C'est une petite fic que j'ai
écris sur un coup de tête. Elle est peut-être un
peu nul, enfin je crois que ça va qu'en même.
Bonne lecture.
Confiance
J'ai
l'impression d'avoir rêvé.
Que
tout ce que j'avais vécu avant de te rencontrer n'était
qu'un rêve…
Ou
plutôt un cauchemar.
La forêt d'Aokigahara.
La
forêt de la mort où seule les élus peuvent
pénétrer.
Un
endroit où un étranger qui s'y hasarderait une fois
serait sûr de ne jamais en ressortir.
Un lieu de non-droit où
viennent se réfugier les pires criminels,
où aucun dirigeant n'a de
pouvoir,
où seuls quelques groupes se
disputent le pouvoir.
C'est
ainsi que tu la définis, cette forêt.
C'est
ainsi que la voie ''Ceux-de-l'Exterieur''.
Mais pour ses habitants, cette forêt est différente.
C'est
un lieu maudit où règne l'obscurité, le sang
et la trahison.
Où
la seule loi qui existe est celle du plus fort.
En entrant dans cette forêt la première fois avec Kyoshiro, tu n'as entraperçu qu'une infime partie de l'horreur qu'elle cache.
Moi
je l'ai découvert alors que j'avais à peine atteint
l'âge de comprendre ce qui m'entourai.
Le
premier souvenir que j'ai est celui de mon premier combat.
Je
ne devais pas avoir plus de 3 ou 4 ans. Je ne sais plus. Ce dont je
me souviens, c'est que j'étais en train de me reposer au
pied d'un arbre lorsque j'ai senti une présence proche de
moi. Alors que j'ouvrais les yeux, un sabre s'abattait sur moi.
C'est à mes réflexes que je dois la vie. J'ai juste
esquivé en me penchant sur le côté. Ma vie n'a
tenu qu'à quelques centimètres ce jour là.
C'est fou comme cette distance ridicule peu devenir vitale dans
certains cas. Je ne me souviens plus de ce qui s'est passé
ensuite, juste que je me suis défendu et du moment où
je me tiens debout devant le corps de mon agresseur, son arme entre
mes mains, du sang s'écoulant de son corps. Ainsi qu'une
phrase qu'il avait prononcée et qui est restée gravée
en moi comme marquée au fer rouge :
''LES FAIBLES PERISSENT ET LES FORTS RESTENT, TELLE EST LA LOI DE LA FORET''
Cette
phrase, elle m'a suivie toute mon enfance. Enfin, si on peu appeler
une période où l'on doit se battre pour ne pas se
faire tuer une enfance. Mais c'est cette phrase qui m'a permis de
survivre.
''Si
tu veux vivre, tu dois être fort''.
C'est
ce que je me suis dit.
C'est
ce qui m'a rendu fort.
C'est
ce qui m'a permis de survivre seul si longtemps.
Ensuite,
j'ai rencontré Kotaro.
Il
a été mon premier ami.
Mon
seul ami.
Grâce
à lui, j'ai pus supporter la vie dans cette forêt.
Même
s'il y avait du danger et qu'il fallait faire constamment
attention, je n'étais plus seul.
Lorsque
Kotaro m'a attaqué, j'ai eu l'impression que tout
s'écroulé autour de moi.
Je
ne pouvais pas y croire, mais le fait été là.
J'avais été trahit par la seul personne en qui j'avais totalement confiance.
Après
mon combat avec Kotaro, j'ai longtemps erré. Je ne sais pas
ce qui m'a poussé à m'enfoncer à se point
dans la forêt, sans doute que j'étais fatigué
de vivre. Je crois que j'en avais assez d'avoir à me
battre pour pouvoir survivre un jour de plus. Mais alors que j'étais
près à abandonner, tu es arrivé. Tu m'as tendu
la main.
Tu
m'as sauvé la vie, sans vraiment en prendre conscience, mais
surtout, tu m'as offert une maison et une famille. Un lieu où
je sais que je peux venir me reposer lorsque je suis fatigué.
Je ne sais pas si à ce moment là tu te rendais vraiment compte de ce que tu m'offrais. Mais après tous, peu importe. Tous ce que je sais c'est que je te dois la vie. Et même si tu dis que pour toi ça n'a pas d'importance et que je ne dois pas risquer ma vie pour sauver la tienne, pour moi ma vie a cessée de m'appartenir au moment où j'avais cessé de me battre. Et si tu continu de dire que tu n'as aucun droits sur ma vie et qu'elle m'appartient, alors je décide que si elle peut te permettre de vivre, je te l'offrirais.
Je sais que je suis égoïste, que si ce moment devait arriver, tu t'en voudras. Mais à l'inverse, si s'étais toi qui venais à mourir, je crois que je ne saurais pas trouver à nouveau la force de vivre. Alors pour éviter le pire, je cherche toujours à devenir plus fort. Tu dis que je suis toujours un enfant pour toi. Tu as sans doute raison.
Comme
tous les enfants, j'ai peur d'être seul.
J'ai
peur de me retrouver à nouveau seul, abandonné.
Bien sur, il y a Saizo et les autres, vous êtes ce qui se rapproche le plus pour moi d'une famille. S'il devait arriver quelque chose à l'un de vous, je ne suis pas sûr que je m'en remettrai. Alors, pour vous, pour que vous soyer fier de moi, je cherche à devenir toujours plus fort. Pour vous protégé, toi et les dix guerriers de Sanada. Vous qui m'avez recueilli et considéré comme l'un des votre.
Je voudrai tellement vous dire…
Un jeune garçon d'environ 12 ans étais
perché sur un arbre. Il semblait leur confesser des pensés
qu'il n'osait pas encore prononcer à voix haute.
Un homme à la chevelure aussi sombre qu'une
nuit sans lune s'approcha et resta quelque temps à observer
son protégé.
Cela faisait plusieurs fois déjà que
le samourai surprenait son jeune ami plongé dans ses pensés.
Il voyer bien que quelque chose gêné le garçon. A
certains moment, celui-ci semblait sur le point de dire quelque chose
avant de finalement changer d'avis et se replonger dans le silence.
Il ignorait quelle pouvait bien être la cause de ses
inquiétudes. Il pensait pourtant que le jeune s'était
bien adapté à sa nouvelle famille.
Car ici, chacun considérait le jeune ninja comme un petit frère. Un peu grognon certes, peu démonstratif mais tous aimaient le taquine et se chamailler avec lui ou, comme dans son cas, le serrer dans ses bras rien que pour le voir se débattre afin de se libérer et lancer mille menaces de morts, toutes plus inventives les unes que les autres.
A cette pensée, un tendre sourire éclaira le visage du samourai. Mais lorsque son regard se posa à nouveau sur le garçon, l'amusement laissa place à l'inquiétude.
- Sasuke, qu'est-ce qui peut bien te troubler à se point. Je pensais que tu étais heureux avec nous.
Sur le chemin du retour,
alors que je m'apprêtais à retourner chez moi après
avoir aider Kyoshiro à seller le corps de Kyo, j'ai été
surpris par un bruit provenant des buissons. Je me suis cacher un peu
plus loin afin de voir quel type de personne pouvait bien vivre dans
un endroit aussi reculé de la forêt. J'ai été
très surpris lorsque j'ai vu apparaître un petit
garçon.
Il ne semblait pas plus
âgé que de 8 ou 9 ans.
Qu'est ce qu'un enfant
aussi jeune pouvait bien faire seul dans un endroit pareil ?
Presque aussitôt, la
réponse me vient.
C'était un habitant de la forêt.
Je n'avais encore jamais
réalisé qu'il n'y avait pas que des assassins, des
adultes qui vivaient ici, mais aussi des enfants, nés dans ce
monde de violence et qui devaient eux aussi se battre pour survivre.
Alors que j'observais un
peu mieux ce garçon, je me suis aperçu que quelque
chose n'aller pas avec lui.
Il semblait blessé
et à bout de force.
Cette idée se
confirma lorsque je le vis trébucher et rester à terre.
C'est à ce moment que je me suis décidé.
Aujourd'hui encore je ne
sais pas ce qui m'a poussé à le rejoindre.
La pitié ? Je
ne pense pas. Il émanait de ce garçon une grande force
qui ne pouvait inspirer la pitié malgré son état.
La tristesse ?
Peut-être. A ce moment, je comprenais réellement
pourquoi on nommait cette forêt ''La Forêt de la
Mort''. Seul les plus fort pouvait y survivre. Les autres étaient
destinés à mourir.
La colère ?
Sans doute. Contre cette forêt qui ne semblait laisser aucun
moment de répits au plus faible.
Lorsque je l'ai rejoins,
la pluie tombée toujours à torrent. Je ne savais plus
trop quoi faire en réalité. Je suis venu sous le coup
d'une impulsion et maintenant j'était un peu perdu.
Finalement, j'ai pensé
que je devais tous simplement être honnête avec lui et
lui poser la question qui me tournait en tête depuis la seconde
où je l'avais vu.
- Tu veux venir avec moi ?
Je le regardais se redresser légèrement et fixer ma main tendue. Comme il ne semblait pas avoir réellement pris conscience de ma présence, j'ai répété ma question
- Tu veux venir avec moi ?
Pendant une seconde, il
m'avait observé, surpris, comme s'il ne pouvait croire que
s'était à lui que je m'adressais.
Il a immédiatement
adopté une position de défense et remarqué que
je ne faisais pas partis de ''Ceux-de-la Forêt'' mais
de ''Ceux de l'Extérieur''.
Il m'a ensuite menacé
de me tuer si j'osais m'approcher de lui.
J'aurai pu partir.
J'aurai pu lui tourner
le dos et partir.
Mais se n'étais
qu'un enfant.
Je suis resté.
Je lui ai souris et lui
est dit que, s'il ne voulait pas que je m'approche, alors je le
prendrai dans mes bras…
Il a immédiatement
esquivé pour se retrouver un peu plus loin.
- C'est ta manière
de te battre ?
- Pas du tous, je voulais
juste te serrer dans mes bras.
J'avais dit ça en
souriant mais au fond de moi, un mélange de peine et de haine
faisait rage.
Ce garçon
connaissait-il autre chose que les combat ?
- On aurait dit que tu allais te mettre à pleurer.
Je jouais avec le feu. Il
aurait très bien pu se mettre en colère et s'enfuir,
ou m'attaquer.
Mais j'avais décidé
de lui dire ce que je pensais vraiment.
- On aurait dit un oiseau qui a perdu la branche sur laquelle il a l'habitude de se reposer.
La comparaison n'avait pas l'air de vraiment lui plaire, j'ai donc décidé d'approfondire.
- Oui, un oiseau peut
voler à tout moment là où il a envie d'aller,
mais aucun oiseau ne peux
voler sans s'arrêter, sinon il mourait de fatigue.
Les oiseaux ont besoin de
branches sur lesquelles se reposer en toute tranquillité.
Epuisé, tu as l'ai
de chercher une branche sur laquelle te poser… des amis sur
lesquelles te reposer.
Mes mots avaient eu l'air de le troubler. Pour alléger un peu l'atmosphère, j'avais décidé de changer de sujet.
- Comment tu t'appelles ?
- Euh… Sasuke.
- Sasuke ?
- Quoi? T'as quelque
chose à redire?
Sasuke ?
Je me suis demandé
si s'était un signe du destin.
Sasuke Sarutobi venait de
nous trahir et je rencontrais juste après un garçon
portant le même nom.
Un enfant ayant besoin
d'aide…
-Non, c'est un beau prénom, tu peux en être fier.
Je me suis alors décidé.
Désormais, je
m'occuperais de ce garçon.
- Bon, alors à
partir de maintenant, tu seras Sasuke Sarutobi !
- Quoi ? Sarutobi ?
Je savais que ça pouvait paraître bizarre qu'un parfait étranger vous donne un nom, mais, au fond de moi, je savais que j'aurais besoin de lui autant qu'il avait besoin de moi en ce moment.
-Oui, Sasuke Sarutobi.
Allez, viens avec moi et
sortons de cette forêt Sasuke. Et tu pourras déployer
tes ailes librement dans le ciel.
Tu pourras voler sans
limite avec moi, Yukimura Sanada.
J'avais à nouveau
tendu la main, espérant de tout mon cœur qu'il accepte. En
regardant ses yeux, j'avais eu ma réponse, il avait décidé
de me faire confiance. Malgré la vie qu'il a menée et
qui l'a forcée à devenir méfiant, il avait
accepté de se reposer sur un autre.
Au fond de moi, j'avais
peur.
Alors qu'il prenait la
main que je lui tendais j'espérais que jamais je ne le
blesserais,
qu'il ne viendrait pas à
regretter son geste.
Sa main était si
glacée.
J'espérais de tout mon cœur pouvoir la réchauffer un jour.
Je l'ai conduit à
l'extérieur de la forêt. Au moment de franchir les
derniers arbres, il a eu l'air d'hésiter. Sans doute par
peur de l'inconnu.
Je lui ai donc pris la
main.
Il m'a regardé
sévèrement mais ne m'a pas lâché. Je lui
ai souri et nous avons quitté la forêt… ensemble.
La pluie avait cessée.
Lorsque nous sommes
arrivés chez moi, les dix guerriers ont été
surpris de me voir ramener un jeune garçon.
Je leurs ai expliqué
que Sasuke Sarutobi vivrait désormais avec nous.
Sasuke n'a pas mis trop de temps à s'adapté à sa nouvelle vie. Même s'il n'était pas spécialement proche des autres, il semblait prendre plaisir à les regarder s'entraîner. Une semaine après son arrivée, il est venu me voir et m'a demandé pourquoi ils s'entraînaient autant. Je lui ai expliqué que s'étais pour pouvoir assurer ma sécurité. Il a alors fait une requête qui m'a surprise.
- Moi aussi je peux te protéger ?
Je ne savais pas trop quoi faire. Mais comme ça avait l'air de lui tenir à cœur, j'ai décidé d'accepter.
C'est ainsi qu'il
devient Sasuke Sarutobi.
L'un des dix ninjas de
Sanada.
Les années passèrent et Sasuke fit partie intégrante de la famille, mais aujourd'hui, quelque chose semblait le troubler.
Sasuke observait la lune depuis plusieurs heures,
cherchant une réponse dans les étoiles.
Il sentit alors une présence proche de lui.
Une présence qui le calmé depuis un peu plus de 4 ans
déjà. Mais qu'il cherchait à fuir depuis
quelque temps.
- Sasuke ?
Le jeune garçon regarda au pied de l'arbre où se trouvait maintenant son maître.
- Sasuke,… Es-tu heureux avec nous.
- Bien sur, pourquoi tu me pose cette question ?
- C'est que, depuis quelques temps,… tu as
l'air plutôt distant, alors, je me demandais,… si tu ne
commençais pas à regretter d'être venu avec
moi.
- Bien sur que non, jamais je ne regretterai. Tu
es la meilleure chose qui me soit arrivée.
- Alors pourquoi es-tu si distant ?
- Je..
- Sasuke, tu peux tout me dire. Viens ici.
Sasuke quitta sa branche et vient s'asseoir à côté de Yukimura.
- Sasuke, qu'es-ce qui te traquasse ?
-Je,…
Yukimura laissa le temps au jeune ninja de trouver ses mots.
- Il y a une chose que je n'ai jamais dite. Ni à
toi, ni aux autres d'ailleurs…
- …Qu'est-ce que c'est ?
- Je,… C'est stupide, mais je, je ne vous ai
jamais dit… Merci.
- Pardon ?
- … Tu m'as sauvé la vie, tu m'as
offert un foyer, une famille et des amis. … Moi je ne t'ai jamais
rien donné en échange, … même pas un
remerciement.
Yukimura observa alors le garçon qui se
trouvait à côté de lui. Et la vision qu'il eut
n'était pas celle du redoutable ninja qu'il était,
ni du garçon détaché de tout sentiments.
C'était celle du petit garçon
qu'il avait recueilli dans la forêt.
Un enfant perdu.
- Sasuke,… ne crois pas que tu ne nous a jamais
rien donné. Avant ton arrivée, l'ambiance était
tendue depuis le départ du premier Sasuke Sarutobi. Avec ton
arrivée, les autres ont eu autre chose à penser qu'a
lui.
- Mais,…
- Sasuke, lorsque je t'ai trouvé, tu
n'étais encore qu'un enfant, tu avais été
blessé et tu aurais pus décider de ne plus jamais faire
confiance à personne. Mais, tu m'as fait confiance et tu
m'as confié ta vie. Tu dis que tu ne nous as jamais
remercié, mais, tu ne pense pas que l'on savait ? On
voyait bien que de jour en jour tu t'ouvrais à nous, que tu
étais de moins en moins distant, tu chercher même notre
présence alors qu'au départ tu semblais mal à
l'aise lorsque les autres t'approchaient de trop près. On
voyait bien aussi tu semblais plus joyeux de jour en jour.
- Je,… Je n'avais pas remarqué... Ou
plutôt, je crois que je ne voulais réaliser de peur de
m'attacher à nouveau. J'avais peur d'être à
nouveau déçu, que l'on me trahis à nouveau. Je
ne le supporterai pas.
- Sasuke…
N'y tenant plus, Yukimura passa un bras derrière les épaules de son protégé et le serra dans ses bras. Alors qu'il s'attendait à se qu'il se débatte, il fut surpris lorsqu'après quelques secondes de tension l'enfant se laissa finalement aller dans ses bras.
- Sasuke, tu dois me croire, jamais nous ne ferons
quoi que ce soit qui pourrait te nuire. Ne soit pas sur tes gardes
avec nous, nous ne te voulons pas de mal, tu peux te reposer ici. Je t'en pris, fait nous confiance.
- Je…
Sasuke pris une inspiration, même si ce qu'il aller dire pouvait sembler anodin, pour Yukimura et ses guerriers ces paroles aller leurs faire franchir une nouvelle étape dans leurs relation avec leurs jeune ninja.
- Je vous fais confiance.
Il ferma les yeux et se sentit plus léger.Ca avait été si simple, Au fond de lui il avait toujours su, à la seconde ou il avait serré cette main chaude qu'on lui tendait, il avait senti que rien ne serrait plus comme avant. Il avait des personnes sur qui compter. Il avait une famille.
A cette réalisation, un léger sourire étira ses lèvres. Il rendit son entrainte à la personne qui l'avait sauvé, il y a 4 ans et se laissa aller contre lui.
- Je te fait confiance Yukimura... Et je voudrai
te dire,… Merci… Merci pour tout.
- Il n'y a pas de quoi Sasuke, je suis heureux
de t'avoir avec moi.
Alors qu'il se tournait vers son protégé, il s'aperçut que celui-ci s'était endormi. En toute confiance.
- J'en suis vraiment heureux.
Yukimura resta là toute la nuit, observant les traits détendu de son jeune ami endormi dans ses bras avant de se laisser lui aussi entraîner par le sommeil.
FIN
Je ne sais pas, je crois que c'est un peu nul comme fic, enfin, c'est la première que j'écris et c'était sur un coup de tête. Au départ il n'avait qu'une page et demi, ça a fini avec 5 pages.
LOL
Les autres fics commencent, mais en ce moment j'ai pleins de problèmes avec mon PC et j'ai du mal avec les débuts, pourtant j'ai les schémas de 6 fics, mais j'ai du mal à les commencer et encore 3 fic en tête mais pas encore complètement finies pour le scénario. Je vais me forcer un peu.
Par moment je risque de vous demander se que vous voulez comme suite. Comme j'ai plusieurs histoires en tête avec plusieurs déroulements possibles je ne sais pas lequel choisir.
Si vous pouviez déjà me dire se que vous penser de celle là. Je ne m'attends pas à des éloges mais c'est ma première fic.
Bisous à tous.
Sharo-Chan
