Disclaimer : rein ne m'appartient
Je suis désolé je ne m'était pas apperçut que j'avais fait une erreur de chapitrage, donc encore toute mes excuses. De plus en faisant la rectification, j'ai comment dire, effacé les reponses aux reviews, donc désolé. Deplus ce chapitre n'est pas corrigé par ma béta, donc il y aura des fautes. Bonne lecture et encore désolé
Chapitre 4 :Touch touch
Le lendemain les deux amis se levèrent tôt pour leur dernier petit déjeuné ensemble. Alors qu'Harry préparé le café il pensa que c'était la dernière fois aussi qu'il verait Draco arrivé en boxer dans la cuisine et s'installer avec une non challenge très sexi sur son tabouret. Comme d'habitude le repas se passa dans le silence et bientôt, ils partirent pour King Cross. Arrivé là-bas ils croisèrent Hermione et Ron ainsi que toute la famille Weasley, après avoir saluer tout le monde (Nda : vu que Draco fait partit de l'ordre tout le monde sait qu'il est du côté de la lumière), ils montèrent dans le train. Ils furent immédiatement accostés par le professeur McGonnagal qui leur annonça tout de go qu'ils étaient Préfet-en-chef par ordre subit de Dumbledore. Le trajet fût l'un des plus ennuyeux pour les deux garçons qui durent subirent le très très long discours du professeur sur leur rôles et l'image qu'ils devaient donné à la jeune génération.
Arrivé à Poudlard, Draco comme l'avait apprit récemment Harry, vient s'installer à la table des Gryffondors pour ne pas subir les foudres de ces anciens camarades qui eux c'étaient rallié au Lord Noir. Avec beaucoup d'efforts de sa part il fit de petites excuses à la table et les rouges et or le pardonnèrent vu qu'il avait changé, mais surtout parce qu'il était ami avec le leader de leur maison signe qu'il était digne de confiance.
Le soir arrivé dans leur chambre, le blond décida de révéler la véritable raison de sa venue chez Harry.
/Harry, il faut que je te parle, dit Draco légèrement angoissé.
/Je t'écoute, répondit le brun en s'asseyant sur le canapé à côté de lui.
/Je ne suis pas arrivé chez toi par hasard, en fait j'ai suivit ton odeur.
/Mais comment ? Demanda Harry éberlué.
/Je suis un Veela, je suppose que tu sais ce que c'est ?
/Oui je sais, mais… Sa question resta en suspens.
/Cet été, j'ai reçu comme qui dirait : mon héritage, et je me suis mit à chercher mon compagnon activement. J'étais déjà dans l'ordre depuis un mois environ et je sentais ton odeur de partout. Je n'avais pas prit ma potion, et je n'ai pas pu résister, j'ai pris mes affaires et je me suis lancé à ta recherche, tu connais la suite. Je suis vraiment, mais vraiment désolé de t'avoir mentit, mais je ne pouvais plus supporter d'être loin de toi, finit-il de dire en baissant sa tête.
Au début Harry s'était sentit blesser d'avoir été utilisé, mais ensuite un autre sentiment été apparu : il était aimé d'un amour des plus pur et sans faille, car c'était celui d'un Veela, il lui pardonnerait.
/Je te pardonne Draco il n'y a vraiment aucun mal, on ne peut pas résister aux pulsions Veela. Mais je voulais savoir une chose : tes sentiments pour moi sont apparu en même temps que tes gènes Veela ? Demanda Harry timidement.
/Non, je crois que ms sentiments ont évolué à partir de la sixième année et que mes gènes ont fortement accentuer ceux-ci.
/Draco, je te trouve très mignon et pour tout t'avouer je suis gai, mais surtout je t'aime, je ne te dis pas ça pour te rassurer, je t'aime vraiment. Le problème est que je ne suis mentalement pas près à avoir une relation avec toi, car pour une relation implique une grande franchise que je ne peux pas te donner maintenant. Je t'ais moi aussi mentit et je suis malheureusement pas prêt pour te dire la vérité pour l'instant, je suis désolé.
/Je comprend Harry et j'attendrais, il s'approcha de lui et l'embrassa sur la joue comme un petit maternel, avant de partit dans sa chambre.
Harry resta pensif un moment devant le feu, et se dirigea, boitillant légèrement vers la sienne, heureux : sa vie n'était pas si pourrit que ça.
Le lendemain matin le blond l'attendait pour aller à la Grande Salle et le rejoignit un sourire aux lèvres.
Deux semaines passèrent au rythme rapide des cours et des soirées à discuter avec Draco ou Ron et Hermione, il fût de nouveau proclamé capitaine de l'équipe de Quidditch au grand malheur d son équipe qui connaissaient ses méthodes de travail.
Un soir où Draco était vraiment impatient de revoir son petit lion adoré, il se dirigea rapidement vers les vestiaires, en chemin il rencontra Ron qui lui dit qu'Harry finissait de s'habiller. Il entra directement dans le vestiaire croyant que le brun aurait finit. Et au lieu de voir le dos blanc de Harry, il vit un Phénix ! Il émit un Harry hésitant qui se répercuta dans la salle vide. Celui-ci se retourna et vis Draco hypnotisé pars on dos, enfin maintenant il ne le voyais plus, mais ça revenait au même.
/Pourquoi tu as un phénix dans le dos ?
Le brun sourit tristement.
/Je crois que le moment est arrivé de te révéler se qui m'est arrivé durant cet été. Je finis de m'habiller et j'arrive.
Draco hocha la tête et deux minutes plus tard ils étaient partis en direction de leur salle de Préfet dans un silence pesant. Arrivé dans le salon, le brun toujours aussi silencieux se dirigea vers sa chambre, enjoignant Draco de faire de même. Dès qu'il fût entré, Harry jeta un puissant sort de silence les murs aillant fréquemment des oreilles.
/Je crois que je vais devoir tout t'explique depuis le début pour que tu comprennes, alors s'il te plait ne m'interrompe pas.
Le bond hocha la tête.
/Quand j'avais un an mes parents sont morts, j'aurais du moi aussi mourir mais l'amour de mère se sacrifiant pour moi ma sauvé la vie, et donc le sang qui coule dans les veine des Evans est une protection depuis ce jours là. C'est pour cela que Dumbledore m'a envoyé chez les Dursleys ma tante Pétunia est la sœur de ma mère et donc je suis protéger lorsque je suis là-bas contre toue attaque de Voldemort ou de ses sbires. Pétunia à toujours détesté ma mère car elle en avait peur et de plus elle en été jalouse, donc quand je suis arrivé toute sa haine c'est reporté sur moi, comme celle de Vernon, mon oncle et Dudley, mon cousin. Ils me voyaient comme un monstre et c'est pour cela qu'ils ont essayaient de faire disparaître toute trace de magie de moi, en me traitant méchamment : j'ai dormit dans un placard jusqu'à que je reçoivent le lettre de Poudlard, puis j'ai eu la plus petite chambre. J'ai toujours été traité comme un elfe de maison et lorsque que je finissait pas mes tâches je recevais une punition : mon oncle me battait ou je n'avait pas le droit de manger, déjà que j'était au régime sec. Quand on c'est revu tu t'ais moqué de moi à propos de mes habits, en fait jusqu'au dernière vacance je n'ai jamais eu de vêtement a moi a part ce de l'école bien sur, on me donnais ceux de Dudley trois à quatre fois trop large pour moi.
Depuis que j'allais à Poudlard j'était mieux traité sauf durant la deuxième année où Ron a du venir me chercher. Et puis tout à basculé, à la seconde menace de l'Ordre, dès que l'on est rentré, Vernon et Dudley m'ont assommé et enfermé dans le placard et me retirant ma baguette et mes affaires bien sûr. Les quatre premier jours ils m'ont donné du pain et de l'eau et j'avais droit d'aller au toilette une fois par jour, comme j'étais affaiblit par le régime je ne pouvais pas utilisé de magie sans baguette pour m'enfuir. Le quatrième soir, ils sont rentré bourré et ont commencé à me sortir de mon placard pour m'insulté, mais ça à dégénérer et ils ont commencé à me frapper avec leur pieds, leurs mains,… A un moment mon oncle revient avec un objet que je ne pouvais pas voir, mes lunettes étant cassé depuis longtemps, mais je compris vite, c'était un fouet. Ca adurée trois jours ou je restais enfermé sans manger, ni boire. Et puis ils en int eu marre de moi donc il m'ont abandonné dans une ruelle sordide de Londres je suis resté à l'hôpital un long moment parce que je suis tombé dans le coma, et à cause de mes blessures… Quand je suis enfin sorti, j'ai acheté l'appart et j'ai commencé à chercher une solution pour mon dos et c'est de là qu'est venu l'idée du tatouage, finit-il en n'osant plus regarder Draco pensant y trouver de la pitié.
Celui-ci le prit dans ces bras.
/Je comprend mieux maintenant cette aura de douleur et de tristesse qui t'entoure tout le temps. Harry, je n'aurais jamais pitié de toi, alors que certain ce serait laissé mourir, tu as remonté la pente et regarde maintenant, tu es plus beau et plus fort qu'avant et je t'aime encore plus, il lui avait dit ça en le regardant droit dans les yeux.
Une lumière blanche les entoura, car par cet acte de franchise inné il s'étaient dévoilé leur amour (Nda : je vais pleuré c'est tellement beau, je vous ai dit que cette fic finirait bien parce que j'ai pas le courage de faire du mal à mes persos (enfin ce de J.K.Rowling) enfin il va quand même leur arrivé quelques petites choses sinon ça serait plat comme histoire, mais pourquoi je raconte l'histoire moi, ah oui il est 1 heure : la fatigue,…). Tout les deux le comprirent et s'embrassèrent dans un chaste baisé.
