Merci Lil'ly mais je sais tout ça (si tu savais le nombre de conférence qu'on a fait…). C'est vrai que en me relisant je me suis demandé si je devais laisser ça mais j'aimais bien la phrase de Ginny au milieu qui interrompt Hermione et je ne vois pas comment j'aurai fait autrement. Donc je le répète pour tous : un moyen de contraception ne protège pas forcément des MST. (de plus c'est Hermione qui le dit, ce n'est pas moi !). Andro, c'est quand même gentil de continuer a reviewer . Pour la rumeur j'ai mis ça juste pour déconner mais c'est plus probable que certaines rumeurs qui circulent . Pour Ben Laden bah avec un bon sortilège d'amnésie on peut faire croire n'importe quoi (surtout à bush lol). Merci aussi a tous ceux que je n'ai pas cités ! Et pour finir, désolé pour l'attente due à la rentrée et à l'extrême difficulté à écrire du porno !

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Chapitre VIII : Couples au 12, square Grimmaud.

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- Ron, je dois te parler, annonça Hermione.

C'était la fin de l'après-midi et Harry et Ginny étaient partis prendre l'air. Ron et Hermione étaient donc seuls dans la chambre.

- Ca peut attendre, murmura le garçon qui s'assit juste derrière son amie.

- Non, c'est urgent… C'est…

- Ca attendra, murmura Ron en lui caressant les jambes.

Hermione tourna la tête pour regarder Ron dans les yeux.

- S'il te plaît nous devons…

Il la coupa en l'embrassant.

- Plus tard…

Hermione sentait le désir monter en elle tandis que Ron la caressait doucement. Tout devenait trouble dans sa conscience. Chaque parcelle de son corps avait envie de lui, mais une voix dans sa tête lui rappelait sans cesses : "Dis-lui !"

- Ron, protesta Hermione. Je voudrais…

Sa phrase se perdit dans un gémissement de plaisir quand les mains de Ron firent glisser sa robe. Ron était délicat, il savait faire monter le désir. Ses mains caressaient le bassin d'Hermione à travers sa robe qu'il faisait remonter délicatement, centimètre par centimètre. Hermione était toujours dans le trouble. Sa conscience lui disait d'arrêter mais tout son corps avait envie de Ron.

- Ron… souffla t'elle quand celui-ci avait terminé d'enlever sa robe.

- Chut, répondit-il avant de l'embrasser, puis l'embrasser encore tout en l'allongeant.

Couché à ses côtés mais penché sur elle, il lui murmura des mots doux à l'oreille tout en tirant sur sa propre robe qu'il ne tarda pas à enlever.

Ils étaient maintenant tout deux en sous-vêtements sur le lit.

- Ron, protesta une dernière fois Hermione tandis que celui-ci continuait de faire aller ses mains délicatement sur le corps de la jeune fille.

Et ce fut comme si un barrage était submergé en elle. Envahie par le désir, elle embrassa Ron, renonçant à toute discussion. Tout en l'embrassant, elle commença à le caresser à son tour. Elle promena ses mains sur son torse musclé, puis effleura doucement son dos. Ron aussi enlaça sa bien-aimée. Les effluves délicats de celle-ci lui faisaient tourner la tête. Délicatement, il défit la fermeture du soutien-gorge et fit glisser celui-ci par terre, libérant jeune poitrine de la fille. Il continuait de l'embrasser, le goût de ses lèvres était exquis. Puis il glissa, déposant des baisers sur son cou et ses seins. Hermione frémissait de désir et promenait maintenant ses doigts autour du boxer de son petit ami. Elle caressait ses hanches, ses fesses et la bosse qui se formait à travers le tissu. Elle glissa lentement ses mains le long des jambes de son ami, enlevant ainsi le dernier vêtement qui le séparait de la nudité. Ron, extrêmement habile, la caressait aux bons endroits et le corps de sa partenaire tremblait de plaisir sous ses mains. Il décolla sa bouche du nombril d'Hermione pour l'embrasser à nouveau, de plus en plus fougueusement. Leurs corps s'entremêlaient dans cette étreinte charnelle. En promenant ses doigts sur la nuque de la jeune fille, il lui murmura à l'oreille des "je t'aime", des "j'ai envie de toi", des "tu es si belle"… Il lui lécha un instant le lobe de l'oreille. Son souffle chaud sur la joue d'Hermione la rendait ivre.

Puis, délicatement, il entra en elle lui faisant échapper un gémissement de plaisir. Haletant, il recommença un peu plus profondément. Les gémissements d'Hermione s'amplifiaient, tandis qu'elle caressait le corps de son homme. Celui-ci continuait avec une grande maîtrise, allant chaque fois un peu plus loin, déposant de temps en temps un baiser sur les lèvres de sa dulcinée. Le rythme s'accélérait, la respiration des amants devenait saccadée. Hermione caressait doucement les fesses de son ami, submergée par un plaisir croissant. Elle perdait tout repère au fur et à mesure qu'elle approchait de l'extase et son corps se cabrait sous celui de Ron. Celui-ci savourait le moment, les yeux fermés. Il sentait que la fin approchait. Ses gestes étaient maintenant plus brusques et plus rapides. Puis, soudain, une vague de plaisir le submergea et, secoué de spasmes de bonheur, il laissa échapper un fort gémissement. Presque simultanément, une chaleur intense envahit tout le corps de la jeune fille. Elle poussa un cri de plaisir avant de s'affaisser sur le matelas, haletante, satisfaite. Elle se blottit contre le corps de son amant, avant de sombrer doucement dans un sommeil profond, oubliant tout ses soucis. Ron, lui, ne s'endormit pas tout de suite mais resta un moment à contempler le visage serein de son amie, lui caressant les cheveux, avant de la rejoindre à son tour dans un repos salutaire.

Il faisait chaud sur le parc verdoyant du square Grimmaud. A l'ombre d'un grand arbre, sur leur banc favori, Harry et Ginny passaient une après-midi tranquille. Il n'y avait pas une once de vent, la chaleur était pesante.

- Comment as-tu eu le contenu de la prophétie puisqu'elle s'est brisée au ministère ? demanda la jeune fille.

Elle regardait Harry songeusement, celui-ci détournait la tête.

- Dumbledore en avait une copie dans sa pensine, répondit Harry. Il n'aimait pas se souvenir de cette scène qui ravivait le souvenir douloureux de la mort de son parrain.

- Je sais à quoi tu penses, murmura Ginny. Je te comprends…

Harry releva la tête et plongea son regard dans les yeux verts de la jeune fille. Elle dégageait une étrange impression que Harry ne lui avait jamais remarquée.

- Je voudrais le venger…

- Ne fais rien de stupide.

Elle s'approcha de Harry.

- Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit, continua t'elle dans un souffle.

Leurs visages étaient tout près l'un de l'autre maintenant. Elle pouvait sentir son souffle contre sa joue. Les mains de Harry avaient glissé dans le dos de Ginny pour l'enlacer. Leurs lèvres se rapprochaient.

Il y eut un grincement, des bruits de pas qui courent.

- Maman vous appelle, elle dit que le dîner est prêt ! annonça Ron.

Il regarda Harry et Ginny qui s'étaient rapidement défaits de leur position.

- Euh, je vous dérange peut-être ?

- Non, non, répondit Ginny qui se leva pour suivre son frère.

Harry la rejoignit, toujours surpris par ce qui venait d'arriver.

La table croulait sous les mets succulents pour le dîner d'anniversaire. D'après le nombre d'assiettes, les membres de l'Ordre y assisteraient. Harry allait pouvoir les questionner sur cette mystérieuse urgence. A peine cette pensée lui avait-elle traversé l'esprit qu'un grand craquement retentit dans le hall. Habillés de travers, la mine fatiguée, les vêtements sales, les membres de l'Ordre entrèrent dans la cuisine en soupirant. Ils s'assirent tous lourdement autour de la table et après un vague "bon appétit", ils commencèrent à manger dans un silence de plomb. Harry s'assit en face de Lupin. Il avait l'air encore plus fatigué que d'habitude, ce qui lui donnait l'air d'être sur le point de mourir.

- Ca va ? demanda Harry.

- Ouai, répondit sombrement le professeur.

- C'était quoi cette urgence ?

- Meurtre.

- Oh, dit Harry qui ne trouva rien de plus pertinent à répondre.

- C'est horrible, Voldemort est beaucoup plus avancé qu'on ne le pensait. Il gagne du pouvoir chaque jour.

- Il a trouvé un moyen de me tuer ?

- Je n'en suis pas sur. Disons que l'histoire est en train de se répéter, malgré nos efforts.

Ginny et Harry échangèrent un regard intrigué.

- Ne fais rien de stupide, Harry, continua Lupin. Dumbledore fait tout pour ta protection.

- Je sais, répondit Harry, lassé d'entendre toujours les même conseils.

Le repas s'écoulait dans une ambiance sombre. La journée des membres de l'Ordre avait du être épuisante car aucun d'eux ne disait mot. Même Tonks avait renoncé à son habituelle gaieté. Harry trouvait leurs expressions exagérées pour un meurtre. Ils devaient cacher quelque chose. Il s'apprêtait à faire part de cette impression à Ginny mais il s'aperçut qu'elle était déjà en grande conversation à voix basse avec Hermione.

Harry continua donc de manger en silence. Il avait presque fini de manger lorsqu'un grondement retentit dans toute la maison. Une voix forte s'éleva du hall :

- Bonsoir à tous.

Une silhouette élancée avançait vers la porte de la cuisine.

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Lol le suspens à la con ! Rien de grave, je vais essayer d'introduire quelques expliquations. J'ai pas d'idée pour une intrigue fixe, ce sera surement plin de ptit trucs comme ds le T5.

Bon je ne sais pas si je vais continuer parce qu'avec la rentrée et les devoirs qui s'accumulent, d'autant plus que je vais ptet me consacré a autre chose enfin faudra voir !

Sachez que si je continue, le prochain chap sera surement "sur le chemin de traverse" et marquera le début de la relation Harry/Ginny (dont je ne sais pas encore si elle durera ).

Sinon j'espère que la scène du début vous aura, euh, fait réagir parce que c'est mon objectif Dites ce que vous en pensez en review. Si je continue j'essayerai dautres styles comme violence ou réalisme…

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