Réponses aux reviews :
U-Chronos : et bien tu as du mérite te tout t'être taper d'un coup au moins ça prouve que tu as apprécié j'espère bientôt te revoir sur la page review
Pit-chan : comme tu dit c'est « spécial » mais bon ça change de style sa fait du bien des fois…….. mais comme tu le dit aussi la suite vas être intéressante. Biz et a bientôt
Tatay95 : ho pauvre petite trop dure a son goût remarque je te comprend un peu on y ai pas aller avec le dos de la cuillère mais c'était nécessaire tu t'en doute bien merci pour tout tes compliment bisou et a la semaine prochaine
Jinny : salut content que tu soit fidèle au pause mais…….il vas nous manquer une review sur Twwo alors ……….snif snif
Servane : je suis d'accord pour le film il est vraiment terrible et pour le sang c'est pas grave tu as pu voir que le cerveau de Menssa débordait de torture diverse et varié. Merci pour la review la suite la voilà. Bisou et a la semaine prochaine
Axoo : lol alors je doit dire que tu fait très très fort sur les compliments. Je m'excuse de ne pas t'avoir filé se chapitre mais tu l'aurai eu encore plus tard que la semaine dernière. Pour les chapitre comme s'il en pleuvait je ne demande que ça mais en ce moment sa vient pas.enfin le chapitre et la . bisou et a bientôt.
Iliv inParis : ça y est v'la qu'elle recommence avec ces review géante au risque de te surprendre le combat dans la boue et une idée de menssa par contre les commentaire de Sirius son bien sur de moi je crois que tu aura reconnu mon style inimitable. Et compte sur mon s'aime trop Sirius pour le laisser frustrer sexuellement le pauvre a déjà assez souffert. Mdr j'était sur qu'avec ton esprit pervers tu penserai a un threesome en lisant cette scène perverse vas. D'ailleurs sa ne m'étonne qu'a moitié que tu trouve les torture de voldemort « intéressante ». gros bisou a toi et bonne lecture . t'inquiète pas j'oublie pas tes review.
Mel7 : on va pas en reparler pendant des plombe c'est toi qui t'ai planté et qui a comme d'ab rien compris comme tu la dit personne n'est parfait (a part peut être ma petite femme ) ps je vais me faire tuer pour cette phrase. Lol
Lalabelle : la voilà la voilà la voilà merci pour la review et a la semaine prochaine
Bruno-Pier : ah bon je savait pas pour le dauphin merci pour l'info. Lol ne t'inquiète pas tu n'est pas déranger nous aussi on l'aime bien chocolat. Pas la peine de nous menacer dans la mesure du possible on épargnera nos deux charmante héroïne enfin dans la mesure du possible……….. pour les animagus tu a en effet le choix dans les animaux légendaire. Mais bonne chance pour trouver biz et a la prochaine
Aminteitha : alors tu as le droit a mille merci pour tout ce que tu as poster surtout que sa a du te prendre pas mal de temps pour tout lire. Que dire devant tant de compliment sinon que tu m'as donner envie de relire ma propre fic si si je te jure en tout qu'a continu sur ta lancer sa nous fait tellement plaisir . je te souhaite plein de bonheur bisou et à bientôt
Disclaimer :Tout ce beau monde ne nous appartient pas
Y'en a qui vont être content voilà le grand retour du R
Catastrophe.
Les premiers rayons du soleil filtraient à travers les fenêtres embuées de l'immense salle de bain du dortoir des septièmes années, l'eau chaude glissait sur le corps tendu d'Hermione qui grimaçait aux moindres mouvements. La semaine avait été difficile, ils enchaînaient les entraînements physiques et magiques tout au long de la journée avant de se retrouver sous le grand chêne pour méditer. Ils avaient essayé une potion pour détacher complètement leur esprit, sa tête souffrait encore des visions perturbantes qui s'étaient offertes à elle pourtant elle avait passé la soirée à rire bêtement à la moindre blague de son petit ami comme si elle avait abusé de l'alcool, elle devrait demander les ingrédients au professeur Rogue certaines plantes avaient un fort pouvoir hallucinogène.
Elle prit le savon, s'appuyant contre le carrelage froid pour examiner ses nouveaux bleus. Elle ignora la légère cicatrice qui courrait sur sa poitrine en nettoyant ses genoux égratignés. Comment Ron pouvait-il la trouver attirante? Elle se sentait toujours sale et courbaturée, elle était obligé de porter des t-shirt informes, elle ne cherchait même plus à se coiffer le matin sachant que ses boucles ne resteraient pas en place plus d'une heure pourtant il était insatiable.
Un sourire éclaira le visage d'Hermione, l'été dernier elle osait à peine espérer un baiser de Ron, fondant aux moindre de ses gestes et maintenant un an plus tard elle vivait avec lui. Elle le voyait chanter sous la douche tout les matins, des chaussettes oranges se mêlaient à ses dessous les plus délicats, elle avait enfin pu prendre le temps de compter toutes les tâches de rousseurs qui étaient réapparut sous la chaleur de l'été, son oreiller sentait son eau de Cologne, douce presque sucré mais terriblement masculine et il lui faisait l'amour…Toutes les nuits, jusqu'à l'épuisement et ils s'endormaient l'un contre l'autre…Une énorme main se posa sur la sienne prenant le savon qui moussait contre sa peau.
« Tu aurais du rester dormir… »
« Le lit est vide sans toi. En plus il ne reste qu'une heure avant que le tyran ne vienne nous chercher. » Sa bouche gourmande avait déjà trouver la peau douce de son cou mordillant l'oreille d'Hermione tandis qu'il promenait ses mains sur ses courbes. Elle savait que dans quelques minutes elle oublierait tout, ses muscles douloureux, la guerre qui les attends derrière ses murs, ses parents qui lui manquait. Ron sourit contre sa bouche alors qu'elle laissait échapper un soupir. Elle se colla à lui, son corps savonné glissant contre le sien, il l'engouffra dans ses bras la soulevant du sol pour dévorer ses lèvres. Il posa son front contre le sien après de longues minutes à explorer sa bouche, le souffle court il l'appuya contre le mur pour se libérer d'un peu du poids d'Hermione, lui aussi souffrait de courbatures. Il avait un œil au beurre noir impressionnant qu'il arborait fièrement, il avait réussit à mettre K.O Sirius après deux jours à échouer lamentablement contre leur professeur.
« Je t'aime. » Il la surprenait toujours, il pouvait rester des jours entiers sans prononcer ses deux petits mots qui la faisaient frissonner ou il les répétaient à longueurs de temps, il trouvait les moments les plus insolites pour se déclarer, en pleines disputes, au petit déjeuner ou sous la douche alors que sa bouche devrait être occupé à des choses encore plus agréables. Hermione lui sourit avant d'écarquillé grand les yeux d'étonnement, il venait de la pénétrer profondément la maintenant toujours contre le mur carrelé. Un gémissement de plaisir s'échappa de ses lèvres alors que ses doigts s'enfonçaient dans la peau de sa nuque, ils avaient beau s'être unis des centaines de fois le même sentiment de plénitude l'envahissait toujours, elle était à sa place et bien qu'il soit ridicule à bientôt dix-huit ans de dire qu'on aimait pour la vie, elle n'aurait pu imaginer partager cela avec un autre.
« Je crois que je ne m'en lasserai jamais. » La voix de Ron venait par saccade, il avait agrippé ses fesses pour pouvoir la soulever avant de la faire retomber complètement sur son sexe, il commençait à transpirer sous l'effort les perles de sueurs se mêlant aux gouttelettes que lançaient le jet d'eau à leur côté. Il allait de plus en plus vite, pliant les genoux autant que possible pour rencontrer les hanches d'Hermione mue par la seule force de la gravité. Leur peau se frottaient l'une contre l'autre, à peine séparé par une fine pellicule d'eau, Hermione mordait dans les muscles saillant du cou de Ron qui avait posé son front contre le mur totalement épuisé par l'effort qu'il devait fournir pour maintenir leur position. Le plaisir montait en elle nourrit par les gémissements incontrôlés de Ron, le claquement de leur hanche et ses propre cris, elle sentait son sexe palpiter, la remplissant encore plus. Il était au bord de la jouissance essayant tant bien que mal de se retenir pour Hermione mais son petit corps enroulé autour du sien était trop excitant, il la souleva une dernière fois avant de s'enfoncer profondément en elle. Ses jambes se mirent à trembler alors que l'orgasme le frappait rapidement, toute l'adrénaline qui lui avait permis de se maintenir debout semblait avoir disparut. Il sourit au soupir de déception d'Hermione , il pouvait sentir son sexe chaud et humide se contracter autour du sien comme pour demander satisfaction.
« Désolé…Je… » Il la laissa glisser jusqu'au sol avant de se retourner pour s'appuyer à son tour contre le mur sous la douche, il se détendit au contact de l'eau et attira Hermione contre lui, ses mains recommençant doucement à la caresser.
Il n'allait certainement pas la laisser frustrer avant la journée qui les attendaient surtout qu'il commençait à apprécier son tout nouveau comportement. C'était presque imperceptible surtout pour un autre que lui mais elle paraissait plus douce, plus câline, elle qui n'aimait pas montrer son affection en public ne se privait plus de se blottir contre lui, de l'embrasser à pleine bouche devant un Harry bouche-bée. Il était persuadé qu'elle même ne s'en rendait pas compte, tout comme Harry ne remarquait pas sa nouvelle démarche à la fois féline et paresseuse, leur animal commençait à prendre de plus en plus de place dans leur vie alors même qu'ils en ignoraient la nature.
Son cœur se serra à la vue de son petit corps meurtrit, il voulait embrasser la moindre égratignure lui faire oublier toute douleur, une partie de lui s'avait qu'il en avait le pouvoir. Elle avait perdu du poids, ses cuisses s'étaient affinés et son ventre avait perdu de sa rondeur pourtant ses seins étaient plus lourds et pleins, ses fesses étaient plus cambrés et musclé remplissant parfaitement son immense main. Elle était différente mais tout aussi magnifique, il se sentait toujours énorme face à cette silhouette minuscule qui lui arrivait à peine à l'épaule. Sa bouche se promena quelques instants sur sa peau soyeuse, passant sans s'arrêter sur la cicatrice entre ses seins préférant prendre un autre chemin.
« Arrête de jouer avec moi Ron…J'ai envie de toi. » Il sourit contre son ventre, sa voix était roque de désir, ses doigts s'étaient enfoncé dans la tignasses rousse cherchant à l'amener là où elle le voulait. Il se redressa en la soulevant su sol, ignorant ses protestation, il éteignit le robinet d'eau sans la lâcher et franchit la porte qui les menait à leur dortoir. Il trébucha sur un gros grimoire les faisant tomber sur leur lit encore défait.
« Tu vas encore mouillé tout les draps! On voit que ce n'est pas toi qui passe ton temps à… » Hermione n'eut pas le temps de finir sa phrase, Ron s'était remit à dévorer sa bouche tout en grimpant sur le lit. Un fois qu'il fut sur de l'avoir fait taire pour de bon il relâcha ses lèvres avant de s'attaquer à un de ses tétons dressé tout en caressant les boucles brunes de son sexe déjà extrêmement sensible. Hermione gigotait sous lui, il adorait la rendre folle en l'amenant au bord du plaisir jusqu'à ce qu'elle le supplie mais il savait qu'il n'avaient pas le temps. Ce soir, peut-être mais pour l'instant elle avait besoin de lui, sa langue glissa jusqu'à son nombril alors que ses doigts trouvaient son clitoris. Surpris il la sentit se raidir avant de se détendre totalement, il l'avait à peine touché.
« Je deviens bon! » Son cœur se mit à battre plus vite lorsqu'il l'entendit rire, elle riait rarement comme ça, librement. Un souvenir lui revint en mémoire, si vieux qu'il pensait l'avoir oublier, il était en métamorphose durant leur première année et il avait du dire une bêtise comme d'habitude mais pour la première fois au lieu de relever son mignon petit nez avec dédain, elle avait éclater de rire. C'était peu de temps après halloween et ça avait été la première fois qu'il l'avait entendu rire et c'était grâce à lui, il s'était sentit si stupidement heureux…Comment n'avait-il pas compris à l'instant qu'il en était fou?
Il revient sur terre ou plutôt à la jolie jeune femme nue sous lui qui riait, elle attira sa bouche contre la sienne avant de l'embrasser passionnément tout en souriant.
« Tu étais bon bien avant ce matin Ron, crois-moi. » Il se laissa retomber sur elle, ses doigts se perdant dans les boucles brunes humides.
« Bon ou super bon? » Hermione lui frappa assez fort le bras alors que son rire mourait petit à petit.
« Ne fais pas comme si tu ne le savais pas! »
« Voyons, Mione, Je… »
« Chut, j'ai entendu un bruit. » Ils restèrent silencieux de longues secondes à l'affût du moindre bruit, Ron roula sur le côté pour atteindre la table de chevet où était posé sa baguette. Hermione posa sa main sur son bras pour le calmer.
« C'est sûrement Harry ou Sirius qui vient nous réveiller je vais aller voir. » Elle se releva à regret, le corps relaxé, les joues rouges, elle savait qu'il était évident qu'elle venait d'avoir eu un orgasme mais les actuels occupants du château en avait l'habitude en plus quelque chose en elle la pousser à marquer Ron comme étant sa propriété.
Elle ramassa le peignoir bordeaux de Ron, il était usé au manche et la poche était arraché mais elle ne s'était jamais plus sentit à l'aise dans ce vêtement qui était devenu le sien. Elle referma la ceinture autour de sa taille en recoiffant autant qu'elle le pouvait ses cheveux. Le bruits des pas se faisait de plus en plus fort, Ron rassuré s'était rallongé contre les oreillers. Un sourire au lèvre, elle ouvrit la lourde porte de bois pour se retrouver face à une vision d'horreur. Enfin pas vraiment horrible plutôt catastrophique, le professeur McGonagall habillé dans l'une des ses capes les plus strictes avaient la main levé dans un geste qui indiquait qu'elle allait frapper à la porte, à ses côtés son père et sa mère paraissant émerveillé par ce qui les entourait attendait patiemment de voir leur fille. Hermione eut à peine le temps de les voir sourire avant de refermer la porte précipitamment.
Ron se redressa surpris, elle ferma les yeux comme si par la simple force de sa pensée elle pouvait faire disparaître les intrus malheureusement un coup sourd retentit dans la pièce signe que leur professeur avait achevé son geste.
« Melle Granger; ouvrez nous. Je suis avec vos parents. »
« Je sais, je sais…J'arrive, je… » Elle regardait Ron qui s'était relevé horrifié et qui commerçait à cacher sous le lit ses vêtements et ses affaires qui traînaient dans la pièce. « Qu'est ce que tu fais? » chuchota t-elle pour que leur visiteurs ne les entendent pas.
« Melle Granger que se passe t-il? »
« Il faut pas que ton père sache qu'on dorme ensemble il va me tuer. » répondit-il en chuchotant également.
« Tu ne crois pas que ça l'énervera plus de te voir en train de gesticuler nu dans la pièce. » Ron s'arrêta net.
« Hermione! Ouvre nous. » La voix de Mr Granger bien que calme laisser percer un certain énervement. Désemparé Hermione regarda autour d'elle à la recherche d'une cachette pour Ron et d'une excuse pour laisser cette porte fermé. Elle faillit lancer un sort à Ron lorsqu'elle le vit ouvrir la fenêtre prêt à sauter pour sauver sa vie oubliant qu'il y avait plus de quinze mètres avant la terre ferme.
« Je suis toute nue, vous m'avez surprise. Attendez un instant que je m'habille. » Au moins elle s'était débarrassé du problème le plus pressant. Elle se dirigea vers leur garde robe, elle enfila rapidement une culotte et un t-shirt.
« Pour l'amour de dieu, Ron qu'est ce que tu fais? » Il était à plat ventre par terre, il n'avait toujours pas remit de vêtements.
« Hermione, ça va? Tu parles à qui? »
« Personne maman. Comment vas-tu? Tu m'as manqué. » Elle entendit le professeur MacGonagall s'éclaircir la gorge et commencer un long monologue sur les différents portraits du couloir du dernier étage de la tour griffondor. Hermione n'aurait pu être plus reconnaissante. Ron bougeait ses lèvres formant plusieurs fois de suite le mot balais.
« Oublie ce putain de balais! » Chuchota t-elle furieusement, elle prit le premier jean qui venait, agrippa la main de Ron et le poussa dans le tas de chemise qui drapait le sol de l'armoire. Il ne comprit pas avant de la voir refermer les portes de l'armoire, ils avaient vraiment un problème avec les placards. Hermione mit rapidement son jean, priant que rien de très compromettant ne traîne dans la chambre, elle ouvrit la porte un sourire forcé aux lèvres.
« Ma chérie! » Elle se retrouva engouffré dans les bras de sa mère bien que très différente de Mme Weasley, elle avaient toute deux la mauvaise habitude d'étrangler leur enfants à chaque étreinte. Elle vit du coin de l'œil son père scruter la chambre, il la considérait toujours comme une enfant alors que sa mère essayait de garder le peu de contact avec sa fille sorcière en partageant les joies d'être une femme. Il était risible de se dire que Ron put avoir peur de son père, il devait faire le double de son poids et avait bien une tête de plus que lui, elle se demandait toujours ce qu'ils avaient pu se dire ce jour là à Londres…
« Tu es sublime, ma puce. Rayonnante! » Ils firent quelques pas dans la chambre, ne faisant aucun commentaire sur le manque de rangement peu habituel de leur fille. « Je dois dire que je suis bien plus rassuré maintenant que j'ai vu où tu vivais, c'est exactement comme tu nous l'avais décrit et je n'ai pas encore tout vu. » Elle sourit à sa mère, heureuse d'enfin pouvoir partager Poudlard avec eux. Mr Granger la serra à son tour dans ses bras.
« Nous sommes désolés de te réveiller mais le professeur Mac Gonagall nous avez assuré que tu devais être debout à cet heure ci. » Hermione s'éloigna instinctivement de l'armoire pour se placer de l'autre côté du lit et réarranger les draps.
« Je sors juste de ma douche, j'allais demandé à Dobby une lotion pour les hématomes, c'est pour ça que j'étais en peignoir. » Elle regretta immédiatement son mensonge , sa mère inquiète s'était mise à l'examiner de la tête au pied et son père fronçait les sourcils en direction du vieux peignoir bien trop grand pour appartenir à sa fille. Hermione se rendit compte que le t-shirt qu'elle portait était également à Ron, dévoilant une de ses épaules et la naissance de ses seins.
« Qu'est ce que c'est que cette cicatrice Hermione? » La matinée devenait un véritable cauchemar, pourtant une envie irrépressible de rire montait en elle. Ignorant les regards inquiets de ses parents, elle vit son digne professeur ramasser du bout de sa baguette un caleçon noir, qu'elle cacha précipitamment derrière son dos. Il était évident à son visage sérieux qu'elle désapprouvait les agissements de ses protégées mais un pétillements dans ses yeux trahissait un certain amusement.
« ça fais longtemps maman, ça date de l'année dernière. Tu n'as pas eu le temps de la voir. » Mr et mme Granger se détendirent légèrement et se mirent à admirer la pièce aux couleurs chaleureuses. Le professeur de métamorphose ouvrit l'armoire pour cacher le vêtements affamant, elle ne put retenir un petit cri à la vue de Ron nu recouvert seulement d'une chemise autour des hanches dans la garde robe. Elle claqua la porte faisant glisser son haut chapeau de son chignon stricte même sous la chaleur de l'été, elle adressa un sourire désolé à Hermione avant de reprendre toute sa contenance.
« Une araignée, je les ai en horreur. » Heureusement pour les deux amants, Harry choisit cet instant pour faire son entré détournant l'attention de la grande armoire d'où s'échappa des bruits étouffés jusqu'à ce que Ron compris qu'il était l'araignée.
Hermione s'était réjouit trop vite à cette nouvelle arrivée, Harry apparemment peu réveillé dans un caleçon ridicule recouvert de petit vif d'or n'avait pas réalisé que ses deux amis n'étaient plus seul dans la chambre.
« Ron…Si tu pouvais me passer un pantalon j'en ai plus un de… »Harry s'arrêta près de Mr Granger, un sourire incertain aux lèvres. « Mr Granger. » Il tendit la main pour saluer le père de sa meilleur ami.
« Ron n'est plus dans votre chambre? » tenta Hermione pour lui faire comprendre la situation. Harry se frotta un instant les yeux, pris en compte tout les occupants de la pièce et la lumière se fit.
« Oui, je pensais qu'il était venu te réveiller mais il doit être déjà en train de manger. » Le ciel devait être avec Hermione ce matin, Harry Potter avait appris à utiliser son cerveau.
« On devrait peut-être le rejoindre? » Oui et sortir de cette chambre le plus vite possible pour laisser Ron s'habiller et les rejoindre.
« Bonjour tout le monde! Ha! Harry tu es là, venu réveiller no… » Sirius arrêta immédiatement de parler en réalisant qu'ils avaient des invités, très à l'aise malgré son manque flagrant de vêtements il tendit la main aux nouveaux arrivés.
« Bonjour, Monsieur… » MacGonagall s'approcha entre des deux hommes, jetant un regard réprobateur à un Sirius torse nu aux cheveux humides tombant sur les épaules.
« Sirius, je vous présente Mr et Mme Granger. Mr, Mme Granger, voici le professeur Black. Il est l'un des instructeurs de votre fille. » Habitué aux situations dangereuses, Sirius évalua facilement la situation. Il ignora les regards suspicieux de Paul avant de baiser chaleureusement la main de Susan Granger.
« Je vois enfin de qui Hermione tiens son charme… » Harry se grattait le dos de sa tête encore endormis, son parrain espérait transformer un père protecteur en un mari jaloux pour sauver Ron. Il aurait presque éclater de rire face à la bouche ouverte d'Hermione qui regardait sa mère rougir sous les compliments flatteur de Sirius.
« Votre fille est brillante, incroyablement fascinante vraiment… Ron est un homme chanceux… » Harry pour le bien de sa meilleure amie se fit un devoir d'intervenir, la situation était plus qu'embarrassante surtout qu'il venait d'apercevoir un joli soutient-gorge noir en dentelle. Il n'aurait pas voulu être à la place de Ron, c'était comme si les six frères de Ginny décidaient de pénétrer en même temps dans une chambre où ils venaient de faire l'amour accompagné de Dumbledore et Molly qui se ferait draguer par l'oncle Vernon.
« Sirius, je pense qu'on devrait finir de s'habiller. » Son parrain lui dédia un sourire charmeur qui l'aurait fait fondre si il avait été une demoiselle.
« Tu as raison, il ne faudrait pas offenser ses dames. » Il passa son bras autour des épaules de son filleul en franchissant le seuil de la chambre, il retenait à grand peine un fou rire. La voix douce de Mme Granger leur parvint étouffé par le lourd battant en bois qui s'était refermé.
« Je trouve ton professeur très séduisant ma chérie… »
« Et pas assez habillé mais c'est apparemment une manie dans ce château. » grogna Mr Granger.
« Pauvre Ron, je suis heureux de n'être jamais resté assez longtemps avec une fille pour avoir à rencontrer ses parents… »
« Où crois-tu qu'il est caché? »
« vingt contre un que c'est dans l'armoire. C'est le seul endroit assez grand pour pouvoir le dissimuler entièrement. »
« Ouais ça se tiens… si son balais n'était pas dans ma chambre j'aurai dit qu'il s'était enfuit par la fenêtre mais… » Ils s'étaient mis à descendre les marches en directions de leur chambres respectives, ils entendirent un sifflement joyeux monter vers eux. Lupin grimpait les marches quatre à quatre comme tout les matins pour les réveiller. Il s'arrêta surpris de voir son meilleur ami et son élève debout de si beau matin.
« Lunard si j'étais toi je ne ferais pas un pas de plus. » Sirius regarda son meilleur ami déjà entièrement vêtu et rasé de près. « En fait non…Vas y et sauve Ron d'une catastrophe. » Remus fronça les sourcils mais continua néanmoins son ascension laissant Harry et Sirius regagner leur chambre pour s'habiller.
………………………………………...
Les pas des deux hommes résonnaient dans le long et étroit couloir, il fallait tendre l'oreille pour entendre leur chuchotements pressés atténués par les conversations qui s'échappaient des bureaux. L'endroit ne ressemblait aucunement à une prison, un joyeux fouillis s'entassait dans les coins souvent accompagné de bruits des plus loufoques, les murs étaient d'un jaune très pâle et recouvert de portrait bavard. Le couloir se finissait par une simple porte en bois d'ébène, elle paraissait presque branlante pourtant elle fermait la pièce la mieux protégé du monde sorcier.
Le professeur Dumbledore qui connaissait le ministère comme sa poche et après concertation du nouveau ministre avait préféré enfermé son précieux prisonniers dans un endroit inattendu, seul un agent infiltré ou proche de l'ordre aurait pu deviner que ce département perdu dans le dédale du ministère renfermait un homme sensé être mort depuis bientôt quinze ans. Severus Rogue s'arrêta devant la porte avant de se tourner vers Dumbledore qui semblait perdu dans ses pensées, il jouait nerveusement avec la fiole qui reposait au fond de sa poche.
« Vous êtes sur des composants de cette potion. »
« Absolument, la dose en narcotique moldu m'a étonné mais sinon tout est en ordre, il n'y a rien de mortel. » Rogue tendit la main vers la poignée de la porte mais le directeur interrompit son geste.
« Il montre déjà des signes de manque donc nous allons lui fournir cette potion. Vous en déposerez quelques gouttes dans son eau. Ne lui parlez pas, ne le regardez pas et n'oubliez pas de fermer votre esprit face à lui…
« Vous n'entrez pas? » Surpris de voir Dumbledore faire un pas en arrière à ses paroles, Severus se détourna de la cellule pour faire face à son mentor.
« Il m'est impossible de l'interroger, son esprit est bien trop ouvert à celui de son maître, je ne puis me permettre de divulguer certaines secrets. Pourtant cela devra être fait avant que l'on ne le juge, il sait bien des choses sur notre ennemi, Harry m'a avouer que Peter avait bloquer un Avada Kedavra ce qui signifie que Voldemort possède le contre-sort. Tellement de chose restent à expliquer… »
« Votre occlumentie est aussi puissante que la mienne et je me présente devant Voldemort chaque jour. Je ne comprend pas votre décision. »
« Vous mieux que quiconque devriez comprendre le pouvoir de la haine, elle peux rendre faible et impuissant ou au contraire incroyablement dangereux. Je sais certaines chose que vous ignorez Severus et qui ne peuvent être révélé. » Dumbledore sortit sa baguette magique et lança un sort à la vieille porte qui s'ouvrit, un rat se mit à courir avant de se cogner contre un mur d'énergie. La petite pièce sombre contrastait avec la joie de vivre que dégageait le couloir, il n'y avait aucune fenêtre, le sol était nu et les murs gris de pierre suintaient d'humidité. Un lit de fortune, une table et une chaise formait le seul mobilier disponible, l'assiette et le bol qui devaient nourrir le prisonnier étaient sur le sol car celui-ci refusait de reprendre sa forme humaine dans l'espoir de pouvoir s'enfuir en passant inaperçu mais toutes les précautions avaient été prise pour qu'il ne sorte jamais de ce cachot pourris.
Le vieux rat miteux à la queue dévorée tremblait frénétiquement, son petit museau répugnant reniflait l'air à la recherche d'une substance qui pourrait l'apaiser. Rogue s'agenouilla près du bol d'eau qu'il agrémenta de la potion ocre que lui avait remis Voldemort, Peter s'en approcha délicatement ne craignant pas l'agent double à la botte de son maître avant se désaltérer. Un simple sort pouvait lui rendre sa forme humaine mais personne ne l'y avait encore forcé, tout comme personne ne l'avait soumis au véritaserum. Il ne craignait pas par cette potion de trahir son maître puisqu'il avait été vite entraîné à lui résister, en fait il attendait avec amusement qu'un de ses aurors viennent l'interroger, il vit du coin de l'œil Dumbledore qui l'observait. Le vieil homme était intelligent et puisant presque autant que son maître, il ne se risquerait pas à venir l'interroger.
Sans un mot, Rogue sortit de la pièce obéissant ainsi au souhait de Dumbledore, il referma la simple porte de bois qui n'était qu'un leurre à la puissante magie de Dumbledore et de McGonagall réunit.
« Qu'allez vous faire? Je pourrais l'interroger mais il ne m'avouerait rien que je ne suis sensé déjà savoir. » Le professeur Dumbledore avait déjà tourné le dos à la cellule caressant sa longue barbe alors qu'il réfléchissait.
« Il ne dira rien sauf si il s'y sent obligé, si il a peur ou honte. Seul deux personnes au monde serait capable de lui soutirer des aveux… »
« Qui? Et comment vont-elle caché leur pensées et leur sentiments à Pettigrow?… Voldemort sait lire les esprits les plus fermés… »
« Comme je viens de vous le dire la haine est un sentiment puissant, elle vous aveugle au point d'oublier tout ce qui n'est pas elle. La haine pour une fois va nous aider… »
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Tout les portraits chuchotaient furieusement, jamais ces vieux bougons n'avaient paru plus excité et le jeune homme qui courrait torse nu jusqu'à la grande salle, essoufflé, les cheveux encore humide. L'événement extraordinaire qui réveillait toutes les armures étaient que des moldus visitaient le château pour la première fois dans l'histoire de Poudlard. La situation devait être très exceptionnel pour que le directeur permettent à des ignorants de découvrir tout les mystères de l'immense château.
Dans la grande salle, un seul petit hiboux picorait dans un bol de céréale, heureux de profiter du somptueux petit déjeuner qui n'attendait que lui.
« Coq! Va t-en de là! Combien de fois je vais devoir te dire d'attendre de m'avoir donné mon courrier avant de manger. » Ron se laissa tomber sur l'un des banc en arrachant presque le parchemin de la minuscule patte que son hiboux lui tendait. Il reprit son souffle, jetant de fréquent coup d'œil en direction des portes d'entrée, il devraient remercier Lupin pour avoir fait sortir tout le monde de la chambre en proposant une rapide visite de la salle des trophées. Il eut à peine le temps de se tartiner un toast qu'Harry et Sirius firent leur entrée, riant encore de la situation. Ron retint un grognement alors que le coude de son meilleur ami s'enfonçait dans ses côtes.
« Alors où t'étais caché? »
« L'armoire! »
« Je te l'avais dit, Harry. C'était la seule possibilité. Comment tu t'en ai sortit? »
« Grâce à moi! » Les trois jeune homme se tournèrent vers le loup garou qui venait de s'asseoir pour petit déjeuner. « Vous auriez pu me prévenir vous deux, je suis entrée dans leur chambre en sermonnant Ron sur ses sales habitudes de traînard. Tu as intérêt à faire attention à ce que tu dit mon grand, je pense que Mr et Mme Granger ont des doutes. »
Ron laissa sa tête tomber entre ses mains, il se demandait encore comment il avait pu passer de l'extase la plus totale à une peur sans nom. Il savait que Mr Granger ne pouvait rien faire contre lui physiquement mais Ron se refusait à avoir de mauvaises relations avec sa future belle famille. Il n'y avait même plus une hésitation dans son esprit, il resterait sa vie entière avec Hermione, le mariage, les enfants…plus rien ne lui faisait peur, il avait même hâte parfois de voir son petit ventre s'arrondir.
« T'inquiète, on va t'aider…mais le jour où il m'arrive quelque chose comme ça avec Ginny rappelles-toi que j'étais là pour toi. » Harry s'était mis à tapoter son épaule en signe de réconfort. Le silence retomba sur la table jusqu'à ce que Tonks les rejoignent en s'asseyant sans cérémonie sur les genoux de son mari. Ils furent vire rejoint par MacGonagall et les Granger, le professeur de métamorphose n'avait toujours pas abandonné son regard réprobateur qui scrutait Nymphadora. Comme une enfant qu'on aurait réprimandé, Tonks se releva, tira sur le bas de sa petite chemise de nuit qui laissait peu à l'imagination et tendit la main vers les nouveaux arrivants, instinctivement elle avait transformé ses boucles folles encore dorée par sa lune de miel en une chevelure sombre, raide et encore plus abondante qui pourrait caché ses courbes.
Paul Granger en resta bouche-bée alors que sa femme au contraire s'était avancé pour répondre à son salut.
« Vous devez être Nymphadora Tonks, Hermione m'a parlé de vous. Tu avais raison ma chérie c'est fascinant. »
« En fait c'est Nymphadora Lupin à présent et je suis l'un des professeur de votre fille, elle me dois la plupart de ses bleus. » Elle fit un léger clin d'œil en direction de Ron qui se levait à son tour avant de se rasseoir cette fois-ci sur le banc sans pour autant s'éloigner de Lupin. Le jeune homme se pencha vers Hermione pour un chaste baiser, jouant la comédie en prétendant qu'ils ne s'étaient pas vu de toute la nuit avant de saluer leur invité assez solennellement. L'ambiance se détendit considérablement à l'instant où Paul accepta la main tendu de Ron en s'asseyant à côté de lui dans l'espoir de le séparer de sa fille.
La conversation se déroula tranquillement, ils organisaient la journée s'extasiant sur toutes ses petites choses qui rendait Poudlard magique mais que par habitude ils avaient oublié d'admirer.
« J'avais peur de ne rien voir de cette magie que nous décrit tellement ma chérie mais tout est absolument fantastique, ces armures qui commencent à discuter avec vous… »
« Tu ne peux pas voir les fantômes ou les détraqueurs parce que leur existence même est magique, c'est pareil pour les gnome ou les fée mais Poudlard n'est pas que le produit de la magie, ce sont les sorciers qui ont battit le château… »
« Ron, c'est une morsure que tu as sur l'épaule? » Toutes les discutions cessèrent pour se tourner vers Ron dont le teint avaient pris la même nuance que ses cheveux. Hermione réfléchissait furieusement pour trouver une excuse.
« C'est Pattenrond! Il ne m'a jamais supporter, je le portait hier et… »
« C'est une morsure humaine. » Pourquoi fallait-il que Mr Granger soit un dentiste? Heureusement qu'il ne connaissait plus par cœur la dentition de sa fille depuis qu'elle avait rétrécit magiquement ses dents. Paniqué, il cherchait un peu d'aide autour de lui.
« C'est moi! » Ron aurait embrassé Harry, toute l'attention s'était détourné de lui pour regarder bizarrement le survivant. Le rouquin se serait mis à rire si la situation n'avait pas été critique, le regard si lumineux de son meilleur ami restait flou et vide alors qu'il creusait son esprit pour se sortir d'embarras.
« On se battait…Je l'avais coincé à terre et tout ce qu'il a trouvé à faire pour se dégager c'est de me mordre. » L'excuse était presque plausible, pas très glorieuse pour Harry mais logique et extrêmement intelligent de la part de Ron d'avoir réagit si vite.
« ça m'étonne de vous Tonks vous paraissait être une femme d'action pas du genre à enseigner des coups de fillette! »
« C'est la botte secrète d'Harry, il n'a pas honte de laisser sortir son côté féminin. » La tablée se mit à rire a par bien sur Harry qui regarder Ron avec un regard meurtrier car de toute évidence celui se foutait ouvertement de la gueule alors qu'il avait mentie pour le sortir d'affaire.
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Il pouvait être fier de lui tout c'était passé à merveille après tout il se devait de profiter d'une journée de véritable vacance sans entraînement. Certes cela avait été difficile ne pas la toucher, ne pas l'effleurer, ne pas la câliner, ne pas l'embrasser , ne pas la regarder en bavant et en louchant dans son décolleté aussi. Ils avaient visités les moindres recoins de Poudlard, trébuché sur les marches piégés, rendu visite au elfes de maison... Ron avait appris que l'amour des livres étaient un trait commun à toute la famille après avoir passé deux heures entière à parcourir les allées sombres de la bibliothèque avaec Hermione si près de lui, si chaude, si douce...Mais il avait tenu bon et tout allait pour le mieux si on occultait bien le regard suspicieux que lui lançait monsieur Granger environs toutes les cinq minutes. La mère d'Hermione avait vraiment l'air de l'apprécié mais bon comme Sirius mettait tout en œuvre pour la distraire Ron n'était pas sur d'y être pour grand chose . Le dîner venait de se terminer dans un coin de la grande salle et la bonne humeur ambiante lui rappelait presque celle du terrier . Il faut dire que les Elfes de maison avaient mis les petit plat dans les grand pour impressionner leur nouveaux convives et tout était si bon que même les longues tirades d'Hermione sur le sort de ces créatures n'aurait put gâcher l'appétit de personne. Sirius était même parvenu à sortir quelques bouteilles de vin de la cave personnel des directeurs argumentant avec le professeur Mc Gonnagal que de toute façon Dumbledore disait toujours qu'il ne buvait jamais car il était bien assez fou pour ne pas en rajouter et même si lui même ne buvait pas, la petite contribution de Sirius à ce dîner avait au moins permis à monsieur Granger de rire à une de ses blagues d'accord la seule sur les dix qu'il avait tenté mais ce n'était pas si mal . Hermione était heureuse de revoir ses parents surtout depuis qu'ils étaient loin de l'armoire où se cachait son petit ami tout nu. Ils lui manquaient et les voir lui faisait un bien fou mais être aussi distante avec Ron était si inhabituelle qu'au déjeuner elle avait pris dix minute à se décider sur la place qu'elle allait prendre tant celle qui l'attendait sur les genoux de son rouquin préféré la tentait.
Vingt trois heure sonnait à la grande horloge et Ron sentait le départ des Granger arriver. Voulant à tout pris éviter une fois de plus d'être pris à partie par le père d'Hermione il se leva pour tenter de s'enfuir.
« Bon ! Il se fait tard je crois que je vais aller me coucher » Il tendit sa main à monsieur Granger qui lui sembla-t-il la serra beaucoup moins fort qu'il ne l'avait fait auparavant.
« Bonsoir Madame » Il serra la main de madame Granger avant de se dériger d'un pas hésitant vers Hermione. Elle avait levé la tête, les lèvres entrouvertes et humides pour recevoir son baiser de bonne nuit, Ron hésita un instant avant d'ignorer la bouche offerte pour embrasser son front.
Harry pouffa de rire devant la tête complètement ahurie d'Hermione qui regardait Ron s'éloigner vers la porte, la bouche toujours ouverte en attente d'un baiser.
« Ne traînez pas trop, n'oubliez pas qu'on a un gros entraînement de prévu demain. » Lança-t-il a Harry et Hermione juste avant de sortir.
« T'inquiète pas je vais bientôt y allait. » lui répondit Harry en baillant.
« Oui on ne vas plus tarder » Ajouta Hermione à l'attention de Ron qui se retourna une derniere fois pour lui répondre avec un clin d'œil.
« Tant mieux je vais garder ta place au chaud. »
Un silence de mort s'abatit sur la grande salle. La réalité de sa remarque stupide venait d'éclabousser son esprit complètement idiot à la manière du liquide sirupeux que Sirius venait de cracher sur Lupin assis en face de lui. Mais comment avait il pu dire ça il lui suffisait de franchir cette foutu porter mais non il avait fallu qu'il en rajoute. Bien joué Ron pensa-il alors que Tonks sortait précipitamment de table.
« Bon bun je vais vous laisser... »
« oui moi aussi...»
« pareil pour moi. » Les fourbes, ils prenaient la fuite.
Sirius en passant devant lui tapa amicalement dans le dos en signe de soutien, Tonks lui fit la bise en murmurant un bonne chance discret. La porte se ferma, il ne se retrouvait malheureusement pas du coté ou il voulait être. Il se tourna lentement vers la table silencieuse et maintenant quasiment vide qu'il venait de quitter . Il fut presque content de n'y trouver qu'un seul visage hostile car celui de Susan et Hermione traduisait plutôt une certaine inquiètude et une réel compassion envers lui.
« Heu………. Je suppose que si je vous dit que je parlais à Harry vous n'allez pas me croire ? »
Aie Aie Aie pas de bol pour lui j'espère que vous avez tous passer un bon moment on a toujours pas de chapitre pour la semaine prochaine mais on y travaille alors avec un peu de chance. Passer tous une bonne semaine bisou
Billy et Menssa
