Disclaimer: Pot n'est pas à moi sauf Chiaki Kanji

Rating: T par mesure de précaution

A/N: Il se peut que les personnages soient OOC.

Parce que leurs âges dans l'animé me gênent, je leur ai tous donné 20 ans sauf pour Echizen 19. Ben oui, n'allez pas me faire croire qu'ils ressemblent à des collégiens…

Désolée pour le temps écoulé entre les updates. J'essaierai d'updater plus fréquemment.

Bonne lecture et n'oubliez pas de laisser une petite review, ça fait toujours plaisir.

Merci à mangaslover pour la review…


Chapitre 14 :

Atobe le retour

Il se leva et se tourna vers le bruit.

- Chiaki, ma chère, je ne t'attendais pas si tôt.

Il grimaça en voyant Kaidoh sortir de l'ombre. Kanji fit de même en voyant qui avait pénétré dans son appartement.

- Que fait Kaidoh avec toi ?

- La véritable question serait plutôt que fais-tu ici et comment es-tu monté.

- Ma chère, tu n'as pas oublié qui je suis. Mon nom ouvre toutes les portes. Ma présence ici n'a d'autre but que de me faire pardonner pour mon attitude odieuse lors de notre dernière rencontre. En plus du dîner, je veux que tu viennes avec moi. J'ai décidé de reloger les animaux. Je veux que tu participes à l'inauguration qui aura lieu ce soir.

- Keigo, je crois que tu rêves. J'ai d'autres projets pour la soirée. Néanmoins, je suis contente que tu sois à nouveau un peu humain.

D'étonné, Atobe passa à la colère. Personne n'avait jamais refusé une sortie avec lui, la plus grande fortune du Japon.

- Je parie que ton projet consiste à te faire sauter par Kaidoh et qu'au moment de passer à l'acte tu te défileras. ( A Kaidoh) Elle est plus froide qu'un iceberg. Tente de l'aimer et tu te brûleras les ailes. Et de toute façon, tu n'es pas son genre. Pas assez riche et tes prestances nocturnes ne peuvent pas rivaliser avec celle d'Ore-sama.

Kaidoh commençait à perdre patience. Il ne supportait pas qu'on dise du mal de Chiaki et encore moins qu'on s'en prenne à sa masculinité. Il serra les poings et il lui fallut toute sa volonté pour ne pas étriper Atobe.

Chiaki en avait assez entendu.

- Keigo, quand vas-tu arrêter avec cette histoire ? Le passé est le passé et tu sais tu sais très bien pourquoi nous n'avons rien fait. De plus ce que je compte faire avec Kaidoh ne te regarde pas et non, je n'ai pas envie de me faire sauter comme tu l'as si élégamment dit. Maintenant merci pour le repas, mais tu peux le remporter avec toi. (A Kaidoh) La salle de bain est au premier, la porte avec le canard jaune.

Pendant ce court échange, Atobe avait pris son portable et toute une équipe de domestiques était venue tout débarrasser.

Il passa d'un air fier à côté de son amie et remarqua la belle trace rouge circulaire. Son regard se fit plus dur. Il la dépassa et se tourna vers elle.

- Tu me déçois beaucoup. (Il passa la porte) Au fait, j'allais oublier, il y a une réception le mois prochain chez mes parents. Tes parents et ton frère seront là. Il va sans dire que ta présence est requise ainsi que celle de ton petit ami. Une limousine viendra vous chercher pour être sûr que tu ne te défileras pas.

Chiaki resta plantée sur place bien après le départ d'Atobe. Il fallut que Kaidoh l'appelle pour la faire revenir sur terre.

- Sensei !

Ce cri la sortit de sa torpeur et elle se précipita vers la porte au canard jaune.

- Qu'y a-t-il Kaidoh ?

- Il n'y a pas de serviette sensei.

- Je vais t'en chercher une tout de suite.

Elle revint quelques instants plus tard, entrebâilla la porte et tendit la serviette. Malheureusement, elle s'appuya trop fort sur le battant et, déséquilibrée, elle tomba face contre terre sur le carrelage.

Quand elle leva la tête, elle tomba nez à nez avec la face arrière quelque peu dénudée de son élève. Elle se leva tant bien que mal et lui tendit, les yeux fermés, l'objet ayant été la cause sa chute.

Kaidoh, de son côté, avait tout vu dans le miroir et il était maintenant plus rouge qu'une tomate. Il attrapa la serviette et cacha sa virilité.

Chiaki, toujours les yeux fermés, lui dit qu'elle allait lui chercher des vêtements et qu'il pouvait l'attendre dans la pièce dont la porte affichait un oiseau bleu.

Elle alla dans une des pièces et en ressortit avec un jeans noir et une chemise noire ainsi que des boxers blancs et une veste noire en cuir.

- J'espère que ça va t'aller. Mon frère est un poil plus grand que toi.

- Merci sensei, mais j'aurai pu remettre mes vieilles affaires.

- Oh que non ! Keigo m'a gâché mon humeur. On va aller au restaurant Le Paris. Je me change et on part.