Quand les secrets se dévoilent

Base : Fruits Basket

Titre : Quand les Secrets se dévoilent

Résumé : Mélodie n'a pas réussi à se suicider. Bien qu'Akito est gagné un mois de sursis la malédiction continue comment la briser ?

Chapitres : 6

Genre : Aucune idée ! A vous de trouver

Disclaimer : Actuellement en négociation pour obtenir les droits des persos à la fin du manga.

Réponses aux reviews :

Myogoda : ça me fait plaisir que tu reviews à chaque fois ! C'est toujours agréable de se dire que la fic est apprécier. Ensuite ben pour ce qui est des morts je promets rien en principe devrait y en avoir mais je te dis pas qui, je te dis pas comment et je te dis pas si je le ferais vraiment….(pas sadique du tout !)

Shiroi ryuu : Ben merci pour la review et donc voilà la suite, j'espère que ça te plaira. Je vais tenter de mettre un chap toutes les deux semaines au moins comme ça tu n'attendras pas trop longtemps mais un peu quand même. Bon allez je vais me creuser les méninges ! Au boulot !

Yazoo Soma : Merci pour la review. Ben écoute je voulais la personnalité de Mélodie mystérieuse comme les Soma, impossible de savoir ce qu'elle pense. Un indice : ……elle est dangereuse si on l'énerve.

Chapitre 6 :

Les Liens Se Renouent !

Le temps s'écoula donc lentement. Dominique (le père de Mélodie) avait intégré la famille Soma. Il vivait donc au manoir mais travaillait à l'extérieur. Mélodie repris les cours et n'eut aucun problème pour rattraper son retard. Ce soir là elle était invitée chez Shiguré, ils rentrèrent ainsi tous ensemble.

Bonsoir Shiguré, fit-elle.

Ah ! Bonsoir Mélodie.

C'est très joli, constata-t-elle, après avoir visité la maison.

Il est vrai que tu n'es jamais venue.

… Veux-tu que je t'aide, Tohru-kun ?

Oui, je veux bien !

Kyo n'est pas rentré ? Demanda Shiguré.

Pourquoi me demandes-tu où es ce stupide chat ? Répondit froidement Yuki.

Pour rien ! Je ne l'ai pas entendu rentré.

Lorsqu'ils passèrent à table, Kyo reparut mais personne ne posa de question. Le dîner se déroula comme d'habitude avec une dispute. Kyo et Yuki touchèrent le même plat en même temps.

Hey ! Pourquoi tu ne te sers pas ? Demanda Kyo à Yuki.

Je n'ai pas envie d'être contaminé par ta bêtise.

Tu vas voir espèce de femmelette !

« Bang » Kyo vola à travers la pièce.

Je vais te tuer !

Essaye un peu !

Espèce de sale petit rat ! Hurla Kyo, en sortant.

…Kyo-kun…, fit Tohru en le suivant.

C'est toujours aussi animé ? Demanda Mélodie à Shiguré.

Oui !

Kyo-kun, fit Tohru en arrivant en haut du toit. Pourquoi es-tu de mauvaise humeur ?

Kyo sembla réfléchir puis se décida à parler.

… Depuis que j'ai découvert d'où viens mon véritable aspect, tout le monde se moque de moi ! Encore plus qu'avant.

… Moi je trouve ça très courageux. Le chat a protégé les autres. Ça veut dire que tu fais partie des juunichis. Tu les as sauvés, c'est très belle preuve d'amour.

Kyo rougit. Quelques minutes plus tard il reparut dans le salon en compagnie de Tohru. Shiguré quant à lui était au téléphone, et Mélodie discutait avec Yuki.

…Bon il est tard, fit cette dernière. Je vais rentrer.

Ce n'est pas prudent ! Il fait nuit ! Tu ferais mieux de rester. Proposa Yuki

… Je ne voudrais quand même pas dérangé.

Tu ne nous dérange pas. Et puis, tu ne te feras pas prier, intervint Shiguré. Les routes ne sont

pas sûr et ce serait dommage que tu aie des ennuis.

Mélodie soupira.

C'est bon j'accepte. J'avais oublié que tu étais au courant.

C'est un plaisir de te le rappeler. Et tu n'auras qu'à dormir dans…

Shiguré n'eut pas le temps de finir sa phrase, Yuki et Kyo devinant ce qu'il allait dire, l'envoyèrent valser. Shiguré pleura des larmes de crocodiles, et Tohru s'apprêta à le consoler lorsqu'elle fut retenue par Yuki.

Ne vous approchez pas de lui, Honda-san, il est dangereux.

…On dirait qu'ils te connaissent bien, Shiguré-san ! Constata Mélodie en souriant.

Tu peux dormir dans ma chambre si tu veux, fit Tohru.

D'accord, si ça ne t'embête pas.

Non ! Pas du tout ! J'en serai ravie.

La nuit s'écoula tranquillement. Shiguré qui n'arrivait pas à dormir descendit dans le salon. Là il vit que Mélodie était sortie.

Tu ne dors pas ? Lui demanda-t-il.

Dormir ? Non, je ne sais pas faire.

…Tu ne fais que des cauchemars, hein ?

Oui !

Ah là là. Ça me rappelle autrefois. Tu te souviens ? Tu avais toujours du mal à t'endormir. Je devais avoir dix ans et toi cinq.

Oui ! C'était toujours toi qui réussissais à me faire dormir. Quelque fois il y avait aussi Aya. Il me racontait sa journée et c'était tellement fatigant de l'écouter que je m'endormais aussitôt. (Lol !)

Ça me fait bizarre de me souvenir de tout ça. J'avais totalement oublié.

Peut-être qu'il aurait mieux fallu que tu ne t'en souviennes pas.

Ah non ! Sinon je ne pourrai pas t'embêter.

C'est justement ça qui m'inquiète ! Tu n'as pas changé !

Toi non plus, répondit Shiguré redevenant sérieux. Tu es toujours aussi mature.

…Grandir avant l'âge, c'est fatiguant pour tout le monde.

Tu penses à Hiro par exemple ? Bah de toute façon même si tu réfléchis plus que certains adultes, tu restes une enfant.

Une enfant… Elle sourit …dans un corps de femme.

….. Tu devrais aller dormir, tu as école demain.

Oui. Elle se leva et rentra.

Tu es devenue une très belle jeune femme, déclara Shiguré alors qu'elle s'éloignait.

Mélodie s'arrêta et le regarda. Ce dernier sourit.

Merci ! Répondit-elle en souriant à son tour. Puis elle partit se coucher.

Le lendemain, après les cours Mélodie fut convoqué par son père. Sur le chemin elle croisa Akito.

Bonjour !

Pour toute réponse Akito l'embrassa puis s'éloigna sans un mot. Mélodie se demanda si son père lui avait parlé.

« Même s'il l'a fait, Akito a eu une réaction bizarre. »

Tu m'as demandé père ?

Oui. Assieds-toi ! Après un long silence il reprit : Je viens de parler à Akito. Même si ta tentative de suicide lui a fait gagner un sursis de deux mois, son état empire un peu plus chaque jour.

…Oui. Je sais.

Je lui ai mentionné la possibilité de briser la malédiction …en entier !

Mélodie retint un cri et regarda son père.

J'ignore comment il l'a pris. Il n'a eu aucune réaction devant moi.

Je ne sais pas …je… ! J'ai peur !

Je comprends. Il soupira : Je ferai de mon mieux pour t'aider.

… Merci. …

Après un long silence qui semblait être une hésitation de Mélodie, elle reprit :

Je voudrais savoir ! Les deux branches ne sont pas le fruit du hasard, n'est ce pas ? Les De Roset existe pour cette raison et les De Serot pour celle là. C'est ça ?

…Je ne sais pas ! Je n'en ai aucune idée. Mais j'ai bien peur que tu n'es raison.

Mélodie soupira puis, après avoir pris congé de son père sortit, et alla voir Akito. Une fois chez lui elle s'assit et ne bougea pas.

C'est cela dont tu parlais. Cette condition ! Des jumeaux !

Oui. Sa voix tremblait elle ne voulait pas y penser.

Ça ne te plaît pas, n'est ce pas ? As-tu peur ?

…oui, je crois. Je voudrais ne jamais voir cela.

…Moi je n'ai aucune idée de la façon dont je réagirais.

Akito eu tout juste finit sa phrase qu'il fut pris d'une énorme quinte de toux. Mélodie appela aussitôt Hatori. Après avoir examiné Akito il lui déclara qu'il avait interdiction formelle de sortir.

Mélodie s'assit à côté du lit d'Akito et ne bougea pas. Akito s'endormit peu de temps après. Il était épuisé, et la fièvre commençait à monter. Lorsqu'Hatori vint voir Akito le lendemain, il découvrit Mélodie en train de lui éponger le front, elle regarda sa montre.

Je vais être en retard. A ce soir Akito ! Oh ! Bonjour Hatori-san je ne t'avais pas entendu arriver. Soigne le bien !

Oui ! Merci de l'avoir veiller toute la nuit.

Pas de quoi. De toute façon je ne dors plus, alors autant que je me rende utile.

Sur ce elle s'éloigna.

Bonjour tout le monde, fit-elle. Tiens Yuki-kun n'est pas là ? Ah ! Zut ! J'avais quelque chose à lui dire. Personne ne sait où il est ?

Je crois qu'il est avec le conseil. Fit Tohru. Tu veux que je t'accompagne.

Non ça ira ! Ça ne te dérange pas ?

Non. Je comprends, c'est encore secret !

Non pas du tout ! C'est juste que je n'ai pas envie que tu tombes sur le fan club.

Mélodie partit donc à la recherche de Yuki.

Elles s'entendent bien toutes les deux ! Mais je suis jalouse et inquiète, fit Arisa.

Mélodie ne fera pas de mal à Tohru-kun, la rassura Hana, je le sens dans ses ondes. Mais moi aussi je suis jalouse. J'ai l'impression qu'elle veut s'accaparer Tohru-kun.

Pendant ce temps, Mélodie avait trouvé Yuki.

Ah ! Yuki-kun je voulais savoir si tu pouvais m'aider à chercher le troisième tomes des «malédictions à jamais», je ne le trouve pas à la bibliothèque alors j'ai demandé mais personne ne sait. J'ai pensé qu'en ta qualité de président tu pourrais m'aider.

…Pourquoi as-tu besoins de ce livre ?

Je veux vérifié le but de la notre. Es ce que tu peux m'aider alors ?

…D'accord ! Je vais me renseigner.

Merci, je suis sûr que tu trouveras.

Tu en es sûr ?

Oui. Tu es très beau et les filles feraient n'importe quoi pour t'être agréable.

…tu exagères !

Mélodie sourit : Bah de toute façon ton cœur appartient déjà à quelqu'un.

Et elle partit laissant Yuki réfléchir sur cette dernière phrase.

Eh, Mélodie ! Qu'est ce que ça veut dire ! De quel droit parles-tu à Yuki-kun seule ? Explique-toi sur-le-champ ! Tu as intérêts à avoir une bonne excuse !

Je fais ce que je veux, répliqua-t-elle. De toute façon en quoi cela te concerne ? Que sais-tu sur lui pour te permettre de décider pour lui. Depuis quand gères-tu sa vie ? Il est d'accord pour que tu choisisses ses relations ?

Mélodie partit, laissant Minami sur place, incapable de réagir. HastuHaru lui n'avait pas perdu une miette de la conversation.

Hé ! Mélodie, l'appela-t-il.

Tiens, bonjour Haru ! Cela faisait longtemps que je ne t'avais pas vu.

Depuis quand as-tu autant d'assurance ?

Mélodie sourit : depuis toujours ! A croire qu'elle était enfouie au fond de moi. Ah ! Au fait, à propos d'Isuzu-chan. Tu comptes faire quoi ?

…De quoi parles-tu ?

Tu préfères que je fasse semblant de ne rien savoir ? Si tu veux mais sache une chose, tu as le droit de sortir avec elle. Même devant Akito ! Je m'en occupe.

…tu sais tout ! C'est énervant.

Deviens Black Haru, alors !

Je ne peux pas ! Face à toi je n'y arrive pas.

Ben, alors si tu veux te défouler, fais le sur Alexis. Parce que tu peut-être sûr que maintenant qu'il a entendu notre conversation, il va aller voir Rinne et tenter de la séduire. C'est son passe temps favoris. Ça lui ferait trop mal de savoir que vous soyez heureux et que donc ça me fasse plaisir. Si tu le cherches, il est juste derrière le coin.

Haru qui est au début surpris d'entendre cela, devint aussitôt Black Haru.

Alors, c'est ce que tu as l'intention de faire ? Demanda Haru à Alexis qui ne bougeait plus. Tu te crois meilleur que moi ? J'ai de mauvaises nouvelles pour toi, pauvre femmelette, je ne te laisserai pas l'approcher.

Et pourquoi pas ? Tu crois que j'ai peur de toi, espèce de morveux ? Répliqua Alexis.

C'est ma gonzesse ! Je t'interdis de l'approcher ! (Propos de macho mais bon c'est Black Haru, ne l'oubliez pas !) Et puis d'abord t'es qui pour te permettre de l'approcher ?

Arrête Hatsuharu, c'est qu'un pauvre type, intervint Kyo qui arrivait.

La ferme stupide chat ! Ne me dérange pas quand je parle avec quelqu'un d'autre.

Ne me traite pas d'idiot !

La ferme c'est toi qui t'es enfui, la queue entre les jambes la dernière fois.

Laisse-moi rire ! Tu t'es fait battre par Mélodie à plate couture.

De quoi, tu étais mort de trouille t'a même refuser un combat contre elle.

Mélodie as repris las arts martiaux, murmura Alexis surpris. Tant mieux, maintenant je la tiens. Elle est à moi.

« Sblam » Alexis vola. Kyo et Haru l'avaient envoyé valser en même temps.

Depuis quand tu te permets de parler ? Crétin ! Demanda Kyo.

Ouais et essaye pas de nous approcher. Ou tu le regretteras.

J'ai pas peur de toi minable ! Répondit Alexis.

De quoi ? Haru souleva Alexis et le plaqua contre le mur.

A ce moment-là un seau d'eau lui arriva droit sur la tête. C'était Yuki qui avait retenu la leçon avec Mayuko. Haru redevint white aussitôt.

C'est bizarre j'suis fatigué…

Les trois Soma se tournèrent vers Alexis, ce dernier regardait du côté du dehors. Les trois autres se tournèrent et virent Mélodie qui les regardait, la jeune fille s'éloigna après avoir sourit devant la scène. Alexis se mit à la suivre suivis des trois Soma. Lorsqu'ils rattrapèrent Mélodie ils l'entendirent rire aux éclats. La jeune fille était dans un coin et ne pouvait pas s'arrêter.

Ça va Mélodie ? Demanda Yuki.

La jeune fille continuait de rire, et fit signe que oui de la tête. Au bout de 10 minutes, elle se calma, et réussit à articuler une phrase entre deux éclats de rire.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas autant ris. … Dommage que vous m'ayez vu. … Hormis mes parents jamais personne ne m'a vu rire. …

…Et on peut savoir ce qui te fait rire ? Demanda Alexis méprisant.

Vous ! Répondit-elle en reprenant ces esprits. Votre dispute ! Il n'y en a pas un pour rattraper les autres ! Je ne pensais pas que Kyo interviendrait.

Depuis le début tu mens ? Demanda Haru qui était sur le point de redevenir Black.

Non, pas du tout. Tout ce que je t'ai dit est vrai, mais je ne pensais pas du tout que Kyo-kun interviendrait et vous vous êtes tous les deux engueulés puis mis d'accord pour envoyer valser Alexis. J'ai bien cru mourir de rire !

Les trois Soma restèrent médusés, mais en même temps ils étaient très content d'avoir entendu la jeune fille rire.

Depuis quand as-tu repris les arts martiaux ? Demanda Alexis.

Depuis que je suis sortit de l'hôpital, répondit-elle froidement.

Son sourire avait disparu d'un coup et une sorte d'inquiétude se lisait dans ses yeux à mesure que le sourire mauvais d'Alexis apparaissait.

…Tu as repris les arts martiaux. Fit-il méprisant. Pourtant c'est bien cela qui est responsable de la mort de ton frère. As-tu oublié ?

Alexis se retrouva à terre, Mélodie l'avait assommé. Puis elle fit demi-tour et partit dans la salle de classe. Il se releva difficilement pour revoler de nouveau.

T'es qu'un imbécile ! Fit Kyo. Il n'y a rien de plus lâche que de rappeler à quelqu'un qu'il est responsable de la mort d'un être cher.

…C'est pourtant la vérité, fit-il toujours aussi méprisant.

L'ignorant, Kyo partit à son tour vers la classe. La cloche avait sonné depuis ¼ d'heure. Le soir même Haru alla chez Kagura.

Salut ! Rinne est là ?

Oui. Entre ! Je vais l'appeler.

Quelques minutes plus tard Haru et Rinne s'éloignaient de la maison. Après s'être assis quelque part et sans lui laisser le temps de poser une question Haru l'embrassa.

Je me moque de ta réaction maintenant. J'en avais envi c'est tout.

Rinne ne réagit pas mais lorsqu'elle vit Haru s'éloigner, elle effleura ses lèvres du bout des doigts. Puis se leva et le rattrapa.

…Akito, fit-elle.

Aucun problème pour ça. Je te protégerais cette fois.

Pour toute réponse elle l'embrassa. ( Désolé à ceux qui adorent ce couple mais :

Je suis nulle pour décrire les sentiments

J'ai un peu du mal à cerner le caractère de Rinne par rapport à Haru.)

Bref c'est ainsi que Haru et Rinne se remirent ensemble.

Pendant ce temps Akito était toujours malade. Mélodie se rendait chez lui lorsqu'elle heurta quelqu'un et « Pof ».

C'est malin ! Bon qui est l'étourdi qui ne regarde pas devant lui (elle devait pas regarder non plus) ? Tiens un singe !

« Pof » Ritsu se retransforma. Et là c'est le drame :

GOMEN NASAI ! Je suis désolé, pardon pour l'audace dont j'ai fait preuve pour sortir. Je m'excuse, je m'excuse vraiment de vous avoir heurter. Je ne mérite même pas que vous perdiez votre temps pour moi. GOMEN NASAI ! PARDON ! PARDON ! Excusez-moi ! Je présente mes excuses au monde entier ! Plus jamais je ne vous importunerais.

Ah ! Zut c'est quoi déjà la formule de Shiguré-san pour arrêter la machine. J'ai un trou de mémoire. Mélodie porta aussitôt la main à sa bouche, mais c'était trop tard :

Excusez-moi ! Par ma fAUTE vous êtes devenue amnesique ! je m'excuse de vous avoir fait perdre la memoire ! j'ai tellement honte de mon comportement ! je vous importune, et en plus je vous blesse gravement. pourquoi ne fais-je que créer des ennuis aux autres ?

Ah la la ! C'est pas possible !

Allons allons Mélodie je te l'ai déjà dit, un petit coup sur les hanches et hop ! Intervint Shiguré qui arrivait.

Ritsu s'écroula aussitôt. Mélodie elle sourit, puis s'accroupit.

Je ne suis pas blessée et encore moins amnésique. Tout va bien ! Alors arrête avec tes excuses sinon tu vas devoir t'excuser encore pour m'avoir casser les oreilles.

…Pardon, fit timidement Ritsu.

T'es épuisant, répondit-elle. ET JE T'INTERDIS DE T'EXCUSER ! Mais au fait…

Qu'es ce qu'il y a ? Demanda Shiguré inquiet devant l'air grave que venait de prendre la jeune femme.

…Pourquoi Ritsu est redevenu humain en aussi peu de temps. C'était beaucoup trop rapide. C'est comme s'il était devenu singe puis redevenu humain aussitôt.

…C'est bizarre, en effet.

Bon je verrais ça plus tard pour l'instant il faut que j'aille voir comment va Akito.

Ah ! Il est de mauvaise humeur. Il n'a pas cessé de râler de la journée.

Pauvre Hatori-san, murmura Mélodie. Bon je vais aller prendre la relève.

Fais attention de ne pas attraper sa maladie. Conseilla Shiguré.

Surprise de sa remarque Mélodie ne put s'empêcher de lui demander :

Dis-moi Shiguré-san, tu es inquiet pour moi-même ou parce que s'il m'arrivait quelque chose ce serait ennuyeux pour briser la malédiction ?

Peut-être les deux ! Répondit Shiguré méchamment.

Mélodie s'éloigna se demandant ce que signifiait sa réponse.

« Non ! S'il t'arrivait quelque chose je m'en voudrais toute ma vie, pensait Shiguré. J'ai besoin de te protéger ! Tu es si fragile et pourtant tu fais tout pour le cacher ! »

Mélodie arriva chez Akito.

Comment va-t-il, Hatori ? Demanda-t-elle.

Il s'est endormis mais a été exigeant toute la journée. Il t'a réclamé trois fois.

Il est gravement malade alors ! Enfin, tu peux aller te reposer, je vais le soigner.

C'est pas de refus, je suis épuisé.

Hatori partit, Mélodie ne quitta pas la chambre de la soirée. Dans la nuit Akito se réveilla et aperçut Mélodie qui lui épongeait le front.

Ah ! Gomen. Je t'ai réveillé.

Non. Pourquoi me soignes-tu ?… Si je mourais les autres seraient libérés.

Non… il ne serait pas libre. Mais même s'ils étaient libérés, je ne veux pas que tu meurs. Je veux que tu restes avec moi.

Akito ne répondit pas, il se redressa sur son lit et regarda Mélodie. « Je t'aime » la dernière phrase écrite par Mélodie sur sa lettre lui revint. Mélodie était occupée à remouiller le cataplasme et lorsqu'elle se retourna pour éponger le front d'Akito celui-ci l'embrassa fougueusement.

Tu tiens donc à me faire mourir en me donnant ta maladie, fit-elle en souriant.

Pour tout réponse Akito sourit. Mélodie s'assit à côté de lui et le força à se rallonger.

Tu n'es vraiment pas raisonnable Akito ! Rendors-toi, maintenant.

…Tu ne l'es pas non plus, répliqua-t-il en se rallongeant.

Une semaine s'écoula pendant laquelle Mélodie soigna Akito chaque nuit. A la fin de la semaine c'était son tour de tomber malade.

Ça m'apprendra à te surveiller, déclara-t-elle à Akito qui avait appris la nouvelle.

Ce que tu peux être fragile, répondit celui-ci. Tu te casses facilement.

Un jouet n'est jamais solide, répliqua-t-elle.

Akito sortit de mauvaise humeur. Ceci fit sourire Mélodie.

Tu aimes le mettre de mauvaise humeur, lui fit remarquer Hatori.

Oui ! Parce que tant qu'il sera capable de s'énerver c'est qu'il est vivant.

Dans la soirée Akito revint voir Mélodie. Celle-ci avait renvoyé Hatori, refusant qu'il passe la nuit à veiller sur elle.

Je n'ai pas besoins d'un serviteur, avait-elle déclaré. ( Sanzo ?)

La jeune fille dormait et Akito s'assit à côté d'elle pour la regarder dormir. Puis il l'embrassa ce qui la réveilla.

Aki…

(Bon ben en fait j'ai essayé un lemon, alors comme c'est la première fois que j'écris un truc comme ça j'espère ne pas m'être trop planté. N'hésitez pas à me le dire !)

Il ne lui laissa pas le temps de répliquer et l'embrassa de nouveau puis la couvrit de baiser, et lentement la déshabilla. Mélodie fit de même et lui enleva son kimono. Petit à petit leur corps se rapprochèrent. Akito scella le cri de Mélodie par ces lèvres lorsqu'il entra en elle. Celle-ci se mordit la lèvre devant la douceur d'Akito qui était un supplice. C'était pire qu'une torture. Akito quant à lui souriait en découvrant une Mélodie qui lui était complètement soumise. Il ne pouvait s'empêcher de sourire en la voyant aussi vulnérable et à sa merci cependant il décida de ne pas trop la faire souffrir voulant garder ce moment comme un beau souvenir.

Le lendemain, lorsque Mélodie se réveilla elle constata qu'elle était seule.

« Je fais de drôle de rêve, pensa-t-elle. »

Elle regarda l'heure, l'école elle était en retard. Elle s'habilla et s'apprêta à sortir mais à peine avait-elle franchit la porte qu'elle croisa Hatori.

Où comptes-tu aller ?

Je suis en retard pour le lycée.

Raison de plus pour ne pas y aller. Tu es malade alors tu vas rester au lit !

Mélodie lui obéit à contrecœur elle détestait ne pas bouger.

Tsuzuku…

Voilà ! Fin du chapitre 6 !

J'espère que cela vous a plu ! ;p

Review please !