Attention, attention : Si vous avez de la difficulté à lire le texte, à cause de la présence de caractres étranges, veuillex procéder aux changements suivant.

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Voilà c'et terminé. Je ne sais pas pourquoi les caractères sont apparus, je vais tenté qu'ils n'apparaissent pas la prochaine fois, mais s'ils reviennent vous pourrez toujours refaire cette petite démarche en attendant que je réussisse à trouver le problème. Merci énormément de votre compréhension. Aussi, j'ai envoyé la copie fichier de ce chapitre et du chapitre 4 de Talisman tome II à tous ceux dont j'avais le email. Si jamais il occure un autre problème semblable, laissez-le moi savoir, donnez-moi votre courriel et je vais vous envoyer dès que possible le chapitre dont il est question. Merci encore, sincèrement !

Jwulee

L'été approchait à grands pas, en fait il ne restait qu'une semaine d'école avant que les vacances ne débutent réellement. Émily n'en pouvait plus; tous ces examens qui s'amoncelaient devant elle, toute l'étude qu'elle devait faire en préparation de ces examens et toutes ces heures de sommeil dont elle était privée pour ces mêmes raisons.

Harry, lui, ne voyait pas vraiment la différence. Il remarquait bien toutefois que Mily ne venait plus souvent jouer avec lui et que Severus semblait très occupé, mais il ne savait pas encore de quoi il en retournait.

Le jour vint où Émily réalisa son examen de fin d'année en potions. Lorsque le soir arriva, c'est avec fureur qu'elle se dirigea vers les appartements de Rogue. L'examen avait été la bête noire de tous les élèves, même de certains Serpentard, ceux qui avaient avoués que l'examen avait été facile, étaient probablement trop orgueilleux. Se faisant la représentante de tous les élèves de sa maison, Émily avait décidé d'aller aux sources des ennuis et de discuter avec Rogue, même si cela allait s'avérer sans effet. Elle entra en trombe dans l'appartement, réalisant trop tard que cette attitude ne lui servirait en rien. Il n'y avait pas mille et un moyens de discuter civilement avec Rogue, et pourtant elle le savait bien.

En entendant la porte s'ouvrir avec fracas, Rogue sentit sa mauvaise humeur le gagner. Qu'avait donc la gamine à s'entêter à ne pas respecter les directives, pourtant simple (même pour une Gryffondor) à suivre. Il se leva de son bureau. Heureusement, pensa-t-il, Harry était au lit depuis quelque temps, il lança tout de même un sort d'insonorisation en direction de la chambre du bambin, seulement pour s'assurer que la discussion à venir n'allait altérer son sommeil.

Émily avait refermée la porte doucement, se disant que la situation était déjà assez grave pour ne pas qu'elle tente de la rendre critique. Elle entendit distinctement le bruit que faisait la cape de Severus qui se dirigeait vers elle.

− Miss, lança-t-il, combien de fois devrai-je vous répéter de ne pas entrer ici comme vous le feriez dans un bâtiment d'élevage de veracrasses?

− Je suis désolée, monsieur, répondit-elle de sa voix la plus douce.

Rogue lui lança un regard dur, pas celui qui pouvait tuer, mais tout de même, il s'y apparentait. Il était sévère, il le savait, mais il n'y voyait pas de problème. Son enfance s'était déroulée dans un climat d'autorité et de violence tellement plus élevée que ce que la jeune fille et Harry pouvaient vivre actuellement. D'ailleurs, il ne se considérait pas comme quelqu'un de violent, pas plus qu'il considérait que la vie de ces enfants soient violentes en ce moment. Toutefois, il savait qu'il avait une autorité de fer, difficile à faire plier. Ils n'auraient qu'à s'y faire. Il fit demi tour et retourna à son bureau pour continuer son travail. Les élèves semblaient de plus en plus stupides, à son avis. De par les années, il lui semblait qu'ils affichaient un niveau d'imbécillité de plus en plus élever.

− Oncle Sev, fit Émily qui avait suivit l'homme jusqu'à son bureau, est-ce que je pourrais vous parler?

− Que croyez-vous que vous êtes en train de faire en ce moment, Miss, fit-il plus sarcastique qu'il ne l'avait voulu?

Émily ferma les yeux, ravalant par le même fait les insultes qui s'étaient précipités à sa bouche. Elle devait faire attention, depuis quelques temps, elle se sentait de plus en plus impulsive, plus prompte à répondre et plus insolente qu'elle ne l'avait jamais été. Elle savait qu'un tel comportement n'aurait jamais sa place de près ou de loin avec Severus, ce pourquoi elle tentait toujours de se contenir. Dieu seul sait ce qu'il pourrait faire si elle s'échappait! Des frissons parcoururent son échine à cette malheureuse pensée.

− Oncle Sev, nous trouvons que les…en fait… les étudiants ont trouvé l'exa…c'est que… je trouve que votre examen était horriblement chiant, dit-elle subitement, blasée de chercher les mots convenables à prononcer.

Quelques fractions de secondes après avoir prononcé cela, la main d'Émily vint frapper sa bouche, en même temps que des légers « oh, oh » et « oups » fusèrent du même endroit. Ses yeux s'écarquillèrent, elle n'avait pas voulu dire cela…en fait elle n'avait pas voulu le dire ainsi.

Rogue conserva son air suffisant, son air d'une personne tout à fait maître d'elle-même et pourtant… Il sortit sa baguette, lentement, ce qui fit en sorte que les yeux d'Émily devinrent de plus en plus distancés, de plus en plus apeurés. Elle entrouvrit la bouche vaguement.

Bucos rinsus, dit-il en pointant sa baguette vers la bouche d'Émily.

Cela ne fut guère long que cette même bouche fut remplie que savon qui s'émoussait démesurément. Elle avait beau cracher le contenu de sa bouche, rien n'y faisait, elle se remplissait automatiquement. Les haut-le-cœur vinrent rapidement se joindre à la partie, elle devait faire tous les efforts du monde pour ne pas être malade, là, sur le plancher du bureau de Rogue.

Émily leva les yeux perplexes, jamais Rogue ne lui avait fait subir de quelconques conséquences physiques. Les yeux de Rogue n'exprimaient rien, en fait ils étaient tout à fait normaux. Il leva un sourcil en signe d'avertissement.

− Je vous avais mentionné qu'il serait préférable que vous surveilliez votre langage et vos manières, jeune fille, n'est-ce pas?

Émily fit oui de la tête, trop occupée à ne pas avaler le savon pour s'obstiner à tenir tête à Rogue. L'effet dura à peine quelques minutes, puis les vagues mousseuses disparurent. Émily s'essuya la bouche avec l'endos de sa manche, grimaçant au souvenir de cette expérience plutôt désagréable.

− Tout à fait dégoûtant, s'indigna Émily en faisant une grimace à l'image de son dégoût.

− Je dois admettre être en parfait accord avec cela, Miss, votre langage fut totalement répugnant.

Émily fronça les sourcils. Qui avait dit qu'il était possible d'avoir le dernier mot avec Rogue? Mission impossible!

− Non, mais pourquoi avez-vous fait cela, ça ne va pas?

Pour une seconde fois elle couvrit sa main de sa bouche. Émily piqua du nez, consciente qu'elle venait de jouer avec le feu, un feu très peu malléable. Du coin de l'œil elle vit que Rogue avait reprit sa baguette en main et que cette dernière était malencontreusement pointée vers elle. Émily baissa encore davantage la tête, prête à se briser le cou, elle était prête à bien des choses pour ne pas goûter encore à cette médecine. Un temps fou passa, Rogue menaçait toujours avec sa baguette de déclencher une autre avalanche de mousse.

− Pardon, dit finalement Émily après plusieurs minutes d'attentes.

Elle l'avait cru plus enclin à ne pas l'attaquer et avec raison; Rogue baissa sa baguette, sans toutefois la déposer sur son bureau et fixa l'étudiante avec ce regard qu'on lui connaissait si bien.

− Je trouve, dit-il enfin en ne cessant de fixer Émily, que votre comportement est en chute libre depuis que je suis devenu votre gardien. Initialement, vous étiez respectueuse envers moi et ne montriez aucun signe de cette arrogance Gryffondoresque. Que dois-je y comprendre, jeune fille? Qu'est-ce qui vous fait croire que je vais accepter cela de vous, ou de quelconque personne mise sous ma tutelle. De plus, à votre âge, il serait de votre devoir de montrer le bon exemple, celui dont Harry aura de besoin. Il est évident qu'il cherchera un jour ou l'autre à faire comme vous, alors pensez-y la prochaine fois. Je ne tolèrerai guère cela très longtemps, en fait je ne saurais le tolérer une autre fois. Soyez en bien avertie.

− Pardon, fit encore Émily, pour seule réponse.

− Oui, cela vous l'avez déjà dit, répondit Rogue en gardant ses yeux fixer sur elle.

Il déposa lentement sa baguette sur le bureau, gardant toutefois sa main à faible distance. Des frissons parcoururent le dos d'Émily. Un lourd silence vint encore une fois se déposer sur eux.

− Pourquoi avez-vous fait cela, reprit-elle d'une faible voix? Je veux dire, vous m'aviez juré de ne rien me faire…je ne croyais pas que vous feriez cela, avoua-t-elle finalement, des sanglots dans la voix.

Rogue demeura silencieux quelques instants puis enchaîna.

− Dites-moi, Miss, est-ce que je vous ai déjà frappé?

− Non, mais…

− Répondez seulement à ma question, jeune fille, menaça-t-il! Est-ce que je vous ai déjà puni sans que vous le méritiez depuis que vous êtes sous ma garde?

− Non, dit-elle.

− Est-ce que je me suis abaissé à faire ce que les gens de l'orphelinat vous faisaient? Est-ce que j'ai trahi notre entente? Est-ce que je vous ai privé de nourriture, de vêtements ou de quelconque besoin primaire?

− Non, avoua-t-elle.

− Alors où est le problème, dites-moi, jeune fille? Ne vous attendez pas à ce que je tolère que vous me parliez comme vous venez de le faire, cela est inadmissible. Vous me devez le respect, comme à tous ceux qui veillent à votre éducation. Est-ce que je me suis fait parfaitement comprendre?

− Oui, professeur, fit-elle si doucement que sa voix aurait pu être confondue avec un souffle.

− Alors, je me répète, où est le problème?

Rogue venait de se croiser les bras, il s'était reculer dans sa chaise et attendait.

− Les gens de l'orphelinat m'ont déjà fait cela, pour m'empêcher de crier…lorsque…en fin vous savez…j'ai toujours eu une facilité malheureuse à répondre lorsque je suis contrariée et ils ont utilisé ce sort plusieurs fois. Je fus seulement surprise que vous aussi…enfin…je m'excuse…

− Écoutez Émily, vous devrez apprendre à faire la différence entre l'orphelinat et ici. Cela pour votre propre bien être.

Elle fit signe de tête qu'elle avait compris.

− Bon, maintenant, fit Rogue en regardant la jeune Gryffondor droit dans les yeux, si vous me disiez ce que vous étiez venue faire ici, d'une manière plus appropriée.

− C'est à cause de votre examen, il était absolument infaisable, et la plupart de élèves de troisième année sont d'accord sur ce point. Pourquoi l'avez-vous fait si difficile?

− Même si je n'ai aucun compte à vous rendre, je vous dirai de ne pas vous inquiéter, attendez de voir les résultats avant de paniquer.

− Je ne crois pas, osa-t-elle, je préfère me préparer d'avance aux remontrances que vous allez me servir lorsque vous recevrez mon relevé de note, de même que lorsque vous corrigerez l'examen.

Un froncement de sourcils lui parvint.

− Si votre étude était insuffisante, je n'y pourrai rien, jeune fille.

− Mais j'ai étudié, protesta-t-elle sur un ton énervé.

Un long silence emplit la pièce, la veine sur la tempe de Rogue battait à une vitesse folle.

− Désolée, fit Émily, je ne voulais pas que cela sorte ainsi.

− De toute manière, finit par dire Rogue après plusieurs minutes à fixer sévèrement Émily, vous aurez la réponse à vos interrogations bien assez tôt.

Le lendemain matin dû se rendre au bureau de Dumbledore. Ce dernier l'avait fait demandé. Rogue tenta don de convaincre Harry de se dépêcher à s'habiller, mais évidemment il n'apprécia pas du tout d'être pressé si tôt le matin. Harry n'était pas une personne très éveillée le matin, il lui fallait quelques temps avant d'avoir envie de faire quoi que ce soit, mais comme Rogue ne lui donnait pas l'occasion de prendre son temps, Harry commença à s'en plaindre. Il ne voulait pas le chandail bleu, ni celui avec des dinosaures dessus, pas plus que celui avec une chouette. Il ne voulait pas les bas noir, ni les blancs, pas plus qu'il ne voulait les bleu avec des étoiles. Il ne voulait pas se peigner, ne voulait pas brosser ses dents, bref, Harry ne voulait pas grand chose. Rogue finit par perdre patience, prit Harry dans ses bras et l'amena, bon gré mauvais gré vers le bureau du directeur. Évidemment, ce traitement ne fut en rien agréable pour le gamin. Il ne voulait pas non plus être pris par Severus, mais ne voulait pas non plus marcher. Rogue n'écoutait plus les protestations, mais dû se résoudre à intervenir lorsque Harry se mit à lui donner des coups de pieds pour pouvoir se soustraire à son emprise. Rogue arrêta net de marcher, déposant le gamin sur le sol et le saisissant par les deux bras, rien qui ne puisse le blesser, seulement l'immobiliser et le forcer à le regarder.

− Harry, fit Rogue menaçant, tu as intérêt à arrêter maintenant ta mascarade, je ne suis pas patient aujourd'hui, tu as déjà épuisé toute ma patience. Je t'avertis, Harry, si tu continues ainsi, je ne vais pas hésiter à te donner une fessée, même si d'autres personnes en seront témoins. Est-ce que tu comprends?

Les yeux de Harry devinrent largement ouverts.

− Mais moi je voulais jouer avec mes jouets, fit Harry en évitant complètement le sujet.

− Harry, menaça Rogue, je t'ai demandé si tu comprenais.

− Oui papa, je comprends. Pourquoi il faut aller voir Papy Dumby? On aurait pu le voir au déjeuner, non?

− Albus a demandé à nous voir avant le déjeuner, Harry, alors nous allons le voir avant le déjeuner, c'est tout.

Harry retint de justesse un « pfff….c'est plate », se souvenant de la dernière menace que venait de prononcer Rogue.

Ils arrivèrent devant le bureau d'Albus. Après que Rogue ait prononcé le mot de passe (qui cette semaine là était Aéro caramel1, car Albus avait découvert des sucreries du côté moldu), ils montèrent les escaliers en colimaçon et pénétrèrent dans le bureau du directeur. Albus semblait fatigué, épuisé, comme s'il avait passé la nuit à débattre d'un sujet inquiétant, ou s'il avait passé les dernières heures à se battre en duel avec Voldemort. Rogue lui jeta un coup d'œil inquiet, mais ne dit rien.

− Bonjour Severus, bonjour Harry.

Harry se mit à courir pour se jeter sur les genoux du vieux sorcier, ce qui fit vaguement sourire Rogue. « Il est plutôt content de le voir, maintenant, qu'il est rendu », songea-t-il en voyant l'énergie que mettait Harry à saluer Albus.

− Bonjour Harry, comment vas-tu, demanda Dumbledore à un gamin grouillant d'énergie.

− Je vais bien, Papy Dumby.

− Voudrais-tu me dessiner quelque chose, Harry pendant que je parle au professeur Rogue, j'ai entendu dire que tu faisais de très beaux dessins à Mlle Belhumeur.

Évidemment, Harry ne pu résister à l'envie de prouver que les rumeurs étaient vraies et il se mit frénétiquement au travail, cela fit sourire les deux hommes.

− Severus, fit doucement Albus en se tournant vers le maître de potions, je dois vous parler d'une chose d'extrême importance.

Albus fit un vague signe de main et Harry se retrouva, sans même le savoir, sous un charme d'insonorisation. Albus n'arrivait pas à regarder Severus en face, trop attristé à regarder le garçon qui colorait pour lui avec tant d'attention, trop attristé d'avoir à lui faire subir ce qu'il s'apprêtait à dire à Severus.

− Severus, j'ai rencontré le ministre hier. M. Fudge exige que vous présentiez un formulaire d'adoption magique rempli par les Dursley, attestant qu'ils acceptent que vous soyez en charge de Harry.

− Mais Albus, j'ai adopté Harry depuis deux ans maintenant, j'ai signé les papiers à l'époque, pourquoi donc aie-je besoin de retourner chez ces saletés de moldus?

− Vos savez, Severus, Fudge fait tout ce qu'il peut pour embêter la population honnête, parfois, j'en viens à me demander où sont ses priorités, mais cela étant, une nouvelle loi est passée. Severus, ces papiers seront nécessaires, sinon Harry devra retourner chez les Dursley et à ce moment il sera livré à son propre sort, à moins que quelqu'un d'autre l'Adopte.

Le cœur de Severus se serra.

− Personne n'adoptera cet enfant, Albus, je vais aller voir les Dursley aujourd'hui même.

− Le problème, Severus c'est que vous devrez emmener Harry avec vous, avec tout ce que cela impliquera, j'ignore si le pauvre est prêt pour cela, mais nous n'avons pas le choix. Le contrat magique et les papiers légaux doivent recevoir les signatures magiques de personnes concernées en même temps, un délai de plus d'une minute pourrait tout faire basculer. J'ignore si vous aurez une seconde chance de vous reprendre.

Ce fut au tour de Severus de regarder Harry tristement.

− N'y a-t-il aucun autre moyen, Albus, demanda finalement Severus?

− J'ai bien peur que non, mon enfant, j'y ai réfléchi toute la nuit et pourtant rien ne m'est apparu comme faisable.

− Qui devra être présent, mis à part Harry et moi-même?

− Personne d'autre, fit tristement Albus.

− Ne vous inquiétez pas, Albus, je vais faire en sorte que Harry s'en sorte bien.

− Je sais mon enfant, je sais, fut la seule réponse provenant du sorcier.

Il était retourné derrière Harry, avait enlevé le sort d'insonorisation et regardait avec admiration le dessin de l'enfant.

− C'est vraiment un très beau dessin que tu fais là Harry, un très beau dessin. Je crois que tu devras partir, maintenant. Severus va attendre après toi.

− D'accord Papy Dumby, dit Harry, je t'aime papy, ajouta-t-il en déposant un baiser sur la joue du vieil homme.

− Moi aussi, Harry murmura-t-il pour seule réponse, ses yeux bleus déjà couverts de larmes.

Harry remit son œuvre à Albus, donna la main à Rogue et tous deux sortir du bureau. Rogue portait cette nouvelle croix avec une détresse affolante. Comment allait réagir l'enfant se demandait-il? Revoir ceux qui l'avait si mal traité, si mal aimé, même s'il serait avec lui, même si ce n'était que pour quelques moments. La vie semblait tellement injuste, parfois.

Réponses aux reviews

Onarluca

je me demande ça va être quoi la prochaine connerie d'harry?

il est trop craquant ce gamin

à la prochaine

artemis

Réponse : Parfois moi aussi je me le demande… l'imagination est parfois une source épuisable de ressources…une chance que j'en ai eu assez jusqu'à maintenant. Ce pourquoi j'invite ceux qui ont des idées à me les donner, je vais les évaluer et peut-être les insérer dans des chapitres éventuels…en mettant bien entendu le nom de la personne merveilleuse dont l'idée est la source ! Merci de lire et de laisser des reviews aussi fréquemment, en fait aussi religieusement !

Drago Malefoy

salut,
je n'ai pas grand chose à dire... combien de temps cela va durer ? je veux dire, est-ce que tous les chapitres vont être consacrer à la jeunesse de Harry ?... il

y en a encore pour très longtemps...

Sincèrement,
D.M

Réponse : Je vais voir après les résultats qu'aura donné le sondage (voir plus bas) que je vais réaliser. Et toi que voudrais-tu ? Merci de lire et de laisser des reviews !

Yue-kero

Salut,
J'avais lu ta fic depuis un petit bout de temps, et je l'avais trouvé GENIAL et KAWAI...enfin trop Quoi!

Il est trop mimi le petit harry avec Severus.

Tes chapitre sont à chaque fois bien, drôle et magnifique et Kawai.

La petite mily va appeler severus "papa", un jour?

Harry la considére déjà comme sa soeur.

J'ai lu parmi les réponses de tes review que cette fic irai jusqu'au 11/12 ans de harry, c'est bien ça?

Biz A yue-kero

PS: la suite vite PLEASE...

Réponse : Émily va-t-elle appelé un jour Rogue « papa », umm, bonne question. Je l'ignore et j'en suis désolée. Peut-être que oui, peut-être que non. Je ferai peut-être un sondage là-dessus aussi éventuellement, mais pas maintenant. Et tu as bien lu, je compte au moins faire en sorte de faire durer cette fic jusqu'à ce que Harry ait 11 ans, peut-être plus, cela dépendra de la demande ! Merci d'avoir lu et d'avoir laissé cette review ! Oh, j'ai une petite question pour toi, qu'est-ce que KAWAI veut dire, tu es la seconde personne qui me dit cela, et je n'ai jamais entendu cela avant ! Merci !

Pitite maraudeuse

j'adore cette fic c'est trop mignon et très très original. Rogue me fait rire a tt le temps râler et a ne pas tolérer les débordements trop important de joie… Mais par contre je ne comprends pas pourquoi lui et McGonagall on si sévèrement puni la bataille de coussins. Si on punissait les gens a chaque fois qu'ils s'amusent un peu…

la suite !

Réponse : La réponse à cela se trouve au début du chapitre 31, en gros c'est en raison d'un accident semblable qui avait coûté la vie à un élève quelques années au paravant. Je te remercie de lire ma fic et d'avoir laissé une review !

Merci à Onarluca, yue-kero, jenni944, mirug, Timi Turner, Elmire, adrianna diaboliqua rogue, Shiny-misS, hermionedu69,Pitite maraudeuse et Drago Malefoy pour les reviews du chapitre 31.

J'ai eu la critique suivante de Hermionedu69 :

1 critique

ca bouge pas fo aller vite dans le temps la ca rame (x2)

bye

Petit sondage à ce sujet : Combien de personne voudrais que j'accélère le rythme ? Dites-moi dans le cas échéant combien de chapitre par année voudriez-vous que j'écrire ? Je voudrais seulement savoir si c'est une critique isolée, ou un avis partagé.

Merci


1 D'accord, je sais que cette friandise vient d'être inventée il n'y pas très longtemps et que mon histoire remonte à plusieurs années, mais je trouvais le nom bien, alors je l'ai choisi, il faudra seulement ne pas s'embêter avec ce léger détail…