(Pour introduction complète à cette histoire, veuillez vous référer au premier chapitre)

Note importante : Je rappelle que ceci est un UA : Univers Alternatif et non pas une suite des tomes déjà parus. Je l'avais marqué mais je crois que j'aurais dû mieux le préciser. Mes excuses ^_^°


Chapitre 2 : Craig Donavan et Elise Chad

            Harry marchait, pensif. Il cherchait à reconstituer le puzzle que formait maintenant sa mémoire disloquée. Peine perdue. De sa journée précédente, ne lui revenait que des bribes de souvenirs, de phrases. Ca tête lui faisait un mal de chien comme si un klaxon s'y était logé pendant son sommeil et y avait joué toute la nuit. Les effets des antalgiques qu'il avait reçus à l'hôpital semblaient s'évanouir. Il passa sa main dans ses cheveux d'ébène et ses doigts longs et fins vinrent se perdre sur son front pour sentir des sparadraps : trois points de sutures, plus de peur que de mal.  

Il s'arrêta à un carrefour, attendant pour traverser que le feu devienne vert. Une rafale de vent vint secouer ses cheveux et agiter sa veste. L'écrivain frissonna et la resserra autour de lui.

Un policier était venu le voir à l'hôpital, lui demandant ce qu'il avait vu. Harry n'avait pas porté plainte mais la justice exigeait que l'on retrouve le fourbe à la Mercedes grise. Il avait confié à l'agent Smith tout ce qu'il savait. A vrai dire pas grand-chose à part… A part le visage de l'homme qui l'avait sauvé. Smith avait clairement montré son dédain face à cette information et avait pris congé de lui un peu précipitamment.

Mr. Anderson renifla et traversa la route devant une file de voitures énervées de lui laisser le passage. Il était 7 heures et déjà se soulevait dans l'air de Londres un fabuleux mélange de poussière et d'essence. Harry chercha son mouchoir en soie dans sa veste, son nez coulant comme un robinet mal refermé.

Il n'y était pas. Harry fouilla les poches intérieures de son veston sans en trouver la trace. Pas un seul indice, pas un seul fil blanc capable de lui indiquer sa position. Le jeune homme fronça les sourcils et consentit à se moucher plus tard chez lui. Il longea une allée de platanes défroqués et rabougris et arriva devant son immeuble. Il l'observa un instant en souriant : « Home, sweet home, murmura-t-il. »

Elise lui reprochait d'avoir, tout comme les Belges, une brique dans le ventre. Quitter son appartement l'avait rendu nerveux et ce fut avec enthousiasme qu'il rentra dans le hall.

- Salut Jo ! dit-il en adressant un sourire radieux au veilleur de 45 ans. Des messages pour moi ?

- Bien entendu, Mr. Anderson, annonça Jo d'un ton moqueur. Mademoiselle Chad a appelé une dizaine de fois et vous prie de la contacter au plus vite.

            Elise Chad devait sans doute être plongée entièrement dans une inquiétude sans limite. Au bord de la panique, elle était déjà en route vers son appartement. La contacter était aussi inutile que respirer était indispensable. Après avoir remercié le gardien, le jeune homme s'engagea joyeusement dans l'ascenseur, appuya sur le bouton 4. Il croisa dans le couloir Mrs. Fridg Idaire, une jeune femme au visage inexpressif, qu'il salua avec un sourire timide et rentra rapidement dans sa demeure.

            Il eut le réflexe de mettre la machine à café en route, d'allumer la télé et de mettre les robinets de sa baignoire en marche. Il ouvrit la porte donnant sur sa terrasse et écouta d'un air absent les dernières nouvelles.

« Et en France, on est toujours sans nouvelle de la petite Emilie disparue la semaine dernière… débitait la voix nasillarde du présentateur. »

            L'écrivain saisit un tissu blanc pour se moucher lorsqu'un éclair de douleur traversa sa tête, suspendant son geste.

- Aïe ! gémit-il en s'écroulant sur un canapé.

            Il se souvint de la Mercedes grise et la scène lui parût soudainement plus claire qu'à l'hôpital. Il se sentit rougir. Un homme lui avait sauvé la vie et l'unique chose qu'il avait songé à dire était « vous avez de la peinture sur les mains ». Diable ! Qu'il se maudissait. Il secoua vivement la tête, espérant chasser ces souvenirs qui troublaient tant la tranquillité du moment. Il n'obtint comme résultat que de ressembler à un mixeur en fureur et à un parfait imbécile.

            Les yeux de son mystérieux sauveur apparurent clairement dans son esprit. Deux perles d'une perfection absolue qui firent sauter la connexion qu'il établissait avec la réalité. A la minute où il les avait vues, il su qu'il ne vivrait pas en paix avant de les avoir retrouvées. Elles l'obsédaient et il n'osait se l'avouer tant cette pensée semblait ridicule. Le jeune homme se prit la tête entre les mains et ferma les yeux, plongé dans une profonde réflexion. Tout tournait autour d'une unique question : « Comment le retrouver ? ». Ses pensées établissaient de fougueux scénarios, différents stratagèmes qui finissaient tous étrangement par « …et ils mangèrent des crêpes » sans qu'il puisse comprendre pourquoi des crêpes et pas une glace.     

            La pièce se mis à tourner et l'air devint lourd comme un mur d'acier inoxydable. Les jambes jouant les castagnettes espagnoles, il sortit sur la terrasse. Les arbres du parc privé de l'immeuble formaient une masse informe à terre et s'éveillaient doucement, secouant leurs jeunes frondaisons et les bourgeons tardifs. Harry inspira l'air pur. L'ADSL se rebranchait, la connexion se remettait péniblement en route, il était temps de rouvrir la fenêtre « internet ».

            Ce que l'écrivain regretta tout de suite, mais impossible de cliquer sur « précédente ». La sonnerie retentit et le son strident lui traversa sans ménagement le corps. Avec un grognement de chien frustré, il se dirigea vers l'entrée et ouvrit.

- Bonjour Elise, marmonna-t-il sans un regard pour la personne qui venait de rentrer. Ferme la porte s'il te plait…

            Les bottes en cuire de son éditrice claquèrent bruyamment sur le carrelage et Harry retint de justesse un sifflement énervé.

- Harry ! J'étais si inquiet ! Tu ne peux pas savoir…

« Oh que si, je peux ! pensa l'intéressé en la regardant. »

            Elise Chad était une personne très belle, son seul défaut étant une acné phénoménale noyée sous une couche de fond de teint. Ses yeux en amande l'observaient avec inquiétude et Harry s'en voulut de n'avoir pas donné de ses nouvelles. Après tout, la jeune femme de 26 ans avait un jour possédé son titre de « petite amie » et malgré qu'elle ait rendu son trophée en un an, six mois et 23 jours, elle méritait son attention. Il s'était éloigné d'elle ces derniers temps. Si bien qu'il avait oublié son regard affectueux, ses pupilles dilatées par l'amour… ou la belladone.

            Elise joignait les mains devant sa fine bouche en jouant la timide. Harry lui fit des yeux de chiots désolés ce qui eut pour effet de les faire éclater de rire. Le jeune homme en oublia sa migraine et ses problèmes.

- Où étais-tu ? demanda Elise lorsque le calme fut revenu. Je t'ai téléphoné, j'ai laissé des messages… J'ai failli appelé la police, ajouta-t-elle comme une plainte.

            Puis elle s'approcha de Harry et effleura sa blessure. Celui-ci protesta vivement.

- Que t'est-il arriv ? continua la jeune femme.

- Je me suis cogné… murmura Harry.

            Il s'enfonça dans son canapé et ferma la télévision d'une simple pression sur un bouton de la télécommande. Il n'éprouvait aucun remord à mentir. Il tenait à garder sa rencontre secrète pour le moment.

- J'étais à l'hôpital, excuse moi, finit-il.

            Elise fit une moue boudeuse. Elle se doutait que son écrivain préféré lui cachait quelque chose.

- Je viens chercher les deux premiers chapitres de ton prochain livre, dit-elle en se dirigeant sans gêne aucune vers sa chambre et balayant ainsi une centaine de règles de la bien séance.

            Harry l'arrêta juste au moment où elle posait sa main sur la clenche de la porte. Elise savait où il cachait ses manuscrits et si elle découvrait qu'il avait pris une sérieuse avance sur le délai, il pouvait dire adieu à sa tranquillité. Il était prévu qu'il écrive 2 chapitres en trois semaines et un nouveau sentiment de fierté le saisit lorsqu'il pensa aux 123 pages qu'il avait déjà pondues et couvées comme une mère poule. Il fut tenté de le révéler à son amie mais résista.

            Harry rentra dans sa chambre et lui claqua la porte au nez. La pièce était faiblement éclairée mais les murs tapissés de couleurs chaudes et douces suffisaient à la rendre accueillante. Ses doigts de pieds vinrent caresser la moquette avec délice mais il n'eut pas le temps d'en savourer la texture. Il ouvrit prestement un tiroir de son bureau en bois et en sortit un gros paquet de feuilles écrites à la main. En sortant de sa chambre, il le tendit à Elise avec un large sourire, comparable à une grosse banane, touchant l'extrémité de ses deux oreilles.

* * *

- Ron !

            Le cri que poussa Hermione pour appeler son – futur - mari traversa la belle petite maison rurale et ricocha sur les murs avant de planer doucement dans l'atmosphère effervescente entretenue par toute la famille.

            Mr et Mrs Weasley, Fred, George et Percy aidaient les deux fiancés dans la préparation de leur mariage. Celui-ci avait lieu dans 5 mois et rien ne semblait marcher comme le voulaient les deux amoureux. Hermione rouspétait à longueur de temps, Ron rougissait lorsqu'il s'agissait des tenues des filles et Molly levait les yeux au ciel dès que l'occasion se présentait.

- Ron, répéta Hermione plongée dans une robe blanche à froufrou, j'ai reçu une lettre d'Albus Dumbledore !

            Le garçon qui était à table, examinant différents modèles d'invitations, leva la tête vers elle. Il regarda vite ailleurs en rougissant.

- Que te demande-t-il ?

            Sa femme était magnifique, il songeait parfois qu'il ne la méritait pas.

- Une entrevue avec moi, lui dit-elle après avoir survolé la lettre… dans trois semaines.

            Hermione fronça les sourcils : voilà qui était inhabituel.

* * *

- Monsieur Anderson ? appela l'infirmière – secrétaire. Le docteur Donovan va vous recevoir.

            Plusieurs personnes dans la salle d'attente s'insurgèrent faiblement. Harry les ignora et passa devant une paire de vieilles dames inséparables qui émirent un son de porte qui grince. Si elles avaient eux 10 ans de moins et des dents, elles l'auraient mordu.

Le garçon entra dans le bureau de Donovan et nota immédiatement l'odeur habituelle d'éther et de désinfectants. Il regarda un instant les diplômes posés en évidence sur le bureau et un poster du système digestif accroché au mur près d'une armoire à pharmacie bancale. Le médecin était lui assis à sa table de travail, le fixant derrière de belle lunette ronde et bleue, un sourire franc et amical aux lèvres. Ses favoris poivre et sel semblèrent s'hérisser de bonheur. L'homme avait entre 45 ans et portait les chemises blanches avec beaucoup de prestance.

Craig Donovan était un vieil ami du père de Harry. Jérôme et Craig avaient été deux associés à l'époque où les Donovan et les Anderson vivaient en France. Leur cabinet, un modeste immeuble près de Paris, s'était fermé en même temps que la mort avait frappé les deux familles. Le jour où Craig s'était aperçu qu'il avait perdu sa femme et son meilleur ami, il avait décidé de repartir pour la terre qui l'avait vu naître. Il avait ramené Harry aussi, dans un siège juste à côté du sien dans l'eurostar.

Il était maintenant médecin à Londres et occupait ses rares moments libres à oublier. Mais les yeux vert émeraude de Harry, le fils adoptif de Jérôme, ne cessaient de lui rappeler cette douloureuse période. En fin de compte, Craig ne voulait pas oublier, cela aurait été trop facile.

- Alors, mon jeune ami, s'exclama l'homme après un moment de silence. Qu'est-ce qui t'amène ici ?

            Harry lui adressa un sourire radieux et lui montra de son index les sparadraps qu'un externe débutant aux urgences avait maladroitement fixés. Craig fit une grimace malgré l'apparence anodine de la blessure. Il assit le garçon sur un lit et commença à le soigner.

- Ce n'est pas la seule raison qui motive cette visite, déclara le médecin en finissant sa tâche. Je me trompe ?

- Si tu pouvais me prescrire les anti-douleurs qui vont avec… dit le garçon en étouffant une plainte de douleur.

            Craig le fixa d'un air suspicieux et Harry soutint son regard. Le médecin n'avait pas l'habitude de signer un papier pour ses patients sur un simple coup de tête.

- Que t'ai-t-il arriv ? demanda-t-il brutalement.

            C'était le début du questionnaire à remplir obligatoirement.

- Accident de voiture. Mal de tête depuis, murmura Harry.

            Le docteur Donovan fut satisfait par sa réponse. Il acquiesça et signa l'ordonnance. Il la tendit à Harry qui l'attrapa, mais ne la lâcha pas :

- Il y a quelque chose d'autre que je peux faire pour toi.

            Il s'inquiétait, c'était évident. Harry ressentit un peu de honte à alarmer ses proches et lui jeta un regard qui se voulait rassurant.

- J'ai perdu l'adresse de Billy. J'ai besoins de lui parler.

            Il ressortit du cabinet, satisfait, les coordonnés de  Billy et l'ordonnance en main.

            William Donovan – Billy -, était un cousin lointain de Craig. Harry et lui avaient fait des études de criminologie ensemble et résolu quelques affaires assez difficiles. Billy travaillait pour la police et l'écrivain espérait de tout cœur qu'il avait assez d'influence pour fouiller le fichier central et grâce à une simple description, connaître le nom et l'adresse du mystérieux sauveur.

            Harry savait qu'il risquait beaucoup à demander cela. Corruption de fonctionnaire, prise illégale d'informations classées secrètes et utilisation à usage privé, abus de bien sociaux… Il y en avait assez pour pourrir 5 bonnes années en prison et être ruiné d'un simple verdict et coup de marteau. Mais Billy accepta non sans protestation et après un long plaidoyer.

* * *

            Draco sirotait un thé à la menthe que Zwinnie avait préparé avec un empressement de fourmi ouvrière. Pansy le regardait, profondément enfoncée dans un fauteuil onéreux. Enervé par le silence qui s'était peu à peu instauré entre eux, le mangemort avala d'un trait le fond de sa tasse et manqua de s'étrangler en avalant de travers.

- Par quoi devons-nous commencer ? demanda Pansy en lui tapotant le dos tandis qu'il toussait avec fureur.

- Je croyais que c'était toi, la spécialiste en recherche, répondit le blond d'une voix éteinte avant d'être secoué par une nouvelle quinte de toux.

            Pansy lui fit un sourire qu'il qualifia de « pas net » et il réprima un frisson. Il était fiancé à un tas gluant pathétique.

- C'est vrai, concéda-t-elle.

            Elle fronça les sourcils et se mordilla la lèvre inférieure, signe d'une grande réflexion. « Mais est-elle réellement capable de réfléchir ? pensa bêtement Draco. » Il avait toujours cru que sa mémoire ne dépassait pas les 30 secondes d'un voile de chine. Le mangemort croisa les jambes et regarda le feu magique qui crépitait bruyamment dans sa cheminée.

            Lucius lui avait révélé qu'il existait un vieux rituel de magie noire qui permettrait à Voldemort de retrouver son corps. Draco n'avait pas tout compris mais son père avait incroyablement insisté sur un point : il lui fallait le sang de Harry Potter. Le blond avait ri, croyant à une blague de mauvais goût, mais la mine sérieuse de Pansy – qui l'était rarement – l'arrêta instantanément.

            Pour trouver le sang de Harry Potter, il fallait d'abord trouver son corps. Ce n'était pas chose facile car personne dans le monde magique ne connaissait l'apparence que devait avoir le survivant – si celui-ci était vivant – à l'heure actuelle. Tout ce qui pouvait les mettre sur la voie était une ridicule petite cicatrice qu'une opération de chirurgie esthétique gommait d'un coup de scalpel.

            Draco mis ses mains dans ses poches, signe qu'il s'ennuyait et voulait étrangler son père. Il y sentit enfui au fond, le mouchoir blanc de l'étranger qu'il avait sauvé hier. Il y avait songé toute une nuit sans dormir. Comme si un simple moldu pouvait le tenir éveill !

Le blond pâlit jusqu'à ne devenir qu'un tas de farine amer. C'était la réalit : un moldu avait chassé son sommeil et, comble du désastre, l'avait levé à 7 heures du matin. On atteignait le surréalisme, la science fiction. Draco n'osait l'avouer mais porter secoure à quelqu'un l'avait secoué et il réalisait que ce qu'il avait dit à son père, « sauver un ange », n'avait pas été une de ses meilleures idées. Mais…

Après tout, il les avait bien vu, lui, les ailes du jeune homme.

- Pour commencer, déclara finalement Pansy en le faisant sursauter. Il nous faut freiner les recherches menées par le ministère et vérifier leurs pistes sérieuses. Cela nous évitera de les avoir dans les pattes. Ensuite, Lucius nous a donné une liste d'adresses et de noms qu'il va falloir éplucher comme des carottes.

            Elle sortit un long parchemin  qui se déroula avec souplesse. En voyant le nombre de personnes notées par son père, Draco tressaillit. Ils étaient mal partis…

* * *

Voilà pour le chapitre 2 ! ^_^ Je suis si contente de l'avoir fini… Même si ce n'est qu'un chapitre descriptif, ennuyeux, qui fait tapisserie.

Avant de m'avancer plus loin, je tiens à préciser certains points :

- Je ne suis pas médecin et peu m'importe le nombre de point de suture que l'on peut avoir en étant renversé par une voiture.

- Je ne possède pas en moi une connaissance absolue des tomes de Harry Potter.

- Je suis désolée d'avance pour les incohérences, les fautes d'ortho qui ont été et seront commises.

J'ai décidé de continuer mais… J'ai très peur de ne pas être à la hauteur donc si je vois que vous n'aimez pas, je ne continuerais pas. Ceux qui me connaissent, savent que j'abandonne aussi vite qu'une éphémère meurt.

Je remercie spécialement :

- Aura, ma copine qui a lu cette fiction et pourtant m'autorise à continuer.

- Umbre77 dont le génie dépasse le mien – si seulement j'en avais déjà -. C'est toujours un plaisir de lire ses fictions.

- Syl', ma sœur, qui devrait se magner de traduire parce que je ne lui laisserais pas une minute de répit.

Réponse aux reviews :

Morgian : Comme tu vois, je fais une suite. Je suis contente que tu aimes et j'espère que la suite te plaira autant. Merci d'avoir reviewer ! ^_^

sirie-stefie : Ben voilà la suite… T'as dû t'ennuyer pendant ce chapitre mai je te promet quelque chose de plus mouvementé après. Merci pour ta review !

laurie : Merci d'avoir lu et review ! Je suis contente que tu trouves ma fic bien. Merci !

Mely : Les retrouvailles ? Pour le troisième chapitre… Touchons du bois pour que ça se passe bien ! Merci d'avoir reviewé. Et j'espère que le chapitre suivant te plaira car celui-là n'est pas vraiment bon à mon goût.

Loline : Ben *rouge pivoine* merci ! ^_^

ShadowSaphir : ben oui… Il semble clair que ce sont les mêmes personnes. Mais Harry n'a pas abandonné la magie car dans cette fiction il ne l'a jamais connue. C'est un UA ^_^. Merci infiniment pour ta review.

phern : J'ai obéi à l'ordre. Tu auras une suite. T'as raison… Ca ferait trop bizarre en one shot, surtout maintenant que je continue et que mes idées sont en place. J'espère que ce chapitre t'a plus même si moi je préfère le suivant. Merci d'avoir reviewé.

cristal yuy : Ben Harry n'a jamais connu Draco donc impossible de le reconnaître. C'est un UA, désolée… ^_^° J'espère que cela ne va pas te faire arrêter de lire. T_T Merci pour ta review. Je suis contente que ça te plaise.

Katerinu : Ben voilà…. Tu connais la suite… Mais la rencontre c'est pour le prochain chapitre ! J'ai toujours aimé l'idée que Harry soit à part, qu'on l'oublie pour qu'il revienne plus en fanfare après. Ici, ils savent à peine s'il existe ! Merci d'avoir reviewé.

YunaFab : Waouw, quelle longue review ! Merci ! Et ben malgré quelques erreurs, je dois admettre que tu es dans le bon. Certaines précisions sont pour la suite donc je ne vais rien te révéler.

Mais je peux déjà te dire que Sirius est connu principalement pour trois choses : être le seul parent encore vivant de Harry, être toujours sain d'esprit après Azkaban et enfin, rechercher Harry à travers tout le continent tout simplement parce qu'il l'aime… Mais de toute façon, on ne va pas le revoir avant longtemps.

La mort de Pansy n'est pas planifiée car elle aura un petit rôle à jouer par après. Des infos sur Jewel dans le courant du chapitre 4. Les retrouvailles dans le chapitre 3. Je ne m'intéresserais qu'à la deuxième année de Draco à Poudlard pour un personnage en particulier. Pour une suite ? Je travail comme un escargot alors je suppose que je travaillerais lentement et de manière irrégulière. T_T

Je suis contente que tu aimes et j'espère que l'aspect rebutant de ce chapitre ne va pas te faire fuir… 

turtos : Ben… Voilà la suite ! Les mystères seront résolus rapidement. Merci pour ta review.

Dumati : Ce n'est plus un one shot, officiellement. Mais j'espère que ce que je vais écrire va te plaire car je ne me sens vraiment pas prête pour une fic à chapitre sérieuse…. Je suis contente que tu aies aimé. Merci ! ^_^

julie : Voil ! je te promets un chapitre 3 ! Oops… j'm'avance un peu vite… Merci pour ta review.

Yami aku : Je suis contente que ça t'aies plus. J'ai décidé de faire une suite et j'espère que ça te plaira.

Saturne.hl : Alors j'espère que la suite ne va pas tout gâcher car ce chapitre 2 n'est la que pour engager la suite. T_T Merci pour ta review ^_^

ithil'quessir :  Waouw ! J'adore ton pseudo ! ^_^ C'est normal que tu sois tout embrouillé. Cette fiction est un UA sinon ça n'a plus de sens ! J'espère que ça ne va pas te faire arrêté de lire ! Je tens vraiment à mon lectorat ! Ben voilà la suite ! Si je n'entends pas parlé de toi après avoir posté ce chapitre 2, promis, je te préviens !

Blaise le poussin masque : Pour commencer : j'adore vos fics ! Ca pourrait rester un one shot mais comme j'ai décidé de continuer, on verra si c'est bien. Je vais vraiment m'investir dans cette fic alors vous n'avez qu'à bien vous tenir ! Merci beaucoup d'avoir review ! ^_^ J'espère que ça va vous plaire.

Noa Dark : Merci pour toi ces compliments ! Merci beaucoup d'avoir reviewé et il faut vraiment que je me démène pour que la suite ne te déçoive pas. ^_^ Encore merci !

Choléra : En fait, le passé de Harry est abordé vers la fin de cette fiction. Quant au ton de l'histoire… Je vais devoir écrire de moins en moins et je n'aurais pas le temps de peaufiner mes chapitres. J'espère que tu vas lire la suite. Merci d'avoir review ! ^_^

Eowyn10 : Je suis contente que vous ayez lu ! C'est encourageant ! J'ai aussi très peur de te décevoir. Et merci pour ta review.

Meg : J'en connais une qui va être contente ! Je me charge personnellement de t'apporter ce texte à l'école… Merci d'avoir reviewé et les autres peuvent te dire merci : c'est un peu grâce à toi qu'ils ont une suite. A plus ! ^_^

Encore merci à tous et à la prochaine !!!!