La vierge blonde de L4
Attention, cette histoire contiendra de nombreux lemon que l'on peut qualifier de chaud.
Cette fics est un enchaînement de lemon à la limite du NCS et bien évidemment yaoï dans l'univers de Gundam Wing en UA.
Je demande donc à toute personne choqué ou dégoûter de partir. Les autres, je vous souhaite une bonne lecture.
Daki
Chapitre 02
Quatre retomba sur le matelas. Ses jambes tremblaient, il n'arrivait plus à reprendre son souffle, les mains de cet homme le rendaient fou de désir.
« Tu ne dois pas avoir de pudeur, on va te faire tout connaître en une seule nuit...
Trowa glissa ses mains sur ses fesses et les caressa, glissant un doigt entre, caressant l'anus de Quatre, le faisant remuer instinctivement.
Quand le premier doigt entra, il gémit. Sa voix était roque, légèrement tremblante, ses jambes poussèrent instinctivement. Heero et Duo les lâchèrent. Les pieds se posèrent sur le matelas, il poussa sur ses jambes, remontant son bassin, à la recherche instinctive de quelque chose de plus.
Trowa sourit. Il fit aller et venir son doigt langoureusement. Le blond se mit à remuer. Il eut un soupir de plaisir, si énamouré qu'un frisson d'envie parcourut ses agresseurs.
Le français eut un sourire triomphant puis enfonça un deuxième doigt. Il sentit le corps pâle se tendre, les muscles se refermer sur les doigts, essayant de le repousser et de l'attirer en même temps.
« Bien, je vais te prendre lentement. Mon sexe va entrer par là et te baiser...
Quatre gémit de désir. Il sentait les doigts s'enfoncer en lui, remonter, frotter contre ses parois, lui envoyant des frissons de plaisir. Il sentait aussi les sussions de la machine sur son sexe.
Puis, les doigts se posèrent sur un endroit qui fit apparaître un éclair noir. Quatre cria de plaisir. Il se sentit partir puis revient à la réalité. Trowa souriait de façon plutôt sadique. Il recommença à toucher là.
Pendant un long moment, il toucha cet endroit, le rendant fou. Son corps le brûlait. Sa respiration sautait. Il sentit les doigts sortir enfin. Mais, il ne sut plus quoi penser. Etait-il triste ou soulagé ?
Il serra les dents et écarta les cuisses, essayant de se faire comprendre quelque chose que lui-même ne saisissait pas. Trowa s'allongea sur lui et l'embrassa, langoureusement, longtemps, se frottant contre lui sans pudeur. Quatre jeta un coup d'œil aux autres, ils regardaient le spectacle, confortablement installé, nus, leurs sexes durs. Quatre réalisa alors que le chinois ne tenait plus ses mains.
Il attrapa alors les épaules de l'homme sur lui et écarta encore plus les jambes.
« Qu'est-ce que tu veux ?
« Je sais pas... Fais ce que tu veux toi... Ca ma brûle à l'intérieur, ça me démange...
Tu veux qu'on fasse partir cette... brûlure ?
« Oui...
« Tous les quatre, d'accord ?
Tout en faisans sa proposition, Trowa se frottait contre lui, l'excitant. Le blond n'avait plus l'esprit clair, il écarta encore plus les jambes, espérant cette délivrance promise, hachant la tête pour donner son accord.
Le français se positionna convenablement.
« Regardes-moi ordonna-t-il. Je veux voir toutes tes expressions pendant qu'on te prendra.
Quatre gémit, le fixant de ses grands yeux bleus. Il poussa un cri aigu quand le garçon poussa son gland dans son intimité vierge. Trowa grogna et resta immobile un moment avant de s'enfoncer jusqu'au bout d'une traite.
Le corps de Quatre fut repoussé en arrière et il gémit de douleur. Le français lui laissa le temps de s'ajuster puis remua de haut en bas, en petits cercle avant de ressortit complètement.
« Maintenant, c'est partie, murmura-t-il en le reprenant un peu plus brutalement, finissant d'écarter ses chairs.
Quatre cria, ses bras encerclèrent les larges épaules. Il remonta ses jambes le long des hanches de Trowa, inconsciemment. Trowa se mit alors à bouger. Il fit entrer et sortir son sexe de ses chairs brûlantes et étroites.
Quatre subit les assaut un court moment avant de gémir.
« Ca fait mal...
« Mal comment ?
« Ca brûle quand ça passe...
« Tu veux que la brûlure s'arrête ?
« Oui... soupira l'enfant.
« Alors tu dois bouger ton corps pour que ça ne fasse que du bien...
Pour se faire comprendre, il changea l'angle de pénétration, attrapant la prostate d'un seul coup. Quatre cria de plaisir, ravi mais la sensation disparut aussitôt, remplacé par la brûlure.
« Non, souffla-t-il.
« Bouges...
Quatre remonta alors une de ses jambes, resserrant ses muscles internes, stimulant ses hanches, se cabrant. Mais la sensation de plaisir ne revenait pas, Trowa y veillait, il voulait le rendre dépendant à la sensation de plaisir.
N'y tenant plus, Quatre se redressa un peu et cria.
« Fais-le encore. Ce truc à l'intérieur, l'éclair noir.
« Howw, ça ? Demanda Trowa, sachant très bien ce que le jeune homme attendait.
Il se repositionna comme il faut, frappant de nouveau la prostate deux ou trois fois puis revient à sa position initiale.
« Ca ?
« Ouii, j't'en pris, l'éclair noir...
Les quatre garçons sourirent. Maintenant, ils étaient sûrs que leur victime ne se plaindrait pas. Trowa lui saisit les hanches, les changeant de place, frappant à chaque coup la prostate.
Le corps sous lui devient brûlant. Les jambes de Quatre remontèrent, serrant le corps contre lui, il gémissait des mots incompréhensibles, alanguis et crispé à la fois.
Le français laissa alors son corps prendre le dessus sur la raison. Il saisit les hanches fines, les resserrant puis le pilonna. Si fort que le dos du garçon ne touchait plus le matelas.
Quatre criait, remuait, regardant toujours dans les yeux l'homme. Il voyait des éclairs noir à chaque passage du sexe de l'autre, il sentait son corps partir, flotter.
Soudain, Trowa ressortit. Il resta quelques secondes immobile au dessus de lui avant de replonger, si brutalement que le blond cria de douleur. Maintenant, l'homme allait fort, vite, baisant sa victime sans vergogne, lui apportant autant de plaisir que de douleur.
Après encore quelques longues minutes, il se cambra, cria lui aussi de plaisir. Quatre sentit quelque chose partir du sexe, le remplir, quelque chose mouillé, d'un peu épais. Quand le sexe ressortit de ses chairs, le liquide coula, lui envoyant des frissons.
Il laissa sa main descendre et toucha le liquide. Il était un peu épais.
C'est juste mon sperme, expliqua Trowa.
Devant le regard interrogateur, un peu perdu du blond, il eut un sourire tendre, rare chez lui.
« Mes fluides reproducteur, ma semence si tu veux. Gouttes.
Il passa ses doigts sur l'anus, récoltant un peu de liquide sur ses doigts puis les porta à la bouche de Quatre.
Ce dernier les regardait, les yeux grands ouvert. Impatient de voir sa tête, Trowa les lui enfonça dans la bouche. Le blond eut un mouvement de recul puis avala.
Il resta immobile un moment puis se mit à les sucer voracement. Quand il n'y eut plus de goût, il plongea ses propres doigts en lui, récoltant ce liquide si excitant et recommença à sucer.
Les autres le regardèrent, envieux, excité.
« Tu aimes ça hein ?
« Hum.
« Bien, maintenant, dis nous lequel va te sauter maintenant.
Le blond sursauta.
« Non, je... je...
« Mais si, on va te baiser tous les quatre, tu te rappelle, c'était la condition pour que la brûlure disparaisse. Et puis, tu en veux encore.
Il macula ses doigts du peu de sperme qui restait, les enfonça dans le bouche du blond.
« Chaque homme a un goût différent... Tu veux nous goûter tous ?
Quatre eut un instant de flottement. Il se sentait étrange, il n'avait aucune honte pour ce qu'ils lui feraient. Pourtant, il se sentait mal à l'aise d'accueillir un autre homme en lui. Les doigts de Trowa revinrent dans sa bouche avec ce goût, mais si peu.
« Wufei a un goût plus fort, son sexe est plus fin mais plus long. Il apporte du plaisir grâce à sa longueur. Duo a un goût plus épicé si on peut dire, son sexe est large mais moins long. Pour Heero, c'est différent, son goût est aphrodisiaque, son sexe est plus court que Wufei, moins large que Duo mais il a une puissance jouissive.
Quatre semblait perdu.
« Je ne sais pas.
Il ouvrit la bouche, se léchant les lèvres.
« Je vais encore sentir la brûlure ?
« Non, tu as perdu ta virginité maintenant. Ca ne brûlera plus. Tu ne sentiras que du plaisir si tu te montres un minimum coopératif.
Quatre se lécha les lèvres encore une fois, suça ses doigts à la recherche d'une trace de sperme puis regarda les trois garçons.
« Lui.
Il pointa son doigt sur Wufei. Le chinois eut un sourire entendu, fier. Il s'avança, à quatre pattes avant de lui saisir les cheveux, lui remontant le visage brutalement.
Il écrasa ses lèvres sur les siennes.
« Tu ne vas pas le regretter.
Wufei était d'un naturel violent. Toujours dominé par une famille traditionnelle, marié de force à treize ans, il avait toujours gardé une violente colère en lui qui ressortait lors de ces petites séances avec ses amis.
Il attrapa le corps fin, le retourna et se colla à lui.
« Tu bouges plus maintenant.
Lentement, il se saisit de ses hanches fines, les faisant remonter tout en exerçant une pression sur ses bras pour les faire plier. Quand le visage de Quatre toucha le matelas et que ses hanches furent bien hautes, le chinois eut un sourire satisfait.
Il aimait baiser comme ça. Il pouvait dominer son ou sa partenaire ainsi, le rendre docile et fragile. Un éclair de désir le traversa, ce corps si fin, si gracile, il était impatient de le prendre. Il laissa remonter lentement sa main le long de son corps avant de la poser sur le cou fin, serrant légèrement. Quatre se tendit, jetant un regard effrayé à Trowa qui était assis devant lui puis essaya de se libérer.
Il étouffa un gémissement quand le poing du chinois frappa sa hanche un peu durement.
« J'ai dit pas bouger. Comprit ?
« Hum…
« Voyons Wufei, ne l'abîmes pas si vite, t'es pas seul ce soir.
Le chinois grogna de désaccord avant d'obliger le blond à baisser la tête. Puis, une fois satisfait de la position, il lui écarta les fesses d'une main et tata l'anus encore dilaté.
« Un vrai cul de chienne, il se resserre très vite. Ca ne sera que meilleur.
Sur ces mots, il le pénétra en une fois. Son membre était si long qu'il buta sur le fond avant d'avoir entrer sa longueur entière. Quatre remonta la tête en criant. Immédiatement, l'asiatique le força à la rebaisser et le temps sembla se figer.
Wufei se lécha les lèvres. Il donna un petit coup de reins, testant la profondeur.
« Hummm, il est bien plus long que la moyenne, c'est géant.
Il donna plusieurs coups de reins avant de s'immobiliser puis de ressortir.
« Bien, on y va.
Il le prit en une poussé et se mit à bouger plutôt rapidement, se délectant de ce corps offert. Quatre encaissa les premiers assauts assez mal, il serra les dent pour ne pas gémir de douleur puis, une chaleur remonta le long de ses reins, le faisant gémir. Soudain, il cria de plaisir, remontant les hanches et baissant la tête.
« Encore… Oui, encore… L'éclair noir… Haaaaha…
Il envoya ses hanches vers l'arrière, surprenant Wufei. Sous la violence du choc, le sexe du chinois passa la seconde barrière de muscle. Quatre cria de douleur mais recommença à se jeter sur l'érection, défonçant ses chairs. Wufei lui saisit les cheveux, lui faisant relever la tête.
« Redresses-toi… Vite !
Quatre obéit, se mettant à quatre pattes. Il eut un halètement. Le sexe de Wufei venait de complètement entrer dans son corps. Le temps sembla s'arrêter, ils étaient tous les deux immobile, incrédule.
« Ho Dieu, souffla l'asiatique avant de se remettre à bouger.
Il n'y plus que le bruit de leurs gémissements saccadés et de leurs chairs claquants les unes contres les autres.
Quatre ne sentait plus la douleur, seulement le plaisir que le sexe en lui procurait en passant cet endroit au fond de lui, comme une crampe douloureuse mais, la douleur lui emmenait du plaisir. Il ne savait pas que la prostate était stimulée à fond.
Ses membres tremblaient, il sentait sa tête lui tourner, il sentit du liquide couler sur ses cuisses mais ce n'était pas de la semence, elle n'avait pas giclé en lui. Il baissa la tête et regarda. Il vit une ligne de sang coulant le long de ses cuisses. Il sursauta violement, apeuré.
« Non, arrêtes… Qu'est-ce que…
Wufei lui cogna légèrement le dos.
« Ta gueule ! Ce n'est rien.
Pour prouver ses dires, il changea d'angle, orientant son sexe vers le haut, stimulant la prostate encore plus.
Les bras du blond le lâchèrent. Il retomba sur le lit, se laissant porter. Il releva péniblement la tête pour regarder Trowa.
Ce dernier se caressait lentement, son sexe était rouge, dur, vibrant. Quatre le fixa avant de crier une nouvelle fois.
« Ca te plait ? demanda le brun.
« Oui, c'est étrange mais… Ha…
Il cria une seconde fois. Wufei ne ménageait pas ses efforts.
« Tu sais que ça pourrait être encore mieux ?
Quatre le regarda, confus.
« Touches-toi.
Trowa se mit à quatre pattes, avança vers Quatre et lui prit la main.
« La, laisses cette main descendre. Touches toi ici, caresses tes tétons. Pinces-les… Voilà.
Quatre sursauta devant ce petit plaisir en plus.
« Bien, descend ton autre main, là, caresses ton ventre, ton sexe… Bien…
Quatre se sentait partir, son corps tremblait, ses muscles anaux se resserrèrent brusquement.
« Ho oui…
Il se cambra, offrant encore plus de prise aux mains de Wufei qui lui saisit les hanches, les tirant plus vite vers lui.
Le chinois grogna avant l'empaler une dernière fois sur son sexe, se cabra au maximum avant de jouir violement. Sa semence remplie le blond, avec force. Quatre se cambra, gémissant de plaisir. Son corps tout entier et tendit vers l'avant avant de retomber mollement sur le lit.
Wufei s'écroula sur son dos. Ils restèrent ainsi un long moment, la respiration haletante. Quatre finit par remuer doucement ses hanches. Il gémit de plaisir, son corps toujours occupé par le sexe à demi dur de son partenaire.
Le chinois sursauta, lâcha un gémissement de satisfaction puis sortit du corps chaud. Il se recula un peu.
Quatre se redressa à quatre pattes, s'accroupit et passa sa main sur ses cuisses, récoltant la plus de sperme possible puis la porta à sa bouche, la léchant avec empressement.
Il redescendit sa main, plongea ses doigts en lui, récoltant ce qui restait et l'avala tout aussi goulûment. Il aimait tellement ça. Une fois qu'il eut tout avalé, il se laissa tomber sur son lit à plat ventre, la respiration calmée.
Il toucha son sexe prisonnier des anneaux. A chaque mouvement, il ressentait une vague sensation de plaisir. C'était trop bon quand un sexe le prenait.
Les deux garçons restant s'avancèrent vers lui, lentement. Celui à la tresse avait un sourire inquiétant alors que l'autre affichait un visage neutre.
« A nous, petit.
J'espère que ça vous a plu. A bientôt pour la suite.
