Auteur : Seiryû seiryusan(a)yahoo.fr
Titre : rencontre inattendue
Genre : shônen ai, lime/lemon, action, yaoi
Couples : Muraki+Tsuzuki, Hisoka+Tsuzuki, Tsuzuki+Muraki, Muraki x Tsuzuki x Muraki
Disclaimer : Bon, les persos ne sont pas à moi (malheureusement pour moi…) et je les utilise à ma manière, mais je les rendrai en pleine forme (quoiqu'un peu exténué…) et sans aucune trace de leur séquestration.
Note : Ce chapitre contient des scènes qui peuvent choquer certaines personnes, je m'explique : il s'agit de scènes plus ou moins explicites entre deux hommes, donc si cela vous gène, passez votre chemin...
Remerciements : Merci à Lili, Chris et Murasaki-kun pour leurs reviews qui m'ont fait très plaisir !Merci à vous trois !
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Chapitre 2ème
Une illusion, un être divin vient d'apparaître devant lui. Tsuzuki n'en revient pas. Il croit toujours rêver. Il sort avec tant bien que mal de ses pensées soudainement devenues perverses. Il se penche pour ramasser sa veste et en se relevant, il tombe nez à nez avec le membre durci de Muraki. Tsuzuki a de plus en plus de mal à détacher son regard de l'Apollon vivant qu'il a en face de lui. Il réussit à reprendre sa veste et à détourner son regard du corps stupéfiant de la créature de rêve se trouvant devant lui…
Le sang de Tsuzuki ne fait qu'un tour. Il lâche sa veste, se rapproche de Muraki, leurs deux visages lentement se rapprochent, chacun hésitant à franchir le pas. Leurs souffles se mettent au même rythme, les battements de leurs cœurs aussi. Soudain, Tsuzuki prend possession des lèvres de Muraki et ils échangent un baiser aussi profond qu'une lacune au fond d'un océan. Tsuzuki ne peut plus détacher ses lèvres de celles de Muraki. Il ne peut pas, ou plutôt, il ne veut pas…
Au bout d'un long instant, ils s'écartèrent l'un de l'autre en éprouvant un détachement physique qui leur fait mal au cœur. Muraki entoure Tsuzuki de ses bras tremblants et lui dépose un baiser dans le cou. Tsuzuki n'écoutant que ses hormones se raccroche aux lèvres de Muraki et laisse ses mains fiévreuses découvrir le corps de son partenaire.
Des caresses sensuelles parcourent son corps, Muraki n'en peut plus et commence à vouloir déboutonner la chemise de Tsuzuki, ce dernier ne se laissant pas faire en parcourant le corps de Muraki de baisers piquants par endroit la peau frissonnante sur son passage, descendant peu à peu vers la partie inférieure. Puis, Tsuzuki embrasse le bout du sexe dur de Muraki qui frissonne et le prend dans sa bouche. Sa langue commence à jouer avec le membre dressé, Muraki gémissant de plaisir, veut que Tsuzuki arrête car il ne veut pas être le seul à prendre du plaisir, mais Tsuzuki ne l'entend pas de cette façon. Il continue de jouer jusqu'à ce que Muraki soit à la limite de se libérer et se relève. Muraki, en sueur et au visage rouge, s'approche de Tsuzuki, l'embrasse à pleine bouche et dégrafe la chemise de Tsuzuki, laissant à son tour ses mains parcourir le corps tant désiré. Soudain, sans que Tsuzuki ne le pressente, il glisse sa main dans le pantalon de Tsuzuki et commence à masser son sexe, Tsuzuki rougissant de gêne et peu à peu, ne se tenant plus, il défait le bouton de son pantalon et Muraki le fait glisser millimètre par millimètre sans cesser le mouvement de va-et-vient, le long de ses hanches fines et de ses jambes finement musclées. Son membre durci par le plaisir se dresse dès que le pantalon touche le sol.
Deux êtres nus, à un mètre l'un de l'autre, se dévorant du regard, n'ayant qu'une seule envie, découvrir plus encore le corps de leur partenaire.
D'un accord commun silencieux, ils se rapprochent pour finalement se laisser aller à l'autre. Un baiser langoureux échangé, une main vicieuse se glissant dans des endroits autrefois interdits, une langue caressant langoureusement les lèvres de l'autre, deux corps prêts à s'unir, quand l'un s'écarte…
« Tsuzuki, attends !
- Hmm… Non, j'ai attendu de moment depuis trop longtemps.
- Moi aussi, mais…
- Alors pourquoi s'arrêter ?
- Parce que j'ai quelque chose de très important à te dire.
- Non, tout à l'heure… »
Tsuzuki se rapproche de Muraki et se place à califourchon sur lui pour l'empêcher de bouger.
« Tsuzuki ! Arrête donc et écoute moi !
- Rah ! Pourquoi faut-il que je me retienne ?
- Parce que ! »
Muraki réussit à se libérer et se place au-dessus de Tsuzuki, de telle manière que ce dernier ne peut plus bouger.
« Tu es entrain de me frustrer là !
- Voyons mon petit Tsuzuki ! Ça reviendra, j'en suis sûr ! Ou tout du moins, je l'espère…
- Bon, arrête de plaisanter et dis-moi ce que tu as à me dire…
- Et bien voilà, tu sais très bien qu j'étais attiré par ton corps, par ton pouvoir. Mais maintenant, je te veux toi, plus ton pouvoir mais toi, ta personnalité, ta beauté, ta sensualité, ta façon de te tenir, la grâce de tes gestes, la finesse de tes traits, j'aime tout chez toi, je t'aime toi, je t'aime tout court…
- …
- Tsuzuki ? Ça ne va pas ?
- …
- Tu sais, ça va être embêtant si tu as perdu ta langue…
- C'est-à-dire que… que…
- Tu ne penses pas la même chose, n'est-ce pas ?
- Non, pas du tout !
- Tu n'aimes que mon corps, que mon apparence ! Tu me veux juste pour une nuit ! Juste pour une fois ! C'est ça Tsuzuki ?
- Mais…
- Je ne veux pas te perdre Tsuzuki. Moi, je t'aime, alors même si ce n'est pas réciproque, je veux bien le faire… »
BAFFE !
Muraki, la joue gauche rougie par la main de Tsuzuki, détourne la tête. Tsuzuki a les larmes qui commencent à couler de ses yeux.
« Ne redis plus jamais ça ! Ne plaisante pas avec ça !
- Mais tu…
- Mais je n'ai pas répondu parce que je ne savais pas quoi dire. Tu me fais une déclaration magnifique, personne ne m'en a jamais fait et donc je ne suis pas habitué à en recevoir. Mais je n'ai jamais dis que ce n'était pas réciproque.
- Tsuzuki !
- Viens, Muraki… »
Tsuzuki ouvre ses bras et Muraki se blottit dedans. Leurs bouches se rapprochent, un baiser est échangé, un seul et unique, mais pour eux, il veut tout dire. Leurs bras et leurs jambes s'emmêlent, les deux êtres n'en font plus qu'un, l'un dit trois mots, l'autre en dit deux, « je t'aime », « moi aussi ». Deux êtres en sueur, serrés l'un contre l'autre, profitant de cet instant de bonheur. Mais ce doux moment de bonheur n'est pas destiné à durer éternellement, car ces deux êtres ont une relation contre-nature, ils seront sans doute punis un jour, mais pour le moment, ils en profitent. Ils sont seuls donc ils rêvent. Ils rêvent d'un avenir de paix, où ils pourront vivre sans devoir se tuer, où ils pourront vivre tous les deux sans crainte du regard des autres, mais ce monde est bien loin à présent… Une voix enfantine se fait entendre…
« Tsuzuki ? Où es-tu ? »
A suivre…
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Notes de fin de chapitre :
Seiryû : Ouah ! J'ai réussi à finir ce chapitre d'une traite. Enfin, je suis heureuse ! Niark ! Lemon TRES implicite… (Enfin, ça dépend, la 1re partie, ce n'est pas vraiment implicite…) Dans une prochaine fic peut-être…
Tsuzuki : Je veux mon lemon EXPLICITE !
Seiryû : Euh… Pas tout de suite Asato-kun ! Je suis désolée, j'ai dit dans une autre fic peut-être…
Tsuzuki : Bien, puisque c'est comme ça, je ne ferais plus ce que tu écris…
Seiryû : Ben tiens… #écris sur une feuille « Tsuzuki entra et vit Muraki nu, attaché et bâillonné. Ce dernier lui dit qu'il pouvait faire ce qu'il voulait et ils commencèrent une belle partie de plaisir… »# Et là, tu fais quoi ?
Tsuzuki : Mpsfxghkp…
Seiryû : Tu baves là !
Muraki (venant d'arriver) : Mais qu'est-ce qu'il se passe ici ? #lit la feuille#
Seiryû : T'en penses quoi Kazutaka-san ?
Muraki : Ma foi, c'est une très bonne idée… Tsuzuki ?
Tsuzuki : Mgpfxskmoz…
Seiryû : Mais encore ?
Muraki : Je crois qu'il approuve…
Seiryû : Ah ?
Muraki : D'ailleurs, on ferait mieux de s'entraîner avant… Tu viens Tsuzuki ?
Tsuzuki : #regard pervers# C'est toi qui es en dessous non ?
Muraki : Ah oui… euh… j'ai un truc super important à faire, j'avais complètement oublié…
Tsuzuki : MURAKI ! SI TU NE REVIENS PAS ICI IMMEDIATEMENT, JE ROMPS !
Muraki (de la porte) : Gloups ! J'arrive mon amour ! #saute sur Tsuzuki et lui roule le patin du siècle#
Seiryû : Bien, ils sont prêts pour le chapitre suivant, alors… à bientôt !
Muraki : #se penche# #passe avec une pancarte « Reviews please ! »# #regarde à gauche# #regarde à droite# #tourne la pancarte : « Demandez-lui un lemon ! »#
Seiryû : Kazutaka ! Si tu ne reviens pas ici tout de suite, je te case avec Gushojin !
Tsuzuki : QUOI ? NON MAIS CA NE VA PAS LA TETE !
Muraki : Ah ! Mon sauveur ! Je t'aime Tsuzuki d'amour !
Tsuzuki : Oui moi aussi #papouilles powaaaa#
