Discalimer : Rien ne m'appartient

Tout d'abord je voulais m'excuser pour le retard de plusieurs semaines. Mais j'ai de bonnes raisons, j'ai repris les chemins de l'école (bouhbouh une horreur !) et plus précisément de l'IUT (c'est pire que le lycée, et moi qui pensais ne rien foutre, rien qu'à voir le nombre d'heure de cour, ça me démoralise !). Le léger problème vient du fait que j'ai Internet, que quand je rentre chez moi le week-end et vu que je dois le partager avec mon frère, ce n'est pas gagné pour écrire mes fics (non je ne me suis pas trompé, il y a en a une en préparation !). Et pour finir, j'ai eu ce que l'on appelle le syndrome de la page blanche, bien que j'ai écrit la suite depuis un bon bout de temps, je ne trouvais pas super ma présentation des événements futurs, (en bref la suite, je me demande pourquoi je n'ai pas fait littéraire, ah oui ! je suis nulle en français !) et donc en plus il fallait que je réécrive tout, et là il y a eu un blanc énorme. Bon j'espère que vous me pardonnerez, et que vous aimerez ce nouveau chapitre, j'attend impatiemment votre avis dessus qu'il soit bon au mauvais.

Bonne lecture.

Chapitre 14 : L'attente

Immédiatement après qu'elle eut viré le jeune Malfoy de l'infirmerie, madame Pomfresh se dirigea vers sa cheminée et contacta le professeur Dumbledore. Quelques secondes plus tard elle se mettait à examiner son jeune patient, très inquiète à son sujet ! (Nda, je sais que c'est bizarre qu'elle parle à Dumbledore avant de soigner Harry, mais comme ceci ne dure que quelques secondes, l'état d'Harry ne peut pas s'aggraver)

Pendant ce temps là, Draco marchait devant la porte de l'hôpital scolaire de long en large, au bord des larmes. Que pouvait avoir le brun ? Il avait pourtant semblé aller bien quand ils s'étaient endormis après… Pourquoi Pomfresh n'était pas déjà réapparue pour lui dire que tout allait bien, que c'était juste une plaie dans son dos qui c'était ré ouverte et le sang n'avait pas coagulé. Il ne pourrait pas vivre sans lui, son cœur se briserait et il préfèrerait le rejoindre rapidement, au moins il serait heureux pour l'éternité.

Draco était dans un état d'esprit épouvantable, assit contre un mur, les jambes ramené contre son torse et se tenant la tête avec les mains, mais aucune larmes ne coulaient sur ses joues pâles.

Tout repassait dans sa tête, le sang, la blancheur d'Harry, le pouls faible et la peur de Pomfresh quand elle l'avait vu et bien sûr sa peur, sa peur de perdre celui qui comptait le plus pour lui, même s'il n'avait pas été un veela.

Il resta là à attendre, prostré, essayant de ne pas penser au pire, il savait que s'il arrivait quelque chose de grave il le saurait, on serait venu le prévenir, Dumbledore ou Pomfresh, quelqu'un.

Une très longue heure passa, suivi de deux autres toutes aussi angoissantes et pénibles. Il n'osait même pas écouter à la porte par peur d'entendre une mauvaise nouvelle. La tension et la panique étaient à leur comble quand il entendit des pas dans le couloir horriblement silencieux où se répercutait en écho assourdissant. Et à ce moment c'était les chaussures en caoutchouc de l'infirmière qui râpaient sur le sol en linoléum blanc de l'infirmerie. Comme au ralentit, il entendit avec une précision incroyable le verrou s'ouvrir, la poignée de la porte se baisser. Et madame Pomfresh apparut, sa blouse encore taché du sang d'Harry, Draco la regarda avec tant de peine dans les yeux, qu'elle s'empressa de lui dire que le brun allait s'en sortir, et qu'elle l'avait placé sous sommeil magique pour qu'il se rétablisse bien.

Il entra en courant dans la pièce, il scanna la pièce des yeux et se précipita vers son amour qui l'attendait endormit, dans ses draps blancs, qui malheureusement faisait ressortir sa blancheur.

Il recommença d'attendre, mais cette fois, sans ce poids au cœur. Il prit la main froide du brun entre ses mains et commença à la réchauffer tout doucement.