Allez ! Encore un petit effort ! Oué ! Bravo ma tite teufteuf ! Je dessend comme un ouragan de ma pauvre voirure délabrée. Ma mère n'a pas tenu à m'accompagner. Elle tiend très certainement à ce que je me fasse arrêter. Comme je n'ai pas 18 ans je ne peux conduire mon véhicule seule. Mais aujourd'hui, je n'ai pas eu le choix. Très vite, je sors ma valise du coffre et l'entraîne vers la Gare King Cross. En courant presque, je traverse le mur me séparant de la voie 9 3/4. En regardant autour de moi, je remarque le nombre de hiboux qui hululent. Tous le monde pratiquement possède un hibou. Moi, je n'en ai jamais eu. J'ai, pour mon entrée à Poudlard, héritée d'Espoir. C'est ma colombe. Cadeau de mon père. Malheureusement, à cause des mon travail, elle est toujours en voyage, pour m'apporter à temps les factures et commandes de mes clients. En soupirant, je rentre dans un des wagon, réussissant à me frayer un chemin parmi cette foule de parents qui disent aurevoir à leyurs enfants. Je repense avec nostalgie à mon premier départ. Je sens les larmes monter. Mais en voyant la tête blonde d'Alice, je m'empresse de me mordre les lèvres. Mes yeux doivent être rouges, mais l'essentiel est de garder le sourir. Il n'y a aucune raison d'être malheureuse, hein ? C'est la rentrée voyons ! Je rentre dans son compartiment. Elle est en grande discussion avec son père. Il lui recomande de faire attention au neuvième balai qu'il lui a acheté. Je sourit malgré moi. Le plus grand défaut de la Lilice est sans aucun doute sa maladresse. En comptant bien, je dirais qu'elle a envoyé à la casse trois voitures, huit balais, au mojns vingt boules de cristal et quatre baguettes magiques. Une vraie calamité. Pour en rire, elle raconte souvent qu'elle ne veut être populaire parce que sinon elle serait obligée de porter des talons et que la terre en aurait déjà plus tellement elle en aurait cassés. Comme devinant ma présence, elle se retourne et me sourit. Le mien s'élargit. Je salu son père et embrasse sa mère. Après une dernière accolade, ils nous laissent. Alice, fidèle à son deuxième défaut - la curiosité - commence sa série de questions :
- Alors ? Ca va depuis ton dernier courier ? Ta mère te traite toujours comme son chien ? Et ta soeur ressemble toujours à un cheval ? Et le boulo ? T'es pas parti ? Pourquoi ne m'as tu pas envoyé plus de lettres ? Trois en deux mois c'est quand même pas beaucoup ! T'as un amoureux ? Pourquoi tu ne me l'as pas dit ?
- Hey ! Doucement. D'abord, je n'ai jamais dis que j'avais un amoureux. Je suis toujours ultra seule et fière de l'être ! Tu sais aussi bien que moi que Espoir est toujours très occupée. Ma soeur et ma mère n'ont pas changées et enfin, maintenant, ca va.
- Heureuse de l'apprendre. Moi, ça a été l'enfer !
Puis, plus bas :
- Je n'ai fait que penser à lui ! Je rêve et cauchemarde de lui s'en arrêt. Même quand je suis avec mes parents je ne peut me débarasser de son visage. Et, quand je suis allé à la mer - oui parce que je suis allé en Grèce - je me suis visualiser des scènes pas nettes avec lui !
Troisième défaut : ne se rend pas compte de sa chance. Mr et Miss Darcy sont des sorciers hyper riches. Il faut dire aussi qu'ils sont ministres tous les deux. Mais depuis que ma chère Alice est amoureuse, elle ne pense qu'à son Franck Londubat ! Depuis qu'elle me l'a apprit, elle ne parle que de ça. Elle pourait écrire un roman ! C'est fou tous ce qu'elle sait sur une personne qui ne lui a jamais adressé la parole : sa date de naissance, sa marque préferée, le nom de son hibou, le nombre de petites copines qu'il a eu ... Ca en devient incroyable. Je hoche la tête patiemment devant ses discours enflamés trop longtemps contenu. Soudain, la raison même de son émoi entre dans le compartiment. En le voyant, Alice reste la bouche ouverte comme un poisson. Il est seul, ce qui est très rare. Ecrasant le pied de mon amie je lui demande ce qu'il fait ici.
- Salut, je suis le nouveau préfet en chef. On m'a apprit que l'autre était à Grifondor, et comme Remus m'a affirmé qu'il avait démissioné ... j'ai pensé ...
- Oui, c'est moi.
- Il faut qu'on aille à la réunion.
- Oh ... Oui mais je suis fatiguée, Alice ira à ma place. Hein Alice ?
- Moi ? Euh ...
- C'est entendu, dit-il en souriant.
Avec un regard furieux, elle se lève et suis son Don Juan. Amusée, je remarque la blondinette loucher sur ses fesses. Profitant de ma tranquilité, je sors un livre de ma malle et commence à le dévorer. Mais il faut croire que je suis condamnée à être confronté à des problèmes. Et ce problèmre, en l'occurence, est la jolie brochette de Miss Populaire de Grifondor et de septième année. J'ai nommé Shelbie et ses dames : Tracy et Eleanore. Curieuse de savoir ce que me veulent ces poufiasses qui ne m'ont, jusqu'alors, adressés la parole que pour me dire que j'étais une atteinte à la mode, je lève les yeux. Je ne paux m'empêcher de sourir. Si Shelbie n'était pas blonde, Tracy noire et Eleanore avec les cheuveux roses, on les confondraient. En effet, toutes les trois sont aujourd'hui vêtues d'un jean laissant apparaître un string bleu ciel avec un débardeur rose. Je lève les yeux au ciel. Je n'ai pas le temps de leur demander ce qu'elles font dans mon compartiment. Elles commencent farouchement :
- Hey ! Miss crétine, tu dégage avec tes clics et tes clacs. Ce compartiment il est à nous.
J'ouvre de grands yeux. Pardon ? Voyant l'insigne qui brille sur ma poitrine, je me relève et décide de profiter un peu de mon rôle de prêfete :
- Je te demande pardon ? Je ne vois pas ton nom écrit ...
- Très drole ... Tout le monde sait que ce compartiment est le notre.
- Ah ben dans ce cas je dois être personne.
- Tu te crois drole ?
- Qu'est ce qui se passe les poupées ?
Je soupire d'exaspèration. Mister Populaire number 1 : Sirius Black. Allez ! Applaudissez ! Son corps musclé et bronzé se fraye un chemin parmi le trio de strings bleus. Ses yeux bleu, presque gris, se plantent dans les miens :
- Hé la préfete, tu devrais pas être en réunion ?
- C'est pas tes affaires, je siffle.
- Ben t'as intêret d'y aller parce que là c'est leur compartiment.
- Ah oué ? Et en quel honneur ?
- En notre honneur idiote, me crache Tracy.
- Oui mais j'étais là avant !
- T'avais qu'à te trouver un autre compartiment. Maintenant t'es obligée de démenager.
- Il en ait hors de question !
- Sinon c'est nous qui allons te faire dégager, tu m'entends Evans ?
Je reste bouche bée. Après six ans de vie commune, je me suis toujours demandée comment ces êtres avec lesquels je partageaix mes cours, mes repas et mes temps libres n'arrivaient jamais à retenir mon nom. Et bien je m'étais trompé ! Ils le connaîssent ! Bravo !
- Tu me touches tu n'auras plus le temps de toucher à ton précieux balai tellement tu seras collé.
- Tu n'oserais pas !
Il prend un ton anguicheur et des yeux de chien battu.
- Patmol ? Qu'est ce qui ce passe ici ? C'est la fête ?
- Mais non mon poussin, susure Eleanore. C'est cette fille qui ne veux pas partir.
- Pourquoi devrait t'elle partir ?
J'ai l'immense honneur - tellement immense que j'en ai les larmes aux yeux - de vous présenter Mister Populaire number 2 : Remus Lupin ! Une ovation pour Mumus s'il vous plait ! Des quatre maraudeurs - groupe composant tous les populaire de Grifondor de septième année - c'est le seul avec qui j'ai échangé plus de trois phrases avant aujourd'hui. Nous étions les préfets de Grifondor l'année dernière. Je me suis d'ailleur toujours demandée qu'est ce qu'il foutais avec les trois breles composant le reste du groupe ( Sirius Black, Peter Pettigrow et James Potter ) Il est de taille moyenne, et à côté de Sirius il fait plutôt petit, ses yeux sont couleur miel ce qui va très bien avec ses cheuveux chatain clair et sa peau assez pale. Contrairement à son ami, il a un corps frele et mince. Et pour cause. C'est un loup garou. Je l'ai deviné lors de ma cinquième année. J'ai remarqué ses abscences quand nous devions faire nos rondes, et les soirs de pleine lune corespondaient parfaitement. Moi qui avait toujours redouté les loups garous et qui avait prié de ne jamais en rencontrer, je me suis rendu compte que Remus était doux comme un agneau. Lui que je verais bien en méchant garou c'est Sirius. D'ailleur, là il me regarde de son regard de chien féroce. On dirait un chien furieux pret à attaquer. Doucement le toutou. Mais il se contente de répondre à son ami :
- C'est le compartiment des filles.
- J'étais là la première !
- Oui mais ça a toujours était le notre depuis des années ! s'enerve Shelbie.
Fatiguée de répondre et impatiente de retrouver ma tranquilité, je descend mes bagages et ceux d'Alice du filet et m'en vais avec un regard furieux envers ces enfents pouri gatés. Au passage je leur annonce qu'ils sont collés jusqu'au mois d'Octobre. Et toc. Et encore je suis gentille. Durant trois quarts d'heure, je cherche desésperement un compartiment vide. Deséspérée, je m'assoie sur ma valise. Je regarde le paysage défiler à travers la fenêtre. Mes années de scolarité à Poudlard se résument au travail. Première de la classe dans toutes les matières, je n'ais jamais eu l'impression de manquer de distraction. Je m'amusais avec mes livres et Alice. C'était suffisant. Mais en regardant les autres composants de ma maison, je me rend bien compte que je passe à côté de quelque chose. Moi, par exemple, je ne sais toujours pas ce que ça fait de me trouver dans les bras d'un garçon fou amoureux de moi. Au moins, avec leur deux neurones et leur string, Shelbie et compagnie, elles, elles savent. Je suis une grande romantique. Une Mme Bovary dit souvent Alice. Moi je crois plutôt que je suis une Cendrillon attendant patiement son prince charmant. Les livres m'aident à fuir cette triste réalité. Soupirant, je fais face à mon reflet sur les parois de la vitre. Pourtant je suis certaine d'être jolie. Mais jusqu'à maintenant, seule Alice et mon père me l'ont affirmé. Je soupire. Alice aussi est magnifique. Si Franck prenait le temps de la regarder, il tomberait dans ses bras. Repensant à mon amie que j'avais abandonnée, je me dirige vers le compartiment des pêfets. La réunion est finie. Justement, Alice et son prince à elle discutent avec entrain. Lilice est toute rouge et je crois que ça amuse un peu le préfet. Ses yeux brillent et elle ne fait que glousser. Mais vu la reaction du jeune homme, je crois qu'elle le charme. Derière l'épaule de Franck je fais de grands signes à mon amie. Je vois bien que je la dérange, mais là j'ai besoin d'aide. Londubat remarque le regard distrait de la blonde. Il se retourne et me vois. Il sourit et me demande si me suis bien reposée. J'affirme de la tête et informe rapidement Alice de ma situation. Franck, ayant entendu la conversation jusqu'au bous en hochant la tête nous propose alors son compartiment :
- Nous ne somme que quatre. Il y a Justin McMillan, Mickael Bones et sa petite amie, Clara Pekez.
Nous échangeons un regard avec Alice. Pourquoi pas ? Même si l'idée de partager le compartiment avec ces stars de Poublard ne me plais guère, je vois bien que ma blondinette amoureuse en meurt d'envie.
- C'est d'accord.
Lilice me sourit de toutes ses dents ! Quelles sont mignones ces faussettes au coin de tes lèvres ! J'espère que Franck les a vu. Et oui, il les a vu. Je vois son regard s'assombrir. Aya ! Je savais pas que tu lui faisais autant d'effet ma puce ! Arrête de sourir ma vieille, sinon il va te violer en plein milieu du couloir. Amusée, je rentre dans son compartiment en leur demandant comment s'est déroulée la réunion. Apparement, ses amis ont filés parce que le compartiment est vide. On n'y prete pas attention. Alice boit les paroles du prefet. Oui, la réunion s'est déroulée normalement. Il notte que mon amie s'est très bien débrouillée. Celle ci est aux anges. Je hoche patiement la tête. Enfin, ma Lilou détourne le sujet et ces deux moulins à parole commencent à débattre sur un sujet que je devine mult interessant mais certainement pas autant que mon bouquin qui m'attend sagement depuis tout à l'heure. J'ai enfin atteint la moitiè de mon livre quand deux mecs et une fille rentrent en trombe dans le compartiment. Le premier, qui s'avère être Justin, à le physique typique de l'aryen ( blond eux yeux bleus avec un corps de Dieu grec ), l'autre, à sa droite, tenant fermement une jeune fille à la taille, c'est Mickael. Les yeux un peu bridés, la peau matt et les cheuveux noirs et rebelles, je ne vois pas du tout ce que Clara lui trouve. Elle, c'est une jolie fille. Un peu grosse, avec un poitrine hors de commun et des couettes blondes sur toute la surface de la tête. Une vraie pom pom girl. Son regard est surpri quand elle nous voit, mais elle ne dit rien. Sagement, en entraînant son copain par la main, elle s'assied sur la banquette en face de moi. Justin, lui, fronce du nez et s'en va. J vois bien que Mickael a envi de la suivre. Mais la main de sa petite amie le retient fermement. Mais c'est que c'est un gentil toutou ça ! Franck regarde son ami partir sans rien dire. Puis il se retourne vers les deux autres qui sont restés.
- Mick, Clara, je vous présente Alice Londubat et Lily Evans. Elles sont à Grifondor.
Ils haussent la tête, silencieux. Confus, ont restent sans rien une bonne dizaine de minutes. C'est là que le chariot de friandises arriva. Sous le regard ahuri des trois poufsoufles, Lilce et moi nous précipitons sur le chariot pour le dévaliser. Une foie le porte feuille vide, nous retournons nous asseoir les bras plein de friandises. Franck éclate de rire en voyant la blondinette essayer d'avaler une quantité de nouriture capable de faire doubler son poid. Celle ci lui rend un regard furieux. Il continu en souriant :
- J'ai rien contre les filles qui ont un gros apêtit !
- Tant mieux !
Sur ce, elle gobe un chocogrenouille d'une seule bouché ! Les deux tourteraux se regardent, amusés. Bientôt, tout le monde est amassé autour des bonbons et la bonne humeur revient vite. Le flirt entre le poufsoufle et mon amie est flagrant, et nous décidons, d'un accord commun, de les laisser un peu à l'écart. C'est comme ça que j'ai appri dans les moindres recoins les vies de deux Populaires de Poufsoufle. Le ciel devenait un peu rose quand nous fimes interompus. Justin entra dans le compartiment suivi des maraudeurs. Sirius s'avance et nous regarde. Dans un ricanement il dit :
- C'est ici qu'a trouvé refuge ces Miss Crétine ?
Miss Crétine en question n'est pas du tout contente du surnom qu'on lui donne et de la façon dont on lui parle. Mais je ne dis rien sinon je vais encore m'en prendre plein la gueule. Mais voila que Mister Populaire number 1 laisse place à Mister Populaire number 3 ! J'ai nomé : James Potter. Plus grand que Remus, mais moins grand que Sirius, on peut dire que James est bien foutu. Les cheuveux noirs, en bataille et SANS GEL, il a un air de gamin imature. Ses yeux sont toujours rieurs et ses mains toujours sous une jupe. Un garçon exaspérant, pouri gaté, trosième de la classe après moi et Sirius ... et j'en passe. Toute les "qualités" pour être populaire. Contrairement à ses amis, son jean ne descend pas jusqu'aux genous. Non, c'est un jean moulant, qui lui forme très bien le popotin. Sinon, il est tout a fait identique aux autres. Un tee shirt à rayures noirs et rouges cache son torse qu'on devine musclé. Sans même nous regarder, moi et Alice, il se plante devant Franck en lui serant la main et en marmonant un " salut mec " Trop viril ! Il fait de même avec Mickael puis, enfin, adresse un clin d'oeil à Clara. Indifférent à notre modeste présence, il repart comme il est venu. Renifflant de mépris, Sirius et Justin le suivent. Seuls Remus et Peter ( Mister Maraudeur n 4 ) restent. Ce dernier est en tout point la tache du groupe. Mauche, mal fringué et nul. Même moi je vaux mieux ! Il de petits yeux noirs et brillants qui font peurs. Il est gros ( ce qui s'explique avec le nombre de repas qu'il prend par jour c'est à dire 9 ) et à le cheuveu cahatain très clair. L'acné cache les trais de son visage tellement il y en a. Mais sinon, malgré son mépris envers moi, il ne m'a jamais traité comme le font Black et Potter. Remus, après nous avoir TOUS salué, s'excuse de son comportement quelques heures plus tôt. Je meur d'envie de l'envoyer balader. Mais il a l'air très ami avec Londubat et j'ai pas envi de le retourner contre Alice. Donc, très poliment, je les accepte. Il semble soulagé et décide de rester avec nous. Peter aussi, reste. Je me rend compte à quel point c'est un homme intêressant et intelligent. Une fois le train arrivé, nous descendons et nous séparons d'eux. Avec Alice, on se trouve une diligence. Elle est aux anges et ne cesse de me demander pourquoi nous ne sommes pas à Poufsoufle. Bonne question. C'est ainsi que commence ma dernière année. Celle ci risque d'être très diffèrente vu comme c'est parti. Une fois arrivée dans la Grande Salle, Alice se précipite vers les mets de la table des grifondors. Lily perçoit le regard intrigué de Franck. Elle le rassure :
- Rappelle moi, c'est bien toi le mec qui n'as rien contre les filles qui ont un gros apétit.
Il éclate de rire.
- Cette fille est incroyable.
- Tu ne sais pas à quel point, dis je en souriant.
C'est moi qui arrange les coups maintenant : on aura tout vu ! En soupirant, je rejoint Lilice. Londibat est reparti à sa table en compagnie de ses amis. Et voilà qu'elle recomence à débiter un flot de paroles toutes centrés sur Mister le Magnifique j'ai nommé Londubat ! Lassée, je glisse mon regard sur les nouveau grifondors. Il n'ont pas de si mauvaises têtes. C'était ma dernière répartition. Snif ... Je lève les yeux sur mes camarades de septième année. Et c'est un regard chocolat que je croise. Bang ! Je me sens bruler durant un millième de seconde. Mes joues doivent être rouges et mon souffle s'est fait plus roque. Merde. C'était quoi ça ? J'essaye d'attirer l'attention de Potter, mais rien y fait, je crois qu'il n'a rien remarqué. Me reprenant et tentant de refaire surface, je me penche vers mon assiette. Peut être devrais je imiter Alice et la remplir ? Bonne initiative. Bravo Lily !
PdV James
Je détourne vite fait le regard. La foret de vert que je viens de rencontrer ne m'a pas laissé indifférent. J'essaye de ne plus la regarder, mais son regard pèse encore sur moi. C'est drole qu'une fille pareille me fasse ressentir ce genre de choses. Avec toutes les filles que je me suis tapé, je peux assurer que rien ne m'a fait aussi mal aux trippes que ce contact. Pourtant, jusqu'à ce soir, je n'y avait jamais fait attention. Mais l'avais je regardé ? Non ... évidement. Elle ne fait pas parti des filles que l'on regarde. Lily Evans ... C'est ça. Drole de spécimen ... Première de la classe ... hum ... C'est bien tout ce que je sais de cette fille. Je hausse les épaules et me reconcentre sur la seule fille qui devrait retenir mon attention : ma petite amie. Mais celle ci est trop occupée à raconter les derniers potins à Tracy. Je me tourne donc vers la jolie rousse. Mais celle ci s'est détournée de moi. Tant pis ... Cette année sera, je l'espère, très pimentée ...
