Harry Potter et le Prince au Sang Mêl

Harry va bientôt rentrer en 6è année au collège Poudlard. Le mage Voldemort s'est enfin révèle. /! Fic a caractère principal humoristique et sexuel /!

Disclamer : c'est simple, rien ne m'appartient, même pas le nom.

Chapitre 1 : Un dîner terrifiant

Un vent léger soufflait sur les maisons bien alignées de Privet Drive, et les habitants de cette banlieue profitaient du soleil du mois de juillet. C'était une chance pour le jeune Harry Potter, qui résidait au 4 de la rue et qui craignait en ce moment plus que tout au monde que quelqu'un découvre où il était. En effet, si jamais les Dursley apprenaient qu'il utilisait leurs salle de bains sans leurs permission, Harry risquait fort de se retrouver enfermé dans le placard sous l'escalier. Les Dursley étaient la seule famille de Harry et c'était eux qui l'avaient recueilli après la mort de ses parents. Ils traitaient Harry comme un moins que rien mais celui-ci ne s'en offusquait pas. Il connaissait bien la cause de cette aversion : les Dursley détestaient tout ce qui avait attrait à l'imagination ou à la magie, et il se trouve que Harry Potter était un sorcier, alors que eux étaient moldus – sans dons magiques. En tant qu'étudiant à l'école de magie de Poudlard, il n'avait pas le droit de se servir de la magie en dehors de la période scolaire. C'est pourquoi il avait du se trouver un nouveau passe-temps : depuis plusieurs semaines déjà, le jeune garçon s'adonnait aux plaisirs solitaires de la masturbation. Il était précisément entraîné dans une branlette effrénée lorsqu'il entendit un bruit sourd. Il cessa son activité et écouta, l'air anxieux. Le silence de l'été était pesant. Il jeta un rapide coup d'œil autour de lui et sursauta presque lorsqu'il aperçut dans le miroir son propre reflet. Harry était un jeune garçon de 16 ans, un peu maigrichon et peu musculeux, les cheveux d'un noir de jais et les yeux d'un vert brillant. Renonçant momentanément à son activité cochonne, il s'approcha du miroir et s'observa longtemps. Il avait de profondes cernes car il dormait peu, ses nuits toujours hantées par le retour de Voldemort, un mage noir très puissant, celui-là même qui avait tué les parents de Harry. Le sorcier avait ensuite voulu tuer le garçon mais son sort rata et ce fut Voldemort lui-même qui se retrouva réduit à presque rien, alors que Harry ne gardait qu'une mince cicatrice en forme d'éclair sur le front. Malheureusement, il était revenu et la communauté magique en avait pris conscience à la fin de l'année précédente, au cours d'un duel entre les mangemorts –partisans de Voldemort -, et l'Ordre du Phénix – une communauté de sorciers qui lutaient contre lui. Cependant, cette scène avait coûté la mort au parrain de Harry, Sirius Black. Il était, en quelques sortes, mort par sa faute. Mais il oubliait tant bien que mal cette pensée avec le sexe. Songeur, Harry recula du miroir et s'aperçut que son érection retombait. Mais il ne voulait pas arrêter pour autant sa branlette, c'était si bon. Il s'assit donc sur le siège des toilettes comme à son habitude – c'était tellement plus pratique pour faire disparaître le sperme quand celui-ci tombait directement dans la cuvette -, empoigna ses couilles de sa main gauche, et se mit à faire glisser irrégulièrement sa main le long de sa bite tout en se massant les testicules. D'après ce que Harry savait de l'anatomie humaine, il pouvait être fier de son pénis. Rares étaient les adolescents dotés d'une bite aussi grande – 18 cm en érection – et aussi parfaite. Il poussa de petits gémissement : il sentait l'orgasme venir. Le va-et-vient de sa main s'accéléra en même temps que les battements de son cœur. Le plaisir l'envahissait, il voulait aller jusqu'au bout, il ne pouvait plus reculer. Puis, soudain, il éjacula, retenant un cri de plaisir. De petits nuages de sperme blanc volèrent en tous sens, la plupart allant quand même plonger dans la cuvette avec un "plouf" sec. Il resta plusieurs minutes les yeux fermés, savourant son extase, la tête encombrée de pensées cochonnes. Mais un bruit de voiture le ramena à ses pensées : l'Oncle Vernon rentrait du travail. Il remit donc hâtivement ses habits, tira la chasse d'eau, se précipita dans sa chambre et plongea sur son lit. Même si les Dursley faisaient comme si il n'existait pas, il valait mieux ne pas trop attirer l'attention. Harry se redressa et c'est à ce moment qu'il aperçut sur son lit, à coté de lui, quelques cartes et des paquets. Evidemment, c'était son anniversaire ! Comment avait-il pu l'oublier lui-même ? Peut être parce que les Dursley ne prenaient même pas la peine de lui souhaiter. Il prit le premier paquet qui venait de son ami Ron et lu la lettre qui l'accompagnait.

Salut Harry, joyeux anniversaire !

J'imagine que tu sais où je suis ! En tout cas on fait tout pour que tu puisses venir aussi. Hermione est déjà là. Elle n'arrête pas de me harceler en énumérant les fautes qu'elle aurait pu commettre aux buses.

Evidemment nous ne pouvons pas te dire trop de choses dans les lettres, mais j'espère que tu ne nous en voudras pas comme l'année dernière !

Je te joins un cadeau très pratique que Fred et Georges viennent d'expérimenter : Les Lunettes qui Déshabillent. Essaye les, c'est marrant.

En tout cas nous espérons tous te voir bientôt – et en forme !

Ron

Harry ouvrit le paquet et découvrit une paire de lunettes semblable en tout poins à la sienne. Il l'essaya mais ne remarqua aucune différence. Il regarda alors dans le miroir, sur sa penderie et retint un cri de stupeur. Il voyait son corps, nu ; ses testicules pendantes derrière son pénis.

S'arrachant à la contemplation de son propre corps, il reporta son attention sur le deuxième paquet. Il reconnut l'écriture nette de son amie Hermione sur la lettre qui l'accompagnait.

Cher Harry,

Je suis avec Ron tu-sais-où. J'espère que tu ne nous en voudras pas comme l'année précédente – si tu t'ennuies, lis la gazette, elle est très intéressante maintenant ! Nous n'avons pas encore reçu les résultats des BUSES et je suis terriblement anxieuse à ce sujet…

Je voulais aussi te souhaiter un bon anniversaire. A cette occasion je t'ai joint un petit cadeau qui devrait te plaire !

Allez, à bientôt je pense

Hermione

Envahi de curiosité, Harry déballa le second paquet. Son enthousiasme s'atténua néanmoins dès que le carton déchiré révéla "L'Encyclopédie des Objets Magiques". Ca peut toujours servir, pensa t'il, un peu déçus. Il trouva ensuite un troisième paquet accompagné d'une carte, sur laquelle il reconnut l'écriture broussailleuse de Hagrid, le garde chasse de Poudlard.

Bon anniversaire Harry !

J'espère que tes Moldus te traitent correctement, sinon envoie moi un hibou sans hésiter !

Hagrid

PS : d'autres personnes se sont jointes à moi pour t'offrir ce cadeau.

En effet, l'écriture qui suivait était très différente.

Bon anniversaire, et prend garde à toi !

Alastor Maugrey

Joyeux anniversaire ! On se verra bientôt !

Tonks

Bon anniversaire Harry. Ne te fais pas trop de soucis, on viendra.

Lupin

Harry esquissa un sourire. Toutes ces personnes étaient membres de l'Ordre du Phénix, et Harry avait hâte de les retrouver. Leur quartier général se trouvait sûrement toujours au 12, square Grimaud, l'ancienne maison de son parrain. Il devait bientôt les y rejoindre.

Il prit le paquet qui semblait étonnement lourd compte tenu de sa taille qui n'était pas très grande. Il l'ouvrit et un mot en tomba.

Ceci est un Dangeromètre de fabrication artisanale. Plus le mercure monte, plus vous êtes en danger !

Il contempla l'objet un bon moment. En fait il était semblable aux anciens thermomètres moldus, au détail près que ce n'étaient pas des températures mais d'étranges runes sur le côté. A sa grande surprise, il se rendit compte qu'il avait un dernier paquet, accompagné d'une ultime carte qu'il lu, non sans stupeur.

Bonjour Harry ! Bon anniversaire !

Je suis avec Ron et je sais qu'il t'a écrit mais je me suis dit que je pouvais t'offrir quand même quelque chose, après nos aventures dans le département des mystères.

J'espère que ça te plaira

Ginny

Ginny Weasley était la sœur de Ron. Appréhendant ce qu'il allait découvrir, il ouvrit le paquet et y trouva un parfum enchanté.

Harry s'interrogea. C'était la première fois que Ginny lui écrivait. Il était vrai qu'ils avaient combattu ensemble une armée de Mangemorts l'année précédente. Cela crée des liens…

- A table ! hurla la voix perçante de la tante Pétunia au rez-de-chaussée.

Harry dévala donc l'escalier, laissant ses cadeaux sur son lit, et prit le chemin de la cuisine. Mais à peine était-il rentré dans la pièce qu'il poussa un cri d'horreur. Il portait toujours les lunettes magiques, et il voyait en face de lui le corps ridé et vieillissant de la sœur de sa mère.

- Qu'y a-t-il ? demanda celle-ci.

- Rien… rien, balbutia Harry en essayant d'adopter un comportement normal. Il ne pouvait pas enlever ses lunettes sous peine d'éveiller les soupçons.

Il ferma les yeux et les rouvrit sur la poitrine grasse et velue de son oncle, assis en face de lui à la table du dîner.

L'appétit coupé, Harry engloutit son repas sans lever les yeux de son assiette et se précipita en vitesse dans sa chambre en titubant, les yeux fermés. Il changea de lunettes, posa ses cadeaux par terre et s'allongea sur son lit. Il faudrait être prudent avec ces binocles. Pendant un court moment, il imagina ses professeurs à poil, mais il préféra arrêter, écoeuré.

Il ferma les yeux et bascula lentement dans un sommeil agité.
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Je ne sais pas si je vais continuer… J'attends vos reviews ! En tout cas si je continue les prochains chapitres seront sûrement plus longs.