmancie. Même si c'était quelque chose qu'elle aimait beaucoup,cela ne lui remontait pas le moral pour autant. Elle leva les yeux et ses yeux s'arrêtèrent une seconde sur un endroit près du lac, près du saule pleureur.

Une semaine auparavant, elle avait beaucoup apprécié d'y aller, une après-midi comme celle si, seule avec Ron. Elle était dans ses bras et riait aux plaisanteries qu'il faisait à propos de tout ce qui attirait son attention. Là-bas, il lui avait dit qu'il était tout simplement heureux quand il était avec elle, et lui avait murmurait dans l'oreille combien elle était belle. Et il lui disait qu'il l'aimait de tout son être, ce qui la faisait rougir et battre son coeur encore plus fort.

Tout s'est passé tellement vite, se fit-elle en passant ses bras sur ses genoux. Une minute, il m'aimait … et après il m'a complètement ignorée.

Elle soupira lourdement, son cœur toujours en peine. Et là encore, elle prit son livre et retourna au monde des chiffres.

Mais, trente minutes plus tard, sa lecture fut encore interrompue. Un hiboux de couleur dorée, pas très propre, atterri là où elle était et lui déposa une rose blanche. Puis, il s'envola, laissant Hermione sans savoir qui était celui qui la lui avait envoyée. Elle ouvrit la note et la lut silencieusement en fronçant les sourcils.

Ne pleure plus.

« Qu …", Hermione blanchit. La personne savait pour Ron.

Ce qui voulait dire que toute la population poudlardienne le savait également. Tout le monde savait toujours tout quand on parlait de cassure dans un couple avant même avant de pouvoir même jeter un sort

Voici une rose pour te faire savoir qu'une personne dans ce monde tient à toi plus qu'il ne pourra jamais le faire.

La personne avait appuyé sur le 'qu'il'. Hermione relu encore la note et rougit. Inhabituellement, son cœur rata un battement. Elle se sentit envahie par un sentiment qu'elle n'avait expérimenté qu'une seule fois dans le passé – quand Ron lui avait demandé de devenir sa petite-amie.

Et, elle s'interrogea. Qui était cette personne qui l'aimait plus que Ron ne l'avait jamais fait? Qui était son admirateur secret qui était assez attentionné pour essayer de lui remonter le moral avec quelque chose d'aussi frivole mais de tellement romantique qu'une rose.

Tant de question flottaient dans son esprit, et tandis qu'elle essayait d'y répondre une à une, elle se leva, prit son bouquin et, avec un esprit plein d'espoir, rentra dans le château, un petit sourire qu'elle n'avait plus eu depuis longtemps sur son visage.

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La nuit vint rapidement. Hermione retourna, heureuse, dans la tour Gryffondor après avoir dîné avec Ginny dans la grande salle. Dans ses mains se trouvait le même livre d'arithmancie quelle avait lu dehors pendant toute l'après-midi avec également la rose de son admirateur secret. Elle ouvrit le livre et regarda le chapitre qu'elle avait déjà commencé. Et, tout en le lisant, elle heurta quelqu'un qui était entrain de descendre les escaliers.

« Hermione ? »

Hermione tiqua. Elle ne connaissait que trop bien cette voix. Elle leva la tête et le vit…

Et, elle sut. « Ron. », lui fit-elle d'une voix aussi normale que possible. « Bon … bonsoir. »

Ron haussa un sourcil et sourit : "Détends-toi, veux-tu ?"

Se détendre ? Hermione le foudroya du regard en répétant ses mots dans sa tête. "Je ferais mieux de ne pas le faire, surtout quand je ne suis pas loin de toi"

"Est-ce que tu es encore fâchée contre moi après le ... petit incident?"

« Oui, je crois bien. »

« Ne t'ais-je pas déjà dis que ce n'était pas de ma faute ? »

« Oh ? Alors, c'était de la faute de qui, dis-le, de qui était-ce la faute ? », s'échauffa Hermione. Elle ne pouvait pas comprendre pourquoi elle était entrainde parler à une personne qu'elle était détestait maintenant. Son esprit était prêt à partir mais apparement son corps n'était pas décidé. "Je suis certaine que ce n'était pas de la mienne."

"Hermione, est-ce qu'on ne pourrait pas juste … faire un trait ? Je sais que j'ai été un véritable salaud. » Ron plaça sa main sur son épaule. « Je me sens très mal, vraiment très mal pour ce que je t'ai fait. »

Hermione resta silencieuse et le regarda dans les yeux en essayant de voir s'il disait la vérité. La sensation de sa main sur son épaule lui procurait le sentiment d'être aimée, auparavant. Mais maintenant … c'était différent et très désagréable.

Ron fit un sourire plein d'espoir quand il ajouta. « Tu me pardonnes ? »

Le silence les enveloppa rapidement. Hermione blanchit quand elle assimila ce qu'il lui avait dit. Il lui demandait de lui pardonner ce qui était impardonnable et inoubliable.

Mais la encore … C'était Ron, songea t-elle. Le rouquin avait prit un certain temps pour évoluer et devenir un garçon responsable.

« Alors ? », lui fit Ron en faisant un de ses sourires éclatant tout en remettant une mèche de cheveux derrière l'oreille d'Hermione. « Est-ce que tu peux me pardonner ? »

Hermione fit un sourire triste quand elle lui caressa doucement la joue. C'était une sorte d'habitude quand elle était encore la petite amie de Ron. Elle sentit que sa peau était encore l'une des choses qu'elle aimait. Elle le caressa doucement comme s'il était quelque chose de précieux et, elle le regarda dans ses yeux bleus. Il y avait un infime espoir et de l'amour. Hermione se mordit les lèvres quand elle parla en choisissant ses mots pour lui dire ce qu'elle ressentait.

Elle lui caressa encore la joue et finalement, avec une expression peinée et un mince froncement de sourcil, termina leur conversation.

« Je suis désolée Ron."

"Mais je ne peux … pas."