Auteur : kaneda26
Origine : X de Clamp, RG Veda
Genre : yaoi.
Couple : bah, si vous lisez, vous le savez…
Disclamer : toujours pas un à moi
Résumé : après la bataille opposant les dragons de la terre aux dragons du ciel, la vie de Subaru a repris son cours jusqu'à sa rencontre avec un étranger.
Note: Merci à Saaeliel et Nekoii de laisser encore des reviews à un flemmard comme moi... Et je suis aussi content de voir que je ralie de nouveaux lecteurs qui savent cliquer sur "submit review", merci à tous!
Donc, enfin, voici la suite!
Titre : Le parfum de l'ange déchu.
Chapitre neuf.
Kujaku ne savait pas vraiment où aller. Mais ce dont il était sûr, c'est que la fatalité le guiderait à coup sûr vers sa destinée.
Et dans cet destinée, il y avait cet homme, l'empereur. Son père.
Il n'avait pas pu haïr sa mère alors même qu'elle tentait de l'étrangler, mais son père, c'était autre chose. La froideur de cet être uniquement préoccupé par les apparences, tellement soucieux d'être irréprochable, cet homme qui avait engrossé sa propre sœur avant de la jeter dans un cachot sordide.
Kujaku ne le haïssait pas pour ce que cet homme lui avait fait. Comment aurait-il pu d'ailleurs ? Tous ces mots étaient vrais, il était un enfant du pêché, une abomination.
Non, Kujaku l'exécrait parce qu'il avait fait souffrir sa mère.
Et puis cette haine disparaissait subitement. Ce n'était pas son père qui avait rendu sa mère folle, c'était lui. Lui, sa seule présence rendait sa mère complètement folle.
Tout aurait été si simple s'il n'avait pas existé.
Puis il secouait la tête. Il avait accompli de bonnes actions. Il avait crée Yama-tô, le sabre de Yasha, pour qu'il puisse entrer en résonance avec Shura-tô. Et il avait aidé à détourner la fatalité.
Peut-être que sa vie avait été un petit peu utile. Sa mort l'avait été, libérant Ashura.
Errant dans les rues, il ne vit pas un homme le regarder avec étonnement. Pas plus qu'il ne surprit le geste du même homme qui se dépêchait de téléphoner sans le perdre des yeux.
La fatalité était en route.
Et alors qu'il s'engageait au hasard dans une ruelle obscure, le visage de Subaru apparut dans sa mémoire.
Bien sûr, le médium était beau et cette beauté triste avait attiré Kujaku. Son côté joueur n'avait pu s'empêcher de se manifester.
Parce qu'il ne savait pas agir autrement. Il ne pouvait que mettre ce masque pour tromper les apparences.
Voyant toujours les yeux étranges, de couleurs différentes, dans son esprit, il s'aperçut que trop tard que des hommes venaient de l'encerclait.
Il eut un petit sourire. Fatalité. Et maintenant, c'était clair, son pouvoir de prophète était définitivement éteint.
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« Pourquoi vous l'avez laissé partir ?
-Il a décidé de se passer de mes services, je n'ai rien à dire. »
Ryu-ô s'énerva franchement.
« Mais c'est pas vrai d'être aussi débile !
-Pardon ? fit Subaru avec colère.
-J'ai dit débile ! Vous allez pas me dire que vous n'êtes pas inquiet ? Ca se voit !
-N'importe quoi !
-Votre côté iceberg est en train de se craqueler ! N'essayez pas de faire comme si vous vous en fichiez !
-Mais je m'en fiche !
-A d'autres ! »
Tout à coup, une carte étoilé jaillit de la poche intérieur du manteau de Subaru coupant court à leur dispute.
« C'est quoi ça ? demanda le policier. »
Subaru ne répondit pas.
Ce fut Fûma qui le fit. Sauf que sa voix, grave et calme, indiqua aux deux hommes que Kamui avait pris le contrôle.
« L'ange s'est fait capturé, énonça Kamui.
-Quoi ? s'écria le policier.
-Son œil va réapparaître. Et ses ailes vont être brisées, continua Kamui. Il n'a toujours pas de souhait.
-Il n'a pas besoin d'en avoir, fit une nouvelle voix. »
Ryu-ô observa la femme qui venait d'entrer sans bruit dans la maison.
« C'est qui cette bombe ? demanda-t-il.
-Hum, je l'aime bien celui-là, dit la femme avec un sourire goguenard.
-Yûko ?
-Bonjour Subaru. »
Le médium et la sorcière se regardèrent longuement.
Etant jeune, Subaru avait déjà eu à faire à elle. Et le côté à la fois énigmatique et exaspérant de la femme l'avait charmé quand il était encore jeune et innocent.
Mais plus maintenant. Parce que Yûko pouvait rire, s'amuser alors qu'elle possédait des pouvoirs qui empêchait la moindre surprise. Subaru peinait, courbant le dos sous ce fardeau qu'était son don de médium et Yûko ne faisait qu'en rire.
« Pourquoi il n'a pas besoin de souhait ? demanda Ryu-ô. J'ai toujours pas compris vos histoires de souhaits mais ça a l'air important, non ?
-Ca l'est, répondit Fûma. »
Il fixait la sorcière avec un petit sourire qui disait qu'il aurait bien envie de se mesurer à elle.
« Il n'est que de passage, répondit Yûko. Voilà pourquoi il n'a pas besoin de souhait.
-De passage ? murmura Subaru. Tu lui as ouvert une porte ? C'est toi qui l'a amené ici ?
-Tout doux, petit. Ce n'est pas moi. C'est la mort qui l'a fait.
-C'était donc ça, fit Subaru. »
Ryu-ô regarda les trois personnes. Elles comprenaient peut-être ce qui se passait mais lui n'en avait pas la moindre idée.
« Vous pourriez expliquer ? Et rapidement, parce qu'on a un mannequin à sauver ! »
Yûko secoua la tête.
« Il n'a pas besoin d'être sauvé tout comme il n'a pas besoin de souhait. Il va mourir ici et passer dans un autre monde.
-Mais qu'est-ce que c'est que c'est conneries ?
-Il est pas un peu obtus ton ami, Subaru ? Surtout venant de la part de quelqu'un qui est aussi déjà mort. »
Subaru et Fûma regardèrent la sorcière avec étonnement.
« Quoi ? Vous n'aviez pas remarqué ? C'était pourtant évident !
-Je ne suis pas mort ! s'écria Ryu-ô. C'est quoi cette gonzesse ? Elle est passée pro dans l'art d'embrouiller les gens ?
-Kujaku l'a reconnu, se rappela Subaru.
-C'est ça, ils viennent du même monde. Sauf que Ryu-ô n'en a pas gardé de souvenirs.
-C'est n'importe quoi…, commença le policier, s'énervant maintenant franchement.
-Regarde-moi, coupa Fûma-Kamui sur un ton sans appel. »
Ryu-ô obéit. Et à nouveau cette image, cet être aux yeux dorés, aux oreilles pointues. Cet personne qu'il ne connaissait pas. Et puis, une autre image, un homme aux cheveux longs, à la stature imposante, aux yeux graves.
« Mais pourquoi…
-Je te rappelle des personnes importantes. Des personnes de ton ancienne vie. »
Ryu-ô réfléchit cinq secondes.
« Bon, très bien. On va laisser de côté ces trucs-là. C'est pas le problème.
-Il encaisse bien les nouvelles, celui-là, fit Yûko.
-Quand y'a quelque chose qui me fait mal à la tête quand j'y pense, j'préfère arrêter. Le problème, c'est que je vous sens pas chauds pour aller aider Kujaku, voilà exactement le problème.
-Il n'a pas besoin d'aide, répéta Yûko.
-C'est votre avis. Pas le mien. Alors j'y vais que vous me suiviez ou non. »
Le silence qui suivit fut éloquent.
« Moi, je viens, fit Fûma finalement. Je viens, je veux m'amuser avec toi ! »
Les yeux du jeune homme pétillaient de joie.
« Je vais avec mon nouvel ami, dit-il.
-Non, ordonna Subaru.
-Je veux y aller ! »
Fûma entoura Ryu-ô de ses bras et posa la tête sur son épaule.
Le policier fut quelque peu rassuré de voir que la personnalité habituelle bien que pas vraiment normale du garçon était réapparue. Il lui ébouriffa les cheveux avec gentillesse.
« Fûma, chuchota Subaru. Quel est ton souhait ? »
Pendant un instant, il n'y eu pas de réponse. Et le médium n'en attendait pas vraiment.
Puis tout à coup, Fûma releva la tête et planta ses yeux bruns dans ceux de Ryu-ô. Sans le quitter du regard, il dit lentement :
« Je veux te protéger… »
Ryu-ô resta un moment sans réaction. Puis il sourit et embrassa le front de Fûma.
« Merci, c'est gentil. »
Il ne savait pas quoi dire d'autre. Apparemment, les souhaits étaient quelque chose de très importants pour ces personnes. Et les paroles de Fûma avaient tout d'une promesse solennelle.
Et puis finalement, n'avait-il pas lui aussi souhaité pouvoir protéger Fûma ?
« Très bien, on y va tous les deux, fit Ryu-ô. »
Il regarda Subaru longuement.
« Alors, vous vous décidez ?
-Tout a déjà été décidé, fit Yûko. »
Subaru baissa la tête et respira lentement.
Une fragrance de violette envahit ses narines. Fallen Angel, le parfum de Kujaku flottait encore dans la pièce.
« Je viens, finit par dire Subaru. »
Il jeta un coup d'œil à Yûko qui lui sourit.
« Tout n'est que fatalité, n'est-ce pas ?
-Tout, répondit-elle. Sauf l'amour, peut-être. »
Le médium sortit trois cartes de son manteau et les transforma en un oiseau à trois têtes.
« C'est quoi ? demanda Ryu-ô.
-Un moyen de repérer notre fugueur. »
Le visage de Subaru était devenu sérieux et calme à la fois. Son choix était fait.
Il regarda Fûma, s'approcha de lui et lui agrippa les épaules.
« J'ai besoin de Kamui, dit-il.
-Je suis Kamui.
-Parfait. Et protèges aussi ce qui t'est cher. »
Kamui eut un sourire.
« Ce n'est pas mon souhait alors…
-Mais tu le partages avec Fûma, coupa Subaru. »
Pour la première fois, Ryu-ô crut voir le regard tendre de Fûma mêlé au sourire ironique de Kamui.
« On y va. Yûko, je suppose que tu ne viens pas, continua le médium.
-Tu supposes bien. Et Subaru, fais cracher son souhait à cet ange !
-T'inquiètes, je le ferais. Je lui donnerais l'envie de vivre.
-Ce ne sera jamais son souhait, dit Kamui. »
Subaru haussa les sourcils.
Peu importait quel souhait Kujaku pourrait trouver, tant que ça le laisse en vie. Peu importait son souhait.
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Les hommes de main avaient dû recevoir des consignes claires. Ils ne lui firent pas le moindre mal, se contentant de lui demander de les suivre.
Bien entendu, le sous-entendu était qu'il n'avait pas le choix.
Mais de toutes façons, avait-il seulement un choix quelque part ? Avec cette fatalité qui le guidait, qui l'emmenait vers cet homme, vers son père.
Installé à l'arrière d'une voiture, entre deux gardes, il regarda le paysage défiler sans y prêter attention.
Les lumières de la ville l'éblouissaient quelque peu. Puis il leva la tête et faillit se mettre à rire.
Son image était affichée sur un immeuble. Avec ces ailes noires qui se détachaient sur le fond blanc. Fallen Angel, ange déchu.
C'était si ironique d'être comparé à un ange, tellement drôle qu'il avait joué le rôle à la perfection.
Mais s'il était clair qu'il était bien déchu, il n'avait jamais été un ange.
La voiture s'arrêta et on le pria de sortir. Il le fit et se rendit compte qu'il avait cette sensation que tout lui était égal désormais.
Son père voudrait le tuer et ça ne lui faisait rien.
Du parking, ils passèrent dans un ascenseur. Et la montée n'en finissait pas.
Encore une fois, le cerveau de Kujaku fit des rapprochements. Sora Koutei, même ici, son père avait un nom qui signifiait empereur du ciel et ici aussi, il essayait de vivre le plus haut possible.
Hauteur, dignité, infaillibilité, perfection. Toutes ces grandes vertus qui avaient amené sa mère dans sa tombe.
Kujaku eut un soupir et se prit à penser qu'il aurait préféré mourir de sa main à elle.
Elle, elle avait le droit de le tuer. Mais elle ne l'avait pas fait. Dans l'autre monde, elle n'avait pas pu terminer son geste. Accentuer juste un peu la pression de ses doigts, il ne manquait pas grand chose pour qu'il ne puisse plus respirer du tout.
Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent. Et il ne vit que l'obscurité.
Il fut poussé en avant et trébucha avant de retrouver son équilibre. La lumière provenant de l'ascenseur disparut alors que les portes se refermaient, emmenant les hommes avec lui.
Donc, son père comptait lui faire face seul.
Et tout à coup, son impassibilité se fissura. Il avait peur.
Comme un enfant, il retrouvait cette ancienne terreur face à cet homme, face à ses mots.
Ses yeux s'étaient à peine habitués à l'obscurité qu'il sentit une main empoigner ses cheveux.
« Abomination ! Tu es un pêché ! »
Et la voix était toujours la même, impérieuse. Les mots toujours aussi violents et vrais.
Kujaku sentit une douleur vive sur son front et se dégagea comme il put, ne se préoccupant pas d'arracher plusieurs mèches de cheveux au passage.
Il pouvait voir maintenant et il se réfugia dans un coin de la pièce qui était en fait un immense salon.
L'ange effleura son front de ses doigts. Et il émit un long cri.
Il était à nouveau marqué. Son troisième œil s'ouvrait lentement sur son front.
La marque de son pêché était là.
Il se laissa tomber lentement sur le sol. La pièce s'éclaira légèrement, une lumière tamisée.
Kujaku leva la tête et regarda l'homme.
« Père, dit-il lentement. Père, pourquoi êtes-vous là ? Dans ce monde ?
-Qui appelles-tu père, espèce de monstre ! »
Kujaku ouvrit la bouche mais aucun mot n'en sortit. Il éclata d'un rire nerveux.
« Vous ne savez même pas qui je suis ! s'écria-t-il en riant. Vous ne savez pas mais vous me haïssez toujours !
-Parce que tu es un péché. »
Kujaku passa la main sur son front, releva sa frange.
« Oui, un péché. Mais le péché de qui ? demanda-t-il, exposant son troisième œil à la vue de son père.
-Abomination, souffla l'empereur. »
Kujaku se releva lentement et eut un sourire doux.
« Le péché de qui ? répéta-t-il. Et pour quel dieu ?
-Le mien, fit une voix. Mon péché.
-Mère ? »
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« Bon sang, freinez ! Frei… Aaah ! C'est pas vrai, on vous a jamais dit où se trouvait les freins ?
-C'est quoi des freins ? demanda Subaru sans sourire.
-Ok, j'ai rien dit. »
Ryu-ô se cramponna du mieux qu'il put. Il jeta un coup d'œil à l'arrière et vit que Fûma ou plutôt Kamui ne semblait absolument pas inquiet par la conduite peu orthodoxe du médium.
Subaru braqua le volant et ils tournèrent brusquement, pénétrant dans un parking.
Finalement, Subaru savait ce qu'était les freins et il en fit bon usage, arrêtant violemment la voiture.
Les trois portières s'ouvrirent en même temps.
« On va où maintenant ? demanda Ryu-ô.
-Hum, j'dirais que la porte où y'a une vingtaine de gars devant me semble une bonne idée.
-Bien, restez à l'arrière. Fuma, heu, Kamui et moi, on s'en occupe.
-Vous me prenez pour qui ? demanda Subaru avec colère. »
Décidément, il devenait de plus en plus faillible aux émotions ces derniers temps.
« Ben vous êtes un médium, commença Ryu-ô.
-Je suis aussi excellent au corps à corps, rétorqua Subaru. »
Le policier sourit.
« J'suis sûr que Kujaku aurait adoré entendre ça, dit-il.
-Taisez-vous. Et vous, restez à l'arrière. C'est vous n'avez pas de pouvoirs. »
Kamui eut son sourire sûr de lui et passa devant Ryu-ô, s'assurant de faire office de bouclier.
La bataille s'engagea. Les hommes étaient armés mais Kamui et Subaru étaient extrêmement efficaces.
Les cartes étoilées volaient, désarmant les adversaires. Kamui lui, ne faisait pas dans la dentelle. Il envoyait ses assaillants au tapis en un seul coup.
Ryu-ô se rendit compte à quel point il était inutile.
Fûma souhaitait le protéger et il en avait les moyens. Mais Ryu-ô ne pouvait absolument pas lui rendre la pareille.
En quelques secondes, il comprit pourquoi les souhaits étaient si importants, si essentiels.
Et il souhaita pouvoir protéger Fûma.
Protéger ce garçon au cœur hanté par des souvenirs, par des morts.
Protéger, revoir ce regard qu'avait Fûma parfois quand il le voyait vraiment.
La porte s'ouvrit et deux hommes armés de mitraillette en sortirent et visèrent Fûma.
Ryu-ô bougea instinctivement. Il ne sut pas ce qu'il fit, il ne comprit par la manière dont il s'y prit. Mais des gerbes d'eau ressemblant étrangement à des dragons s'élevèrent et bloquèrent les salves de balles.
Et le policier sentit un poids dans sa main.
Il tenait un sabre énorme dont la lame semblait un peu émoussée.
Ryu-ô se débarrassa des deux hommes en un coup circulaire.
« Je sais pas ce que c'est, pensa Ryu-ô. Mais en tous cas, c'est cool ! »
Leurs adversaires étaient maintenant tous à terre.
Subaru s'engagea dans le couloir sur lequel donnait la porte.
Fûma rejoignit Ryu-ô en quelques pas.
« Joli couteau, dit-il.
-Merci. »
Ryu-ô sourit.
« Je veux te protéger aussi. »
Kamui se pencha et effleura légèrement les lèvres de Ryu-ô avec les siennes.
« C'est lui que tu veux protéger, pas moi.
-Toi, lui, je m'en fiche. Je crois que j'aime ces deux personnalités.
-Tu ne sais pas qui je suis.
-Hum, je sais que tu tiens assez à Fûma pour partager son souhait. Je crois que ça me suffit. »
Encore une fois, le sourire moqueur et le regard tendre sur le même visage.
Et pour la première fois, Kamui et Fûma parvinrent à s'entendre.
Parce qu'ils aimaient la même personne.
Kamui aimait. L'esprit meurtri de Fûma avait réussi ce petit miracle, faire naître des sentiments dans le cœur de l'ancien chef des dragons de la terre.
« On y va, dit Ryu-ô en hissant son nouveau jouet sur son épaule. »
Et ils rattrapèrent Subaru rapidement.
Kamui leva la tête alors que l'ascenseur les entraînaient vers les hauteurs. Subaru fit de même et son empathie se mit en marche.
Il percevait la douleur, le malaise de Kujaku. Mais le pire était sans doute ce sentiment de résignation qui lui parvenait.
« Oh non, pensa-t-il. Tu vas vivre. Je te jure que tu vas vivre. »
A suivre…
Et voilà une entrée fracassante pour Yûko ! C'était pas prévu qu'elle ait un rôle mais bon, elle est là pour faire quelques révélations utiles.
Sinon, ben j'espère prendre moins de temps pour écrire la suite. Mais j'ai vraiment perdu le rythme… D'habitude, j'ai toujours un chapitre d'avance sur le postage mais là, j'ai rien…
Je sais pas pourquoi je rame tellement sur cette fic, j'abandonne pas (abandonner une histoire ? Jamais !) mais j'espère que vous êtes patients.
Merci pour vos reviews et n'hésitez pas à en laisser des nouvelles !
