Titre : J'aurais voulu
Auteur : Naura
Raiting : PG-13
Pairing : Comme d'hab c'est un Die/Kyo
Disclamer : Non je n'ai pas eut le temps de m'acheter un billet d'avion pour le japon, de m'y rendre, de kidnapper les membres de Dir en Grey, de revenir et de m'amuser avec ceux que je venais de kidnapper entre le temps où j'ai publier la première partie et le temps que ça m'a pris à publier celle-ci... TT Par contre le personnage Tomoyo est toujours à moi.
Bon maintenant on est rendu à la deuxième partie. Ou plutôt ma deuxième idée. Je le répète ça n'a aucun rapport avec la partie précédente (encore une fois il est dur de faire la suite d'une histoire où les deux persos principaux sont déjà mort et je vois mal quelqu'un réussir à séparé deux anges qui restent ensemble 24/24h, 7/7j...) et bien que le concept est encore le "J'aurais voulu" l'idée est totalement différente. Ce n'est pas un Death-fic (Dieu m'en préserve). Et on s'entend que j'ai complètement imaginer le vie de Kyo... XD
Sinon et bien...
Bonne lecture!

J'aurais voulu

J'aurais voulu plein de choses dans ma vie.
Oh, bien sûr pas des trucs du genre "J'aurais voulu avoir un vélo bleu au lieu de rouge à mes 7 ans" ou encore "J'aurais voulu que mon chien ne se fasse pas écraser par une voiture". Ça se sont des futilités, du moins à mon avis. Et puis de toute manière ce n'est pas comme si je pouvais formulé ses phrases puisque je n'ai jamais eut de vélo à 7 ans ou même de chien...
J'aurais voulu... avoir des parents différents.
Assez difficile à faire je l'avoue. Et puis je ne serais pas qui je suis sans eux. Quoique je ne suis pas sûr que se soit vraiment bien.
J'ai aimé mes parents, vraiment je les ai adoré... Jusqu'à l'âge de 6 ans. Ou peut-être était-ce 7? De toute manière ça n'a pas d'importance.
C'est vers cet âge que tout a commencé à aller mal. Mon père a perdu son travail et n'en a pas trouvé d'autre. Résultat il est devenu saoul en permanence. Il frappait ma mère, nous insultait, nous accusait de tout ce qui avait pu lui arriver.
J'étais un peu trop jeune pour parfaitement comprendre ce qui se passait et de voir ma mère toujours triste, alors que je l'avait connu souriante, me perdait encore plus. Et puis pourquoi mon gentil papa était devenu ainsi?
Mais dès que je posais la question ma mère m'insultait à son tour et plus tard elle a commencé à me frapper. Elle expulsait sur moi la rage qu'elle n'avait pas le courage d'expulser sur son mari.
Je peux me considéré comme chanceux. J'ai n'ai jamais été abusé et mon père n'a jamais levé sa main sur moi, sauf pour une ou deux gifles. C'était ma mère qui le faisait, et même si ça me faisait mal, en quelque part je crois que je préfère que ça est été ainsi.
Toujours est-il que lorsqu'on se fait traité à longueur de journée de pauvre incapable, pour cité le moins pire, on commence à y croire. Et ça joue sur notre moral.
7 ans et déjà dépressif. Peu de gens pourraient s'en venter.
Mon état faisait fuir les autres enfants dont j'aurais pu me faire ami. Faisant fuir le seul échappatoire possible à mon âge.
Il s'est passé 5 ans ainsi. Jusqu'à ce que mon père meurt, frappé par une voiture. Comme de raison il était ivre. Si je le regrette? Pas une miette. Pour moi mon père est mort le jour où il a arrêté de travailler et commencé à boire.
Ma mère était inconsolable. Ce n'est pas parce qu'il était devenu le parfait exemple de la loque humaine qu'elle ne l'aimait plus. Et elle était donc incapable de prendre soin de moi.
J'ai été confié à ma grand-mère maternelle que je n'avais pas vue depuis mes jeunes années. Il faut dire que ma mère avait voulu couper tout liens avec son entourage lorsque mon père avait commencé à boire.
C'était le genre de femme qui sent toujours le parfum à la rose, qui possède une centaine de chats, si ce n'est plus, qui faisait de la nourriture en quantité industrielle et dont le trois quart était des pâtisseries, le genre de femme qui en a tellement vu dans la vie qui ne se souci plus que d'être heureuse. Le genre de femme que tous veulent avoir pour grand-mère, en autant d'aimer les chats.
C'est chez elle que j'ai commencé a chanté.
Elle ne cessait jamais de chanter, de fredonner, de siffler et lorsqu'elle ne faisait rien les cd la remplaçaient. Comment résisté à l'appel de la musique alors?
C'est grâce à elle aussi que j'ai appris que chanter permettait d'exprimer nos sentiments au monde. Elle ne m'a jamais demandé de parler de ce qui c'était passé sur ce que j'avais vécu, trouvant que chanté était une bien meilleur façon de tout laisser sortir. Alors que d'autre m'aurait simplement envoyer chez un psychologue elle, elle m'écoutait chanter.
C'est à partir de se moment que j'ai commencé à me mêler aux autres à l'école. Je me tenais surtout avec des filles, mais je me sentais beaucoup plus à l'aise avec elles. Je ne vois pas pourquoi on les trouve si difficile à comprendre, elles sont la simplicité même. Elles sont juste à l'écoutent de leurs sentiments, qu'est-ce qu'il y a de compliqué à comprendre dans ça?
Elles me trouvaient toutes "kawaï". Faut dire que malgré mes 12 ans je ressemblais encore à un gamin de 6 ans. Ce n'est pas à cause d'elles que je déteste me faire appeler ainsi mais plutôt à cause des garçons qui m'appelaient ainsi pour m'humilier. Ils ne semblaient pas comprendre que je me fouttais complètement de ce qu'ils pouvaient me dire. Ça n'aurait jamais pu surpasser ce que me disaient mes parents. Quoiqu'il en soit j'ai passé un moment merveilleux avec ma grand-mère et avec mes amies.
J'aurais voulu... que ça ne finisse jamais.
Malheureusement au bout de trois ans j'ai du retourner vivre chez ma mère. Qui se comportait avec moi comme s'il ne s'était jamais passé. Était-ce parce qu'elle était honteuse? Je n'en sais rien et je ne veux pas le savoir.
Elle m'a présenté un homme qu'elle voulait absolument que j'appelle papa. Je n'avais presque jamais appelé mon vrai père ainsi alors elle croyait que j'allais le faire pour un inconnu?
Elle disait que j'étais de mauvaise foi... Bien sûr j'oubliais presque c'était moi qui ne disais rien de ce qui c'était passé avec mon ex-mari à mon nouveau petit ami.
Lui disait que j'étais en pleine crise d'adolescence... Je crois plutôt que cette supposez crise a simplement été inventé pour vous faire croire que vos enfants vous aiment encore, que ce n'est qu'une passe. Du moins dans mon cas.
Bizarrement j'appréciais plus mon beau-père que ma mère. Au moins lui ne cherchait pas à me connaître quand il n'en avait aucune envie, il ne jouait pas aux hypocrites. Lui au moins ne me dégouttait pas par son comportement.
J'ai fini par faire une fugue un an après à l'âge de 16 ans. Je ne suis pas allé bien loin, simplement chez ma grand-mère qui m'a accueillit sans rien me demander. Ma mère n'a même pas cherché à me retrouver, elle qui ne cessait de me dire que je lui avais manqué. Même si ma grand-mère l'avait prévenu elle n'a même pas prit de mes nouvelles.
Grand-mère était honteuse de sa propre fille, mais qu'est-ce qu'elle pouvait bien y faire?
Alors elle a simplement continué à m'élever.
J'aurais voulu... qu'elle soit immortelle.
Malheureusement elle ne l'était pas et comme elle était vieille et bien un jour la mort est venue réclamé son âme.
C'est la seule fois que j'ai pleurer pour quelqu'un d'autre que moi-même. Égoïste? Peut-être. Je n'ai jamais prétendu le contraire.
Deux choix se sont alors présenté à moi. Soit retourné vivre avec celle qui prétendait être ma mère, dont je n'avais plus entendu parler depuis, ou bien encore vivre de mes propres moyens.
Comme de raison je ne suis pas retourné chez ma mère. Je ne sais même pas ce qu'elle est devenue aujourd'hui. Peut-être est-elle morte? Je m'en moques. Plusieurs me dirait que c'est horrible de dire ça, de parler ainsi de sa famille. Le problème est que je ne l'ai jamais considéré comme tel.
Alors j'ai commencé à faire des jobs minables pour pouvoir me payer un appartement minable et à peine de quoi manger.
Un jour j'ai entendu quelqu'un dire qu'il cherchait un chanteur pour une groupe. Je me suis dit "pourquoi pas". Bien sûr j'en ai fait parti. J'ai fait parti de plusieurs groupes. Aucuns n'a jamais vraiment laissé un souvenir indélébile en moi avant La:Sadie's. Et ce fut tout à fait par hasard que je devint le chanteur.
À cette époque je travaillais comme barman dans un petit bar miteux mais assez fréquenté. Encore une fois j'ai entendu quelqu'un dire qu'il cherchait désespérément un chanteur.
C'était Kaoru, un habitué. Assez sympa, nous parlions souvent de chose et d'autre et il m'était arrivé de le voir en dehors du travail. Je me suis proposé et je suis bien sûr devenu le chanteur.
J'aurais voulu... ne jamais le rencontrer.
J'ai alors fait la connaissance de Shinya, Kisaki et Die.
J'ai tout de suite apprécié Shinya. Gêné, ne cherchant pas à se mêler de ce qui ne le regardais pas, mais qui savait toujours écouté. Un ami précieux...
J'ai tout de suite détesté Kisaki. Pour quelle raison? Je n'en sait rien, il y avait simplement quelque chose en lui que je n'aimais pas. Bien sûr il ne m'aimait guère non plus.
J'ai tout de suite désiré Die. Il était... tout ce que je n'étais pas. Quelqu'un qui se mêle facilement aux autres, qui est toujours joyeux, sans pour autant prendre la vie à la légère. Quelqu'un qui avait eut une enfance heureuse avec des parents aimant. Tout le contraire de moi et pas seulement psychologiquement. Il était grand alors que j'était petit, il était beau alors que j'étais mignon, il était attirant alors que j'étais dégoûtant. J'aurais pu l'haïr pour cela, mais non j'étais simplement fasciné.
Étrangement il semblait autant intrigué par moi que moi par lui. Résultat nous sommes vite devenu ami, même si je gardais mes distances pour ne pas qu'il remarque que je n'aurais pas été contre être un peu plus que son ami. Ce genre de chose peut facilement briser un groupe.
Le groupe a bien marché durant un moment, malgré la tension entre moi et Kisaki. Mais ce qui devait arriver un jour fini par arriver.
Kisaki semblait ne pas autant se soucier de l'avenir du groupe que nous et se relâchait dans son travail.
J'ai été le premier à le faire remarqué, mais je n'ai jamais suggérez de changer de bassiste c'est Kaoru qui l'a fait.
Die a bien essayé de défendre son ami, mais il ne pouvait nier l'évidence. Kisaki n'avait pas les mêmes intérêts que nous.
Kisaki est depuis ce jour sûr que je suis celui qui est derrière tout cela. Tout cela parce que je ne l'aimais pas. Qu'il pense ce qu'il veut je m'en fou. Je ne comprends pas les gens qui perdent leur temps à insulter ceux qu'ils détestent ou bien à leur nuire donc je ne vois pas pourquoi j'aurais fait de même. Bon bien sûr si on me cherche on me trouve, mais ce n'est pas vraiment la même chose.
Nous avons alors cherché pour un nouveau bassiste que nous avons trouvé en Toshiya. Et Dir en Grey a été formé.
Nous nous sommes tout de suite bien entendu Toshiya et moi. Pourquoi? Je ne saurais le dire, c'est simplement comme ça.
Sans vraiment nous connaître nous sommes devenus le confident l'un de l'autre. Il est le seul à savoir tout de mon passé. Les autres savent quelques trucs mais pas les détails. Il est aussi le seul à savoir que j'aime plus Die que je ne pourrais le laissé croire. Il est même venu vivre chez moi durant quelques temps.
Le groupe a connu le succès assez vite. Il est certainement plus populaire que nous l'aurions jamais pu l'être du temps de La:Sadie's. Et puis on s'entend tous très bien. Quoique entre Die et moi il y a toujours eut des non-dits, du moins de ma part.
J'aurais voulu... ne jamais la revoir.
Ce n'est pas que je n'aime pas Tomoyo, loin de là. Je l'adore. Elle est comme... un Toshiya version féminin.
C'était l'une de mes amies d'enfance, celle qui avait été le plus près de moi, qui en avait le plus sut sur moi.
Un jour que j'étais au dépanneur je l'ai revu. Elle n'avait pas beaucoup changée. Toujours les mêmes cheveux bruns longs, ses yeux rieurs, sa voix douce et apaisante, quoiqu'elle était maintenant plus grande que moi.
Je l'ai reconnu du premier coup d'oeil et je suis allé lui parler. Elle était étonnée. Pas qu'elle ne se souvenait pas de moi, c'est juste qu'elle ne pensait pas que moi je me souviendrais d'elle.
Nous avons commencez à nous revoir et j'ai découvert qu'elle était fan de notre groupe. Alors j'ai voulu lui faire plaisir et je lui ai fait rencontrer les autres membres.
Ça ne les a pas déranger. Disant que si c'était l'une de mes amies il n'y avait aucun problème.
Nous avons passé une soirée merveilleuse tout les six. Et comme j'aurais dû m'en douter, elle lui a plût.
Le lendemain Die est venu me voir pour savoir si je pensais qu'il aurais une chance avec Tomoyo. Ça m'a surprit. Die qui doute de ses talents de séducteur? J'aurais pu lui dire non, qu'elle était déjà prise, j'aurais pu lui mentir pour le garder pour moi. Mais ça n'aurait rien changé, quelle différence y avait-il entre elle ou une autre?
La différence entre elle et n'importe quelle autre c'est que c'est devenu sérieux très vite entre les deux. Ils étaient ensemble depuis à peine un mois qu'ils emménageaient déjà dans le même appartement.
Aujourd'hui cela va faire 1 an qu'ils sont ensemble et jamais je n'avais vu Die plus heureux. En quelque part je me sens

-Kyo?
-Oui?
Le petit chanteur releva la tête de ce qu'il était en train d'écrire pour voir ce que lui voulait Toshiya.
-Tu viens dehors fumer avec moi et Die avant que Kao et Shinya ne reviennent et que l'on doivent passer des heures de tortures?
-Hum... d'accord.
Il ferma son cahier et le posa sur la petite table près du sofa du local de répétition. Il n'avait pas peur qu'un des autres le lisent, à part peut-être Toshiya, mais il n'y avait rien qu'il avait écrit que le bassiste ne savait déjà.

Lorsqu'il rejoint Toshiya et Die, les deux étaient en train de discuter et d'après l'air du roux ça devait être sérieux.
-Tu en es vraiment sûr Die? Tu ne nous en avais même pas parlé et puis cela fait à peine un an.
-Je n'en avais pas parlé car je voulais être sûr de moi et justement cela fait un an!
-De quoi est-ce que vous parlé?
En voyant le bassiste se mordiller la lèvre il sut tout de suite qu'il n'aimerait pas ce qui allait suivre.
-Je vais demander Tomoyo en mariage!
Il aurait été dans un dessin animé sa mâchoire se serait ramassé par terre et ses yeux lui aurait sortit de la tête. À la place il sourit à Die, faisant comme si son coeur ne venait pas de se briser en milles miettes.
-Ho... Et bien félicitation, je suis sûre qu'elle va accepter.
Toshiya commença à s'approcher de lui mais il ne voulait pas le voir. En fait il ne voulait plus voir personne.
-Je vais au toilette.
Il partit laissant un guitariste qui n'avait rien remarqué et un bassiste qui se sentait mal pour son ami.

Un fois la porte fermée, il se laissa glissé par terre. Il aurait du s'en douter, ça arriverait bien un jour. Et puis ce n'est pas comme s'il avait eut une chance au départ, il n'avait jamais eut ce qu'il voulait. C'était déjà bien qu'il est des amis sur qui il pouvait compter et sa place de chanteur dans un groupe qui marchait bien. Il aurait du tout de suite passé à autre chose lorsqu'il avait vu que son amour était sans espoir. Mais quoiqu'il fasse, il avait été incapable d'oublier le roux.
Il ne sut pas vraiment combien de temps il resta ainsi assit par terre mais il ne sortit de ses pensées que lorsque Kaoru vint frapper à la porte.
-Kyo? Tu sors ou tu compte passé le reste de ta vie là-dedans? On a une répétition je te rappelle!
-J'arrive...
Il se leva et vérifia dans le miroir qu'il n'avait pas pleuré. Il n'aurait manqué que cela pour que sa journée soit parfaite.


En arrivant chez lui après la répétition le chanteur se laissa simplement tombé sur son sofa incapable de faire autre chose. Il n'en avait plus la force. Il n'y avait donc rien de bon pour lui dans cette vie?
Il secoua la tête pour chasser ses tristes pensées. Ce n'était pas vrai. Il était chanceux, plus que beaucoup d'autre à travers le monde. Ce n'est pas parce que sa vie amoureuse était complètement inexistante et sans espoir qu'il devait être malheureux.
Peut-être que maintenant qu'il savait qu'il n'avait vraiment plus aucune chance avec Die il pourrait enfin tombé amoureux de quelqu'un d'autre? Passé à autre chose?
Mais ça ne serait certainement pas pour tout de suite. Pour l'instant son coeur saignait encore.
Peut-être qu'il devrait écrire. D'habitude ça l'aidait. Il se leva essayant de se rappeler où il avait laissé son cahier, jusqu'à ce qu'il se rende compte qu'il l'avait oublié au local de répétitions.
-Et merde... Fais chier!
Il n'avait pas particulièrement envie d'y retourner. Et puis il pouvait bien survivre sans lui... Il fut interrompu dans ses pensées lorsque l'on cogna à la porte.
Il poussa un soupir. Il n'avait pas envie de voir personne. Mais c'était peut-être important. Il se dirigea lentement à la porte et fut légèrement surpris de voir Toshiya se tenir derrière.
-Qu'est-ce que tu fiches ici?
-Je suis venu te tenir compagnie.
-J'en ai pas besoin.
-Kyo...
-Quoi?
Toshiya poussa un soupir à s'en fendre l'âme avant d'entrer dans l'appartement, ne prenant aucunement compte des protestations du chanteur. Puis il alla s'asseoir dans le salon, attendant que le blond fasse de même.
-Tu fais chier.
-Kyo, si je suis là c'est juste que...
-T'as peur que je fasse une connerie.
-Mais non! Je te connais assez pour savoir que tu ne ferais pas ça. Mais je sais que quoique tu dise, tu souffres et tu devrais te confier. Tu peux te relâcher, y'as que toi et moi ici. Et tu sais que tout ce que tu diras ne sortira jamais d'entre ses quatre murs.
Kyo regarda le bassiste un moment avant de s'asseoir à ses côtés. Immédiatement son ami l'attira entre ses bras, caressant doucement ses cheveux.
-J'en ai marre. Pourquoi il a fallut que je tombes amoureux du seul mec que je ne pourrait jamais avoir? Et pourquoi je ne peux pas arrêter de penser à lui même si je sais que je n'ai aucune chance? Je suis las de devoir me forcer de garder le même attitude envers lui alors que je n'ai qu'un envie, qu'il me prenne dans ses bras, qu'il m'embrasse, qu'il m'aime... Mais il se fout complètement de moi... J'aurais voulu lui dire au début comme ça je n'aurais pas à subir tout ça, puisqu'il n'aurait jamais voulu me revoir après.
-Kyo! Arrête de dire ce genre de chose! Ce n'est pas parce que quelqu'un ne ressent pas les mêmes sentiments que toi qu'il ne veut plus te voir. Et puis arrête avec tes "j'aurais voulu". Tu pourrais toujours le faire... Ou plutôt tu devrais le faire. Tu ne vois pas que c'est en train de te ronger de l'intérieur?
-C'est facile à dire pour toi. Et puis je ne veux pas que le groupe se sépare à cause de moi. Et puis Die est très bien avec Tomoyo... Ça ne servirait à rien. Ça ne changerait rien. Et puis Tomoyo est beaucoup mieux pour lui que moi. Il mérite une fille comme elle. Il sera heureux avec elle.
-Et toi tu ne crois pas que tu mérites d'être heureux?
-Pour moi il n'y a que son bonheur qui compte, même s'il n'est pas avec moi...
Il ne put retenir plus longtemps les larmes qui menaçaient de couler depuis qu'il avait apprit la nouvelle. Toshiya arrêta alors de parler, se contentant de consoler son ami en le berçant légèrement.


Le souper avait été une complète réussite. Comme à chaque fois qu'il sortait avec Tomoyo.
Ils étaient maintenant assit dans un parc quasi désert, appréciant simplement la présence de l'autre.
C'est le moment.
Die s'agenouilla soudain devant Tomoyo qui le regarda interrogativement. Il sortit enfin de sa poche la petite boîte avec laquelle il jouait depuis un moment, l'ouvrit devant la jeune femme et fit sa demande avec un sérieux qu'il n'avait pas coutume d'afficher.
-Tomoyo, veux-tu m'épouser.
Cette dernière le regarda un instant, les yeux écarquiller, trop surprise pour parler. Puis elle sembla enfin se reprendre, mais la réponse qu'elle lui donna ne fut pas celle à laquelle il s'attendait.
-Je... heu... j'aimerais vraiment te dire oui Die...
Elle semblait gêner, et cherchait ses mots. Die se mordit la lèvre. Avait-il été trop vite? Ou bien la jeune femme ne voulait-elle plus de lui?
-Mais?...
-Je ne peux pas...
-Pourquoi? Tu... ne m'aimes plus?
Tomoyo laissa échapper un petit rire.
-Ce n'est pas ça...
-Alors quoi?
-C'est plutôt toi qui ne m'aime pas...
-Quoi? Mais qu'est-ce que tu dis! Bien sûr que je t'aime!
Elle s'agenouilla en face de lui et prit son visage entre ses mains.
-Oh, oui tu m'aimes... Mais tu n'es pas amoureux de moi. Tu pourrais difficilement l'être vu que ton coeur est déjà pris par quelqu'un d'autre.
Die voulu parler, mais avant qu'il ne puisse la couper, elle posa un doigt sur ses lèvres.
-S'il te plaît ne m'interromps pas. Tu n'as peut-être pas encore conscience que tu l'aimes, mais j'ai bien vu les regards que tu poses sur lui. Si je suis sortie avec toi c'est parce que j'avais oser espéré que tu m'aimerais vraiment au bout d'un certain temps mais... Ce n'est pas le cas. Je suis peut-être égoïste d'avoir profiter de toi durant tout se temps, mais je ne le suis pas assez pour lui faire ça. Pas à lui...
-À lui qui?
-Tu le sais mieux que moi.
Elle déposa un chaste baiser sur ses lèvres, avant de lui sourire tristement et de se relever.
-Je te souhaites beaucoup de bonheur Daisuke...
Sa voix se brisa et elle s'enfuit avant que le guitariste ne puisse faire quoique se soit pour la retenir.

Die ne savait pas vraiment comment il avait réussit à se retrouver au local de répétitions. Il avait simplement eut besoin d'un lieu où il pourrait réfléchir en toute tranquillité et il s'était avéré que c'était le meilleur endroit. Il ne voulait pas retourné chez, par crainte de revoir Tomoyo, et comme il avait les clés...
Il se vautra plus qu'il ne s'assit sur le sofa et se prit la tête entre les mains. Il ne comprenait plus rien. Il avait l'impression d'être entrer dans une autre dimension.
Tomoyo qui refusait de l'épouser, non pas parce qu'elle ne l'aimait plus, mais parce que lui en aimait un autre. Il était perdu. Qui était-il sensé aimé? Ce n'est pas comme s'il était proche de beaucoup de personnes à part les autres membres du groupe. Et puis même si cela réduisait le nombre de personne possible à quatre, il ne voyait toujours pas qui ça pourrait être.
Il aurait pu croire que Tomoyo lui avait dit cela pour cacher les vrais raisons de son refus, mais il savait qu'elle était toujours franche et elle n'aurait certainement pas mentie sur un sujet aussi important.
Il commençait à avoir un mal de tête impossible à force de penser à tout cela. Et puis perdu comme il l'était, il n'irait pas loin se soir. Il faudrait qu'il puisse se changer les idées, mais il ne voyait pas comment.
Ses yeux tombèrent sur un petit cahier. Il ne l'avait jamais vu et ce demandait ce que ça pouvait être. Il le saisit et l'ouvrit. Il était rempli d'une écriture régulière. Ça devait appartenir à l'un des membres de groupe mais il ne connaissait personne avec cette écriture. Celles de Toshiya et Kaoru étaient précipitées, celle de Shinya élégante et celle de Kyo illisible.
Die allait pour refermer le cahier, ce n'était pas parce qu'il ne connaissait pas son possesseur qu'il pouvait le lire, lorsque ses yeux tombèrent sur son nom. Il hésita un instant, puis la curiosité l'emporta et il se mit à lire.
J'aurais voulu...


Toshiya sourit en voyant que Kyo avait enfin réussit à s'endormir. Il avait passé toute sa soirée à le consoler comme il le pouvait, mais seul le temps pouvait recoller les morceaux d'un coeur brisé. Ou encore l'amour, mais ça n'arriverait jamais si Kyo continuait de réagir ainsi.
Il borda le chanteur, avant d'aller chercher des couvertures pour dormir sur le sofa. Il aurait préféré dormir dans son lit, mais n'osait pas laisser son ami seul.
Ce n'est que lorsqu'il fut bien enveloppé dans les draps et sur le point de s'endormir que le téléphone se décida à sonner. Il aurait pu laisser sonner, mais même si Kyo dormait comme une marmotte il ne préférait ne pas le réveiller. Et puis ça pouvait être importante.
Quand même, j'emmerde celui ou celle qui appelle...
-Allo?
-Toshiya?
-Die? Ça va? T'as l'air... heu... secoué...
-Qu'est-ce que tu fais chez Kyo?
-Je ne crois pas que ça te regardes vraiment... Tu voulais parler à Kyo? Parce que là il dort. Mais si c'est important je peux aller le réveiller.
-Oui... enfin non... Je ne sais plus.
-Qu'est-ce qui se passe Die?
-Je... je me sens perdu...
-Mais j'y pense, tu n'es pas avec Tomoyo?
-Non.
-Qu'est-ce qui s'est passé. Non dits-moi plutôt où t'es, je vais te rejoindre parce que vraiment pas l'air bien.
-Au local de répétition.
-D'accord... Tu restes là jusqu'à ce que j'arrive.


Dire que la lecture du journal de Kyo, car il ne pouvait que lui appartenir, l'avait perturbé était un doux euphémisme.
Il n'aurait jamais cru que le chanteur puisse l'aimé. L'idée ne lui avait même pas effleuré l'esprit. Était-il à se point aveugle aux sentiments des autres? Et puis ce qu'il avait lut sur son passé... Il ne le savait guère joyeux mais il ne s'attendait pas à ça. Il n'aurait jamais du lire ce qu'il venait de lire.
Die se demanda soudain si Kyo était celui dont Tomoyo parlait. Se pourrait-il, qu'il l'aime? Il ne le croyait pas, mais de qui d'autre aurait-elle pu parler?
Avant qu'il ne puisse y réfléchir plus quelqu'un entra dans la pièce.
-Die?
-Toshiya...
Ce dernier vient s'asseoir à ses côtés. Il vit que le roux tenait le cahier de Kyo, mais préféra ne poser aucuns commentaires, du moins pour l'instant.
-Qu'est-ce qu'il se passe? Et puis pourquoi n'es-tu pas avec Tomoyo?
-Je... elle a dit non.
-Pourquoi?
-Parce que j'en aime un autre... En tout cas c'est ce qu'elle a dit.
-Et qu'est-ce que tu fais ici?
-J'avais besoin de réfléchir... Et puis je suis tombé sur ce cahier... J'y comprends plus rien Tochi.
Et ça paraissait. Le guitariste semblait complètement perdu, presque vulnérable.
-Elle pense que j'aime Kyo... Mais je ne l'aime pas, non?
-Je ne peux pas le savoir pour toi Die.
-D'accord ça me fait mal lorsqu'il se mutile sur Mushi... J'adore le voir sourire... Mais ça veut rien dire tout ça... Et puis ce n'est pas comme si j'avais déjà eut envie d'embrasser ses lèvres pleines qui semblent si douces... Et si j'ai le goût de le protéger c'est simplement parce qu'il semble si vulnérable... Et...
Mais Toshiya n'écoutait plus. Pour lui il était maintenant évidant que le roux était lui aussi amoureux du petit chanteur. Il n'avait simplement jamais voulu se l'avouer... Ou bien c'était simplement qu'il n'y avait jamais vraiment porté attention, puisque Die ne semblait jamais avoir envisager de sortir avec un homme.
-Et puis je ne me suis jamais sentit jaloux du fait que tu sois si proche de lui et...
-Ça va Die... J'ai compris que t'es complètement fou amoureux de lui, mais que t'étais trop stupide pour le remarquer.
-Hein? Mais non ce n'est pas ça que je disais du tout! C'est Tomoyo que j'aime!
-Tu serais capable de tout redire ce que tu viens de dire à propos de Kyo, mais cette fois-ci pour Tomoyo? Pour moi tu dois plus l'aimer comme une soeur, certes très proche, mais tu ne dois pas être amoureux d'elle.
Die resta silencieux, réfléchissant à ce que le bassiste lui avait. Est-ce que c'était possible? Cela faisait deux personnes qui lui disait qu'il aimait Kyo en une soirée. Peut-être était-ce vrai. Mais pourquoi ne l'avait-il pas remarqué plutôt? Parce qu'il se disait qu'il n'aimait pas les hommes? C'était vrai, mais Kyo était... unique. Ce n'était pas la même chose et...
Il était amoureux.
-Je suis le pire des baka...
-J'aurais plutôt dit aveugle, mais si tu y tiens, baka te va très bien aussi.
-Qu'est-ce que je fais?
-Pour l'instant tu rentres dormir chez toi et demain tu vas voir Kyo puisqu'on a pas de répète.
-J'veux pas rentrer chez moi... Qu'est-ce que je vais faire si Tomoyo est là?
-Va à mon appart alors. De toute manière je couche chez Kyo se soir.
Ils se levèrent, sortir du local et rendu sur le trottoir devant l'immeuble se souhaitèrent bonne nuit.
-Merci Tochi...
-Le meilleur remerciement que tu peux me faire c'est de faire en sorte que ça marche avec Kyo.
Die lui sourit avant de partir vers l'appartement de son ami.


Lorsque Kyo se réveilla, il se demanda un instant pourquoi il avait autant mal à la tête et pourquoi ses lui faisaient mal. Lorsque les souvenirs de la veille lui revinrent en tête, il se mordit la lèvre pour s'empêcher de pleurer de nouveau.
Lentement il se leva, se dirigeant vers sa cuisine, où Toshiya devait être en train de préparer le déjeuner, comme il le faisait lorsqu'il passait le nuit chez lui.
Il fut étonné d'entendre deux voix, se demandant qui d'autre pouvait se trouver chez lui.
-Die!
Il n'avait pu retenir son cri de surprise en voyant le guitariste roux assis à la table. Guitariste qui ne semblait guère avoir dormit, si l'on en jugeait par les cernes qu'il avait sous les yeux.
Mais avant que celui-ci ne puisse dire quoi que se soit Toshiya pris la parole.
-Kyo, désolé mais j'ai des trucs important à faire aujourd'hui. Donc puisque tu es réveillé je vais en profiter pour y aller. On se revoit demain à la répète.
Et avant qu'il est fait quoique se soit le bassiste était déjà parti.
Kyo ne comprenait pas. Ce n'était pourtant pas le genre de son ami. Toshiya savait pourtant qu'il serait mal à l'aise avec Die, alors pourquoi l'avait-il abandonné?
Il finit par s'asseoir lui aussi, devant le déjeuner que lui avait préparer Toshiya.
-Qu'est-ce que tu fais chez moi?
-Heu... c'est que...
Pour le première fois le blond remarqua que Die avait les mainsposer sur quelque chose. Un cahier noir. Un cahier noir qui ressemblait étrangement à celui qu'il avait oublier au local. Il écarquilla les yeux lorsque la réalisation le frappa. Le guitariste avait certainement dû lire ce qu'il avait écrit et était venu lui demandé des explications ou encore lui dire de ne plus s'approcher de lui...
-Kyo, ça va?
Il avait remarqué le soudain palissement de son ami et se demandait ce qui pouvait le mettre dans cet état.
-Oui...
Malgré ce qu'il venait de dire, il ne semblait pas du tout aller bien. Mais Die se reprit. Il devait lui dire pourquoi il était venu ici.
-Tu sais que hier j'avais prévu de demander Tomoyo en mariage. Mais malheureusement elle m'a répondu non...
-Quoi? Mais je croyais que elle et toi c'était super sérieux.
Il ne comprenait pas comme Tomoyo avait pu refuser.
-Ça l'était mais elle m'a dit que je ne l'aimais pas vraiment, que mon coeur était déjà pris. Alors je suis allé au local de répétition et je suis tombé sur ton cahier... Je sais que je n'aurais pas du le lire, mais j'ai vu mon nom d'écrit et je n'ai pas pu résister à ma curiosité.
Kyo baissa les yeux. Donc Die avait bel et bien lut son journal. Il devinait un peu ce qu'il allait lui dire ensuite. Die penserait que Tomoyo avait fait ça pour ne pas lui faire de la peine, ou bien pire encore que c'était lui qui l'avait convaincu de refuser sa demande. Et ensuite qu'il ne voulait plus jamais le voir, ne plus jamais entendre parlé de lui, et...
Il avait tellement été plongé dans ses pensées qu'il n'avait pas écouté se que Die avait dit ensuite. Pourtant un phrase saisit toute son attention.
-Je t'aime Kyo.
-QUOI?
Qu'est-ce qu'il était en train de dire? Ça ne pouvait pas être vrai... Il devait être en train de rêver. Oui c'était ça. Il rêvait. C'est pour cela que Toshiya était parti et que Tomoyo avait refusé d'épouser Die.
-Je t'aime.
Pourtant ça semblait réel.
-Mais... comment est-ce que...?
Le roux se leva pour venir s'agenouiller à ses côtés.
-Je ne l'avais jamais vraiment remarqué avant et c'est Toshiya qui m'a aidé à m'en rendre compte hier. C'est simplement que je pensais tellement aimé les femmes que je n'ai pas sut voir ce que j'avais juste devant moi. Cela fait depuis un long moment déjà que je ne te regarde plus vraiment de la même façon. Je ne voulait pas me l'avouer, mais maintenant je le fais. Je t'aime Kyo.
Ça devait être une plaisanterie alors. Il avait gâché son mariage alors Die voulait le faire souffrir. Ça ne pouvait être que ça.
Il se leva brusquement pour aller s'enfermer dans sa chambre, laissant derrière lui, un Die plus que surpris. Il se leva à son tour pour suivre Kyo, mais la porte était barrée.
-Kyo?
-Va-t-en.
-Mais pourquoi? Tu m'aimes, ou tu éprouves un sentiment très proche de l'amour pour moi, je l'ai lut. Moi aussi je t'aime. Alors pourquoi...
-DÉGAGE!
Malgré la porte qui les séparait, il pouvait entendre les sanglots du chanteur.
-Kyo? Ouvres-moi! Je ne m'en n'irais pas avant que tu m'explique se qui se passe.
La porte s'ouvrit brusquement et Kyo fut sur lui, ruant son torse de coup de poing. Heureusement, il ne semblait pas mettre beaucoup de force dans ses coups et Die entoura son corps de ses bras pour le serrer contre lui. Kyo finit par arrêter de se débattre et se contenta de pleurer dans les bras de Die.
-Tu es cruel...
Ça n'avait été qu'un simple murmure et il avait eut de la difficulté à l'entendre.
Il se recula un peu et prit le visage du blond entre ses mains pour que celui-ci le regarde, mais malgré tout Kyo gardait ses yeux baissé au sol.
-Qu'est-ce que tu veux dire?
-Je sais bien que tu ne peux pas m'aimer...
-Kyo, s'il te plaît regarde moi dans les yeux.
À contrecoeur celui releva les yeux pour croiser le regard du roux.
-Si je dis que je t'aime c'est que je t'aime. D'accord j'ai été aveugle, mais je ne mentirais jamais sur ce genre de trucs. Surtout pas à toi, surtout pas après ce que j'ai appris sur toi.
Kyo déglutit se rappelant ce qu'il avait écrit au tout début.
-Tu as tout lut?
-Oui. Et ça ne me fait que t'aimer plus encore. Et puis même si je sais que je ne remplacerait jamais Toshiya comme confident j'espère que tu m'en diras plus...
Puis doucement Die prit les lèvres de Kyo dans un chaste baiser. Lorsque le guitariste le relâcha enfin le blond le regarda un moment ne sachant plus que faire. Devait-il vraiment le croire? Et puis il semblait si sincère. En regardant encore dans les yeux de Die et n'y voyant que de l'amour et que de la tendresse il prit sa décision.
Lui aussi méritait d'être heureux.
Ce qui se passa par la suite fut l'une des plus belles journées et l'une des plus belles qu'ils aient jamais passé.

Fin

11 pages et demi... Ouais! Battu mon record! Qui était de neuf pages avec le dernier chapitre de My love that doesn't reach you...
Sinon je suis plutôt fier d'avoir enfin fini se one-shot... Avec le temps que ça m'a prit j'espère.
Pour ce qui est du résultat, ça par contre je suis pas trop sûre... Je ne sais pas si l'histoire est vraiment bien... Mais bon je vais attendre les commentaires pour me faire une idée.

Biz!
Naura