excusez nous platement du retard mais on essaie de publier depuis 15h vendredi . visiblement le site avait un probleme

Réponses aux reviews :

Dobbie : c'est vrai qu'il a plutôt eu de la chance mais bon Ron et quand même son meilleur ami il n'allait pas le tabasser. Pour la fin du chapitre on a été pourri surtout que au départ sa devait fini sur le livre et pas juste avant. Ta réponse tu l'auras a la fin. Bisou et a bientôt

Selphie451 : merci beaucoup en plus sa nous fait plaisir de savoir que l'on a des fan (enfin une au moins). Bisou et a très bientôt .

Ayla257 : j'avoue qu'en te répondant la semaine dernière je me suis que j'était un peu bête et que tu ne lirais pas la réponse avant d'après arrivé au chapitre 34. c'est plutôt flatteur que tu ne savent pas t'arrêter de lire je te préviens juste que qu'en tu nous aura rattraper il faudra nous attendre. L'action tu y arrive bien . bisou et a bientôt.

Virg05 : non pitié pas la torture (je n'imagine même pas ce que tu vas vouloir nous faire pour les chapitre qui arrive) tu a au moins la promesse d'avoir la suite la semaine suivante c'est déjà pas mal et puis faut bien qu'on s'amuse un peu. Bisou bisou et a la semaine prochaine.

JS/RH.Spirit : tu n'aurai pas changer de pseudo ou je me trompe totalement de personne en tu cas sa fait plaisir de te revoir ou de te voir si je me trompe. Merci pour les compliment et a bientôt

Benelie :hahahahahahahahahaha rire démoniaque oui on est des gros sadique et alors !!!!!! mais on est pas trop méchant cette semaine tu vas savoir. Bisou et a la prochaine

Larmes de pluie : on est sur content de te revoir on commençait vraiment a s'inquiété . en tout cas c'est super sympas d'avoir rattraper chaque review que tu n'avait pas laisser . tu t'es fait une petite soirée Billy et menssa j'espère que ça a était agréable. Je me permet de te dire au cas ou tu n'aurai pas vu que de nouveau chapitre de « changement » ainsi qu'une petite traduction enfin moi je dit c'est sur pour m'assurer que tu n'as rien louper. Tu nous a fait énormément plaisir alors un très grand merci a toi bisou bisou et a la prochaine

Ruperforever : je ne suis pas d'accord il n'ont pas était aussi sauvage que ça.c'est bien que le chapitre t'ai plus et j'espère que les prochain aussi. Gros bisou pour toi et a la prochaine

V1v1 : tu peut continuait a te répéter nous ça nous fait toujours plaisir . merci beaucoup et a très bientôt.

Lisez tous « price of love » et « plus qu'un souvenir » de Iliv inParis

Réflexions nocturnes

La nuit n'aurait pu être plus belle, le ciel d'un noir d'encre était parsemé de centaines d'étoiles et sa plus grande peur brillait éclairant le lac comme en plein jour. La lune le fascinait, elle était sa malédiction mais il ne pouvait s'empêcher de la contempler, d'attendre qu'elle se dévoile à la terre et qu'elle le transforme. Rien ne bougeait au dehors, pas une trace de vie ne semblait agiter la forêt interdite. L'odeur de la mort flottait encore dans l'air, après plus d'un mois il pouvait encore sentir les corps brûler sur les énormes bûchers…

Il détourna son regard de la fenêtre ouverte, cherchant l'apaisement dans le spectacle maintenant familier de Nymphadora qui dormait. Elle était nue sous les draps, son corps encore chaud de plaisir. Il ne savait pourquoi le destin avait décidé de la mettre sur sa route, peut être pour se faire pardonner de tout les autres malheurs de sa vie. Pourtant il ne parvenait pas à trouver la paix, à être parfaitement heureux, pas quand Peter était encore dehors, encore en vie…

Bientôt un an que Sirius avait disparut, il n'était pas mort juste perdu dans l'au delà, loin d'eux, loin de Harry, loin de lui. Il avait pensé pouvoir mourir de douleur, il ne supportait pas de l'avoir perdu à nouveau mais elle avait été là pour lui, ils l'avaient pleuré ensemble. Par la suite la colère l'avait aveuglé pour laisser place à un immense regret …Il caressa doucement le vieux parchemin qu'il tenait entre ses mains, leur serments, leur promesse gravé à jamais sur du papier n'avait été qu'une utopie. Un loup hurla au loin comme pour lui rappeler qu'il n'appartenait pas au monde des humains, son esprit dériva à nouveau vers ses souvenirs heureux où insouciant ils couraient à la belle étoile, ensemble, uni.

Tonks frissonna et commença à s'agiter dans son sommeil, bientôt elle se réveillerait pour venir le rejoindre et il oublierait tout à nouveau. Il oublierait que James devrait être chez lui aimant sa femme, fier de la réussite de son fils, il oublierait que Sirius n'était plus là pour le taquiner sans vergogne sur sa relation avec sa cousine, il oublierait que Peter n'était plus son ami mais bien le rat qu'il avait toujours été.

Il referma la fenêtre qui donnait sur le vieux saule cogneur, relique de sa propre jeunesse. Il ne sentait pas le vent frais de la nuit, ni les larmes qui coulaient sur ses joues. Il ne se laissait pas souvent aller à sa mélancolie, trop occupé avec l'ordre, avec Dora mais ce soir la tristesse lui enserrait le cœur. Il se dirigea vers un vieux coffre empli de livres, de photos et d'objets insolites , sa vie à Poudlard tenait dans une simple malle. Il avait passé sa vie à regarder en arrière, il avait regretté sa vie humaine avant sa morsure, il avait regretté ses amis d'enfance, il était temps d'avancer.

Il déposa au dessus d'une ancienne tenue de quidditch le bout de parchemin qu'il tenait. Le papier semblait centenaire pourtant il n'avait pas plus d'un vingtaine d'années, il représentait un plan approximatif de Poudlard, les passages secrets marqués à l'encre rouge, leur noms tracés par son écriture élégante signait leur œuvre: La première carte des maraudeurs. Il l'avait sauvé des flammes dans lesquelles Sirius l'avait jeté après avoir découvert un sort de dissimulation qui avait mené à la carte bien plus aboutie que détenait Harry. Seul lui, le calme, le triste Lunard avait voulu conservé ce brouillon inutile avide de retenir le moindre instant de joie. Il avait gardé tant d'autres choses, leur plans farfelus, certaines photos peu glorieuses, des mots qu'ils s'échangeaient en classe…Il recueillait leurs plus beaux souvenirs comme si il avait su que personne d'autres ne serait là pour se les rappeler.

Après un dernier coup d'œil sur ce fouillis organisé , il ferma la malle. Sur le couvercle était gravé son nom en lettre d'or, ce coffre avait reposé pendant sept ans au pied de son lit, James et Sirius s'y asseyait souvent le soir pour jouer au carte, ils y avaient enfermé Peter un jour. Il le donnerait à Harry qui adorerait avoir ce petit bout de leur vie. Il pourrait ainsi pendant un instant comprendre ce qu'ils avaient été, il pourrait chérir encore plus ce que lui même avait la chance de connaître avec Ron et Hermione, il apprendrait à aimer le moindre rire comme si il pouvait être le dernier.

Lupin se redressa la sentant s'approcher avant même qu'elle ne le touche, il n'était plus seul. Il ne s'habituerait jamais à sa douceur, à sa présence si réconfortante, elle le complétait parfaitement farfelue lorsqu'il était trop sérieux, amoureuse lorsqu'il était morose. Il n'avait jamais aimé ainsi, il était nerveux comme un adolescent et passionné comme l'homme mur qu'il était. Il ne pouvait plus vivre sans elle.

« Rémus… » Elle était derrière lui, douce et tentante. Il se retourna toujours émerveillé de la jeunesse de son visage, il se sentait si vieux à côté d'elle. Sans un mot elle essuya ses joues humides d'une main tandis que l'autre retenait le drap qui recouvrait son corps.

« Tu vas attraper froid. Reviens au lit. » Il devait dire adieu à ces amis, il caressa une dernière fois le bois usé et râpé du vieux coffre avant de refermer ses bras autour de sa taille. Elle se blottit contre lui.

« Je t'es réveillé? »

« Non, tu sais très bien que tu es aussi silencieux qu'un chat la nuit, le lit m'a semblait vide, c'est tout. »

Le vide, son âme avait été vide pendant des années mais elle était là maintenant, toujours patiente, compréhensive…

« Il me manque aussi, Rémus. » Il aurait voulu lui crier qu'elle ne comprenait pas, qu'elle n'avait jamais été seule au monde, misérable. Elle n'avait pas été trahit, elle n'était pas maudite .Il se ressaisit et refoula cette vague de souffrance loin de son cœur. Il se perdit dans ses yeux violets si mystérieux, si insondable et emplis de tristesse. Jamais il ne voulait voir cette expression de désespoir sur son doux visage, il ferait tout pour la protéger, l'aimer…

« épouse-moi. »

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La pleine lune était encore loin pourtant il avait cet magnificence animale que lui procurait la bête en lui, il était troublant de voir cet homme mystérieux vulnérable face à elle. Il voulait l'épouser lié sa vie à la sienne pour toujours, se réveiller à ses côtés chaque matin, élevé leur enfants…

Elle plongea dans ses yeux d'un gris sombre, parfait reflet de son âme troublée, confuse, ils brillaient encore de larmes qui refusaient de couler. Pour la première fois depuis qu'ils s'étaient installé dans cette chambre, sa vieille malle était celée. Elle sentit son cœur se serrer à ce triste constat, il possédait peu de chose mais veillait jalousement sur ses derniers souvenirs heureux d'une époque révolue.

La vision d'un jeune homme souriant et fringuant envahit son esprit, il avait toujours était auréolé de la gloire qu'une petite fille donne à son prince charmant. Il la fascinait depuis ce jour d'été où Sirius avait claqué la porte de la maison de ses parents en compagnie de ses si grand et si beaux amis, elle se rappelait le moindre de ses mouvements, impressionnés par sa gentillesse et par sa chaleur mais ce qui l'avait le plus marqué était ce sourire satisfait qu'il arborait, le sourire que donnait l'espoir, l'insouciance, le bonheur…Jamais elle ne l'avait revu sourire ainsi.

Il lui disait souvent qu'il l'aimait mais elle n'avait voulu trop y croire. Ses doutes ne venait pas de son manque d'argent, de leur différence d'âge ou même de son état de loup garou qui avait fait de lui un homme calme et sensible écoutant pourtant ses instincts. Elle était aussi amoureuse du loup en lui qui lui donnait une puissance irrésistible ce dont elle avait peur s'était de son cœur en lambeau, il avait été brisé tant de fois qu'elle craignait ne jamais pouvoir recoller tout les morceaux. Il se protégeait de la moindre déception, du moindre sentiment.

Leur premiers baisers avaient été une erreur, une façon de lui faire oublier sa peine et la sienne par la même occasion, mais elle n'avait pas su se passer de son contact par la suite. Le réconfort était devenu passion, le désespoir s'était mué en amour. Un hiboux hulula au loin, elle revint sur terre consciente d'avoir passé de longues secondes perdues dans son regard. Il attendait sa réponse, anxieux de se voir encore seul, triste, rejeté. Elle sourit doucement, essuya à nouveau ses joues humides, caressant au passage ses lèvres qui venaient de modifier son existence.

« D'accord. » Elle avait chuchoté ces mots contre sa bouche impatiente de retrouver le goût de son fiancé mais il l'arrêta.

« Dora, tu es sure ? » Ses yeux s'éclaircirent passant d'un gris brouillon à une teinte plus lumineuse, il était apparemment surprit de sa réponse et il ne voulait pas se laisser aller à espérer. « Tu veux vraiment rester avec moi toute ta vie, il n'y a pas de retour en arrière. Tu te sens prête à subir mes transformations mois après mois, nuit après nuit, à supporter les insultes, les injustice à cause de moi. Je n'ai rien qui m'appartient vraiment et je suis si vieux… »

« Rémus, tu me suffit, juste toi et tu as quelque chose qui t'appartient… » Elle enroula ses bras autour de son cou laissant tomber le drap le long de son corps.

« Quoi ? » Il appréciait le contact nu de sa peau contre la sienne, il ne réalisait pas encore qu'elle venait d'accepter sa demande en mariage.

« Moi… juste moi… »Elle se mit sur la pointe des pied pour lui offrir ses lèvres mais il la repoussa doucement, elle le vit presque courir vers son pantalon qui traînait sur leur couvre lit. Il fouilla pendant plusieurs secondes ses poches avant d'en sortir un petit objet brillant.

« C'est pas grand chose mais je veux que tu l'ais, c'était à ma grand-mère. » Il glissa le long de son index un fin anneau doré serti d'une jolie topaze entouré de diamants. Il porta sa main à sa bouche pour y déposer un léger baiser.

« Rémus, elle est parfaite. » Elle regardait à peine le bijou, peu lui importait la bague seul l'homme face à elle comptait réellement.

« Tu es sure, hein…Tu ne vas pas changer d'avis. » Il frottait son nez contre son cou, dévorant déjà la peau tendre sous son oreille.

« Non, aucun risque… » Il releva la tête, la regarda longuement et lui sourit. Il était de retour le jeune homme insouciant, le sourire heureux.

« Je t'aime. » Elle ne lui répondit pas préférant montrer à quel point elle était folle de lui.

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Elle n'avait jamais aimé la nuit, trop de souvenir douloureux se cachait dans les ténèbres. La pièce était calme mais les ombres menaçantes des arbres cachaient la lumière bienfaisante de la lune. Elle se blottit dans la chaleur du corps à ses côtés, combattant de vieux démons. Elle entendait souvent sa voix douce et suave, la consolant, l'aimant, la possédant au point de blesser plusieurs de ses amis. Elle voyait encore l'énorme basilic ensanglanté au pied d'Harry qui venait de la sauver mais dans ses cauchemar les tâches pourpres sur le sol n'étaient plus celle de l'immonde serpent mais celle d'Harry, de ses frères…

Elle remonta sur eux le drap, la peau d'Harry était brûlante mais elle n'y prit pas garde, heureuse de sa présence. Elle ne parvenait pas à effacer l'image de leur trois corps sans vie, elle craignait l'instant où ils disparaîtraient pour un nouveau combat sans en revenir. Ginny ne le laisserait pas partir, elle le garderait avec elle comme maintenant apaisé par le plaisir.

« Non…Où suis-je ?… » Elle se tourna vers lui habitué à ses cauchemar, généralement elle le laissait se débattre sachant qu'il serait honteux d'avoir été vu si vulnérable. Elle ferma les yeux pour ne pas voir le corps de son petit ami convulsé de peur mais sa voix emplissait la pièce.

« Sirius…Non !… » Cela lui faisait mal chaque fois qu'il criait le nom de son défunt parrain, elle savait que jamais elle ne pourrait refermer cette cassure dans son âme. Elle agrippa sa main et entremêla ses doigts avec les siens, cherchant à lui communiquer, sa force, son amour. Il se calma légèrement, sa respiration toujours saccadé, elle ne remarqua pas la larme qui glissait le long de sa joue.

«Pas Gin…Tout mais pas Gin…je vous en prie… » Elle se redressa précipitamment, surprise de l'entendre si désespéré, si suppliant. Elle essuya son visage souillé par ses larmes. Il éloigna violemment sa main de sa peau et se mit à crier.

« Mais où suis-je ? » Il semblait furieux et frustré.

« Avec moi Harry. A Poudlard, tout va bien…Tout va bien… » Elle dégagea son front des mèches humide qui le recouvrait, effleurant sa cicatrice qui semblait brûler.

Il ouvrit doucement les yeux, elle lui sourit et contempla un long moment son regard d'émeraude. Il était bouleversé, quoi que son rêve dissimulait, cela l'avait profondément ébranlé. Elle ne l'avait jamais vu montrer aussi ouvertement son âme, elle pouvait presque sentir sa colère, sa tristesse et sa résignation comme si il venait de réaliser que rien ne pouvait ramener un mort, pas même la vengeance.

« Je suis désolé. » Sa voix était rauque, cassé, provoquant de délicieux frissons sur sa peau.

« Ne le soit pas…tu veux en parler… » Il se releva se mettant en position assise contre le montant du lit en l'attirant entre ses bras. Il restèrent ainsi de longue minutes, Ginny se laissant bercé par les battements de son cœur.

« Je ne sais pas ce que c'est Gin. » Il caressait ses longs cheveux, ses yeux perdus dans le vague comme il essayait de revivre son cauchemar. Ginny ne voulut pas poser de question de peur u'il se referme sur lui même et qu'il enfouissent tout ses sentiments au plus profond de son esprit.

« ça commence comme un rêve normal… Enfin aussi normal que puisse être mes rêves, je vois le combat au département des mystères, je vois Sirius…mourir. » Il s'arrêta un instant, réalisant que pour la première fois il avait réussit à l'admettre à haute voix, il sentit son parrain s'effacer encore plus du monde des vivants.

« Et je la vois, elle, triomphante devant le voile et je suis transporté dans un endroit, toujours le même devant une porte… Et je la revois et elle tue tout le monde Ron, Hermione, Dumbledore… toi…et encore cette porte, toujours cette porte… »

Elle ne voyait pas quoi lui répondre, il semblait torturé et angoissé par ses visions mais le fait qu'il lui en parle la soulageait. Il ne se renfermait plus sur lui même, oubliant qu'elle l'aimait plus que tout. Une autre année finirait bientôt, elle passerait ses buses, impatiente de retrouver sa maison cet été et de partager les longs après-midi au soleil avec Harry. Elle ne voulait pas penser aux mesures de sécurité qui allait les protéger, ni aux combats qui risquaient d'arriver, elle se blottit contre lui.

Ses mains qui jusque là caressait son dos descendit vers ses fesses. Elle sourit contre sa peau, sentant son souffle s'accélérer non pas de peur mais de désir. Elle avait oublié qu'elle était nue contre lui préoccupé par ses cauchemar mais maintenant qu'il parcourait son corps, elle sentait sa peau brûler au moindre effleurement. Elle releva la tête et rencontra sa bouche avide, toute les images horrible qui envahissait son esprit s'estompèrent pour ne laisser place qu'à la félicité. Elle le chevaucha, son sexe frottant contre son membre dressé, elle glissa ses doigts dans ses cheveux noir et amena sa bouche à sa poitrine. Il titilla un de ses tétons de sa langue et saisit ses fesses pour empaler Ginny sur son sexe. Il laissa échapper un grognement indistinct alors qu'elle l'enfouissait encore plus en elle.

« tu es si belle… » Il caressa sa joue avant de tracer une sillon entre ses seins pour rejoindre les boucles cuivrés qui recouvraient son sexe. Elle accéléra son mouvement, perdant totalement la tête. Elle criait incapable de retenir les sensations exquises qui montaient en elle, le frottement devenait presque insupportable. Harry la retourna sur le lit et s'enfonça encore plus en elle, embrassant ses joues, son cou, ses épaules…Elle enfonça ses ongles dans son dos, sentant un chaud liquide l'emplir et l'emmenant au ciel. Ils restèrent longtemps allongé tout les deux, cherchant à reprendre leur respiration. Elle caressait doucement son dos, elle refusait qu'il se relève, qu'il s'éloigne à nouveau d'elle.

« je t'aime. » Elle ferma les yeux, laissant les mots doux envahir son esprit. Elle ne pouvait être mieux qu'en cet instant, avec Harry pesant au dessus d'elle, encore en elle. Elle s'endormit.

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Son corps était encore courbaturé de ses activités nocturnes, elle aurait voulu fermer les yeux pour s'échapper dans un monde paisible d'oublie mais cela lui était impossible. Elle se sentait seule dans son grand lit désespérément vide mais elle était encore entouré de son odeur, de sa chaleur. Elle était entouré de parchemins emplis de gribouillis, elle tenait une petite feuille écrite à l'encre noire.

Des heures de traductions, de travail dans cette bibliothèque à l'aide d'une petite fille d'onze ans n'avait donné comme résultat que ces quelques mots:

Celui qui des enfers veut ramener l'être aimé

Devra de son plein gré commettre le pire des péchés

En vengeant la mort de l'être à délivrer.

Muni de la baguette de ce vil meurtrier,

baignée par le sang qu'il lui faudra verser

En s'affligeant les stigmates d'un grand mage du passé,

il réveillera les démons et les créatures des ténèbres

qui par leur force, de la mort aboliront le règne.

Dans la douleur et les cris

Dans le chaos et la nuit

Il libérera la magie qui brisera les fers

de l'homme prisonnier des enfers

Alors il faudra pour ce mage chevronné

qui a présent voit la puissance de ce sort noir se déchaîner

offrir tout son pouvoir en sacrifice au risque que toute vie en lui périsse,

Afin que le chaos qu'il a engendré enfin finissent.

La porte des enfers ainsi que l'avait nommé Leslie n'était qu'un passage entre la vie et la mort, derrière ce voile des milliers d'âmes damnés reposaient. Comment et pourquoi un tel passage avait été créé? Cela restait un mystère. Hermione maintenant assez douée pour l'hébreux avaient essayé de déchiffrer les autres pages mais ils n'étaient que description de tortures magiques ou de sorts mortels. La seule lueur d'espoir étaient ce petit texte juste derrières la gravure, un poème de quelques phrases qui laissaient penser qu'un retour était possible, que la magie noire pouvait réussir à ramener un mort, qu'un livre pouvait les ressusciter.

Deux jours maintenant qu'elle se récitait ces phrases, les unes après les autres cherchant leur sens, elle avait parlé de ces progrès à Ron qui persistait à tout vouloir cacher à Harry. Cette malédiction était trop sombre et mauvaises, elle engendrait des souffrances, il la suppliait d'arrêter, d'abandonner mais le sort gravé sur le vieux papier à la dernière ligne de cette page l'incitait à continuer. Tout était trop précis, trop réel pour être faux et le danger ne lui avait jamais fais peur. Un sort si simple, un litanie religieuse:

« sublata causa, tollitur effectus. »

« La cause supprimée, l'effet disparaît » ces mots latin l'intriguait, il dénotait avec le reste du livre après tout s'était une locution latine répandue et elle correspondait parfaitement au reste du texte.

Il suffisait de se placer devant cette porte et de réciter ces quelques mots. Si simple, si rapide. Pourquoi personne n'avait t-il jamais utilisé ce sort? Pourquoi ce livre était-il dans la bibliothèque de Poudlard à l'attendre?

Elle avait passer déjà de longues minutes à contempler ses quatre strophes, à en chercher le sens. La première était très clair, ils devaient venger la mort de Sirius, ce qui signifiait tuer Bellatrix, commettre un meurtre. Les trois premières phrases mettaient déjà un frein à ce sort, il fallait tuer.

La suite était plus obscure, bizarrement le sort ne semblait pas devoir s'effectuer avec la baguette du sorcier mais par celle du meurtrier, s'en suivrait un chaos et un sacrifice. Le sacrifice était aussi assez confus, était-il question de donner sa magie, sa vie, les deux… Et si le sort échouait le chaos si souvent cité envahirait-il la terre? Un choix devait être fait, deux vies pour une seule. La première vie facile à enlever, source de haine, de vengeance pour certifier de l'âme noire de celui qui exécute le sort, la seconde, acte d'amour, de sacrifice qui si il est assez puissant résulterait d'une renaissance.

Hermione savait que seul Harry pouvait exécuter ce sort, elle savait également qu'il n'hésiterait pas un instant à tuer. Il pensait qu'il cachait parfaitement ce désir de vengeance mais il se lisait chaque jour dans ces yeux mêlé avec de la peur et de la colère. Sirius était un homme formidable qui n'avait jamais eu de chance dans sa vie mais ils n'avaient pas le droit de contrecarrer le destin, de changer l'ordre des choses. Il aurait pu revenir transformer, la magie noire n'était pas un jouet. Cela lui faisait presque mal d'hésiter si près du but, elle savait que la solution était là entre ses mains, elle savait également que si il fallait ressusciter Ron ou Harry elle ne se poserait même pas de question. Mais cela faisait si longtemps que Sirius était parti, la guerre troublait leur vie et Harry commencer à accepter la perte de son parrain.

Parvati se retourna dans son lit, s'enfonçant plus profondément dans ses couvertures.

Hermione ne dirait rien. Elle suivrait son instinct, les conseils de Ron et du professeur Dumbledore. On ne ressuscitait pas les morts, Sirius devait reposer en paix.

Je sent que certain vont nous haïr pour la fin de ce chapitre mais je leur dirai simplement que les choses ne sont toujours ce qu'elles semblent être. Vous connaissez enfin ce que contient le petit livre noir et nous attendons avec impatience vos impression et théorie a son sujet . La semaine prochaine sera celle de retour de rogue et aussi de l'arriver de certaine réponse pour harry. Bonne semaine a tous et a vendredi prochain.

Gros bisou

Billy et Menssa.