Quand les secrets se dévoilent

Base : Fruits Basket

Titre : Quand les Secrets se dévoilent

Chapitres : 4

Genre : Aucune idée ! A vous de trouver

Disclaimer : Actuellement en négociation pour obtenir les droits des persos à la fin du manga.

Note : Je m'améliore en présentation des chap. faut que je refasse le un. Ensuite je tiens à m'excuser pour l'abescence de tiret devant les dialogues refuse de me les faire apparaître.

Réponses aux reviews :

Myogoda : Comment on fait pour accepter les reviews anonymes ? « alors son frère est pas mort mais complètement fou, c'est ce qu'il me vient à l'esprit » Presque mais c'est pas ça !

Voilà je met la suite. Bonne lecture !

Chapitre 4

Un début d'amitié ?

Ne le répétez pas ! Cette personne c'est mon père.

Quoi ?

…Il est comme ça depuis la mort de ma mère ! Son accident ne l'a pas arranger.

Son accident ?

Vous en savez déjà beaucoup.

La voiture s'arrêta dans la résidence et tous les trois se dirigèrent vers la maison d'Akito.

Vous êtes en retard, fit-il de mauvaise humeur.

Gomen ne, Akito ! Ils me surveillaient !

Elle entra et s'assit au milieu de la pièce. Akito se leva et commença aussitôt à la frapper.

Je t'interdis de t'en aller comme ça ! Tu m'appartiens, ne l'oublie pas !

Il la saisit par les cheveux et la jeta contre le mur. Il prit un vase et lui jeta au visage. Un mince filait de sang commença à couler.

Quant à toi, fit-il en se tournant vers Ayamé !

Il allait le frapper lorsqu'il sentit quelque chose accroché son kimono, il se retourna et vie Mélodie qui le tenait d'une main tremblante. Ses yeux étaient suppliants.

Laisse…le ! Il n'a… rien... La main lâcha le kimono. …fait.

Mélodie s'effondra sur le sol.

Relève-toi ! Hurla Akito. Relève-toi !

Il commença à la secouer (ça va pas l'aider !). Voyant qu'elle ne réagissait pas, Akito devint plus blême qu'un mort. Hatori s'était approcher de la jeune fille et Ayamé partit aussitôt appeler une ambulance. Quelques minutes plus tard Mélodie partait en direction de l'hôpital. Akito quant à lui n'avait pas bougé, incapable de réagir. Il était toujours debout dans la pièce à l'endroit où quelques instants plus tôt Mélodie était assise.

Akito ! Risqua Hatori.

…Qu'on me laisse tranquille, répondit ce dernier en partant vers sa chambre.

Dans la nuit, une personne entra dans la chambre de Mélodie. Cette dernière portait un masque à oxygène, et un électrocardiogramme qui indiquait que son cœur battait normalement.

Je suis désolé, Mélodie ! Je ne sais pas pourquoi j'ai eu cette réaction ! Reste avec moi s'il te plaît j'ai encore besoins de toi ! Comment réagir ? … Je ne comprends rien ! Pourquoi es ce que je m'excuse ! Après tout je n'ai rien fait !

Le lendemain lorsque les infirmières entrèrent elles trouvèrent un jeune homme assis sur une chaise et dormant. Sa tête et l'avant de son corps reposaient sur le lit.

Que fait-il ici ? Il ne devrait pas…

Bah, laisse-le, fit l'autre. Laissons-le pour l'instant. Bonjour Docteur ?

Bonjour, répondit Hatori. Comment va-t-elle ?

Pas d'amélioration !Mais il y a quelqu'un à côté d'elle.

…C'est donc ici qu'il était, murmura-t-il.

Il entra dans la pièce et réveilla le jeune homme :

Akito ! Je vous ai cherché partout ! Pourquoi êtes-vous sortis ?

…Je ne sais pas ! Dis moi elle va s'en sortir ?

On ne peut qu'attendre pour l'instant.

Ce que les jouets peuvent vite se casser ! Je pensais qu'elle était plus résistante que ça ! C'est décevant ! Je ne vais pas pouvoir m'amuser.

Une alarme se mit alors à sonner.

…C'est son voisin, constata Hatori. Rentrons Akito !

Oui.

« …Tu es bizarre Akito, tu t'inquiète et en même temps tu t'amuses ! Qu'as tu encore derrière la tête ? Se demandait Hatori. »

« Je ne comprends pas ! Pourquoi je n'ai pas pu frapper Ayamé quand elle m'a attrapé le kimono. Pourquoi n'ai-je pas pu réagir. Et puis…Que voulais-tu dire ? »

Début du flash-back :

Akito, sais-tu comment briser la malédiction ?

Si je le savais je ne serais pas dans cet état ? Ta question est stupide !

…Peut-être mais…je voulais savoir. Pourquoi tu te comportes de cette manière ?

…Parce que je suis condamné à mourir !

« Ca recommence je n'arrive pas à m'énerver en ta présence. Pourquoi ? »

…Mais pour l'instant tu vis non ?

Non ! Je ne vis pas. Je suis condamné à mourir ! C'est ça que tu voulais entendre. Tu es contente ? De toute façon si moi je ne vis pas alors toi et les autres non plus !

…Non ! Je ne veux pas que tu meurs !…Ça ne me plaît pas, je voulais savoir si je n'avais aucune de pouvoir les sauver.

De quoi parles-tu ?

Je connais le moyen pour la briser. Cette fichue malédiction…mais…je ne pourrai pas…je ne veux pas…Ce n'est pas juste !

Alors tu préfères que je meurs, c'est ça ?

Non ! Mais pour l'instant…tu es vivant. Alors il faut que je cherche, que je trouve comment les sauver.

Je ne comprends rien mais tu dis que je suis vivant. C'est n'importe quoi ! Regarde-moi, je ne peux rien faire et je suis sans cesse malade ! Tu appelles ça être vivant ?

Oui ! Parce que…si tu es capable de te mettre en colère, que tu ris même méchamment, que tu pleures, que tu as peur, n'est ce pas la preuve que tu es en vie ?

Regarde-moi ! …Akito ! Tu me vois n'est ce pas ? As-tu peur ?

Je ne comprends pas ce que tu dis…je sais que je ne veux pas mourir, hurla-t-il.

…ça n'arrivera pas. Je ferai tout pour que tu puisses vivre. Même si pour cela je dois…le faire.

Fin du flash-back :

« Oui ! Je ne comprends pas ce que tu voulais dire ! »

Dans la soirée Momiji vint rendre visite à Mélodie.

Mélodie-san ! Revient-nous vite, fit-il en lui prenant la main. Je voudrais que tu m'apprennes à jouer du violon aussi bien que toi ! Dis guéris vite. Comme ça on deviendra ami !

Une semaine passa, Mélodie était toujours dans le coma et ne recevait aucune visite hormis celle de Momiji, Ayamé et Hatori. Akito vint la voir deux fois mais il était toujours accompagné d'Hatori. Puis il tomba malade de façon inattendu et ne voulut savoir aucune nouvelle de Mélodie.

Hatori ! Tu as changé vis-à-vis de Mélodie-kun ! Constata un jour Shiguré qui lui rendait visite avec Ayamé. Tu as l'air de l'apprécier. C'est sa situation qui t'amuses ?

Elle a empêcher Akito de frapper. Moi j'ai été incapable de réagir.

Pour ma part je lui suis reconnaissant de m'avoir épargné sa colère. Intervint Ayamé.

C'était très rare de voir le trio aussi sérieux, mais depuis l'arrivée de Mélodie dans leur famille, les maudits étaient très inquiet. Elle ne leur inspirait pas confiance.

Elle a l'air d'avoir beaucoup d'influence sur Akito ! Ça ne me plaît pas.

Shiguré !

Elle met à mal mes projets ! J'ai horreur de ça.

Quels projets ?

Shiguré ne répondit pas et les deux autres n'insistèrent pas.

Pourquoi ne viendrais-tu pas la voir ? Demanda Ayamé à Shiguré.

…Pour quoi faire ?

Mais finalement il accepta. Après tout il ne l'avait vu que 3 fois depuis son arrivé. Ils se rendirent ainsi à l'hôpital mais une fois arrivés dans la chambre ils découvrirent un lit vide.

Où est la jeune fille ? Demanda Hatori à une infirmière.

Vous parlez de Mélodie ? Nous l'avons laissé partir.

Pourquoi ?

Et bien tout d'abord parce que nous sommes dimanche et que c'est important pour elle. Ensuite par respect pour le Docteur Eric. Il n'aurai pas voulu qu'elle reste là elle a horreur des hôpitaux.

… Le docteur Eric, murmura Shiguré. N'est ce pas lui qui avais soigné Rinne ?

… Si je crois. Bon allons la chercher.

Hein ? Tu sais où elle est ?

Elle as dû aller voir son père, fit Ayamé.

Son père ?

On t'expliquera en route. Répondit Hatori.

Ils récupérèrent donc Mélodie à la sortie de l'hôpital et rentrèrent au manoir. Shiguré n'avait plus prononcé un mot dès l'instant où Mélodie était entrée dans la voiture. La jeune fille alla voir aussitôt Momiji, déclarant qu'Akito pouvait bien attendre. Arrivée devant chez Momiji elle l'entendit jouer du violon. Ce dernier essayait désespérément de rejouer son morceau sans y arriver.

Tu t'es amélioré ! Mais là c'est un do grave et non aigus.

Mélodie-san ! Hurla Momiji posant son violon et se jetant dans ses bras. « Pof » le petit lapin pleurait de joie. Je suis content. Bienvenu !

Merci ! Moi aussi je suis contente de te revoir.

Ils passèrent alors ¼ d'heure a discuté et à jouer du violon, jusqu'à ce que le trio viennent la chercher. Elle entra alors dans la salle où était Akito suivis d'Hatori et de Shiguré, Ayamé préférant rentrer chez lui.

Tadaima, fit-elle doucement.

Akito sursauta en entendant la voix. Il se leva et s'approcha d'elle.

Ah tu es rentrée ! C'est bien ! Tu m'as manqué. Je ne pouvais plus crier sur personne. Pendant une semaine je n'ai pas eu mon miroir. Tu es méchante !

Akito…

Je ne l'ai pas touché ! Mais toi ne recommence plus !

…Akito, le miroir quelle image reflète-t-il ?

Cette question sidéra Shiguré et Hatori. Elle acceptait d'être un miroir ? Décidément Mélodie est vraiment une fille bizarre, pensèrent-ils.

Quelle image ? Voilà une question stupide ! Qu'es ce que cela peut te faire ? Tu es comme moi. Seule, froide et mauvaise. N'as tu pas déjà ton projet pour cette fille ?

…Il n'y a pas de miroir, Akito ! Je ne suis pas un miroir. Je suis un courant d'air. Un souffle, le souffle de la mort ou de la vie.

Non ! Tu es un miroir ! Une image rien de plus que mon reflet !

Non, je suis un souffle ! Mais je crois que tu as oublié un mot dans ma définition et dans la tienne, répondit-elle en se levant. Je suis aussi machiavélique que toi !

Sur ces mots elle sortit. Laissant Akito, avec un sourire mauvais sur le visage.

Oui tu as raison. Machiavélique. Puis se tournant vers Shiguré.

Qu'en penses-tu ? Elle mets à mal tes projets, n'est ce pas ?

Je sais tout ! Tu cherches à me tuer en provoquant en moi une colère immense. Il lui murmura à l'oreille : Raté ! C'est un bon jouet qu'en penses- tu, reprit-il à voix haute. Elle est parfaite pour espionner. Elle sait tout et elle me dit tout.

Tout ?

…Que veux-tu insinuer ?

Savez-vous comment vaincre la malédiction ? Non ! Elle ne vous a rien dit et pourtant elle connait le moyen.

Va t'en, tu m'énerves ! Lui répondit froidement Akito.

Hatori et Shiguré sortirent.

Il n'a rien fait ! Il ne c'est même pas mis en colère lorsqu'il a dévoilé mon projet.

C'était ton projet ?

…Non ! Mais le fait qu'il n'est pas réagi…c'est étrange ! Et puis la réaction de Mélodie. Je n'aime pas ça du tout.

Mets en garde Yuki et Kyo pour Tohru. Elle veut lui faire quelque chose et je doute que ce soit gentil. Surtout quand elle a prononcé le mot machiavélique.

Oui je vais le faire. A plus tard Hatori.

Le lundi suivant Mélodie arriva en classe.

Tiens une revenante, ironisa Alexis.

Non un fantôme, répliqua-t-elle.

La façon dont elle répondit surpris Kyo et Yuki.

Tu sembles avoir gagner en assurance. Mais n'oublies pas de rester polie oublies-tu à qui tu t'adresses ? Je suis quand même…

Une personne qui a gagner en imbécillité, le coupa-t-elle. J'ai gagner en assurance et toi en bêtises. Pour ce qui est de la politesse, je suis polie, voir trop avec toi. Nous pourrons reprendre cette conversation passionnante le jour où tu seras toi aussi capable de me respecter.

Alexis n'eut pas le temps de répliquer, mais chacun fut sidéré d'avoir entendu Mélodie parler de cette manière. A chaque pause Mélodie disparut, elle ne reparaissait que pour les cours.

C'est bizarre, remarqua Yuki sur le chemin du retour.

Quelque chose ne va pas ? Demanda Shiguré arrivant juste derrière lui. Tiens Haru tu viens manger chez nous ? Mais Tohru travaille ce soir.

Mélodie-san est revenue à l'école, finit Yuki.

Oui je sais ! C'est normal, non ?

Sauf que là elle a remis Alexis à sa place.

Comment ça ?

J'ai juste remit les pendules à l'heure ! Fit-elle.

Que…Mélodie-san depuis quand es-tu là ?

Suffisamment longtemps pour comprendre que vous parlez de moi…Faites attention la prochaine fois. Bon cela dit je voulais voir Tohru-chan. Si j'ai bien compris elle travaille….Ennuyeux ! Bon je vais aller la voir à son boulot. Momiji-kun on peut remettre la leçon de violon à plus tard ?

Oui !

Merci. Au revoir tout le monde ! A demain !

…Je vais la suivre, fit Yuki.

Je viens avec toi, fit Haru.

Kyo aussi les suivit, non pas ça l'enchantait d'être avec Yuki mais parce qu'il était inquiet pour Tohru. Arrivé sur le lieu de travail ils la virent parler avec Mélodie. Puis Mélodie s'éloigna alors que Tohru ne semblait pas d'accord.

Comment a-t-elle fait pour arriver aussi vite ? Même en courant, il faudrait qu'elle soit plus rapide que Rinne.

Honda-San, es ce que tout va bien ? Demanda Yuki. Elle ne vous a rien fait ?

Qu'es ce qu'elle t'a dit ?

…elle voulait me prévenir que désormais j'aurai un compte à mon nom et que même si je continuais à travailler j'aurai de l'argent de la part de la famille Soma.

Cette nouvelle inattendue les surpris tous.

Qu'es ce qu'elle mijote ?

Pendant ce temps, Mélodie avait rejoint Momiji et lui apprenait à jouer son morceau.

Tu t'améliores ! C'est incroyable ce que tu apprends vite ! Le complimenta Mélodie.

Tu trouves ?

Oui, tu as mis 2 jours à apprendre ce couplet alors que moi il m'a fallu 1 semaine.

Mélodie regarda alors à sa montre.

Zut ! Il est tard ! Il faut que je rentre où Akito va encore s'énerver. A demain !

A demain !

Elle sourit puis partit en courant. Et «Pof» ce qui devait arriver arriva, Mélodie venait de heurter un maudit. Elle regarda aussitôt quel était l'animal.

…Un hippocampe ! Zut Hatori-san ! Vite il te faut de l'eau de mer !

Elle prit Hatori et se précipita vers sa maison là elle mit Hatori dans la baignoire. Puis elle fit couler de l'eau assez froide (pas trop pour pas qu'il gèle) et rajouta du gros sel. Elle sortit alors de la sale de bain après lui avoir sorti une serviette. Quelques minutes plus tard elle entendit un « Pof », et Hatori apparut habillé.

Excuse-moi Hatori-san ! Je ne t'avais pas vu.

…Ce n'est pas grave mais je suis surpris par la vitesse à laquelle tu as réagi.

Cette remarque la fit sourire.

…Oui moi aussi ! Heureusement qu'Akito m'avait prévenu que tu ne te transformais pas en dragon mais en hippocampe sinon j'aurai paniqué.

…Oui ! Mais je ne pensais pas que je me transformais. Shiguré m'a pourtant dit que tu étais liée à notre malédiction.

…C'est normal !

Oui c'est vrai tu n'es pas maudite. Tu connais seulement le secret.

Non ! Je suis maudite…mais ma malédiction est en rapport avec Akito. Pas avec les Juunichis. C'est pour ça que vous vous transformez.

Comment ça ?

Je parle beaucoup trop, répondit-elle en souriant. Tu n'as pas besoins d'en savoir plus. Bon il faut que j'aille voir Akito. …Ah ! Au fait, tu pourras me rendre un service plus tard ? Il faudra que tu effaces certains souvenirs à une personne.

Qui ça ?

Tu le sauras plus tard. Mais ne t'inquiète pas il ne s'agit pas de Tohru !…Ah zut, j'ai complètement oublié de demander à Momiji-kun s'il voulait m'apprendre l'allemand.

Je vais aller lui demander ! Tu devrais aller voir Akito ou il va s'énerver.

Oui merci !

Elle lui sourit ce à quoi Hatori répondit aussi par un sourire.

« C'est bizarre, pensa-t-elle. Je n'arrête pas de sourire ! Cette famille a vraiment un drôle d'effet sur moi ! Quelque part c'est bon signe ! »

Et pendant qu'elle s'éloignait en réfléchissant, Hatori alla voir Momiji.

Momiji!

Ah! Tori-san! Ça va ?

Oui, je viens de croiser Mélodie !

Ah ! Elle est gentille, hein ? Elle m'apprend le violon. Je suis content car elle joue bien. Moi je la trouve gentille mais les autres ils ne l'aiment pas trop.

Oui elle est gentille mais elle cache quelque chose. Je pense qu'elle est aussi très fragile même si elle ne veut pas le montrer. Bon elle m'envoie, te demander si ça ne t'embête pas de lui apprendre l'allemand.

Kein Problem ! (Je traduis au cas ou : Pas de problème !)

Je lui dirais alors !

Dis Tori-san es ce qu'Akito va encore la frapper ?

Je ne sais pas ! Je ne pense pas.

Un mois passa. Hatori avait refusé d'effacer la mémoire d'une personne, bien qu'Akito ait donné son accord.

C'est embêtant, fit-elle. Maintenant je n'ai aucune garantie qu'Alexis ne se vengera pas. J'aurai préféré savoir que mon père ne courait plus de risque.

Un risque ?

Je t'avais dit qu'il avait eu un accident. En fait, il a été renversé par une voiture. Mon père traversait une voiture a démarré et l'a renversé. Cette voiture…elle appartenait au De Roset. Ce n'était donc pas un accident.

Je vois… Mais je suis désolé, je ne peux pas leur effacer le souvenir de ton père. Je voudrais bien mais je ne peux pas. Je ne peux qu'effacer le souvenir de notre malédiction. C'est tout !

Je vois tant pis !

Durant ce mois Mélodie apprit le violon à Momiji qui lui apprit l'allemand. Mélodie discutait plus souvent avec Hatori et Ayamé mais jamais elle n'abordait le sujet de la malédiction. Ces derniers appréciaient sa compagnie Hatori parce qu'il pouvait discuter sérieusement avec elle sans qu'elle ne répète ou qu'elle ne sorte des projets loufoques comme le faisait Shiguré ou Ayamé. Et Ayamé parce qu'elle l'écoutait jusqu'au bout de ces délires. En plus elle n'hésitait pas à lui parler de couture et à donner son avis. Elle n'oubliait pas non plus de lui donner deux trois conseils pour sa relation avec Yuki, mais Ayamé avait du mal à les mettre en pratique. Quant à Akito, il n'arrivait plus à s'énerver, aussi bien sur ses maudits que sur sa femme. Pourtant un jour il décida que cela faisait trop longtemps qu'il ne les avait pas vu et décida de les réunir.

Suis-je obliger de venir Akito ? Lui demanda Mélodie.

Oui ! C'est obligatoire ! Il est grand temps que je rappelle qui est le chef dans cette famille. Et tu les verras toi aussi comme ça.

Tu les invites tous ?

Ils ne viennent plus me voir depuis un petit moment et je n'apprécie pas du tout.

Ils ne viennent plus te voir…c'est à cause de moi ! Ils ne m'aiment pas. Mais après tout c'est normal ! Akito… Kyo-kun et Kuréno viennent aussi ? Et Tohru-kun ?

Akito s'approcha d'elle et mit ses bras autour de son coup.

Ce n'est pas normal ! Tu as toujours été là ! Toi tu as toujours été à mes côtés. Quand a ce…

Akito s'énerva et la gifla.

Tu l'as appelé par son prénom ! Tu dois l'appelé le monstre ! As-tu oublié ? Hurla-t-il. Et cette fille pourquoi devrait-elle venir ? Je la hais.

…Tu la hais mais…tu l'as autorisé à vivre chez Shiguré-san. Et puis si tu la convoques c'est que quelque part elle t'appartient puisqu'elle est obligée de venir.

…Que veux-tu dire ?

… Puisqu'elle est au courant pour notre malédiction, pourquoi ne devrait-elle pas se plier aux règles. Elle est au courant, elle veut briser la malédiction alors il faut qu'elle comprenne qu'elle ne peut pas. Qu'elle ne peut rien faire pour nous aider et pour cela tu dois lui montrer ce que c'est que de vivre dans notre famille.

Devant cette réponse inattendue Akito éclata de rire, un rire mauvais.

Tu es machiavélique ! Cette fille, je croyais que c'était ton amie…mais en fait, tu te sers d'elle pour arriver à tes fins. …Ton idée me plaît alors elle viendra. Le monstre aussi doit venir. Mais pour Kuréno c'est non.

…Envois le voir Rèn. Comme ça aucun risque que les autres ne le voient !

Rèn n'en fais qu'à sa tête ! Je ne suis pas sûr que Kuréno doit aller là-bas.

…elle n'en fait qu'a sa tête ? un sourire mauvais se dessina sur son visage. C'est normal, elle ne te contrôle plus elle a perdu sa place. Mais peut-être que voilà ma solution.

… Un miroir qui me reflète. Tu es le miroir de mon mauvais côté.

A condition que tu en ai un bon !

…Oui mais moi je n'en ai pas. Tu es bien placé pour le savoir non ?

…oui. Cette réponse fit sourire Akito du sourire mauvais qu'on lui connaît.

Tsuzuku…

Voilà ! Fin du chapitre 4 ! Petite demande habituelle, review ?