Chapitre 3 : Ton thé t'a-t-il ôté ta toux ?

Draco était confortablement installé dans son lit, dans une main une tasse de thé chinois et dans l'autre, un bouquin singulièrement ennuyeux qu'il s'obligeait à avaler depuis une semaine : « Les oubliettes des songes » écrit par Jean Viens. « Les oubliettes » classaient, par ordre d'apparitions dans la culture sorcière, les différents sorts de mémoire et d'oubli existants. Par ce moyen fort long et agaçant, le blond espérait sans trop y croire, trouver une formule qui lui permettrait d'oublier définitivement la rencontre qu'il avait eue 3 semaines plus tôt avec « LE moldu ». (Il ne l'appelait plus que par ce nom.) Mais c'était peine perdue, tous les traits du jeune homme était gravé dans sa mémoire comme une date sur une pierre sépulcrale. Son sourire, ses yeux, ses cheveux et même – Draco déglutit avec difficulté – son corps sous le sien.

Au début, il s'en était accommodé, s'était même plaisant d'y penser, d'autant plus que l'homme était plutôt beau. Mais très vite ça c'était révélé source d'ennuis : la tête ailleurs, il accumulait gaffes, imprudences, maladresses. Pansy le lui avait fait remarqué et depuis, sa présence en devenait insupportable.

Draco referma brusquement le livre et le lança à travers la pièce avec véhémence. L'objet alla frapper le mur d'en face brutalement avant de tomber lourdement sur le parquet de haute qualité. L'image de la première de couverture rouspéta faiblement et le thé du mangemort se secoua dans sa tasse. Non, le mieux était de trouver une pensine et le plus tôt possible.

Mais peut-être qu'un autre moyen existait ? Revoir le moldu, s'assurer qu'il allait bien, lui rendre son mouchoir… N'était-ce pas là, la meilleure façon de se débarrasser l'esprit ? Si Draco était de mauvaise humeur, n'était-ce pas tout simplement parce qu'il cherchait à le revoir ? Le garçon chassa rapidement ses questions de sa tête et appela Zwinnie pour plus de thé. Le sort d'un moldu parfaitement – beau - et inconnu ne le regardait absolument pas.

Il fut servi dans le salon et Draco huma avec plaisir les différents parfums d'infusions qui envahirent la pièce. Il regarda ensuite le petit paquet que Pansy lui avait fait parvenir tôt dans la matinée par hiboux express : une fiole effilée contenant une touffe de cheveux noirs et épais. La jeune fille lui avait fait parvenir une petite note que l'on devinait grattée à la va-vite :

Mon très cher Draco,

Si tu as des doutes sur l'identité d'un moldu suspect. Arrange-toi pour lui faire toucher ce flacon. Le vrai Harry Potter devrait réagir plutôt violemment à son contact.

(s) Pansy P.

Le blond se brûla la langue en avalant son thé avec trop de rapidité. Il fronça les sourcils, peu convaincu par le manque d'explications que donnait sa fiancée. « Que veut-elle dire par « réagir violemment ? » se demanda Draco. » Il haussa les épaules, résolu à faire comme on le lui conseillait.

Il se promit de passer un moment au ministère pour prendre des nouvelles des recherches concernant Harry Potter. Il avait récemment diminué les subventions accordées à cette cellule spéciale des aurors et freiné leurs champs d'action. Mais Sirius Black était un ami intime de Dumbledore et même si celui-ci ne s'occupait d'aucune manière des recherches, il avait tout de même le bras long.

Alors que Draco naviguait à loisir dans les méandres de ses pensées, il fut interrompu par une sonnerie stridente. Il lui fallut quelques secondes pour réaliser qu'elle provenait de l'entrée moldue de sa maison.

Lorsque Lucius Malfoy avait acheté la demeure de son fils, il n'avait pas oublié de prévoir un filtre anti-moldu. Celui-ci permettait à un sorcier de recevoir la visite d'un moldu tout en camouflant la véritable apparence de la maison. Ainsi, là où Draco voyait Scrutoscopes, pendules à 6 aiguilles, tableaux mobiles, la personne qui était derrière sa porte ne verrait que simples gadgets et bricoles sans sens magique. Mais Draco savait qu'on n'était jamais trop prudent et activa lui-même, d'un simple coup de baguette, un sort de haut niveau pour renforcer les barrières. Il n'oublia pas d'ordonner à Zwinnie de « débarrasser le plancher ! ». Plusieurs stupides sorciers, s'étaient vu trahis par un serviteur trop imprudent.

Draco Malfoy alla ouvrir la porte. En voyant qui était derrière, il manqua de faire un triple saut arrière et de rater sa réception. Il n'eut pas le temps d'argumenter avec sa conscience de la note qu'il aurait obtenue devant un jury moldu.

« Le moldu » se tenait là, devant lui, et cette fois, bien assuré sur ses jambes. Il tenait à la main un bout de papier chiffonné et un béret bleu foncé. Draco pouvait voir, cachée par une mèche de cheveux frivole, un sparadrap discret.

- Bonjour, murmura le moldu.

On devinait dans sa voix cristalline beaucoup d'appréhension et une volonté de continuer mais il s'arrêta là, sans doute vaincu par sa timidité. Draco sentait que rester devant sa porte avec un sourire niait sur le visage n'aiderait pas son bel inconnu. Il lui fit une grimace peu convaincante.

- Et bien ! s'exclama-t-il. Je ne pensais pas vous revoir un jour…

Le brun réagit d'une façon follement inattendue en entendant ces mots et sursauta comme frappé d'horreur.

- Je suis désol ! débita-t-il en Vitesse grand V. Je ne pensais pas que je vous dérangerais. Excusez-moi !... Je… Je venais juste vous remercier de m'avoir sauvé il y a trois semaines. Et je…

La main douce et énergique de Draco l'interrompit. Le blond était parti dans une crise de fou rire hallucinante. Harry ne savait s'il devait se sentir gêné, insulté ou tout simplement suivre le jeune homme dans son délire. Il était encore en train d'en débattre intérieurement lorsque Draco le prit par le poignet de sa main droite et l'entraîna dans les couloirs de sa maison. Sans lui demander son avis, il le débarrassa de manteau, écharpe, béret et l'assit sur un beau fauteuil près du feu. Il cessa de rire en voyant la mine éberluée de jeune homme qui n'osait le regarder.

Les joues du brun étaient délicieusement rouges. Draco ne savait pas comment il pouvait se retenir de les pincer pour y faire affluer encore plus de sang. C'était comme deux belles Coxs Oranges sucrées. Harry sentait les yeux du blond fouiller son allure, à la recherche de la moindre faille. Lorsqu'il releva la tête, Draco Malfoy souriait tendrement.

- Vous vous excusez toujours ainsi lorsque vous rendez visite aux inconnus ? demanda celui-ci.

Harry sembla se calmer en entendant le ton serein que son interlocuteur avait employé. Il acquiesça tout simplement et lui-même se prit à le regarder. « Diable ! pensa-t-il. Il a bien plus de classe que Mrs. Idaire. » Ce qui était humainement obligatoire compte tenu du fait que Fridg Idaire se baladait avec un sac poubelle dans les cheveux mais le garçon était tout simplement trop occupé pour se rendre compte que sa pensée était idiote.

- Cela fait des jours que je vous cherche, dit Harry. Je crois que je puis affirmer sans mentir que c'était presque vital pour moi de vous revoir… Je ne connais toujours pas votre nom, finit-il par demander en levant la tête vers le blond.

- Draco Malfoy, pour vous servir.

- Harry Anderson.

Ils sourirent tous les deux et se serrèrent la main.

Draco était soulagé. Il lui paraissait que 3 semaines de mauvaise humeur intempestive s'effritaient d'une simple poignée amicale. Le nom complet de Harry Anderson vint frapper les murs de sa mémoire et les faire résonner pour l'éternité mais le blond n'avait jamais eu assez de cours de mathématique pour savoir que cela représentait un temps indéfiniment long.

La présence du brun le rassurait et pour la première fois dans sa misérable vie, il comprenait le sens de l'expression « être sur un nuage ». En quelques secondes, un tiroir entier de son cerveau fut réquisitionné pour expliquer, classer soigneusement tout ce qui concernait le jeune homme. Ca allait de son insoupçonnable habitude à se mordiller légèrement la lèvre inférieure à son incroyable sens de la conversation, une fois qu'il était en climat de confiance. Draco nota même une préférence visible pour le café lorsqu'il annonça que lui-même n'en buvait jamais et que de ce fait, qu'il n'en avait pas.

Harry avait enfourché son cheval de bataille et semblait parti dans l'évolution de la littérature anglaise du le XVème siècle à nos jours. Lui qui avait si peu d'éloquence parlait soudaineent avec une aisance peu commune. La discussion aurait pu paraître totalement ennuyeuse à Draco si Pansy lui avait expliqué qu'Eric Malpass avait révolutionné la littérature infantile. Mais tout paraissait passionnant tant que ça venait du brun.

Le temps passa – trop – vite mais fut largement suffisant pour que les deux hommes soient liés par quelque chose. Dans ces moments là « quelque chose » est trop abstrait pour être compris facilement. La première chose que l'on sait, c'est que « cela » existe et que « cela » vous poursuivra toute votre vie. Par la suite, on se rend compte que ça fait pousser les fleurs, que c'est doux au touché et intense dans les yeux. On sait que ça fait sourire stupidement dans la rue. Mais c'est seulement lorsque une gamine de 7 ans vous regarde passé devant la boulangerie en déclarant d'un rire juvénile : « Il est amoureux ! », qu'on ce rend compte que cela vous mènera loin, par delà les montagnes, par delà la souffrance, par delà la haine et la corruption. Enfin, cela ne se lâche pas comme un vulgaire ballon bourré d'hélium. Juste, prions le ciel que ça ne se fane pas.

Juste, prions le ciel que ça ne tue pas.

(N/A : Pardonnez-moi ce passage. TT)

Mars était un des mois préférés d'Albus Dumbledore. Il se plaisait souvent à regarder à travers la fenêtre de son bureau les jonquilles s'éveiller doucement avant de s'attaquer à son courrier. Celui-ci comptait en général 2 à 5 beuglantes bien assaisonnées, une dizaine de réclamation, quelques demandes d'emplois et parfois, une lettre de son frère. Au printemps, la neige fondait pour donner la vie et Dumbledore considérait se geste comme l'ultime preuve d'amour que donnait la nature pour les êtres vivants de la terre.

Le directeur s'assit lourdement sur sa chaise professorale et regarda Fumsec amorcer un atterrissage des plus réussis sur son bureau. Le phénix laissa échappé quelques trémolos apaisants.

On toqua doucement à la porte. Albus soupira, il était temps pour lui de mentir, commander, pour le bien de tous. Parce que tous avaient l'habitude de faire mal les choses sans lui.

- Entrez ! s'exclama-t-il.

Hermione Granger rentra dans la pièce… à l'heure. Comme toujours.

Après les salutations de routine, la jeune fille le regarda avec un regard interrogateur et le directeur crut y lire une pointe d'inquiétude.

- Miss. Granger, je vous ai fait venir pour vous entretenir d'une affaire de la plus haute importance. Je veux parler par là de votre enfance.

Hermione ne pu empêcher un large sourire d'étirer ses lèvres. Elle aurait éclaté de rire si elle n'avait pas su le vieil homme sérieux.

- Vous souvenez-vous de vos camarades de classe de primaire ? continua celui-ci.

- Et bien, répondit-elle. Je me souviens bien de certains d'entre eux. Mais je n'ai gardé de contact à long terme qu'avec... Tiens… Quel était son nom ?…

Hermione fronça les sourcils, cherchant dans sa mémoire le nom de… de… de comment déj ??? Elle ne lui avait plus écris lorsqu'il était parti pour la France. Un moldu pourtant sympathique et toujours près à lui donner son amitié.

- Ce n'était pas Harry Anderson ? proposa Dumbledore avec une étincelle de malice dans les yeux.

- Mais oui… Mais.

Hermione Granger afficha un air de surprise bien vite remplacé par son habituel regard d'intelligence. Le véritable nom de Harry n'avait-il pas été « Potter » ?

- Vous n'êtes pas en train de me dire que le Harry que je connais est le fameux Survivant de Vous-Savez-Qui ? Si… Sinon pourquoi le connaissez-vous et pourquoi m'en parler ?

- C'est exactement cela Miss Granger.

Les deux personnes restèrent silencieux un moment. Hermione savait très bien que demander à Dumbledore la raison de son mutisme pendant des années sur cette affaire était totalement inutile.

Ses souvenirs sur Harry Anderson semblaient lui revenir. Un garçon squelettique, jouant avec elle pendant les récrés – lorsqu'on ne les embêtait pas -. Toujours gentil et serviable… Elle le savait car c'était ces propres parents qui avaient appelé l'assistante sociale. Par la suite, elle était venue le voir au collège St Brutus et lui avait écrit. Même pendant ses années à Poudlard, personne n'avait jamais su qu'elle lui avait envoyé plusieurs hiboux. Un jour il fut adopté et disparut en France quelques temps plus tard.

- J'ai l'adresse actuelle de Harry Anderson. Il habite désormais à Londres. Croyez-vous pouvoir le revoir ? Les choses risquent de changer cette année et ce n'est pas en bien.

Hermione sortit de ses pensées et regarda attentivement le visage d'avertissement de son aîné. Des rides y courraient comme des fleuves creusant des vallées dans des montagnes d'années.

- Cela fait 3 ans que je n'ai plus de nouvelles de lui, professeur. Mais je ferais de mon mieux pour l'ordre.

- Surveillez-le bien, acquiesça l'homme.

Elle se leva mais il l'arrêta avant qu'elle ne sorte :

- Pas un mot de ceci à Sirius Black, Miss. Granger. Je lui dirais mais pas maintenant.

Lorsque Hermione rentra dans sa chambre au Terrier, Ron l'y attendait. En voyant son visage inquiet et un peu suspicieux, elle décida de passer sous silence sa conversation avec Dumbledore. Le rouquin était un peu jaloux et lui parler d'un de ses vieux amis n'était pas la meilleure chose à faire.

Lorsqu'elle vint s'assoire près de lui, il la prit tendrement dans ses bras et elle sentit les vieux démons de son futur mari refaire surface.

- Qu'est-ce qu'il y a ? lui demanda-t-elle avec une voix débordant d'amour et en se serrant contre lui.

Il resta un instant silencieux.

- J'ai vu Ginny aujourd'hui, finnit-il par murmurer.

Il sentait déjà les larmes lui brûler les yeux dans le seul but de déborder.

- Comment va-t-elle ? continua Hermione en sentant elle-même la tristesse s'emparer de son cœur.

- Ce matin… elle ne m'a pas reconnu.

Ils soupirèrent de concert.

Harry remarqua l'heure tardive lorsque son estomac fit un sol dièse long et tristounet dans son ventre. Il ne passa pas inaperçu à Draco qui sentait venir la fin de leur discussion fabuleuse sur Paris ville de lumières.

- Je vais devoir m'en aller maintenant, déclara Harry.

Draco réalisa à ce moment qu'il n'avait pas travailler et que Pansy lui ferait une crise caractérisée d'énervement suivit d'une envie pressente de « gros câlins tout mouillés ». Tout cela parce qu'il avait la stupidité de passer la journée avec un moldu. Il sentait sa mauvaise humeur refaire surface et ce promis que c'était la dernière fois qu'il se prenait dans une discussion de littérature anglaise pour la simple et bonne raison que c'était la dernière fois qu'il parlait à un moldu de sa vie. .

- Je serais ravi de vous inviter demain à au restaurant, dit doucement Harry alors qu'il était au seuil de la porte, emmitouflé dans sa veste.

Le brun glissa dans la main de Draco une adresse écrite rapidement sur un bout de papier.

- J'aimerais vraiment que vous veniez. J'y ai rendez-vous avec quelques amis œnologues. Ca commence à 7 heures.

Harry adressa à son hôte un ravissant sourire, rempli de bonheur, lui dit au revoir et sorti. Draco resta longtemps immobile devant sa porte avant de se rendre compte à quel point s'extasier devant un morceau de bois était véritablement ridicule.

Harry fit des bons heureux sur le trottoir. Les passants dans la rue le regardèrent bizarrement et s'écartèrent de lui, avouant ainsi sans gêne qu'ils le pensaient fou à lier. Mais l'écrivain n'en n'avait cure. Sans doute parce qu'il venait de passer une journée fabuleuse.

Il avait aimé parler avec cet homme. « Son sauveur » comme il l'appelait. Draco Malfoy était quelqu'un de gentil, spirituel, avec beaucoup de carrure. Mais même avec tous les mots que Harry connaissait, il ne pouvait décrire ce qu'il ressentait au final. La complexité du caractère de Draco l'avait troublée et il était sûr que ce beau blond cachait beaucoup d'atouts et même quelques faiblesses.

Sa maison était normale et admirablement propre. Mais nul doute qu'il employait un domestique, ça se sentait dans l'air.

Le jeune homme sourit. Il lui faudrait attendre avant d'en savoir plus. Il entendit le rire de Draco raisonner dans ses oreilles et se sentit rougir. Il sera de sa poche le papier où été inscrite son adresse. Il allait devoir remercier Billy.

Il y avait deux messages pour lui à l'immeuble. Dans l'ascenseur, Harry lut le premier qui venait d'Elise :

Les deux premiers chapitres sont parfaits. Je passerais demain prendre de tes nouvelles.

Il soupira. Elise ne voulait vraiment pas le lâcher une seconde. Elle allait encore poser une tonne de questions gênant s'il lui avouait où il avait passé la matinée.

Harry regarda attentivement le second message. Il se figea en lisant la signature. Jewel lui avait écrit. Il eut beau relire et relire le nom, ça ne faisait que confirmer l'évidence. Il frappa sur le mur latéral de l'ascenseur, laissant libre court à sa colère.


Voilà pour le troisième chapitre. J'espère que vous allez l'aimez. En tout cas… Merci à tous ! Vous m'avez envoyé tant de messages d'encouragement !

Pour continuer sur une note un peu moins drôle… Mes examens approchent à grands pas dynamique et j'espère que vous comprendrez lorsque je vous dirais que vous n'aurez peut-être pas de nouveau chapitre avant…. la mi-août. Enfin… Ce n'est pas encore certain. J'aurais peut-être le temps d'en faire un plus tôt.

Encore une annonce : ce chapitre est dédié à Meg. Joyeux anniversaire ! J'espère que ce 3ème chapitre te fera plaisir.

Onarluca : Je suis contente d'avoir une nouvelle lectrice ! Je me demande si ce chapitre t'a plus autant que les précédents. En tout cas, merci pour ta review, ca fait chaud au cœur !

Celine.s : Contente que tu aimes !!! … Ben oui… C'est idiot d'aller chercher le sang de Harry alors qu'ils l'ont sous la main. Quand j'y pense, ça fait vraiment bizarre.

Alveane : Merci d'avoir reviewer. Surtout si tu ne le fais pas souvent. Ca fait plaisir. Tu trouves qu'elle ressemble à cœur de cristal ? Oui je l'ai lu (magnifique fiction incontournable !). C'est vrai que le but est le même : retrouver Harry Potter. Mais crois-moi ou pas, la suite va être différente.

Noa Dark : De rien ! Je voulais vraiment faire une suite, alors… Je suis rassurée que tu aimes parce que je dois dire que tu es une des personnes que je ne voulais vraiment pas décevoir. Et bien maintenant que tu sais comment ils se sont retrouvés et que Harry est déjà l'ami de Hermione… Je suis sûre que tu vas te demander quand est-ce qu'on retrouvera Sirius.

Evano : Merci ! J'ai fais de mon mieux pour le 3.

Paradoxe 3.14 : Tu as raison. Je n'abandonnerais pas. Euh… Enfin j'espère. Je suis contente que tu continueras à lire parce que je ne sais jamais si les revieweurs occasionnels suivent toujours l'histoire. Merci pour ta review.

4rine : merci beaucoup ! Comment as-tu trouvé ce chapitre ? Merci pour ta review.

YunaFab : C'est vrai que ça a pris du temps mais en contre partie, ce chapitre tombe plus vite. Je dois dire que je suis assez irrégulière. Ca dépend si je suis motivée… C'est bizarre mais j'ai jamais pensé que c'était ironique… Mais maintenant que tu le dis. Ca va lui faire tout drôle quand il s'en apercevra. J'espère que j'ai été rapide. J'ai fait de mon mieux. Merci beaucoup pour ta review !

Rcoll : Ben voil ! C'est bizarre mais quand j'ai imaginé comment les rassembler, j'ai pensé tout de suite à un policier… merci pour ta review !

Morgian : J'espère que tu as aimé ces retrouvailles. Ca fait des mois que je les ai imaginées comme ça, impossible de changer ! Merci pour tes encouragements !

Yami aku : Voilà la suite de la suite… c'est encore mieux d'après moi qui aie abandonné les trois quart de mes fics. Je crois qu'on aura pas beaucoup d'autres persos. Ce que par contre je trouve dommage, c'est de ne pas pouvoir donner un plus grand rôle à Craig Donovan. J'espère que tu l'aimes, c'est un de mes préférés ! Merci pour ta review.

Alex : Merci pour ta longue review ! Ca fait toujours plaisir. Je n'arrêterais pas. Je suis contente que tous ces points de ma fiction te fassent plaisir. Je me donne vraiment du mal à bien écrire. Et non. Les armes ne marchent pas avec moi… Mon ordi est équipé anti-mine et balles de fusil. Quoi ? De longue review ? Ah mais si tu me prends par les sentiments ! Les reviews, j'adore ça ! Merci pour tes compliments mais je crois que j'ai encore beaucoup à apprendre avant d'égaler les auteurs de ff.net. Ben, si on admet que Harry est une véritable légende, je crois qu'on peut attendre quelque chose d'assez saisissant pour la rentrée dans le monde sorcier. Mais je ne dirais rien… Merci encore !

Alinemcb54 : C'est sympa de reviewer !!! Merci beaucoup !

Eowyn10 : OK ! Je ne m'en inquiète pas et j'écris. Ce qui m'est assez facile c'est temps-ci… Ben oui… Harry n'a jamais connu Poudlard et visiblement, il est resté chez les Dursley quelques temps. J'espère que le suite te plait !

Encore merci à tous, revieweurs et lecteurs silencieux ! Bye !