Chapitre 5 : Un patineur sachant patiner (sans son chien bien sûr !)
Lucius Malfoy marchait calmement dans les sous-sols du Manoir, un peu tendu comme chaque mercredi. Le mercredi, pour une bonne partie des mortels, signifie « milieu de la semaine » ou « plus que deux jours de calvaire, Dieu merci ». Pour Lucius Malfoy ça signifiait le rappel de tous ses échecs. A la fois en tant qu'homme et en tant que père. Mr. Malfoy senior vivait avec la certitude qu'il n'était plus un homme car il n'avait jamais réussi à détruire ce qui faisait de lui un esclave (Voldemort). Il était également certain de ne jamais avoir été un père car sa seule et unique progéniture (Draco) refusait de le suivre, de vivre dans le même état que lui… Ce qui était celui de tenir lieu de paillasson humain pour un être abjecte et sans cœur (Re-Voldemort).
En même temps, sa majesté roi des non-hommes (Lucius, suivez un peu !) était partagé entre son dévouement pour les valeurs de sa famille (Voldemort) et sa fierté pour celui qui partageait la moitié de son bagage génétique (Non, pas Voldemort, Draco !). A la réflexion, non, Lucius n'éprouvait aucun sentiment pour son fils.
C'est sur cette pensée qu'il arriva à la porte de la plus lugubre des salles de son château. Dans son cœur (s'il en avait encore un…) régnait un tel désordre qu'il se prit à s'imaginer en une espèce de Frankenstein voué à une fin sordide. Il s'imaginait déjà dévoré par un boa constrictor lorsqu'une vive douleur à son bras gauche le rappela à l'ordre. Malgré des années d'entraînement, il ne pu réprimer un léger frisson : Cela faisait toujours aussi mal. Il se cola un masque de tragédie grecque imaginaire sur la figure avant de rentrer.
Aussitôt, une odeur âpre de cendre et de pourriture lui prit à la gorge. Un haut le cœur secoua son corps et il vida le contenue de son déjeuner par terre. Il s'appuya fébrilement au mur qui suintait l'humidité et le manque d'entretien. Du fond de l'obscurité dense de la pièce, une voix froide et profonde s'éleva.
- Cela fait deux ans que je vis ici, Lucius. Est-ce que je me plains ?
Malfoy sentit la voix du Seigneur des Ténèbres l'envahir, comme un torrent d'eau glacé. Il crut un long instant qu'il allait étouffer et déjà, regrettait ne pas avoir pris un dernier verre de whisky avant de mourir. Il sentait les ténèbres venir enserrer son cœur d'un étau brûlant. Quelques gouttes de sueur coulèrent le long de ses joues comme des larmes perdues qu'il aurait oublier de verser pour une de ses anciennes victimes. Lucius avait toujours pleuré. Pour chaque enfant, pour chaque femme enceinte qu'il avait éventrée, il avait toujours éprouvé des regrets. Au moment où il sentit son âme quitter son corps, Voldemort cessa son manège et l'atmosphère de la chambre changea du tout au tout.
- Tu ne m'apportes pas de nouvelles ?
Malfoy senior, toujours un peu troublé, secoua la tête avant de se diriger vers le chaudron qui était posé au milieu de la pièce. Chacun de ses os jouaient des castagnettes.
Il versa un liquide argenté qui tomba dans une eau croupie. Quelques lueurs apaisantes tentèrent de résister au mal avant de s'effacer à l'intérieur du chaudron.
- Et ton fils ?
- Toujours sans nouvelles du fils Potter, répondit le richissime homme d'affaires.
- Il serrait temps qu'il se presse… grogna la voix du Seigneur des Ténèbres.
Lucius se retourna vers la porte de sorti, tentant de cacher son impatience.
- J'envoie aussitôt quelqu'un pour le surveiller.
Puis, il sortit, essayant d'ignorant les bruits de succion qui caractérisait chaque dîner de son maître.
- Dépêche-toi !
Elise avait un sourire éclatant de joie. Ses rollers se cognait aux dalles si coûteuses du jardin de luxe et Harry tentait vainement de tenir debout sur les siens.
- Je vais te tuer ! s'énerva-t-il avant de tomber à la renverse et d'atterrir durement sur les fesses. Je te signale que tu dois m'apprendre à patiner et non te moquer de moi à chacune de mes tentatives de tenir debout.
L'éditrice se retourna pour le regarder et ne pu retenir un sourire mélancolique. Ils avaient beau avoir rompus tous les deux, elle ne pouvait commander son cœur qui aimait (et aimerait sans doute pour la vie) les qualités et les défauts du jeune auteur. Elle était certaine que le jour de la mort de Harry, la Terre s'arrêterait de tourner, le soleil d'exister et Mars de fasciner les Hommes. Elle roula jusqu'à lui et lui offrit sa main comme aide. Elle l'avait déjà fait un jour, mais pas dans ce sens là. Mais cette fois-ci, il l'accepta.
- Il est tard tu sais, lui souffla-t-elle. Tu n'attendais pas quelqu'un ?
Harry resta un moment dans ses pensées puis réalisa avec affolement que Hermione aurait dû passer il y avait déjà une heure. Il ouvrit de gros yeux effrayés et en voulant courir prévenir Jo, le gardien, il s'étala à nouveau à terre, comme une vulgaire crêpe.
Elise se mordit la lèvre inférieure dans une tentative désespérée de garder son sérieux mais ne pu tenir longtemps et fini par éclater d'un rire tonitruant. Le jeune homme la regarda un instant fâché mais la rejoint très vite.
Avec leurs deux rires, le jardin éclatait de bonne humeur, si bien qu'ils ne remarquèrent pas que quelqu'un participait également à leur joyeuse fête. Ce fut Harry qui la remarqua le premier. Elise s'arrêta de rire aussitôt qu'elle l'eut vit bondir dans les bras d'une femme. D'une autre femme. D'une autre femme qu'elle ne connaissait pas.
- Hermione ! Mais que tu as changée ! s'exclama Harry.
Pour seule réponse, la jeune fille lui sourit.
- Tu as l'air tellement… hésita-t-il… belle.
Puis il la serra dans ses bras et déposa deux baisers sur ses joues de soie.
- Et toi donc… Je suis tellement ravie de te voir si grand, heureux, mignon et… mari ?
Elle regarda avec amitié Elise qui s'appliqua à faire passer l'animosité qu'elle ressentait dans ses yeux.
- Oh… Excusez-moi toutes-les deux, dit Harry, confus. Elise, voici Hermione Granger, une amie d'enfance perdue de vue et que voilà retrouvée.
L'éditrice serra à contre cœur et furtivement la ravissante main de la sorcière qui resta un instant désarçonnée.
- Hermione, Elise et moi ne sommes pas mariés. Il s'agit de ma directrice d'édition et, de mon conseiller artistique comme elle le prétend !
Elle le foudroya du regard. Les deux femmes prononcèrent un vague « enchantée « très peu convaincant et Elise décida soudainement qu'il était bon pour elle d'être surchargée de travail.
- Harry, tes feuilles s'il te plait, dit-elle d'un ton froid et distant.
Le jeune homme se rappela vaguement lui avoir promis ses chapitres écrits d'avances en contre partie d'un cours de patins. Très peu fructueux. Il sortit un paquet de feuilles de sa sacoche. Elise prit alors congé sans aucune politesse.
- Alors ? Que deviens-tu ? demanda Hermione en reposant avec délicatesse la délicieuse tasse de café que lui avait offert Harry.
Ils étaient tous les deux installés dans le salon de celui-ci et partageaient avec amitié l'arôme d'un « BlueMountain de la Jamaïque ». « Sans doute le meilleur café au monde, pensa la jeune sorcière. (1)»
- Rien de spécial… Je suis écrivain.
- Vraiment ? s'étonna-t-elle. Et… et tu as du succès ?
- Plutôt, dit-il avec modestie.
Il avala une gorgé de son café préféré. Un instant, il lui sembla soupçonneux que son amie ne soit pas au courant de ses activités. Si elle ne l'avait pas retrouvé sa trace grâce à sa notoriété, comment l'avait-elle fait ?
- Et côté cœur ? continua Hermione avec un petit sourire malicieux. Tu ne vas pas prétendre qu'il n'y a rien entre Elise et toi ?
Les joues de Harry se marbrèrent de rose.
- Nous sommes… euh… sortis ensemble un moment. Puis… Tu sais, bien. Chaque couple s'effrite un jour comme une vulgaire feuille morte.
Hermione souffla dans son café tandis qu'un léger silence s'imposait dans la pièce. Elle le regarda intensément.
- Je te trouve bien pessimiste, murmura-t-elle finalement. Il suffit pourtant d'un peu de chaleur et d'amour pour animer un ménage, non ?
Elle était surtout troublée. Son ménage à elle. Où allait-il atterrir ? Au milieu de la guerre contre Voldemort et d'une déchirure politique ? Harry remuait dans son siège, un peu mal à l'aise, assis sur des clous.
- En faite, tu ne m'avais pas dis que tu te mariais ? demanda-t-il dans une tentative lamentable de détourner la conversation. J'exige d'être présent !
- Bien sûr, sourit Hermione.
Il pleuvait des cordes. Sirius regardait les gouttes s'écraser au sol comme des milliers de petites billes grises. Son chapeau était trempé. Il surveillait l'immeuble d'en face depuis un bon moment, ses pensées perdues au milieu de souvenirs pénibles. Il se demandait comment accoster au plus vite.
Comme il était déprimant de se rendre compte que chacune de vos actions jusque là étaient veines, programmées, stupides. Il se tuait à la tâche depuis tant d'années pour trouver son filleul et voilà qu'il découvrait que, depuis tout ce temps, quelqu'un (un vieil homme dont il tairait le nom) se moquait de lui.
Sirius sortit une cigarette (2), il l'alluma en claquant des doigts et en tira une longue bouffée qui le réconforta. Il souffla tout doucement et la fumée se diffusa dans l'air comme un épais brouillard de décembre. L'auror regarda les vitres des appartements avec mélancolie. Savoir que Harry se cachait là le remplissait bizarrement de patience.
Une ombre furtive attira son attention. Elle était là depuis un moment déjà, assise sur le banc d'en face. Cette vieille dame qui distribuait du pain aux pigeons dégageait quelque chose de… magique.
Il s'en approcha silencieusement, comme un préfet de discipline de mauvaise humeur, prêt à faire tomber n'importe quel élève qui courrait dans les couloirs où dont l'uniforme ne serait pas conforme au règlement.
- Il pleut grand-mère, ne serait-il pas temps d'aller s'abriter ? marmonna-t-il.
La vieille dame sursauta et se retourna. Elle feignit l'incompréhension et fit un large sourire, chargé de rides à Sirius qui lui répondit par un rictus de mauvais augure. Aussitôt, elle fronça les sourcils.
L'homme recracha sa cigarette et sortit sa baguette magique.
- Qui est-ce qui t'intéresse à ce point dans cet immeuble, petite garce ?
La « petite garce » se leva d'un bond et sortit également un étrange bâton qu'elle tendit vers la poitrine du sorcier. Son visage se mis à fondre comme de la cire et celui d'une belle jeune femme de 25 ans apparut.
- Black, tonna la voix sublime de Pansy Parkinson, j'ai d'autre chose à faire que de t'envoyer à Sainte Mangouste. Alors tu vas gentiment déposer cette baguette à terre.
-Désolé gente dame, j'étais le premier à l'avoir sortie.
Heureusement que la rue était vide de moldu. Sirius lança un sort que Pansy dévia facilement. Tandis que le faisceau faisait demi-tour, elle ficela les jambes de Sirius qui s'étala à terre comme un vulgaire saucisson. Son propre sortilège le frôla de près et lui brûla quelques mèches de cheveux.
L'ancienne Serpentard traversa la rue aussi vite que lui permettait ses jambes : elle avait ordre de ne pas transplaner dans les environs.
Sirius jura. Il se faisait avoir comme un vulgaire débutant. Il se dégagea des cordes qui lui serraient les mollets et se lança à la poursuite de Pansy. Celle-ci avait beau avoir une longueur d'avance, Sirius, lui, était le roi de l'endurance. Il lui lança un sort puissant pour l'immobiliser mais la rata de peu.
La pluie les aveuglait tous les deux et la jeune femme perdit du terrain. Elle n'avait manifestement pas l'habitude de courir avec des hauts talons.
- slavé ! hurla l'auror.
Et un rayon lumineux jaune traversa la rue au moment où elle tournait à gauche. Il alla la frapper au dos. Pansy s'écroula au sol, trempée jusqu'aux os et saignant à la tempe. Sa baguette avait roulée à un mètre devant elle. Sirius s'approcha prudemment, d'un air menaçant.
- Tu cherches quoi ici, Parkinson ?
- Ce ne sont pas tes affaires !
Elle lui cracha au visage mais Sirius ne s'énerva pas le moins du monde. Il s'apprêtait à lui envoyer un sort anti-transplanage lorsqu'elle tira une fiole verte de sa sacoche et la brisa au sol.
Une fumée verte vint encercler les deux sorciers et Sirius se mit à tousser rageusement. Le gaz lui brûlait la gorge et le temps que l'effet se dissipe, Pansy Parkinson avait disparue du trottoir, avec sa baguette. Ne restait d'elle qu'un peu de sang sur le sol que la pluie balayait soigneusement.
L'auror revint sur ses pas, à temps pour voir Hermione Granger sortir de l'immeuble.
- DEPUIS TOUT CE TEMPS QUE JE CHERCHE !
- IL M'AVAIT FAIT PROMETTRE DE NE RIEN VOUS DIRE, SIRIUS !
Hermione se laissa aller à toute sa colère. Elle ne pouvait plus supporter les hurlements de l'animagus et rêvait d'un long bain moussant parfumé.
- ET DEPUIS QUAND IL FAUT LUI OBEIR A CE VIEUX FOU ? s'époumona l'auror en perdition.
Elle soupira pour la nième fois et s'affala sur le canapé. Il daigna enfin se calmer et la regarda, blanc comme un cachet d'aspirine, avec un regard de serial killer.
- Excusez-moi Hermione, c'est que ça fait ça fait tant d'année que je le cherche, soupira-t-il.
Elle se servit un verre d'eau et l'invita à s'asseoir d'un mouvement du menton.
- Je vous demande juste d'être encore un peu patient. Et vous pourrez alors le voir, en toute sécurité car sa vie est menacée pour l'instant.
- Je viens alors de la lui sauver…
Hermione le regarda, inquiète.
- Vous disiez ?
- Pansy Parkinson en face de son immeuble, si cette petite mégère qui détruit la couche d'ozone à coup de gaz à effet de serre est votre « grande menace », alors je me demande où va le monde…
La pluie avait cessée et un rayon de soleil traversa la pièce.
- Je crois qu'il va falloir mettre Harry sous grande surveillance, conclut Hermione. Il faut vite prévenir Dumbledore que nous ne sommes pas les seuls à nous intéresser à Harry « Anderson ».
Au même instant dans son bureau, Albus Dumbledore éternua. Voilà qu'on parlait de lui et ce n'était pas forcément une bonne chose…
Draco vint chercher Harry vers 18 heures et l'amena à la patinoire. Ils louèrent des patins à leur pointure. Lorsqu'ils arrivèrent dans le local, où la température était un peu plus basse qu'à l'extérieur, ils découvrirent les lieux vides. Harry fut un peu étonné, les lumières étaient tamisées, l'atmosphère agréable mais pas âme qui vive n'était sur la glace. Sans les distributeurs automatiques de boissons, il se serait cru au Pôle Nord en train d'admirer une aurore boréale.
- J'ai réservé une heure pour nous, expliqua Draco. Puis on viendra nous servir le dîner.
Cela coupa la parole à Harry. Avant qu'il n'ait pu protester, le blond le prit par le bras et le poussa sur la glace. Il dérapa, perdit l'équilibre et glissa sur les fesses sur trois mètres de long. Il y eut un court moment de silence puis Draco éclata d'un rire tonitruant.
Harry, quant à lui, ressemblait à une langouste bouillie. Il baissa les yeux et regarda, avec honte, les aspérités de la glace. Il ne savait pas s'il devait se fâcher ou rire de lui-même. Incapable de prendre une décision, il semblait sur le point de fondre en larmes.
- Vous ne savez pas patiner ? demanda Draco en lui présentant sa main et son plus grand sourire.
Cela réconforta Harry qui accepta son aide. Lorsqu'il fut debout, Draco le retint pour l'empêcher de glisser à nouveau en enroulant son bras autour de ses hanches et en l'attirant vers lui. Les yeux du Survivant cherchaient frénétiquement un trou de souris où il aurait pu se mettre. Son cœur battait la chamade, ses jambes jouaient des castagnettes, ses yeux papillonnaient de joie et sa raison s'envolait. Draco ferma les yeux et huma l'air comme si Harry était un précieux parfum, un prototype qui valait des millions. Leurs deux visages se rapprochèrent.
- Vous auriez du me le dire, murmura Draco à l'oreille.
Harry frissonna et sans attendre, le blond le retourna et le serra contre lui. Ils glissèrent sur la glace pendant une heure merveilleuse qui fut la plus belle de toute leur vie.
C'était une sensation nouvelle, proche de celle que l'on ressent lorsqu'on est philatéliste et qu'on vient de découvrir le timbre poste le plus rare au monde. On encore, semblable à ce que ressentit Aladin en frottant pour la première fois la lampe magique. Le plus pauvre des hommes aurait comparé cela à une pièce trouvée dans la rue qui lui aurait permis de manger à sa faim ce soir là. Harry et Draco surfèrent sur des nuages.
Bien le bonjour serfs et alleutiers ! Et vous vaillants chevaliers ! Que votre arme sert pour longtemps notre noble nation… Bon, c'est pas tout ça mais j'ai un roi d'Angleterre que je dois bouter hors de France et j'ai quelques minutes pour vos donner la dernière nouvelle (si elles vous intéresse !). (Traduisez : je suis fatiguée, je me prends pour Jeanne d'Arc et je dois encore réviser mon interro d'histoire)
Premièrement, cette fiction va passer R au prochain chapitre… désolé pour ceux que ça embête. Ensuite, je dois dire que je suis de moins en moins motivée et que j'ai un boulot monstre (je sais, c'est pas nouveau) et donc il faudra pas me tenir rigueur pour la qualité décroissante de mes chapitres et leur fréquence de moins en moins régulière.
Pour terminer, je tiens à remercier tous les revieweurs. Même si j'ai l'impression que ma fiction vous plait de moins en moins, il y en a toujours pour me laisser un petit message et je dois dire que ça me motive vraiment ! Je suis désolée de ne pas vous répondre à tous personnellement mais je n'aurais rien trouvé d'autres à dire à part « merci mille fois ».
Un dernier message pour limonice : Tu peux m'aider à m'organiser ? fais des yeux de chiot battu écris-moi un e-mail : s'il te plait !
(1) Ca m'a coûté 25 euros pour 150 g…. -- Alors Hermy, t'as intérêt à apprécier !
(2) Le tabac ! C'est tabou ! On en viendra tous à bout !
Bon,… Paix et prospérité à tous ! (Comment ça, je regarde trop Star Trek ?)
