Titre : Maedow le retour.

Auteurs : Hiei et Séléné.

Genre : Vous verrez bien…

Disclaimer : A leurs créateurs respectifs.

A noter : Séléné joue Séphiroth, Duo ,Cloud et Wufei + correction

Hadès joue Heero, Réléna , Quatre, Trowa + plus mise en forme


Un homme, vêtu d'une longue veste noire et d'un sabre démesuré, cherchait son chemin sur L2, ne sachant pas trop bien où il était mais informé par les pulsions telluriques qu'il était sur une des lunes environnant la Terre qu'il devait rejoindre.

Au même moment, un peu plus loin, à l'aéroport de L2, une jeune femme aux longs cheveux blonds s'apprêtait à embarquer pour la terre sur sa navette privée.

Réléna qui était en visite officielle pour les pourparlers de paix et d'accords commerciaux entre L2 et Terra, retournait auprès des siens annoncer la nouvelle d'un accord favorable.

La jeune femme regarda en arrière, saluant les divers partis de L2 et monta à bord avec un homme désigné pour sa sécurité. Elle désespérait de revoir Heero.

Intrigué par des appels "la navette en direction de la terre va décoller", l'homme au long sabre arriva à l'embarcadère et monta dans cette même navette ou Réléna venait de monter.

Son seul objectif était la Terre, pour l'instant…

Alors que le jeune homme au visage si parfait montait, Réléna ne put que remarquer sont air un peu égaré et elle s'approcha de lui.

Réléna: Bonjour..

L'homme tourna les yeux sur la voix qui l'interpellait, regardent de ses yeux si clairs mais d'une cruauté sans bornes la diplomate.

Cette dernière sourit passivement. la jeune femme portait un jeans et un bête pull, ses cheveux étaient attachés en une tresse.

Réléna : Je suis Réléna Peacecraft, et vous ?

Elle lui tendit la main, calme. L'homme l'attrape par le cou.

Réléna sentait la pression sur son cou, ses mains vinrent saisir les doigts qui l'empêchent de respirer, essayant de les écarter, grimaçant alors que l'air semblait commencer à lui manquer.

Homme :Tu veux mourir ? Je ne donne mon nom qu'à mes victimes ...Séphiroth...est mon nom…

A la demeure des pilotes, un long silence se fit alors que Heero attendait sa réponse sur la personne qui squattait son fauteuil. Quatre ne savait pas du tout comment Heero réagirait, lui qui était si froid…

Cloud se sentait un CHTI PEU mal venu

Enfin, au bout de quelques minutes où on aurait pu sentir l'électricité (1) dans l'air, Wufei repondit la seule chose qu'il avait réussi à trouver.

Wufei : C'est Cloud.

Heero souleva un sourcil, l'air de dire 'je dois sucer le reste de mon pouce ?' mais il ne posa pas plus de questions. Après tout, les autres étaient assez grands pour savoir où ils mettaient les pieds puis, il avait peu de temps pour rédiger son rapport. Il avait une autre course à faire et pas des plus gaies.

Heero:Hum...

Heero attrapa son ordinateur et s'installa dans un coin, sans plus faire attention à Cloud ou ses amis.

Quatre s'était coupé quand sa tasse était tombée, le sang coulait de sa main par petites gouttes. Il regarda Heero. Ce dernier semblait plus que de mauvaise humeur.

Quatre: Tu veux un thé, Heero ?

Heero: Hum

Quatre se leva pour rejoindre la cuisine, en profitant pour aller mettre de l'eau sur sa plaie. Il ouvrit le robinet, pris dans ses pensées. Il regardait le sang couler dans l'évier métallique. L'hémoglobine diluée dans l'eau avait un ton rouge clair alors que celle qui sortait à même la plaie était rouge carmin.

Duo entra dans la cuisine, Quatre ne le remarqua pas. Il ramenait les morceaux de tasse cassée. Duo posa ses yeux sur Quatre.

Duo: Je te soigne ?

Quatre: Non, ça va, je crois que Herro va me tuer de l'avoir ramené.

Duo : Techniquement, c'est pas toi qui a choisi !

Quatre: Tu te rends compte de l'ennui qu'on a ? En plus, si ce qu'il dit est véridique son ennemi devient notre ennemi à tous.

Duo : Oui... Mais j'en suis encore trop retourné pour bien y réfléchir...

Alors que Duo avait saisit la main du petit arabe pour la soigner. Dans la pièce à côté, l'humeur était plus que glacial et Cloud avait de plus en plus l'impression d'être mal venu alors que Heero, sans un regard ou un mot, continuait son rapport sur le pc, écoutant d'une oreil ce qui aurait pu se dire.

Wufei réfléchissait à la situation en retournant dans tous les sens l'arme de Cloud.

Dans ce silence inhabituel, Heero claqua le pc, ce qui fit sursauter Cloud et Wufei.

Heero: Quand t'auras fini de jouer, j'ai une mission, tu le diras aux autres…

Après cette déclaration, Heero plongea à nouveau ses yeux dans ceux du jeune étranger, ce qui mit Cloud encore plus mal à l'aise. Ce jeune homme avait quelque chose dans les yeux qui lui rappelait ceux de sont ennemi juré.

Wufei : Très bien, je vais leur dire...

Heero: Ouais et débarrasse-nous de lui…

Heero s'étendit calmement, craquent sa nuque comme si ce qu'il venait de dire n'avait aucune impact.

Cloud : Il n'y a pas besoin d'être aussi agressif... J'ai à faire aussi...

Heero: Hum

Il sortit de la demeure sans plus de platitudes, ce qui confirmait l'impression que Cloud avait eue de lui d'une personne glaciale, fermée et impolie, ce que grand nombre de gens ressentait au premier abord avec Heero.

Quatre revint avec la tasse de Heero en main. Il avait été soigné par Duo et sa main était soigneusement bandée.

Cloud : Pourrais-tu me rendre mon arme s'il te plaît ?

Quatre: Où est Hee-chan ?

Wufei : Sorti... Il y a une mission... Et il exige le départ de Cloud...

Quatre frissonna. C'était bien du Heero ! Il devait se dire qu'un étranger dans leurs affaires serait dangereux. La guerre avait repris depuis peu et ils devaient à nouveau être prudents. Ils n'avaient eu qu'un an de répis.

Quatre: Il n'est pas en état de sortir !

Quatre avait serré les poings, refaisant saigner sa plaie. Pourquoi Heero n'avait-il pas écouté ce que Cloud avait à dire ? Il n'y avait pas que la guerre entre les colonies et la terre qui risquait de menacer leurs petites vies ! Un autre danger venait de faire surface et il méritait un peu d'attention !

Wufei : Qui ?

Quatre:Cloud, tu crois que j'ai des ordres à donner à Heero ?

Il sourit timidement. Non, il n'avait sûrement ni l'envie, ni la force de donner un ordre à Heero !

Cloud : Tu peux essayer mais je doute qu'il t'écoute... Je peux ravoir mon arme ?

Quatre:Reste, nous t'aiderons.

Cloud : Je dois le tuer... envers et contre tout...

Quatre:On t'aidera déjà à le trouver !

Cloud : Une fois qu'il commencera à se manifester, il ne s'arrêtera pas... Je saurais où il est... Il ressemble à ça..

Il clapa les mains et la silhouette de Séphiroth se forma dans une brume blanche

Wufei : Euh, ça va ?

Quatre : Oui, j'ai des vertiges, c'est mon empathie.

Il avait pâli mais il semblait lutter contre. Il recevait les sentiments si pleins de haine de Cloud envers cet homme qui se dessinait dans cette brume.

Wufei, lui, ne semblait pas du tout impressionné par ce tour de passe-passe.

Cloud : Excuse-moi...

Quatre : C'est rien, ça va passer.

Cloud ne comprenait pas ce que Quatre ressentait. Il pensait que c'était sa magie qui l'effrayait, ce qui pouvait être compréhensible. Apparemment, ils ne semblaient pas connaître la magie, ici.

Cloud : Je ne le ferais plus, désolé...

Dans la navette, Réléna commençait à sentir l'air lui manquer. Elle poussa un petit couinement.

Séphy : Tais-toi, idiote !serre plus fort (2)

Réléna se tut quand la navette décolle enfin. Le mouvement de celle-ci se fit ressentir, manquant de la faire tomber si elle n'avait pas été tenue au cou.

Son garde du corps semblait la chercher, elle espérait être libérée de ce fou.

Le Guerrier la lâcha rudement pour s'assurer de ce qui se passait, un sourire mauvais aux lèvres. Maintenant, il avait tout son temps pour s'échauffer un peu et donner à son sabre de quoi faire un copieux festin.

Réléna s'éloigna soigneusement de lui au plus vite, les larmes aux yeux, rejoignant sa place, la gorge marquée par les mains de ce dernier. Elle se réfugia près de l'homme (3) chargé de sa protection et finissant le voyage à guetter le mystérieux inconnu qui venait de lui épargner la vie. La navette ne tarda pas à entrer dans la basse atmosphère.

Heero arriva à l'aéroport. Il soupira profondément. Dire qu'elle avait réussi à lui forcer la main pour qu'il vienne la chercher juste après sa mission, comme s'il n'avait pas mieux à faire !

Il devait encore chercher Trowa ! Enfin, il était bien coincé ! Il repensait au mec qu'il venait de trouver sur son canapé à la plaque car oui, c'était son canapé et ses amis ! Que foutait ce clodo là ?

Il avait suffit qu'il parte. une journée pour que les autres ramènent un clochard à la baraque. Enfin, tant que son Wing était en sécurité…

Alors que la navette touchait terre, les yeux de Séphiroth s'éclairèrent d'une lueur ravie.

Séphy ; Je crois que c'est l'heure...

Il sortit son sabre dans un bruit de métal. Celui-ci scintilla et s'abattit sur le voisin de Séphiroth, tranchant sa tête qui, allant rouler entre les sièges, déclencha des hurlements et un vent de panique.

Tous essayaient de fuir l'épée et leur bourreau en tentant d'évacuer a navette alors que, minutieusement, Séphiroth entreprenait d'étriper, égorger et tailler en morceaux quiconque lui tombait sous la main.

Heero vit des gens apparaître en hurlant dans l'aéroport, couverts de sang et courant dans tous les sens. Dans le chaos le plus total, Heero chercha du regarda Réléna et fonça en courant à contre-sens dans cette foule hystérique, vers l'appareil.

Heero bouscule les passagers qui arrivent à sortir, traversant le flot humain pour arriver dans la navette quasi vide.

Séphiroth prenait un malin plaisir à trancher les têtes une à une, laissant le sang se déverser en gerbes, telles des fontaines, sur le sol.

Heero entra dans la navette elle-même, découvrant le spectacle, non pas effrayé mais plutôt surpris. Ses yeux prusses se posèrent sur Séphiroth et, pas loin de lui, une Réléna tétanisée.

Il sauta sur Séphiroth, lui envoyant un coup de pied que celui-ci évita grâce à une vitesse presque égale à celle du vent. Heero atterrit entre lui et Réléna, souplement, à la manière d'un félin.

Séphy : Ridicule...

Heero le toise de sa petite taille, de ses yeux bleus, loin d'être effrayé. Il n'avait jamais eu peur de mourir au combat. Il scrutait le regard de son adversaire. Il possédait des yeux verts, semblables à ceux de l'homme croisé dans son appartement plus tôt, avec une pupille fendue comme celle d'un chat.

Heero ne baissait pas les yeux. Réléna, derrière lui, fixait l'homme aussi cruel que beau. Celui-ci souriait, confiant en lui, ce qui ne semblait pourtant pas impressionner le petit Japonais.

Séphy : Tu comptes ainsi la protéger ?

Heero: S'il le faut !

Il avait perdu son fusil dans la bousculade de la foule, il ne pourrait donc compter que sur ses poings mais ça ne posait pas de problèmes, même s'il avait déjà compris avoir affaire à quelque chose d'autre qu'un homme ordinaire.

Séphy : Aucun bouclier n'est efficace... Aucune de vos armes ne m'atteindra... Et elle va mourir...

Heero: Je mourais avant elle alors (4)

Heero restait campé sur ses pieds, défiant l'étranger de ses yeux aussi profonds qu'impénétrables.

Séphy : Nul ne peut m'empêcher d'atteindre mes proies !

Heero souria, confiant en lui. Même s'il ne pouvait sauver Réléna, il ne laisserait pas ce mec agir à sa guise.

Heero: Essayons, j'ai pas peur !

Dune vitesse plus grande encore, il se retrouva derrière lui, juste devant Réléna. Il plongea la main dans le ventre de la jeune femme. Ses pouvoirs le favorisaient...

Heero avait une lueur déterminée dans ses yeux qui s'étaient voilés. Quand le vent du déplacement de son adversaire lui fit bouger les cheveux, il resta un moment, une fraction de seconde, suspendu dans le temps alors que le sang de Réléna giclait de son ventre et son cri de douleur lui parvint.

Il finit par se retourner et plonger sur le dos de Séphiroth, se débattant, arrivant à lui arracher l'épée, qui tomba au sol, de sa main.

Séphy : Ce n'était pas l'épée qui la visait...

Il sort sa main des tripes de la demoiselle et s'écarte d'un bond, ramassant son sabre.

Heero retomba comme un chat sur ses pieds, regardant Réléna en sang (5)

L'assassin lécha le sang sur sa main. Il avait arraché une partie de ses boyaux, la condamnant à mort.

Réléna glissa au sol, les yeux ouverts, le ventre orné d'un trou béant d'où pendouillait le reste de ses boyaux.

Heero regarda Réléna. Il ne pouvait plus rien pour elle. Celle-ci était morte. La rage emplissait le regard de Heero qui se fit encore plus froid. La pupille avait complètement disparu et, déjà, un calcul pour atteindre sa proie se faisait dans son esprit.

Séphy : Inutile... Vous mourrez tous...

Il prit son élan, envoyant le sang de Réléna dans les yeux de son adversaire à qui il ouvrit la joue à l'aide d'un couteau.

Heero: Je mourais sûrement un jour mais pas avant de m'être battu jusqu'à mon dernier souffle !

La plaie se referma immédiatement et il éclata de rire

Heero le fixa : il y avait bien un moyen de détruire ce monstre !

Même s'il n'y arrivait pas, il ne fuirait pas devant lui ni devant quiconque. Il gardait les yeux fixés sur son ennemi, essuyant du revers de sa manche, son visage où le sang de Séphiroth était venu gicler.

Heero: Qui t'es ?

Séphy : Décidément, toujours à vouloir le nom de vos meurtriers... Je suis Séphiroth... Celui qui a été appelé par la Terre...

Heero sourit.

Heero: Et tu crois que la Terre a pas assez de bains de sang ? T'es allumé !

Heero était toujours sur ses gardes mais il ne semblait pas plus choqué que ça par la mort de la jeune femme. Des amis, il en avait vu mourir et elle ne l'était pas vraiment. Il aurait donné sa vie pour sa cause mais pas pour elle.

Il n'en était pas de même pour sa famille car, aujourd'hui, les pilotes étaient sa famille et il ne laisserait personne leur faire du mal !

Séphy : De bains de sang ? La Terre ne veut plus des humains... Ce sera le dernier bain de sang... Les humains disparaîtront...

Heero hésita un moment. L'idée était plus que délicieuse pour quelqu'un comme lui mais il se reprit. Il devait penser aux autres ! Et puis, ce malade se croyait-il vraiment investi de la voix de la Terre ?

Heero: Hum... Alors, tues-moi !

Heero ne se sentait pas plus humain que la plante ou l'animal. Il n'avait rien d'humain ! Même les émotions, il ne les avait pas pas ! Mais il l'était d'après tous ses amis, du moins pour Quatre et Duo.

Il retira sa garde et s'approcha, s'offrant, nu comme comme un enfant, prêt à mourir. Il ne baissait pas les yeux.

Heero: Si tu es si sûr que c'est ce qu'elle veut, hum, vas-y !

Il se fait saisir par Séphiroth à la gorge mais aucune panique ne passe dans ses yeux.

Séphy: Il est ici, n'est-ce pas ? Il m'a suivi jusqu'ici...

Heero ne se débattait pas, les yeux plongés dans les siens avec, pour seule réponse, un sourire. Il ne voyait pas de qui il parlait mais il s'en moquait, qu'il aille au bout de son geste !

Il avait déjà évité de le tuer une fois en passant direct à Réléna. Il jouait avec le feu mais il voulait être sûr, oui, c'était une preuve comme une autre qu'il avait sa place parmi les humains.

Sephy : Oh oui, tu l'as ta satanée place parmi les humains ! Ecoute-moi bien ! Tu vas lui dire que ce sera moi qui lui prendrait la vie à lui aussi...Lui qui aimerait tant être humain... Tsss... La prochaine fois, ce sera la dernière, microbe...

Il le lâcha et lui fit une plaie profonde sur le torse mais non mortelle. Il commençait à y avoir de l'agitation et Cloud risquait de venir. Il relâcha donc sa prise sur Heero qui tomba au sol. Celui-ci n'avait même pas gémit à la coupure, habitué aux tortures de J.

Heero: Je ne lui dirais rien !

Il sourit même, le défiant, le sang giclant pourtant de sa plaie.

Heero: Je ne suis pas ton messager, fais tes messages toi-même !

Heero avait continué, malgré la douleur, à le fixer. Ses yeux bleus étaient d'une grande fierté et d'une grande détermination.

Séphy : J'aime voir souffrir mes proies... J'aime les voir lutter...

Heero: C'est pas mon cas, crétin, je me suis offert !

Séphy : Il n'y a pas qu'une façon de lutter...

Il s'éloignait alors que, sur ses lèvres, un sourire vainqueur se dessina.

Heero: Si elle le voulait vraiment, tu m'aurais tué !

Heero se releva sans difficulté, le sang coulant toujours.

Séphy : La Terre est ma mère... Comme elle est celle de Cloud... Ce petit traître...

Heero comprit enfin de qui il parlait. A croire que lui et les autres avaient le don d'attirer les dingues et les ennuis ! Le fameux clochard était donc l'ennemi de ce fou sanguinaire.

Heero: Elle l'est de tous les êtres vivants sauf de moi !

Heero avança, calme, l'attrapant par le bras une nouvelle fois.

Heero: Tu interprètes peut-être mal ce qu'elle veut !

Séphy : Ce sera bien plus amusant de voir la souffrance de Cloud lorsque je vous tuerai devant lui... Un à un... Et tu n'y échapperas pas sous ce prétexte stupide...

Heero: Je n'ai aucun prétexte !

Heero plaça sa tête sur la lame, sourire aux lèvres

Heero: Je te l'ai dit, je ne lutte pas contre elle ni toi mais tues-moi, ça serait mieux pour toi !

Non, il n'était pas programmé pour ça, il ne le serait jamais et, qui plus est, si l'autre ne le tuait pas, il le retrouverait sur sa route car la seule raison pour laquelle il se battait librement était ses compagnons.

Séphy : Tu commences à m'agacer fameusement...

Heero: Tu jacasses ! Mais sais-tu agir ?

Les sirènes arrivaient au loin alors que l'aéroport était complètement vide. Plus de cris, plus de bruit autre que celui du vent et celui de ces deux hommes face à face.

Séphy : Je n'ai rien à prouver...

Heero: Hum... (7)

Le vent se mit à souffler et l'Argenté se tourna, son attention captée par ce mouvement d'air.

Heero s'était fait son opinion sur le personnage : pas la peine de traîner, il ne le tuerait pas. Pourquoi ? Là était la question…

Heero On se reverra !

Il partit dans l'autre sens, attrapant la moto de Trowa qu'il avait empruntée, pour filer. Non pas à cause de lui mais des flics et de l'agitation.

Séphiroth sortit de l'appareil et avança calmement, écoutant le vent.


(1). Bah oui, on peut pas dire la glace dans l'air mais c'est clair : y avait un froid

(2). Hadès:Héhé, elle va crever !

Séléné :Vive Séphy...

(3). Hadès :Comme par hasard ! Quelle nympho cette Réléna !

(4). Hadès: Putain, Heero laisse-la mourir !

Heero :Ta gueule ! Je cause au beau gosse !

(5). Hadès: Champagne ! Elle est crevée !

Séléné: Sont quand même stupides de le laisser entrer avec un sabre pareil !

Hadès : Mais non, je te jure, c'est normal à cette époque ! Les sabres, c'est rien comparé aux pistolets lol ! Puis, t'as pas vu Treize Khushrenada ? Il se balade toujours avec un sabre à la taille et je crois que Zechs aussi…

(7). Heero: J'ai tout fait pour pas être dans la fic et crever dès le début mais il veut pas…

Hadès: Non, t'as pas le droit, on a d'autres choses de prévues pour toi !

Heero: Pourquoi j'ai la nette impression qu'elles ne me plairont pas ? Oo

Une petite review, ça coûte pas cher et ça nous motive, Kisss