Harry Potter And The Long Summer
Disclaimer : rien ne m'appartient, tout est à JK Rowling, et ce qui n'est pas à elle est à Mirriam Q Webster.
Spoiler: Tome V
Note : merci beaucoup pour vos reviews ! Comme il est interdit de poster les réponses aux reviews sur le site, j'enverrais des mails aux reviewers. Pour ceux qui n'ont pas mit leur adresse email, j'ai mi les réponses à vos review dans la rubrique RaR de mon blog: http/www.20six.fr/Squisse voilà ! bonne lecture !
Chapitre 10
Bien qu'il réussisse finalement à sommeiller, Harry ne put se détendre cette nuit là. Les rêves qui le tourmentaient mettaient en scène Sirius, Cédric et ses parents se tenant devant lui le regard accusateur, et le professeur Snape se tenant de côté et qui riait.
Après avoir fait sa promesse, Severus se glissa dans son lit. Alors qu'il se glissait sous les couvertures, il donna inconsciemment un coup de pied dans le rouleau de parchemin qu'Harry avait laissé sur le lit. Ce dernier retomba sur le sol et roula sous un meuble, passant inaperçu.
Le jour suivant vint beaucoup trop vite au goût d'Harry. Il était anormalement fatigué et doutait fort de pouvoir produire quelque chose de bon en Occlumency ce matin là. Après avoir finit un petit déjeuner relativement léger, il se dirigea vers la pièce où il voyait habituellement Snape.
Snape attendait le garçon quand ce dernier entra. Au début, Harry n'aurait pas levé les yeux, il pensa qu'il devrait s'asseoir avant de laisser Snape violer son esprit. Il ne se voyait pas passer toute la matinée à s'effondrer sur le sol.
« Potter. » dit Snape en essayant de faire lever les yeux au garçon de telle sorte à ce qu'ils puissent commencer. Quand il se sentit stable, le garçon le regarda.
« Legilimens. » Il put tout de suite dire que Potter était faible à cause de la fatigue et de l'inquiétude. Le garçon se débattit, mais il ne fallut que quelques secondes à Severus pour passer ses barrières mentales. Severus avait décidé d'en revenir là où il en était resté le vendredi ; par conséquent il commença par examiner les souvenirs les plus anciens. Quand il trouva un autre souvenir mettant en scène le minuscule trou qu'il avait vu avant d'essayer de le regarder de plus près. Tout à coup, Potter lutta furieusement contre lui et cette toute nouvelle force semblait similaire à de la panique. Plus intrigué que jamais, Severus fit marche arrière.
Il se déplaça vers le souvenir suivant qui était composé d'un jardin. Ce souvenir était fortement marqué par la soif ainsi que la faim et la fatigue. Une femme apparut et commença à crier sur un petit garçon. Au bout d'un moment, Snape réalisa que ce garçon était Potter.
La scène changea brusquement. Potter courrait aussi vite qu'il le pouvait, mais il trébucha alors sur une fissure dans le bitume. Deux garçons plus grands l'attrapèrent et l'emportèrent en lui donnant des coups de pieds. Ils lui firent faire marche arrière jusqu'à ce qu'ils arrivent à l'enfant le plus énorme que Severus n'ait jamais vu. Le garçon attrapa les lunettes de Potter et les lança par-dessus son épaule, pour ensuite commencer à le frapper.
Un homme énorme traînait Potter en le tenant par l'oreille, le sermonnant pour s'être battu et avoir cassé ses lunettes.
Potter était assis dans cet endroit sombre, pleurant silencieusement, la faim lui rongeant le ventre.
Une fille lui sourit mais tourna les talons quand la baleine l'attrapa.
Une énorme femme apparut et commença à insulter les parents de Potter. Elle tendit vingt livres à la baleine et donna un cure-dents à Potter.
Potter cuisinait du bacon quand son cousin le poussa dans un placard.
La femme grande et mince avait coupé les cheveux de Potter et le garçon en pleurait. Le lendemain, ses cheveux étaient redevenus normaux et la femme lui criait dessus en le traitant de monstre.
Potter courrait encore une fois pour échapper à son cousin quand il se retrouva sur le toit. Le gros homme le traînait encore par l'oreille. Il ouvrit une porte sous les escaliers et poussa Potter à l'intérieur de cet espace sombre et petit. Le déclique de la serrure se fit entendre.
Potter regardait une voiture disparaître au loin quand un chat grimpa sur ses épaules. Arabella Figg s'approcha de lui avec un énorme album photo.
Potter avait été envoyé pour aller chercher le courrier et trouva une enveloppe de Poudlard adressée à H. Potter, placard sous l'Escalier.
Potter se tenait devant une fenêtre munie de barreaux, regardant le soleil couchant.
Potter regardait par la même fenêtre alors qu'un taxi disparaissait au loin.
Potter avait faim, tellement faim, mais il devait continuer.
Potter était assis dans une pièce sombre, écoutant des voix.
Potter lançait le Doloris.
Un instant ! Severus examina le dernier souvenir de plus près et se vit lui et Lucius Malefoy comme ils avaient été la nuit dernière sous la baguette du Lord Noir. Mais il voyait le souvenir comme s'il était du point de vue de Voldemort, et fortement empreint de douleur.
Potter déposait un parchemin sur le lit de Severus.
Potter lui tendait un gant de toilette.
Potter était appuyé contre sa porte et sanglotait.
Severus cligna des yeux alors qu'il sortit de l'esprit de Potter. Tout ce qu'il put faire fut de se rasseoir haletant et essayer de remettre en place tout ce qu'il venait de voir. Potter semblait avoir eu une vit particulièrement malheureuse. Il avait besoin d'y réfléchir.
Harry était voûté sur la chaise en face de celle de Snape. Le garçon tremblait à cause des émotions qui se mélangeaient. Il était fatigué ; il avait mal ; il était furieux contre Snape ; il avait peur que l'homme utilise ses souvenirs contre lui ; il était reconnaissant de ne pas avoir vu quelque chose de pire. Ils restèrent tous les deux assis pendant plusieurs minutes essayant de reprendre leurs esprits.
Finalement, Harry se leva et se dirigea d'un pas instable vers la porte.
« Potter, » l'arrêta la voix de Snape. « Je ne pense pas vous avoir donner l'autorisation de partir. »
« Excusez-moi monsieur, » dit le garçon d'un ton sarcastique, « mais en ce moment je n'en ais rien à faire. » Il ouvrit la porte et quitta la pièce pour courir jusqu'à sa chambre.
Snape s'assit, en colère après Potter mais refusant d'aller le voir pour le moment. Il avait besoin de temps pour que sa tête arrête de tourner. Il laissa son esprit d'égarer vers le souvenir de Potter datant de la nuit dernière, où ce dernier laissait tomber un parchemin sur son lit. Severus n'avait vu aucun parchemin. Il retourna à sa chambre plongé dans ses pensées, et ses yeux firent le tour de la pièce. Il ne vit rien d'anormal.
Il se dirigea vers la chambre de Potter. Severus frappa puis entra. Le jeune homme était étendu sur son lit, le visage contre les couvertures, et ses épaules tremblaient. Au moment où il entendit la porte s'ouvrir, Harry s'assit et s'essuya les yeux d'un air rageur, bien que les larmes ne soient pas visibles au premier coup d'œil. Il regarda Snape sans rien dire, ce dernier se sentant assez troublé.
Quelque part, savoir que Potter avait pleuré était très différent que de le voir pleurer. « Potter » dit-il après un moment, « Vous avez laissez quelque chose dans ma chambre la nuit dernière ? »
Harry le regarda pendant un moment, essayant de se souvenir l'endroit où il avait laissé son rapport. « Oui » dit-il finalement, « un rapport pour le Professeur Dumbledore. Je pense que je l'ais mit sur votre lit. »
« Un rapport sur quoi exactement ? »
« Le rassemblement de la nuit dernière, ou en tout cas ce que j'en ais vu. J'allais vous demander si vous connaissiez un meilleur moyen qu'Hedwige pour l'envoyer. »
Un bon nombre de choses peu aimables étaient pratiquement sur les lèvres de Severus et n'attendait que d'être dites. Il voulait réprimander le garçon pour ne pas avoir fait son Occlumency, et pour ne pas l'avoir informé plus tôt pour le rapport, et lui demander combien de temps avaient durées les visions qu'il avait eut la nuit dernière. Au bout d'un moment, Snape se contenta de dire : « Je vais m'en occuper. »
Il partit et retourna dans sa chambre. Il regarda encore une fois la totalité de la pièce, mais ne vit rien. Il leva sa baguette et dit : « Accio rapport de Potter. » Un rouleau d'une bonne taille sortit de dessous son armoire. Il ferait mieux de contacter Dumbledore. Il avait non seulement le rapport de Potter à rendre, mais il avait également le sien à faire.
Severus se dirigea rapidement vers la salle qui lui servait de bureau. Habituellement il contactait le directeur bien plus tôt dans la journée, mais il savait que l'homme gardait toujours le miroir sur lui. « Albus Dumbledore » murmura-t-il brouillant ainsi légèrement la glace. Un instant plus tard, le visage familier apparut.
« Severus ! » s'exclama joyeusement le vieil homme, « c'est vraiment une très bonne surprise ! »
« Peut-être pas si bonne, monsieur le directeur. J'ai bien peur de devoir vous faire un rapport sur la petite réunion de la nuit dernière. »
Les yeux bleus perdirent de leur éclat. « Pourquoi vous ne m'avez pas appelé plus tôt Severus ? Vous êtes blessé ? » La voix de Dumbledore était marquée d'une pointe d'inquiétude.
« Non, mais j'ai surtout été occupé par quelques petites choses qui se sont passées ici. »
« Quel genre de choses Severus ? » s'enquit Albus.
« Votre Golden Boy a vu tout ce qu'il s'est passé la nuit dernière. Il est venu se renseigner auprès de moi à mon retour. Je ne suis pas habitué à tant d'attention. »
« Je vois. » le vieil homme fut pensif pendant un moment. « Est-ce qu'Harry va bien ? »
« J'imagine. » le sorcier plus jeune bougea légèrement.
« Severus ? »
« De toute façons il le sera dans quelques temps. »
« Severus, que c'est-il passé ? »
« Vous m'avez harcelé pendant des années pour que j'apprenne à mieux le connaître Albus. J'ai juste prit l'avantage de la leçon d'Occlumency de ce matin pour le faire. » Dit-il d'un ton défensif.
Le directeur ferma les yeux pendant un moment. « Severus » dit-il enfin, « Quand je disais que vous deviez apprendre à le connaître, je voulais dire que vous deviez lui parler, pas fouiller ses souvenirs. »
« Voyez ça comme faire d'une pierre deux coups. Non seulement j'en sais plus à propos du gosse, et maintenant il ça lui fait une motivation de plus pour apprendre l'Occlumency. »
« Je doute fortement que Harry ait besoin de plus de motivation Severus. » le vieil homme fronça les sourcils, « Je pense que vous avez un rapport à me donner ? »
Ayant été correctement corrigé, Severus raconta à son supérieur ce qu'il avait vu et entendu la nuit précédente. Quand il eut finit, il leva le rouleau. « Potter a également écrit un rapport. Comment je dois vous l'envoyer ? »
« Lisez-le moi juste si ça ne vous dérange pas Severus. »
Snape lit docilement tout ce qui était écrit sur le parchemin. La plupart ressemblaient à son propre rapport, mais on pouvait voir ici quelques petits détails sur la façon dont Voldemort ressentait certaines choses. Severus fut étonné de voir avec quelle précision un gosse de seize ans arrivait à se souvenir des plus petit des détails. Au début, il s'était demandé pourquoi Potter avait intégré dans son rapport les réactions émotionnelles du Lord Noir, mais il s'aperçu après quelques minutes que les déceptions du soi-disant aristocrate dévoilaient quels plans étaient pour lui les plus importants.
Quand il eut finit, son regard resta encore posé sur le rapport pendant un moment. Il semblait apparemment qu'il avait, à cet égard du moins, sous-estimé Potter.
« C'est tout Severus ? »
Les mots le ramenèrent à la réalité. « Pardon ? » il leva les yeux.
« J'ai dit : c'est tout Severus ? »
« Oui » répondit Snape en hochant la tête.
« Peut-être que je devrais vous laisser réfléchir alors. J'aimerais vous parler à vous et à Harry plus tard. »
« Bien monsieur le directeur. »
Le miroir redevint noir et Severus resta seul avec ses pensées. Il appela Cinder et lui demanda de lui apporter une tasse de thé. Quand il l'eut, Severus s'installa pour réfléchir sérieusement à ce qu'il avait vu le matin même.
Le plus important d'abord, décida Snape : identifier les personnes des souvenirs. La femme grande et mince devait être sa tante Pétunia : Potter avait dit qu'elle le faisait jardiner. L'homme qui arrivait ensuite, l'oncle de Potter, comment s'appelait-il ? Et la petite baleine devait être leur fils, le cousin de potter. Snape ne savait également pas son nom. La grosse femme qu'il avait vue ressemblait à l'oncle, peut-être sa sœur. Potter n'avait-il pas dit avoir une autre tante ; tante Meg, ou quelque chose dans le genre ?
De toutes façons, aucun d'eux ne semblaient traiter Potter comme s'il était un héro, ou même particulièrement spécial. En fait, songea Snape, ils semblaient le détester. Il réfléchit encore un peu. La tante Pétunia hurlait sur Potter. La tante Machin se moquait de lui. Le Cousin Baleine frappait Potter et l'Oncle C'est-Quoi-Son-Nom traînait Potter par l'oreille et le lançait dans un placard. On aurait pu admettre le fait que c'était des incidents isolés, mais Potter n'avait aucun contrôle sur les souvenir que Severus avait vu, donc si ce comportement était inhabituel, il aurait du aussi voir des souvenirs joyeux impliquant les Dursleys.
Severus réalisa soudain ce qu'il pensait une minute plus tôt. L'oncle jetait Potter dans un placard ; un endroit sombre et petit, comme celui que Potter avait dans tous ces souvenirs. Ca n'était pas pensable…n'est-ce pas ? Potter aurait dû y passer beaucoup de temps. Bien que Snape sache que Potter n'était pas un ange, il doutait fortement que le garçon eut pu faire quelque chose de si mauvais pour mériter une pareille punition. Cela le mena jusqu'à la conclusion plutôt perturbante qu'il avait faux sur toute la ligne en ce qui concernait Potter. Apparemment, le garçon n'était pas gâté du tout ; il était maltraité.
Severus Snape n'était pas un homme très sympathique, il le savait. Il se moquait et taquinait souvent ses élèves, et disait des choses qui les faisaient pleurer. En même temps, il était cependant très protecteur par rapport aux élèves qu'il considérait comme ses enfants. La simple idée que quelqu'un puisse maltraiter physiquement un enfant, même agaçant comme Harry Potter, lui était totalement répugnante. C'était un sentiment qui lui avait causé plus d'un ennui, mais c'était le sien, et il s'imaginait qu'aussi longtemps qu'il le serait, il serait rachetable.
Peut-être qu'Albus avait raison et qu'il devrait aller parler au garçon. Severus regarda l'horloge. Le déjeuner était passé depuis longtemps et il était presque l'heure de dîner. Ca serait sûrement le meilleur moment pour parler ; le garçon serait trop occupé à manger pour s'enfuir.
Harry n'avait pas déjeuné. Il était resté roulé en boule dans son lit pendant un moment se sentant désolé pour lui-même pour avoir conclu un marché avec Snape, et détestant Snape pour l'avoir trahit et pour avoir violé ses souvenirs.
De tout ce à quoi il avait pensé, il détestait l'homme avant même que la pensée qu'il puisse être si hypocrite l'ait traversée. Après l'incident de la pensine, Harry avait cru que Snape aurait été le seul à respecter l'intimité de ses souvenirs. Apparemment il avait faux. Snape avait fouillé sa mémoire deux fois, non pas pour juste sonder sa faiblesse, fouillé.
Harry ne comprenait pas pourquoi son professeur était si mesquin avec lui, surtout après qu'Harry ait été gentil avec lui. Il avait aussi souffert à cause du Doloris, et il aurait été reconnaissant si quelqu'un avait été là pour s'occuper de lui. A moins que ça ne soit le problème de Snape, il avait été embarrassé qu'Harry l'ait vu alors qu'il était faible. Et Snape qui le traitait d'arrogant, grogna Harry.
Qu'espérait-il réussir à faire en inspectant ses souvenirs ainsi ? C'était presque comme si l'homme cherchait quelque chose. Mais quoi ? Harry ne savait pas ce que Snape aurait pu trouver de précieux. La seule chose qui pouvait l'être, décida Harry furieux, était plus de munitions à utiliser contre lui en classe et partout ailleurs.
Bien, pensa Harry en se levant rapidement ; il n'allait pas laisser Snape prendre l'avantage sur lui comme ça ! Il se dirigea d'un pas furtif vers la salle qu'il avait inconsciemment appelé « son laboratoire ». Quand il eut atteint son havre de paix, il s'assit sur le sol dans un coin de la salle où il pouvait s'appuyer contre les murs. Assis les jambes croisées, Harry commença à essayer d'éclaircir son esprit. C'était plutôt difficile.
Harry s'était entraîné depuis qu'il était arrivé à la maison de Snape et s'était plus facile que ça ne l'avait jamais été, mais ce jour là, il avait un poids considérable qui occupait son esprit. Une fois que ce fut accomplit, Harry se concentra pour construire ses défenses. C'était plutôt difficile, particulièrement parce que Snape ne lui avait jamais exactement dit comment le faire. Harry imaginait qu'il construisait un mur de pierres tout autour de son esprit et les renforçait avec de l'acier.
Cela faisait plusieurs heures qu'il s'entraînait quand Cinder apparut devant lui. « Harry Potter doit se rendre à la salle à manger ! » couina-t-elle. « Maître Snape attend Harry Potter monsieur ! »
« Bien. » répondit Harry une main sur sa poitrine ; la petite elfe lui avait fait peur. Il se leva précipitamment et couru à la salle à manger où son professeur était déjà installé.
Severus avait marché impatiemment jusqu'à la salle à manger. Il voulait parler à Potter aussi tôt que possible, avant que le garçon ne fasse quoi que ce soit pour l'agacer et le faire changer d'avis. Severus était assis à table depuis vingt minutes et attendait Potter. Il se demanda si le garçon avait prévu de sauter le repas. Snape appela Cinder et lui demanda combien de repas avait prit le garçon ce jour là. « Un maître Snape, monsieur. » fut la réponse brève. Un ? Ca voulait dire que le garçon devait venir à ce repas.
Dix minutes plus tard, Potter ne s'était toujours pas montré. Un Snape très exaspéré envoya Cinder le chercher. Il était temps pour Potter et lui d'avoir une petite conversation.
voilà finit ! à la prochaine !
