Chapitre cinq :Les chemises dansantes.
Disclaimer : Ces personnages, ce château, et tout ce joli monde magique ne m'appartiennent en aucun cas, mis à part pour ce qui est de la trame de cette histoire et de mes OC. Voilà. C'est dit.
Pairing-Rating : Harry-Draco, toujours comme au premier chapitre, hein, je n'ai pas changé d'avis, et toujours rien de bien méchant pour l'instant. Oh et puis je suppose que vous avez peut-être, éventuellement, si je ne m'abuse, repéré un deuxième pairing… y'aura, y'aura pas ? Qui sait !
Remerciements : un immense merci à mes reviewers, sincèrement, parce que comme je le dis à chaque fois, sans reviews, je ne sais pas si je serais motivée pour écrire… Je ne verrais pas l'intérêt ! Alors je suis désolée, une fois encore, de ne pas citer tout le monde, mais que chacun se sente visé quand je dis que je vous remercie du fond du cœur pour vos petits mots ! Et encore un merci particulier, cette fois à Lovely A., qui m'a bien remotivée, et même, ô grand honneur, citée dans une de ses fic ! Et avec elle, naturellement, mes éternelles Hermy et Iranette, pour me soutenir et m'encourager à continuer, dans tous les cas ! Et à ne surtout, surtout pas oublier : Nuwie ! Qui m'a corrigé le chapitre précédent et … à laquelle vous devez toutes mes corrections de chapitres à vrai dire lol merci, merci beaucoup Nuwie ! Enfin, je m'arrête là parce qu'entre ça et mes notes d'auteur, vous aurez pas lu le chapitre avant demain, mais sincèrement, MERCI !
Note spéciale de l'auteur : Un chapitre, un nouveau chapitre, qui va peut-être un peu faire avancer les choses dans l'histoire ! Merci Merlin, hein ! Mais avant de vous laisser le commencer, je voudrais dédier ce chapitre, et toute cette fanfiction à vrai dire, à celle qui me l'inspire continuellement (ce qu'on appelle une « muse » ? On ne saurait mieux dire :p), de la première ligne à la dernière, mon petit cœur que j'aime, qui répond au pseudonyme de Jouzetsuka ! Merci beaucoup ma puce ! (je lui dois d'ailleurs l'idée d'un certain passage de réveil… on se reconnaîtra ! lol)
Voilà, maintenant, je vous laisse lire dans la joie et la bonne humeur –voire le cynisme, j'admets- ce nouveau chapitre qui se sera aussi un peu fait attendre !
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Voilà qu'on en a reperdu un, maintenant. Il suffit qu'on retrouve Seamus pour que son adorable siamois se cache dans les méandres de la Salle Commune gryffondoresque qu'est la nôtre. Et après il va aller hurler à la tentative d'homicide sur sa personne par nulle autre que la mienne.
Non parce que je me retiens.
Un blues mélancolique retentit pendant ce temps-là dans la pièce entière, et à présent qu'il s'agit d'y chercher quelqu'un, elle me paraît plus grande que jamais.
Encore un coup de ce maudit château, je le sais. Quand je vous dis qu'il est vivant –et cruel, très cruel.
Ce n'est qu'après un ratissage en bonne et due forme de chaque centimètre carré des lieux que je me résous à aller jeter un œil dans le dortoir, des fois que Morphée ait encore sévi. Je n'aurais pu avoir meilleure idée : vous ne devinerez jamais qui se trouve maintenant face à moi, à moitié roulé en boule dans les escaliers, le regard morne et une bouteille de Firewhisky à la main, une seconde se tenant fièrement à ses côtés.
Non, ce n'est pas MacGonagall faisant le deuil de sa jeunesse perdue. Raté.
Dean Thomas, seize ans dans un mois, le cheveu brun, les yeux, habituellement pétillants de joie contenue, vitreux et semblant fixer un point qui n'existe pas. Voilà le triste spectacle qui s'offre à moi.
Mais je ne suis pas le grand Harry-Potter-Le-Survivant-Super-Bionique-Qui-Sauve-Toujours-Tout-Le-Monde-Mais-Qui-Va-Finir-Congelé pour rien. Non, non, non.
Ce pourquoi je prends place à côté de lui, et saisis la bouteille abandonnée au sol pour la déboucher et l'entamer moi-même. Non, ce n'est pas une excuse pour faire comme lui, il s'agit seulement d'une bouteille qu'il ne boira pas. Parfaitement.
Je tente un regard dans sa direction et vois qu'il m'observe. Je lui adresse un demi-sourire, il me rend ce dernier, une lueur d'amusement se lisant sur ses lèvres tandis qu'il jette un œil à la bouteille que j'ai saisie.
-Tu sais, Dean, je crois que l'alcool, ça ne te va pas très bien.
-Tu sais, Harry, je crois que tu devrais te regarder.
Le …. ! Plus aucune reconnaissance, la jeunesse, de nos jours.
-C'était juste pour que tu ne la boives pas, et je te ferai remarquer que c'est la première que je bois ce soir. Pour finir bourré, très peu pour moi. Je n'ai pas l'intention de raconter ma vie sexuelle sur la mélodie de la danse des canards à toute la Salle Commune, à moitié nu debout sur une table.
-Tu as déjà fait ça ?
-Non, mais quand on connaît les jumeaux Weasley, pas besoin d'avoir vécu longtemps pour en avoir vu beaucoup.
Il rit un bref instant, mais ce son se fane rapidement, pour finir par s'éteindre dans un sourire triste. Le même que…
-Ils vont bien ensemble, hein, lui et Ginny.
-Pardon ?
Alors « il » ce doit être Seamus, et Ginny ce doit être la jeune rousse qu'il a quelque peu repoussée tout à l'heure, si je ne m'abuse. Non ?
Soit il a loupé un bout, soit c'est moi. Mais étant donné que j'ai pu garder Seamus dans mon champ de vision tout le temps de mes recherches, on va dire que c'est lui.
Il rougit une seconde durant, et commence à parler, murmurer à vrai dire, d'une voix faible.
-Ils doivent bien s'entendre, après tout c'est vrai qu'ils se ressemblent un peu. Enfin, un peu, bien sûr, parce que Ginny n'aura jamais toutes les qualités de Seamus. Je crois que je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi gentil que lui. Quoiqu'il m'arrive, en fait, il est toujours là. Ce serait égoïste de ma part de ne pas en faire autant, n'est-ce pas ? Et puis, quitte à le voir être avec quelqu'un d'autre, autant que ce soit quelqu'un qu'il aime… Ah, c'est vraiment dommage qu'on ne puisse pas choisir la personne qu'on aime. En fait, on devrait tous tomber amoureux de toi, Harry. Tu es tellement gentil ! Mais après, on serait tous tristes ! Parce que tu ne pourrais être qu'avec une seule personne, n'est-ce pas ? Ah…
Il. Est. Bourré.
Avec un Firewhisky. Il faut le faire, tout de même.
-Dean. Je vais devoir t'annoncer plusieurs choses, alors accroche-toi bien. Tout d'abord, tu as raison, tout le monde ne peut pas sortir avec moi. Et bien que je t'aime beaucoup, je dois avouer que tu irais bien mieux avec Seamus qu'avec moi. Pas de rougissement qui tienne. Deuxièmement, Seamus Finnigan ne sort pas avec Ginny et ne sortira jamais avec elle. Pour la simple et bonne raison que Seamus Finnigan – est - homosexuel. Pas de sourire béat qui tienne. Et troisièmement, je suis désolé de devoir te dire ça, mais c'est une chose que j'ai apprise en te cherchant, il semblerait qu'il soit sur le point de se mettre en couple avec un autre garçon. Un septième année, si je ne m'abuse, mais là, pas d'air dépité qui tienne. Dean. Tu l'as dit toi même.
-Je dis beaucoup de choses, Harry, je suis complètement bourré.
-Tu as dit qu'il avait toujours été là pour toi, je me trompe ?
-Non, tu… non.
-Bien. Et tu as dit que tu ferais la même chose pour lui, n'est-ce pas ?
-Oui…
-Et bien sur ce point, l'alcool t'a apparemment laissé un éclair de lucidité, parce que c'est la chose la plus intelligente que tu aies prononcée depuis le début de notre conversation. Je ne dis pas que tu dois abandonner, parce que ça ce serait une énorme bourde, mais plutôt que … qu'il faut laisser le temps faire les choses. Pour l'instant, ce dont il a besoin, c'est ton soutien, et-
-HARRYYY MAIS COMME C'EST MIGNOOON !
-…Aden. Youpi.
Ewan -mais qui l'eut cru ?- arrive à la suite de notre joyeux luron pour nous embarquer, Dean et moi, nous traînant par le bras vers le centre de la Salle Commune où la majorité des mâles sont – soupir - torse nu. Dont Seamus.
Respire, Dean.
-Comment est-ce que ça se f-
-TOMBER LAAAAAA…. TOMBEEEEEER…… TOMBER LA CHEMISE !
-ALLEZ, TOUS EN CHŒUR !
Oh Merlin non.
Et toute une troupe de Gryffondors, tous les garçons, à ce que je vois, font gracieusement tourner leur chemise autour de leur tête. Parmi lesquels Ron. Qui vient accidentellement d'accrocher les cheveux d'Hermione dans un des boutons de sa chemise.
Gracieusement, qu'on disait.
Yirk. Yirk yirk yirk.
Un cinglé vient de greffer ses mains sur le malheureux bout de tissu qui cache encore mon corps, grand objet de fantasme de nombre de demoiselles gryffondoresques de la salle -on peut toujours rêver hein.
Et voilà que l'étoffe tombe, et que je me retrouve moi aussi à moitié nu.
Et voilà que je me retrouve debout sur une table.
Et voilà qu'en fait, une bonne vingtaine de beaux diables se retrouvent chacun sur une table.
-I'D LIKE TO MOVE IT MOVE IT !
Aden, je vais te tuer. Dès que je serai redescendu de là.
En fait, après un bref regard en bas où une troupe de filles toutes braillantes s'arrachent les places les plus proches de nous, dieux de la danse – hem hem - je crois que je vais rester ici. Rien qu'un peu.
Tant que personne ne lance la danse des canards.
…
Oh par Merlin, scène intéressante, à gauche toute. Seamus, debout sur sa table, ondulant des hanches –et le faisant très, très bien, tend sa main à un certain Dean, encore au sol, qui l'observe les yeux grands ouverts.
Un bref regard vers moi lui suffit, et c'est ainsi qu'il attrape la main que lui offre son ami pour se hisser à ses côtés. Et il danse.
Par Merlin, il danse. Dean Thomas danse. Eh beh. C'est que j'ai dû détruire ses dernières parcelles de timidité, avec mon speach. Ou ses derniers neurones.
Et voilà comment Harry Potter finit marieuse, à l'âge de seize ans seulement.
Je suis une sacrée commère, quand même, hein. Il faut avouer.
Et puis après tout, le Firewhisky, c'est le Firewhisky. Alors moi aussi, je danse.
Pas encore comme Seamus, mais bon, on fait ce qu'on peut.
Je tuerai Aden plus tard.
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Réveil difficile –encore- au cœur du château sublimissime qu'est celui de Poudlard. L'impression que ma tête, abritant cette fois-ci une colonie entière de souris, est enserrée dans un étau et peu à peu broyée avec violence s'empare tendrement de moi.
Autant dire que c'est douloureux.
Mais certains ont l'air d'avoir plus de chance que moi. Comme quoi, autant Voldemort me paraît être la mignonne petite fée joyeuse s'étant penchée sur mon berceau à ma naissance, Dean lui a dû bénéficier de l'admiration d'une armada de Clochettes à la place : lui-même à demi nu, Seamus dans le même apparat étendu sur lui et ses deux bras l'enserrant délicatement, ils dorment paisiblement ainsi, l'un contre l'autre, probablement encore inconscients de leur proximité.
Ça risque de ne pas durer.
Pour ma part, je vais tout droit à la salle de bain, cherchant hasardeusement à la rejoindre sans me faire aspirer par le sol qui tangue toujours dangereusement sous moi.
L'abus de Firewhisky est mauvais pour l'état psychologique au réveil. On voit des étoiles magiques danser partout autour de soi en chantant ses propres louanges soi-même.
Bon, avec ça, il y a aussi le martèlement continu de votre crâne, qui se fait quelque peu agaçant, à force.
Mais qu'à cela ne tienne : j'ai atteint la poignée de la salle de bain.
Et qui donc puis-je y trouver à cette heure matinale, le front contre le miroir, les deux mains fortement ancrées sur les bordures du lavabo ?
Neville Londubat.
Par Merlin. Je crois que nous l'avions tous oublié.
Ginny.
Le numéro de drague.
La révélation de Seamus.
Depuis quand ne lui ai-je plus parlé ? Depuis quand ai-je oublié qu'il a une relation avec la jeune roussette ?
Depuis quand, cette mascarade ?
-Harry ? Ça va ?
-Hein ! Oh, oui, excuse moi, j'étais dans mes pensées…
-Comme d'habitude.
Un faible sourire se peint doucement sur ses lèvres, mais ce n'est qu'à cet instant précis que je me rends compte de ce qu'il a dû endurer ces derniers jours.
-Neville, s'il te plaît… je pourrais te poser une question ?
Il se rembrunit, mais hoche lentement la tête.
-Avec Ginny, c'est… ?
-Fini. Depuis quelques jours déjà. J'ai appris qu'elle avait ce qu'on aurait pu appeler une attirance pour Seamus.
-T-Tu… Neville… Je suis désolé…
Ce n'est pas très glorieux, mais je ne vois rien d'autre à dire.
-Ne le sois pas, vraiment ! Ce n'est pas de ta faute ! A vrai dire, ce n'est de la faute à personne, on ne choisit pas ses attirances, ses envies… Seamus n'a rien fait pour non plus, je sais bien. J'ai d'ailleurs appris ce qu'il a déclaré hier…
-Tu n'étais pas là ?
-Non, en fait, je… j'avais préféré rester ici. Je l'avais vu arriver, je l'avais croisé dans les couloirs, pour tout te dire, donc ne t'inquiète pas, j'ai eu l'occasion de lui souhaiter un bon retour parmi nous. Sans rancune…
Ah non, non, ce n'est pas de la rancune qui pointe dans sa voix, du tout.
C'est de la joie de vivre conditionnée.
Sans aucun doute.
La vie est injuste, tout de même. Je vous avouerai que s'il y a bien une personne qui ne mérite pas quelqu'un comme Ginny, c'est bien lui.
Oui, je crois que je perds légèrement confiance en la sœur de mon meilleur ami. D'ailleurs je crois qu'il a fallu à ce dernier les petits soins d'une Hermione dans toute sa grandeur pour se remettre du choc de l'annonce de la prétendante à Seamus, hier soir.
Qu'est-ce qu'il ferait sans Hermione, hein.
Il deviendrait un Troll attitré, notes parlant en cours de Potions, soit.
Et on serait deux, soit.
Mais je sais aussi que sur le plan sent-
-Ah, vous êtes là !
Quand on parle du loup : Ron Weasley, goinffre de troisième catégorie, paré à l'attaque.
-Je… Harry, ça te dérangerait que je parle seul à seul avec Neville ?
-Non non, pas de problème…
Petite claque derrière la tête de mon grand fou de rouquin à moi.
-…et le bonjour, c'est pour les hippogriffes, peut-être ?
Je sors de la pièce, évitant un assaut de brosses à dents au passage, tandis que le rire de Neville y résonne faiblement.
Merci quand même, Ronnie. Je ne m'en sortirais pas non plus, sans toi.
Oh, retour à la chambre, le harem endormi s'éveille comme une petite fleur au lendemain du printemps.
Autrement dit, Dean et Seamus ouvrent doucement les yeux, se les frottant à qui mieux mieux, toujours collé l'un à l'autre.
Puis ils se retrouvent nez à nez, m'offrant un Dean devenu pivoine et un Seamus immobile à observer.
Trop. Mignons.
Enfin, je ne compte pas les gêner, non plus. En un saut, je suis devant mon armoire, j'ai déjà pris mes vêtements et je me sauve dans une pièce annexe pour me changer et laisser les tourtereaux –enfin presque, ne chichitons pas- en paix.
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Allez, courage.
Trois heures de l'après-midi, découverte des Guildes.
Et même pas peur.
A vrai dire, rien qu'un peu.
Nous avons été regroupés en petites assemblées, selon nos divers choix. Apparemment, je ne suis pas le seul à avoir décidé de me diriger vers la Guilde Noire. Mais dire que nous ne sommes pas nombreux serait faire preuve de beaucoup, beaucoup d'ironie.
Dean, Seamus, Ron –qui a probablement vaincu Mc Gonagall, Hermione, Aden, Ewan, un Serdaigle du nom de Ryan Mc Claw et ce qui semble être sa petite amie, Serdaigle elle aussi, trois Pouffsouffles inconnus au bataillon et, en seul Serpentard digne de ce nom, Draco Malfoy. Pas même suivi par Zabini dans son entreprise. Le courage s'évince des mentalités, chez cette jeunesse.
Face à nous, le professeur Bark, l'air fier comme un paon de retrouver ici une majorité de Gryffondors. Son ancienne maison ? Ou bien des élèves qu'il ne supporte pas et a hâte de voir mourir dans d'atroces souffrances ?
Que le mystère règne, j'aime tout autant.
J'adore les surprises.
Notre enseignant prend la parole, après un toussotement bien placé.
-Je vous ai prévenu nombre de fois, et à présent j'espère que vous avez retenu la leçon. Il s'agit de créatures, certes, mais de créatures à forte part humaine, par conséquent, il vous faudra…
…d'autant plus nous méfier. Mouais. On commence à retenir.
Un peu las, je laisse mon regard balayer les alentours, calmement, puis…
…sans prévenir, une voix vient murmurer à mon oreille :
-A ce que l'on m'a dit, il n'a pas tort. Fais attention, Potter.
Par Merlin. Il fallait que Draco Malfoy choisisse ce moment précis pour intervenir.
Cette sensation de froid essaie de m'envahir une nouvelle fois, mais je fixe mon esprit sur la perception des mots qu'il a prononcés.
Et ainsi la nuée glaciale disparaît de ma poitrine. Il semble s'en rendre compte, puisque lorsque je me retourne vers lui, ses yeux s'écarquillent un instant, avant de donner naissance à un sourire dénué de tout sarcasme, de toute ironie, sur ses fines lèvres.
Il s'en est rendu compte.
Il a découvert que c'est lui qui provoque cela chez moi. Et il a l'air d'en être pour le moins surpris, ce qui m'étonne moi-même, je dois l'avouer. Peut-être qu'au fond de moi, j'ai véritablement cru qu'il pouvait être l'investigateur de ce sort. Ou bien qu-
-Regardez !
Une vague soudaine de frissons nous agite tous, m'arrachant à ces pensées inhabituelles, et nous dirigeons nos regards vers les buissons, à l'entrée de la Forêt Interdite, qui s'écartent progressivement.
Le petit peuple arrive.
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Ahlàlà, si vous saviez le point auquel je me suis marrée en écrivant ce chapitre… Bon, d'accord, c'est surtout parce que je sais ce qu'il va leur arriver après, à tous nos bishos, mais quand même. C'est pas bien. Un auteur ne rit pas de ses propres fics. Un auteur ne se moque pas de ses personnages. … Mouais. En attendant, je vous remercie d'avoir été encore au rendez-vous pour ce chapitre ! J'attends vos avis, et surtout je vous promets une suite, en espérant qu'elle ne tarde pas trop ! –et je vais d'ailleurs courir m'y mettre, histoire qu'on avance un peu. Thanks !
