Disclaimer : les personnages de Gundam appartiennent à leur auteur, ainsi qu'à Sunrise, Bandai, Sotsu Agency et associés.
Genre : Fic en deux chapitres (fois le nombre d'Opus, lol), humour, yaoi

Préface : OPUS 2, première partie…

Hé bin… C'est reparti.

J'ai fini la première partie du défi que m'a lancée Calamithy, je m'attaque à la seconde.
Rappel :

« Chère hlo : t'es même pas cap de faire une fic 1x2 ou 3x4, au choix, ou les deux ce serait drôle, où Duo ou Quatre fait tout ce qui est en son pouvoir pour ne pas passer du temps avec Heero ou Trowa, jusqu'au moment où ils se font choper et qu'on leur dit "tu m'évites ou quoi" et qu'ils répondent "non" et qu'on leur dise "prouve-le". »
Donc, si vous ne savez pas où vous êtes, allez lire l'Opus 1.

Voilà, voilà, voilà… Je crois que c'est un bon résumé.

Merci à tous pour vos reviews
( merci à toi Florinoir à qui je n'ai pas pu répondre par mail )

Et bonne lecture.


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-Invisible men-

Manger ou être mangé ? Telle est la question…

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Résidence Winner, New York, direct depuis la serre…

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Trowa n'avait pas parlé près, mais contre son oreille. Son souffle ne se ressentait plus sur la nuque de Quatre, il caressait son lobe, s'infiltrait dans son conduit auditif et venait caresser son système nerveux central..

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Son flegme, digne d'un Britannique, ne résista pas.

La décharge électrique que la légère respiration produisit ne pouvait pas passer inaperçue, même sur un Winner. Quatre avait beau contrôler ses nerfs à merveille, il s'agissait de l'exception qui confirme la règle.

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Il le voulait…

Contre lui, sur lui, en lui !

Comment ?

Rien à foutre !

Toutes les positions étaient bonnes à prendre tant que c'était TOUT DE SUITE, Là, MAINTENANT !

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Il est évident qu'un transat n'est pas la plus confortable ni la plus commode des banquettes pour se faire… heu… hum…

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Pas de vulgarité.

Cela n'est pas digne d'un jeune homme de bonne famille ayant un minimum d'éducation.

Même si le jeune homme en question est un ex-terroriste et un agent du gouvernement, ça n'excuserait pas un manquement aux bonnes manières.

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Peut-être qu'il existe un tapis de mousse tendre dans les profondeurs de cet environnement de verdure luxuriante, il n'avait jamais été explorer le fond de la serre, c'était le moment propice.

Il faudrait une machette pour y parvenir, mais qu'importe !

Son corps svelte mais ferme valait bien toutes les peines du monde.

Et puis, il avait besoin de se défouler là, d'évacuer le trop plein d'exci… d'émotions !

Se frayer un passage en explosant des arbustes dont l'unique tort était de se trouver sur son chemin, lui paraissait être un excellent moyen pour enlever son stress.

Surtout avec une compensation au bout…

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Ne rêvons pas.

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Surtout avec les mains de Trowa qui ne le touchaient même pas, mais qu'il pouvait imaginer, sentir par évocation..

Son imagination fertile travaillait à plein régime.

Il commençait même à en ressentir un léger mal de crâne.

Il ne doutait pas que l'homme près de lui pourrait le calmer d'un tour de mains…

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Ses mains…

Sur son corps….

AAAAARGG… !

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MAIS

Cela voudrait dire qu'il devrait se coucher devant Duo.

Et ça, hors de question !

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Ce n'est pas par arrogance, ni par bravache, non…

C'est juste que le seul devant qui il se coucherait volontiers, pour d'autres sortes de jeux certes, était dans son dos.

A un poil de le toucher, sans conscience de la situation.

Et absolument hétéro…

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Dégoûté, totalement, complètement, indéfiniment !

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Mieux valait ne pas se faire d'illusions, même s'il n'était plus le gringalet de 15 ans.

Il avait incontestablement grandi, d'un bon 20 centimètres, et même s'il ne pourrait jamais le regarder directement dans les yeux, il était loin d'être lilliputien maintenant.

Il s'était musclé, n'avait plus rien d'une crevette somalienne.

Et s'il avait gardé un teint de porcelaine, des traits fins appuyés par ses éternels cheveux d'or, façonnés au balayage quand même, et ses yeux toujours aussi translucides, totalement naturels ceux-là...

Il plaisait.

Il était tout à fait au courant évidemment.

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Le sexe fut un passage obligé dans son apprentissage. Passage plus que plaisant en l'occurrence.

Uke, Seme, cela lui était égal tant que son partenaire savait si prendre et l'épuiser.

Ça n'arrivait pas souvent hélas…

Quatre était… hum… insatiable.

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D'une voracité sans complaisance, il lui fallait quelqu'un d'ardent, avec un zeste de violence et une touche d'emportement.

Nécessairement une bête, pas un balourd.

La différence était de taille mais certains avaient beaucoup de mal à faire la distinction. Ceux-là ne passaient pas plus de 15 secondes dans son lit.

L'irréductible indompté cherchait son maître.

Il pensait même l'avoir trouvé…

Malgré tout, il n'avait jamais réussi à provoquer le haussement d'un sourcil de son fantasme sur patte.

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Désabusé le mec.

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Si près du but, il avait dû lâcher l'affaire.

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Il avait la carotte.

Il lui manquait les melons.

Trowa avait toujours eu une préférence pour les fruits.

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La chair de poule gagna ses avant-bras, un exploit par cette chaleur.

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- Tu as raison Trowa. Il fait trop chaud. Je vais aller profiter de la climatisation de la bibliothèque, je ne voudrais pas risquer une insolation.

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Il se leva avec grâce, en prenant garde de bien cacher l'altitude plus que suspecte de sa braguette.

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- Mais tout d'abord, une douche.

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Un étirement.

Les muscles doivent se réveiller après trois jours d'inoccupation.

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- Je ne veux pas tomber bêtement malade en passant, humide, du chaud-froid. La sueur est un danger pour la santé.

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Parfait.

Il avait été p.a.r.f.a.i.t.

Il s'épatait lui-même, c'est tout dire…

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Bouffée d'orgueil.

Un sentiment de fierté à son propre égard l'envahit.

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Non, non !

Quatre Raberba Winner n'est pas imbu de sa personne ! Il est si peu vaniteux !

Enfin, habituellement.

Parce que là, il fallait bien qu'il s'envoie des fleurs imaginaires à lui-même, personne ne pouvant soupçonner les efforts surhumains qu'il venait de fournir.

Il avait mal partout au vu de la tension qui traversait la moindre parcelle de son anatomie, avec une pression conséquente dans la région du centre.

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Il avait réussi à prendre sur lui toute la frustration accumulée en seulement quelques minutes.

Et, plus important, pas à un seul moment il ne s'était tourné vers Trowa.

Il venait à nouveau de montrer sa capacité à retourner n'importe quelle situation à son avantage.

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La bataille était terminée.

Il avait gagné.

Ouf… Tout n'était pas perdu, il pouvait encore vaincre l'Américain.

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Il quitta donc la serre avec dignité sans un regard à son vis-à-vis.

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Une douche… Quelle excellente idée !

Ce qui n'était au départ qu'une entourloupe, qu'un prétexte pour quitter la présence gênante de Trowa, allait s'avérer plus que nécessaire.

Le renflement au niveau de son entrejambe se devait d'obtenir une attention rapide.

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Il prit soin de garder une vitesse constante dans sa fuite…

Non ! Un Winner ne fuit pas, il s'éclipse.

… Ni trop rapide, ni trop lente, naturelle, pour ne donner aucune prise aux soupçons de l'Hétéro, quels qu'ils soient.

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Tout à ses préoccupations, il n'entendit pas le murmure qui accompagna son élégante débandade.

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- C'est ça, Quatre… La bibliothèque… On s'y croisera et je te ferai exploser ton bermuda. Moulant à souhait. Hummmmm…

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Un sourire s'étira lentement, à moitié caché par une mèche aux dimensions extravagantes.

Elle avait d'ailleurs tout doucement tendance à lui tomber sur le front, il était temps de sortir de cette moiteur s'il ne voulait pas devoir de nouveau passer des heures en coiffure.

C'est que ça demande du temps pour faire tenir cette masse.

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- Cours tant que tu veux, Quatre, ça me met en appétit. Je te croquerais bien moi. Mais avant, je vais te savourer.

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Trowa l'observa quitter les lieux.

Il se sentait comme un animal pris dans les phares d'une voiture, paralysé par ses hanches fines et ses fesses galbées qui ondulaient alors qu'il passait la porte.

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Un éclair passa dans les yeux verts.

Le fauve se lècha les babines, récoltant le sel de la fine pellicule de sueur qui s'y était déposée.

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« La guerre est déclarée Quatre, que le meilleur gagne »

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L'homme-félin est lâché, il s'était mis en chasse.

La traque pouvait débutée.

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« Hammam ? Qu'est-ce que c'est que ce truc ? »

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Devant ce nom barbare, Duo avait de sérieux doutes quant à sa fonction alimentaire.

Ça n'avait pas l'air d'être en accord avec son ventre.

Allez voir ou passer son chemin pour trouver les cuisines ?

Question…

Difficile…

Hum..

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C'est que le gouffre de son estomac n'allait pas se remplir tout seul.

Il commençait à en avoir sérieusement marre de jouer à la recherche de la cuisine perdue.

A manger bordel !

Et plus vite que ça !

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Mais bon…

En même temps…

Il ne pouvait raisonnablement pas risquer de rater un possible garde-manger.

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« Allez, juste un petit coup d'œil. »

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Sa décision prise, rien ne pourrait le faire reculer.

Même pas une porte fermée.

Il suffit d'un peu de doigté et…Voilà…

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HOULA !

C'est quoi cet endroit ?

Encore un peu plus de chaleur, on ne cuit pas mais ce n'est pas loin.

Quelle buée…

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Tous les pores de sa peau donnaient la sensation déplaisante de suppurer, de l'eau, heureusement.

La condensation était à son comble.

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Duo cligna des paupières pour tenter désespérément de se débarrasser des gouttelettes agglutinées sur ses cils.

Il ne voyait rien mais son peu d'odorat lui affirmait qu'un délicieux fumet s'élevait dans les pièces.

Ça sentait bon.

Très.

Ses papilles gustatives se mirent à danser la java en prévision du festin que l'odeur supposait.

Il se mit à saliver.

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Il y était enfin !

IL Y AVAIT DE LA NOURRITURE !

Il allait manger…

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Il fit un pas à l'intérieur.

La porte se referma doucement derrière lui.

Pourquoi soudain cette impression d'être pris au piège ?

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Ridicule…

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Un autre pas dans la vapeur.

Ses yeux commençaient à s'habituer à l'obscurité.

Ça avait l'air plus grand que prévu.

Une pièce à gauche… rien à voir.

Une pièce à droite…. nada.

Un couloir droit devant, c'est parti.

Il allait devoir fouiller, tant pis.

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Une vision très réaliste d'un poulet épicé s'imposa à son esprit.

Couteau en main, il se vit très précisément en pleine application de séparation de la chair des os.

Une goutte de salive se détacha du coin de ses lèvres pour couler le long de son menton et se perdre dans le col de son t-shirt.

Il collait à la peau.

A la base, il était déjà moulant, ok, mais là, ça en devenait désagréable.

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Bon, avant tout, s'occuper du poulet.

Même rachitique il ferait l'affaire.

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Il passa rapidement en règle plusieurs pièces.

Vide.

Encore vide.

Désespérément vide…

Enfin, pas tout à fait, juste du mobilier en bois et tissus.

Non comestible.

Il ne pouvait pas y avoir quelque chose d'autre pour varier les plaisirs ?

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Une dernière, puis il se prépare psychologiquement à repartir, les cuisines n'allaient pas se trouver toutes seules.

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- DUO ! ENLEVE-MOI CES FRINGUES, ET VITE !

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Décidemment, suer faisait du bien au corps…

La douche avait revigoré son organisme alangui par l'indolence provoquée par la chaleur.

Il avait maintenant la peau soyeuse et électrisée sous la douceur de la chemise à manches courtes qu'il avait laissée ouverte au-dessus un nouveau bermuda.

Hum…. Le bonheur tient en peu de choses.

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La fraîcheur de la bibliothèque lui fit du bien et termina de le réveiller.

En effet, pour la conservation de certains ouvrage rarissimes et autres pièces de collection, les 247m2 de la salle étaient gardés à 23,5°, pas plus, pas moins.

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Danger.

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Les sens en alertes, Quatre fit rapidement l'inventaire des lieux.

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Les rayonnages s'élançaient à l'assaut des murs de 5m15 de haut, tandis que d'autres formaient un véritable labyrinthe au centre de la salle.

Tout était recouvert de bois et la moquette finissait d'assourdir les sons.

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Danger…

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Habituellement, Quatre adorait cet endroit.

Il s'y sentait bien malgré l'opulence des lieux, effectivement, cette bibliothèque prouvait bien une chose : son propriétaire était immensément riche.

Les livres étaient ses amis, ses compagnons de distraction, ils ne pouvaient lui faire de mal.

Seulement, maintenant, un sensation diffuse de trahison flottait dans la pièce.

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DANGER.

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Il devait être très attentif.

Trowa y avait fait son antre pour la durée de son séjour.

Il ne faut pas se leurrer, même un homme-animal ne devient pas instruit avec des croquettes pour chiens.

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De la lumière tamisée jusqu'aux gros sièges en cuir extrêmement confortables, tout dénonçait la menace…

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- Urgl…

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Est-ce lui qui avait proféré un bruit pareil ?

Aucune idée.

S'en fout d'ailleurs.

Ce n'est plus le moment de paraître intelligent.

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-Aheu… gasp ?

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Alerte, alerte, ALERTE !

Problème urgent dans la partie gauche du cortex, du côté du langage, qui se propage rapidement à l'ensemble des connections neuronales !

L'ensemble des fonctions cérébrales vont très prochainement tomber en panne !

Déjà plus de mouvements en provenance des membres supérieurs, les inférieurs vont lâcher d'un moment à l'autre…

La source des ennuis a l'air de se situer au niveau des globes oculaires.

ELEVATION DANGEREUSE DU RYTHME CARDIAQUE ET HALLETEMENTS !

VITE, REACTION IMMEDIATE DEMANDEE !

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- Hee… Heero ?

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Pas bon ça… vraiment à côté de la plaque… super comme réaction !

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- Qui veux-tu que ce soit baka ! Alors, tu les enlèves tes fringues où je viens les ôter moi-même !

- Mais.. heu…

-

Oui, Heero…

Nu.

Ou presque.

Ce n'était pas la serviette microbienne qui lui cinglait les hanches qui allait cacher quoi que ce soit.

-

- Tu es dans un hammam, une sorte de sauna arabe si tu préfères, Américain inculte !

-

Heero.

Enervé.

Rougissant sous la colère, à moins que ce ne soit dû à la chaleur suffocante…

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N'importe quoi.

Il n'y a qu'un qui suffoque ici, et c'est lui.

Comment respirer normalement sous la vision du métis le plus bandant du monde habité, colonies incluses !

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Duo pouvait parler en connaissance de cause, il avait été vérifier.

Aucun de ses amants ne pouvait prétendre au titre de Mister Univers s'il était comparé à la Perfection Incarnée qui se laissait admirer dans ce…

C'est quoi encore le nom ?

Ah oui.

Hammam…

Ressemble à « miam ».

Facile à retenir à partir du moment où on mémorisait par association d'idées.

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Admiré et admirable sur tous les points.

Les yeux brillants, les muscles luisants de sueur, contractés, les mèches folles légèrement collées à son front moite, il ne devait pas être là depuis longtemps…

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Heero…

Magnifique…

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Duo n'arrivait pas à détacher les yeux des perles d'eau qui glissaient le long de sa peau ambrée, descendant entre ses pectoraux bien dessinés et venant mourir dans sa mini-serviette de bain, juste à la limite des poils visibles…

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Il mourrait tout doucement d'inanition, son cerveau n'avait pas son apport de calorie.

Ça devait être ça.

C'EST ça…

Il lui fallait calmer sa faim, tout irait mieux ensuite.

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Mais seul Heero et ses tablettes de chocolat, Heero et le velouté de sa peau, Heero et le craquant de ses articulations, Heero et ses lèvres délicatement pulpeuses, Heero et son regard glacé, Heero et ses tétons à lécher, Heero et ses doigts à sucer, Heero et …

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Quel était ce bruit qui venait le déranger dans sa contemplation de l'Homme Parfait en pain d'épice dans toute sa splendeur ?

Il lui parlait ?

QUOI !

-

- Heu…

- … Dans ce genre d'endroit, les microbes et autres bactéries peuvent se décupler à leur aise, pour une raison d'hygiène, il est demandé d'enlever tous ses vêtements ! Tiens !

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Lancé d'un autre micro-serviette.

Rattrapée par réflexe.

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- Ah ! Oui… Je… vaisvoirailleurssijysuis !

- Je connais ton corps Duo, ce n'est pas un problème, pas après toutes les fois où nous nous sommes mutuellement recousus.

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C'est quoi ce monologue ?

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- Ce n'est pas ça…

- Et puis, ça te fera du bien, tu n'as pas l'air en forme ces derniers temps pour passer trois jours enfermé dans ta chambre.

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Des yeux bleus qui lâchent leur cible près de la porte.

Un mouvement.

De la vapeur en plus.

Une goutte qui glisse…

Une langue qui lèche des lèvres terriblement sèches malgré l'eau en suspension.

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- Maissijevaisbien…

- Tu m'évites donc.

- Mais non ! Je… je… Tu vois quoi !

- Hn !

- …

- Prouve-le. A poils et plus vite que ça !

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NON, non, Nooooooonnnnnn…. !

Tout mais pas ça !

Pas maintenant.

Pas dans son état.

Ce n'est pas la nano-serviette blanche, tellement petite que même un nain ne saurait pas quoi en faire, qui aurait la capacité de cacher la trique de feu qu'il abordait.

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Il paraît que la chaleur calme les ardeurs…

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QUELLE CONNERIE !

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De quel magasine imbécile pour femmes frigides venait cette affirmation absurde ?

Il n'avait jamais eu autant l'impression qu'en cet instant, que ses couilles allaient implosées pour rejaillir en une éjaculation plus que précoce puisque non travaillée.

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Sans même un effleurement, ce mec était une bête de sexe.

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Oublié son estomac creux.

Oublié Quatre et son stupide défi.

Rien ne lui paraissait plus important à présent que de sauver sa peau.

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Voili, voilà…

Avant de passer à la seconde partie de l'Opus 2, je voulais remercier Andromeda Aries, Seiko no Tenshi, Kirin et Kikunosuke, pour leurs reviews sur Phobie…
J'espère que vous lisez cette fic-ci aussi pour avoir connaissance mon message.

Pour tout le monde, merci d'avance pour vos encouragements .

Veuillez, s'il vous plait, prendre la défense d'un petit auteur qui peine à suivre le rythme d'une fausse scribouilleuse du nom de Calamithy qui tape plus vite que son ombre.

Au plus vite.

HLO