Je n'ai eu que trois reviews pour le dernier chapitre ! J'espère que vous aimerez plus celui ci ... Je veux au moins quinze reviews sinon je continu pas la suite !

PdV Lily

Le mois de décembe était arrivé avec beaucoup d'empressement. Comme tout avait changé ! Alice sortait à présent avec Franck Londubat, Clara Pekez était devenue l'une de mes seules amies et je corespondais depuis trois mois avec un garçon inconu. Je suis dans le train du retour, et de nombreux souvenirs m'assaillent. A présent, je vit sous le controle de ma belle-mère. L'année prochaine, je n'aurai plus Poudlard pour me tirer de ses griffes. Le seul moyen d'assurer un temps soit peu mon avenir serait d'être acceptée à l'Académie de Formation des Aurores. Mais les dossiers sont très peu pris. Mais avec les notes que j'ai eu au long de ces sept dernières années et les ASPIC que j'ai, selon moi, bien réussis, devraient suffire à mon entrée. Clara, qui est assise en face de moi demande :

- Tu compte être habillée en quoi au bal de Noël ?

Bal de quoi ? Merci de m'en avoir prévenu.

- Quel bal ?

- Ben le bal masqué !

- Je te demande pardon ?

- Ne me dis pas que tu n'étais pas au courant !

- Je n'étais pas au courant. Et d'ailleur ça ne change rien vu que je ne compte pas y aller.

- Ne racontes pas n'importe quoi ! Bien sur que si tu vas y aller.

- Puisque je te dis que non. De plus, je n'ai même pas de costume.

- Bah ! Tu auras le temps de t'en procurer un. C'est dans une semaine.

De mieux en mieux ... Alors que je m'apprête à affirmer une bonne fois pour toute que je n'irais pas à ce foutu bal, Espoir rentre par la fenêtre ouverte, une lettre à la patte. Certainement de mon mystérieux corespondant.

Salut la belle, alors, contente d'être enfin en vacance ?

Je demande rapidement une plume à mon amie.

- Encore ton admirateur secret ?

La plume entre les dents, j'essaye de riposter :

- Ch'est pas mon admirateur checret !

- Mais bien sur ! Il t'envoie des lettres d'amour mais c'est pas ton admirateur secret ...

- Ch'est pas des lettres d'amour, ch'est des couriers.

- Ben voyons ...

Non, ça va être l'enfer avec ma belle mère. Au fait, tu étais au courant pour le bal de fin de Noël ?

Quelques minutes plus tard, ma colombe revient.

Justement ... accepte de me rencontrer, au centre de la piste de danse, à 11 heure.

Je dois palir car Clara me regarde avec inquiètude. Elle me demande si ça va.

- Il veut me rencontrer ! Lors du bal !

- Mais c'est super ça Lily ! Tu vas enfin découvrir qui c'est !

- Je crois pas. Ce mec est trop cool pour être vrai !

- Ne me dis pas que tu vas refuser. Tu vas tout de même pas te dégonfler.

Ben si elle voulait atteindre mon ego, ben c'était gagné. Mais c'est vrai qu'au fond je suis morte de trouille ! Et si je lui plais pas ! Si je ne suis pas comme il l'avait imaginé ? Je repond tout de même :

D'accord. A bientôt.

Quelle imbécile ! Je regrette déjà !

Le voyage se fini bien. Et l'enfer recomenca ...

On est vendredi, et demain, c'est le grand bal. Le train pars l'après midi et revient dimanche matin. Je respire à fond, prend mon courage à deux mains et me dirige vers ma belle mère :

- Rosa ?

- Moui ?

Des lunettes contre rayons UV A sont scotchés à ses yeux. Elle est en train de se faire bronzer, ou cramer selon les points de vue.

- Demain, il y a un bal ...

- Oui ... le bal d'Oxford ...

Comment est elle au courant ?

- Ta soeur y va aussi. Je l'emmene en voiture.

Quoi ?

- J'y suis également invitée.

- Oui ... Je m'en doutais. Sur l'une des invitations, j'ai vu apparaître le nom de l'un des anciens copains de ton père. Je crois que c'est Po ... Po ...

- Potter ?

- Oui.

- James Potter ?

- Il me semble. Son père s'appelle Henri. Tu le connais ?

- Il est dans la même classe que moi.

- Bien. Au fait, demain t'es de garde "Chez Rosa".

- Quoi ? Mais je viens de te dire que ...

- Ecoute trésor. Pour continuer tes études, il te faut un tas d'argent, et pour gagner un tas d'agent, il te faut vendre un tas d'articles. C'est compris ?

- Rosa ... Je t'es jamais rien demandé ... J'ai toujours fait ce que tu m'avais demandé. Mais là, s'il te plait, laisse moi aller à cette danse ...

- D'accord ... Lily, il y a une chose que j'ai toujours eu envie de te dire. Tu n'es pas très belle, et pas très élegante.

C'est comme un grouffre qui se forme en moi. Elle avait touché le point qui faisait mal. Et si je ne lui plaisais vraiment pas ? Si je faisais mieux de ne pas y aller ?

- Je suis heureuse qu'on en ait plus à discuter, termine joyeusement ma belle mère.

Ecoeurée, je m'en retourne dans ma chambre. Dépitée, j'écris une lettre à Clara et Alice. Juste aprés avoir renvoyé ma pauvre colombe, ma détestable demie soeur fait son apparition.

- Tu ne savais pas que j'étaits moi aussi invitée demain ?

Je me retourne. Un tonne de bigoudis lui cachent le peu de cheuveux qu'elle a. Elle me fait penser à un horible caniche. J'ai envie de pleurer.

- Non. Comment ça se fait ?

- C'est un bal inter école. Et comme ton fou de directeur est ami avec le notre ... Evidement, seule moi connais votre vraie nature, et bien obligement, vous n'aurez pas le droit à la magie.

Je me demande des fois si je vis sur une autre planète. Pourquoi n'étais je pas au courant ? Je répond bêtement.

- Oui.

Elle hausse un sourcil et continu à enfoncer le couteau dans la plait.

- De toute éviedence, tu n'as pas le droit d'y aller. Moi, en tout les cas, je compte bien être élue reine de l'année.

Je la regarde, concentrant tout mes efforts pour ne pas éclater de rire.

- Domage que tu ne sois pas là demain pour me voir dans mon superbe costume.

Domage en effet, j'me serais bien marée.

- Enfin ... J'te laisse. Tu dois avoir une tonne de travaille.

- Oui.

Je crois être incapable de prononcer un autre mot.Je crois qie là, j'allais vraiment éclater en sanglots. Heureusement qu'il est arrivé à temps, comme toujours. Comme si ma vie en dépendait, j'arrache la lettre d'Ulysse. Presque en la déchirant, je la déplie :

Prête pour le bal de demain ?

Maudissant ces êtres qui ne pensent qu'à ce bal, je répond :

Je n'irai pas.

J'ai passé la soirée à envoyer des factures. Je me suis endormie tôt, esperant echapper au désespoir de ma vie. Le lendemain, c'est avec la mort dans l'âme que je me rends dans l'ancienne boutique de mon père. Mais c'est sans compter la voiture qui a failli m'écraser. C'est une mercedes décapotable jaune, un décapotable que je connais très bien. Et qui ne peut appartenir qu'à une seule personne.

- Alice !

- Salut ma puce ! Allez, monte !

- Quoi ?

- Tu crois tout de même pas que tu vas rester ici ? M'en fou que ta belle mère ne veule pas que tu vienne. Moi je te dis que tu viendras, alors tu viendras. Allez, et que ça saute !

- Mais Lilice ! Je n'ai même pas de costume.

- Mais moi je l'ai !

- Clara !

Et en effet, Clara venait de transplaner sur un siège arière.

- Tu sais transplaner ?

- Eh oué, j'ai pas perdu de temps. Allez, monte.

- Mais ...

- Quoi ?

- Si ma belle mère apprend que je ne suis pas allé à la boutique ...

- Pourquoi le saurait elle ?

- Ma soeur y va et puis, elle vient y faire un tour à minuit.

- C'est pas grave, c'est un bal masqué. Et puis, si c'est ça le problème, tu seras de retour à minuit pile. De toute évidence, ton rendez vous avec ton prince charmant ce n'est qu'à onze heure !

- Vous avez raison. Tu me montre ce constume Clara ?

- Pas maintenant, on passe d'abord chez moi, puis aprés, on va prendre le train.

- Youpi !

Une fois chez Clara, je m'empresse d'essayer mon costume. En le voyant, je sens mon souffle se couper. C'est une magnifique robe blanche. Elle n'a pas de bretelles et elle est sur le modèle des robes de conte de fée. Assez moulante en haut, le bas traine par terre. Les chaussures qui vont avec sont aussi belles. Mais c'est ...

- Du verre. C'est du verre. T'es déguisée en Cendrillon Lily.

J'éclate de rire. En les remerciant, j'essaye d'enfiler cette merveille sans l'abimer. Elle me va très bien. On dirait une mariée. Clara veut me boucler les cheveux pour ensuite faire une demie queue. Je la laisse faire. Ensuite, elle me passe du crayon noir autour des yeux et un peu de gloss sur les lèvres. En me regardant dans la glace, je ne me reconnaîs plus. Je vois bien qu'elle a le coup de main. Moi, je n'ai jamais touché à l'un de ces produits cosmétiques. Je vois avec surprise Alice manier le rouge à lèvre avec habileté. Elle est magnifique elle aussi. C'est une danseuse de flamenco ce soir. Son haut est en dentelle blanc cassé et ses jupons sont rouges ornés de dentelle noir. Un médaillon orne son cou grace à un ruban de velour noir. Elle s'est attachés les cheuveux blonds et une coiffe en ivoir courone sa tête. Franck va être très envié ! Je la complimente et elle rougit. Enfin, Clara finit elle aussi de se changer. C'est une fée du Moyen Age. C'est à dire qu'elle a le chapeau pointu et les volants qui camoufflent ses formes plus que génereuses. Ses cheuveux blonds sont emprisonés dans un chignon à l'ancienne, avec la coiffe en velour, le filet noir et tout le tralala. Sinon, sa robe est bleu claire, assortie à son chapeau. Je ne peux m'empêcher d'ajouter :

- Si moi je suis Cendrillon, toi tu est ma bonne fée.

Elle m'adresse un clin d'oeil. Enfin, nous partons. Mais une fois au pas de la porte, Alice s'arrête :

- Je refuse d'y aller en train. Nous abimerions nos constume. Prenons plutot ma voiture.

Nous acquiessons. Que l'on doit être droles à voir ! Une princesse, un fée et une danseuse de flamenco dans une mercedes décapotable jaune. Je pouffe. Les regards que j'échange avec mes amies me prouvent qu'elle pensent à la même chose que moi. La nuit est de plus en plus sombre. Je regarde la montre de la voiture : 10 : 40. Enfin, nous arrivons. La fête est organisée dans une Salle de Fête à Oxford. On entend de dehors la musique battre son plein. Alors que je m'apprete à rentrer, Clara me retient par le bras.

- Attend, mets ce masque. Je l'ai ensorcelé. Si jamais ton admirateur secret n'est pas quelqu'un de recomendable et que tu ne désire pas lui réveler ton identité, il ne te reconnaitra pas. Si jamais tu abaisse tes gardes, ou si quelqu'un lui dit que c'est toi, alors mon masque n'aura plus aucun effet.

Je contemple le masque bouche bée. C'est un simple loup fait en dentelles blanches, mais pas trop chargé tout de même. Comment faisait elle pour penser à tout. Elle enfile son propre masque avec un clin d'oeil. Alice aussi a le sien, qui est identique au mien, mais en noir. Celui de ma bonne fée brille de mille feu grace aux strass qui le recouvrent entièrement.

- Lily, je t'enverais Espoir à minuit moins cinq. Tu viendras retrouver Alice et vous transplanerez grace à un portoloin.D'accord ?

Je hoche la tête : elle pense VRAIMENT à tout.

- Allez ma vieille, il est temps, ton prince charmant doit s'impatienter !

PdV James

Je suis mort de trouille. Aujourd'hui, je vais rencontrer ma mystérieuse corespondante. Je me demande à quoi elle doit ressembler. Je dois certainement la connaitre. Enfin, ce soir je saurais qui c'est. Je me tourne vers Remus et Sirius. Ils tirent la tronche. Le loup garous commence :

- Domage que ton costume ait été égaré, mec.

- Oué. C'est pas grave.

Sirius s'emporte :

- C'est pas grave ? Mais si c'est grave. Maintenant on est plus les trois mousquetaires ! Toi t'es le prince charmant, et nous on est les deux folles à peruque !

Je sourit. J'suis pas beau en prince charmant ? Et eux ? Ils sont pas beaux en mousquetaires ? Non, ils sont pas beau. Ils sont revetus d'une tunique de velour rouge, couverts d'un chapeau à plumes et d'une peruque à boucles noirs. Mort de rire. Tout d'un coup, la musique change. C'est un slow. L'éclairage s'assombrit et seul le haut de l'escalier est rempli de lumière. Une jeune fille nous surplombe avec sa robe blanche. Elle est magnifique. J'en ai le souffle coupé. Je regarde mon ex-petite copine, à côté de moi. J'ai bien fait de la larguer. Ce soir, elle et ses amies sont déguisées en anges. Je jette un coup d'oeil à ma montre. 11 : 00 Il est temps que j'y aille. Je me colle en dessous de la boule lumineuse qui éclaire la piste de danse de ces petites lumières. J'entends une voix derière moi :

- James Potter ?

Je me retourne. C'est la princesse de tout à l'heure. De prés elle est encore plus belle. Et bien que j'ai le sentiment de la reconnaitre, je ne peux l'identifier.

- Tu es bien au centre de la piste ?

- C'est toi ma mystérieuse corespondante ?

- Oui. Enfin non. Il y a erreur, désolée, je dois partir.

Troublé, je vois la fille de mes rêves s'éloigner de moi. Rassemblant toute ma volonté, je cours vers elle.

PdV Lily

James Potter ! C'était trop beau pour être vrai ! Comment ais ce possible ? Tellement perdue dans mes pensés, je n'entends pas les pas précipités derière moi. Je sursaute. Quelqu'un m'a attrapé le bras. Je me retourne. Mon prince charmant me regarde avec un regard suppliant.

- Je ne crois pas qu'il y ait erreur.

- Mais sais tu qui je suis ?

- Oh oui ! Tu es la fille avec lequel j'ai corespondu ces trois derniers mois !

- Comment est ce possible ?

- Tu ne t'attendais pas à quelqu'un comme moi n'est ce pas ?

- Non. Comment peux tu écrire comme un poète et être le capitaine de l'équipe de quidditch de grifondor, sex symbole de Poudlard et ennemi de Severus Rogue ?

- Rappelles toi notre première conversation.

- Euh ... " Je suis l'une de ces personnes qui prétendent être ce qu'elles ne sont pas. Comme si je portais un masque."

- C'est ça ! Tu veux sortir ?

- Mais ... Si tu ne reste pas, tu ne pouras pas être élu prince de l'année !

- Ah ... En fait je m'en fiche complétement !

Il me propose sa main, je la refuse. Ne se décourageant pas, il m'entraine dans le parc.

- Si on jouait aux vingt questions ?

- Pourquoi pas sept ?

- Je prendrais ce que tu me doneras. Mmm ... Réponds moi franchement ... Est ce que tu as été désapointé quand tu as su que s'était moi ?

- Et bien ... Etonement non.

- Et ce que tu voteras pour moi ce soir.

- Et bien ... Etonement, oui.

- Ouep, ouep . Je l'ai ! Entre un bigmac et une galette de riz, qu'est ce que tu choisi ?

- Un bigmac ... Mais, quelle importance ?

- Et bien sans le savoir tu viens d'éliminer 50 des filles de l'école.

Je souris. Nous sommes arrivés dans une sorte de serre. Des roses blanches ornent les paroies et nous entourent. C'est merveilleux.

- Si je te demande une danse, ça compte pour une question ?

- Mais il n'y a pas de musique.

Il sort sa baguette et un lent slow emplit nos oreilles.Il me prend par la taille et commence à me faire tournoyer. Je me sens toute chose. Je frissone et mon regard est plongé dans le sien. Son souffle est chaud, et je sens bien que mes barières vont s'abaisser si ça continu comme ça. Il se penche vers moi et tente de m'embrasser. Et c'est là que je comprend qu'il me fait de l'effet. Je me retire avant que ses lèvres ne puissent ateindre les miennes. Je suis essoufflée, et mes joues doivent être rouges. Il le remarque, et me reprend les mains. Je me sens legère et libre. Ma robe fait de grands cercles autour de moi. Le rythme ralenti, je suis de nouveau dans ses bras.

- D'autre questions ?

- Mais je t'es déjà vu auparavent ?

- Oh oui !

- Mais comment ai ju put t'apercevoir, et là, ne plus savoir qui tu es.

- Et bien, peut être que tu regardais sans voir. Il ne te restes qu'une question James.

- Bien.

Il s'éloigne et arrache une fleur. Il me la tend. J'en suis charmée.

- As tu le sentiment d'avoir fait le bon choix en acceptant de me voir ce soir ?

Je lui prends la rose. En la serant contre ma poitrine je répond :

- Oh oui. Et toi, as tu envie de me revoir ?

- Et bien ça il faudra que j'y pense !

Je lui lance un regard reprobateur. Il me sourit, taquin.

- Absolument.

Il se penche. Ses lèvres si proches des miennes. Ses mains sur mes hanches. Mon coeur que tout Oxford doit entendre et ces frissons que je ne peut controler. Il se rapproche de plus en plus lentement, comme si il se préparait à se jettait dans un gouffre.

- Espoir !

Je m'écarte brusquement. En effet, ma colombe volette en poussant des cris stridents. Il doit être très tard. Paniquée, je me retourne vers James :

- Désolée, je dois y aller. Merci pour tout, c'était vraiment magnifique. A plus.

- Mais tu as un couvre feu ?

- C'est a peu près ça. Comme un rendez vous.

- Mais avec qui ?

- La réalité.

Je cours derière Espoir. Je monte les marches de l'escalier quatre à quatre. Je sens ma chaussure droite glisser de mon pied pour tomber sur l'avant dernière marche. Ne voulant pas perdre de temps, je l'abandone, pensant que je ferais une très bonne Cendrillon. J'entends au loin la voix de Dumbledore :

- Il est bientôt minuit. Nous allons vous réveler les noms des gagnants de ce soir ...

J'aperçois Alice au loin. Elle est avec son petit copain.

- Alice !

Elle se retourne et m'entraîne au dehors loin des regards moldu. Au loin, le directeur continu :

- Le gagnant de cette année est James Potter, déguisé en Prince Charmant !

PdV James

Je ramasse la chaussure de verre de ma mystérieuse danceuse. Au moment même où je crois l'apercevoir et m'apprête à la suivre, quelqu'un m'entraine vers l'estrade où m'attend le vieux Albus. Surpris, je questione Sirius du regard.

- Tu as été nommé Prince de la Fête !

Ahuri, je me dégage et sort de la Salle en courant. Mais Cendrillon ne s'y trouve plus. Elle s'était envolée.

PdV Lily

Alice me tend un portable. Nous transplanons. Juste avant d'arriver "Chez Rosa", j'entends la voix de Dumbledore :

"La gagnante est la mystérieuse Cinderella."

- C'est toi !

- Oui c'est moi. Mais on a pas le temps.

Il est minuit moins une. J'enfile une chemise et agraphe mon insigne par dessus ma robe. Je cours derière le comptoir. C'est à ce moment que ma belle mère fait son apparition. J'entends le crac caractéristique d'Alice qui transplane. Derière Rosa, je vois Pétunia déguisée en caniche. C'est avec CA qu'elle espèrait gagner ? Justement, sa mère est en plein débat :

- Mais où est ta courone ? Quand on gagne un prix, on a une courone.

- J'ai pas gagné.

- Oh ! Je suis furieuse ! Furieuse !

Puis, en se tournant vers moi :

- Bien, tu peux partir dans une heure. A demain.

Et en gueulant sur sa fille, elle sort. En soufflant de soulagement, je retire ma robe. Quelle soirée.

Alors à vos clavier, prêt, feu, REVIEWEZ !