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Disclaimer : Tout est à JKR, lieux, personnages -sauf certains que vous reconnaîtrez aisément- créatures, etc... je ne tire aucun bénéfice de cette histoire, si ce n'est celui du plaisir que je prends à écrire et faire partager ce que j'écris… Bonne lecture.
Chapitre 127
Douche Ecossaise
…
Lorsque Harry répéta sa conversation avec Dame Agnes à ses amis, Hermione lui sauta au cou. Harry et Ron s'étonnèrent d'un tel enthousiasme après les paroles angoissantes de la Dame Grise. Hermione, elle, n'avait voulu entendre que l'assurance du Fantôme de Serdaigle de les aider dans leur projet de la nuit d'Halloween. Puis ils parlèrent des nouvelles qu'Ellie McGregor leur avait rapportées.
La Préfète de Serpentard avait, elle aussi, voulu voir dans l'attitude de Nott ce soir-là, la certitude que, s'il ne les aiderait pas à combattre l'obscurantisme, le jeune homme ne s'opposerait pas à eux en ce qui concernait leur action contre Malefoy et ses projets criminels. C'était, d'après elle, une chance, car Théodore Nott eût été un adversaire autrement plus habile, imprévisible, et dangereux que ne l'était Drago Malefoy.Elle était d'ailleurs quasiment certaine que Nott ne comptait pas Malefoy parmi ses amis, et que Malefoy se défiait de Nott. Puis Ron se demanda si le tout récent orphelin paraîtrait à la table du repas du soir et Harry faillit renoncer à descendre pour souper.
Hermione envoya alors Ron lui chercher chez les Préfets quelque chose qu'elle avait dans sa poche et pria Ginny de se retirer où elle voulait sauf à portée d'oreille –y compris d'oreille à rallonge- d'elle et de Harry.
-Qu'est-ce que j'ai encore fait ? demanda celui-ci comme son amie rapprochait sa chaise de la sienne.
-Eh bien, tu vas me le dire… répondit Hermione. Pourquoi as-tu envoyé Dobby porter ta cape à Remus ?
-Comment le sais-tu ?
Hermione leva les yeux au ciel.
-Harry, je sais toujours tout ! Inutile de me cacher quoi que ce soit !
Harry baissa la tête.
-Parce que je n'avais pas envie de retourner là-bas, murmura-t-il. Il aurait voulu me parler d'Ellie, et moi je ne le voulais pas…
-Pourquoi ? s'étonna Hermione. Que s'est-il encore passé ? C'est à cause de quoi cette fois ? De ce qui est arrivé hier soir ?
-Non, chuchota Harry de mauvaise grâce. Ça ne fera jamais partie de mes meilleurs souvenirs, mais… ça va.
Il attendit quelques secondes, puis comme Hermione se taisait toujours, il se décida :
-On s'est disputé… avec Ellie, je veux dire.
-C'est une évidence, répondit Hermione. A cause de quoi ?
-Je n'en sais rien. On parlait et brusquement on s'est retrouvé à se crier après. Elle ne veut rien entendre…
-Et toi non plus ! conclut Hermione.
Harry secoua la tête.
-Tu ne te rends pas compte, Hermione… Malefoy l'a menacée ce matin. Il m'a dit que si elle m'était précieuse, elle lui était précieuse aussi. Comprends-tu ce que cela veut dire ?
-Parfaitement, riposta Hermione très calme au contraire d'Harry. Ce n'est pas elle qu'il a menacée, c'est toi. Il dit la même chose sur Ron, Ginny ou moi. Crois-tu que cela nous gêne ? et surtout imagines-tu que cela puisse effrayer Ellie ?
-Non, justement ! avoua Harry. J'étais dans la salle commune de Serpentard cet après midi, Hermione. Tous les prétextes sont bons pour se provoquer et chacun n'attend que l'erreur de l'autre pour… Je ne supporterais jamais…
-Ah ! Ah ! fit Hermione en pointant son doigt sur la tempe d'Harry. Tu viens de le dire toi même. Tu n'as pas peur pour Ellie ! Mais pour toi-même !
Il haussa les épaules dans un geste de dénégation.
-De toutes façons, dans quinze jours nous ne serons peut-être même plus là…
Hermione hocha la tête pour l'approuver.
-Peut-être, admit-elle. Mais peut-être pas. Et ces quinze jours là, il faudra bien les vivre, d'une manière ou d'une autre… Si tu tiens à ce que soit de la pire qui soit, libre à toi. C'est dommage que tu ne laisses pas le choix à Ellie. Finalement, je crois que Ginny a raison. Tu n'es qu'un égoïste, Harry. Et cela me fait peur. Parce que si tu fermes ton cœur ainsi que tu le fais, tu ne vas pas tarder à ressembler vraiment à Tom Jedusor.
Harry tressaillit. Il lui lança un coup d'œil mécontent. Elle se leva en soupirant.
-Tu as besoin de moi pour ton mal de tête ? demanda-t-elle.
Il secoua la tête, d'un air bougon.
-Dans ce cas, je vais rejoindre Ron avant qu'il ne mette mon bureau sens dessus dessous. Franchement, Harry, je me demande bien pourquoi nous nous mettons en quatre pour toi, qui refuses de faire le moindre effort !
Elle tourna les talons et quitta la salle commune des Gryffondor. Ginny se précipita aussitôt auprès d'Harry.
-Mais on t'aime quand même, lui chuchota-t-elle avant de le forcer à se lever pour l'accompagner dans la Grande Salle.
…
La plupart des élèves avait déjà pris place à leur table. La nouvelle de la mort de Lucius Malefoy, ainsi que celle de celui qu'on appelait encore, des Quatrième aux Septième Année, le Professeur Maugrey, était en train de se répandre. Chacun venait chercher une confirmation de cette information, ainsi que satisfaire leur curiosité. Tous les visages étaient tournés, ostensiblement ou non vers la table des Serpentard. Drago Malefoy n'avait pas encore fait son apparition et les supputations allaient bon train sur son éventuelle présence lors du repas.
-Je te dis qu'il ne viendra pas !
-Et moi je te dis qu'il viendra !
Dean et Seamus se disputaient à la table des Gryffondor. Neville essayait de donner son avis, sans pouvoir couper la parole à ses deux camardes qui faisaient assaut d'arguments en faveur de leur conviction profonde.
Quelques minutes plus tard, il semblait que Seamus, partisan du « Viendra pas », eût eu raison. Tout le monde était à sa table. A celle des Serpentard, il ne manquait que Malefoy et sa cour. Dean voyait là une preuve qu'il avait raison :
-Il ne va tout de même pas faire jeûner tous ses courtisans, parce que lui a l'appétit coupé ! Il va arriver… d'une seconde à l'autre. Histoire de faire une entrée remarquée.
Hermione abonda dans son sens et le jeune homme redressa la tête avec fierté. Harry ne put s'empêcher d'esquisser un sourire. Son attention toutefois fut attirée par le mouvement collectif de la salle qui se tournait vers la porte. Dean gratifia Seamus d'un « Qu'est-ce que j'avais dit ! » triomphant et se mit à observer les retardataires volontaires.
…
Malefoy marchait devant, droit et très digne. Les autres le suivaient, le visage compassé. Ils traversèrent la salle dans un silence bruissant d'un murmure interrogatif. Il s'assit et ses camarades l'imitèrent. Il jeta un regard froid à Nott qui était déjà à table. Ses amis en firent autant, avec plus d'acrimonie encore pour certains. Puis il tourna la tête vers McGregor et chercha à la défier du regard. Elle lui tourna les épaules et il dut revenir à l'observation recueillie de son assiette. Il ne jeta pas un seul coup d'œil vers la table des professeurs.
-Je me serais attendu à plus de provocation, grimaça Seamus. Il a quand même achevé le vieux Fol Œil, cette ordure de Lucius…
-Oui, mais on pourrait lui répondre que ce vieux Fol-Œil a tout aussi achevé son ordure de Père… rétorqua Dean en imitant l'accent de Malefoy.
Neville se tordait la tête tout en mangeant, pour commenter les faits et gestes des Serpentard.
Hermione toussota plusieurs fois durant le repas, pour faire taire les réflexions peu respectueuses pour les défunts.
-Il est gonflé quand même ! estima le jeune Londubat, la bouche pleine et la tête tournée vers la table tendue de vert. C'est tout juste s'il appréciait que Nott et Crabbe montrent leur affliction et lui il oblige tout le monde à porter le deuil de son père.
Et pour confirmer ce que Neville venait d'affirmer, Malefoy foudroya du regard un Première Année qui riait à une quelconque plaisanterie que venait manifestement de faire Ellie.
-Je crois bien que c'est justement ce que McGregor vient de lui faire remarquer… fit Seamus en riant.
-Elle ferait bien de la mettre en sourdine, prévint Ron. Quand Malefoy a cet air-là, ça n'augure rien de bon…
- Occupe-toi de toi-même, Ron ! lui jeta Ginny. Ellie sait ce qu'elle fait. Elle connaît Malefoy autant, sinon mieux, que toi ! Et il ne lui fait pas peur…
- Elle n'a pas froid aux yeux, c'est sûr… soupira Seamus. Elle est terrible cette fille.
Il se pencha par-dessus la table, et interpella Ginny.
- Dis-moi, toi qui as l'air d'être son amie, qu'est-ce qui va pas chez elle ?
Il y eut un moment de flottement autour de la table. Neville se tourna brusquement vers Finnigan. Hermione leva les yeux par-dessus sa fourchette tandis que Ron restait le bras suspendu au travers de la table un morceau de rosbif tremblant au bout de la sienne. Harry fronça les sourcils.
- Pardon ? fit Ginny.
Dean s'effaça prudemment. Seamus reprit, comme s'il n'avait pas remarqué l'émotion qu'il venait pourtant de susciter.
- Elle est mignonne. Elle est intelligente.Elle est Préfète et plutôt populaire, si j'en juge par la troupe qu'elle traîne toujours derrière elle. Elle doit être sympathique puisqu'elle est ta copine… Alors je me demande pourquoi elle n'a pas de petit ami. Il doit sûrement y avoir quelque chose qui cloche chez elle !
Tous les yeux se portèrent sur Ginny. Elle posa ses couverts de chaque côté de son assiette.
- Je ne pense pas que cela vienne d'elle, Seamus… répondit-elle avec un sourire forcé.
-Et de quoi alors ?
- Je dirais que cela vient plutôt des gars qui s'intéressent à elle…
Harry rougit malgré lui. Heureusement, personne ne faisait attention à lui. Tous attendaient à présent la riposte de Seamus.
- Tu dis ça pour moi, Ginny ?
Les garçons ricanèrent. Hermione retenait un sourire avec difficulté.
- J'ignorais que tu pouvais t'intéresser à elle, Seamus…
Harry cessa de rire tout net. Hermione toussota. Seamus le prit de haut.
- Et pourquoi je ne m'intéresserais pas à elle ? fit-il avec défi.
- Parce qu'elle t'a déjà traité de crétin cet après midi…
Harry ne pouvait s'empêcher de ressentir une satisfaction sans borne à l'évocation de cet épisode.Son rosbif lui sembla soudain la meilleure des choses au monde, après le visage déconfit de Finnigan.
- Ah ! fit celui-ci, dépité. Si toi aussi tu t'y mets, Harry…
Seamus retourna à son assiette. Harry n'osa pas lever les yeux vers Ginny ou Hermione. Il n'osait regarder nulle autre part ailleurs non plus.
…
Le repas se termina dans une ambiance un peu moins grave qu'il n'avait commencé. L'animation à la table des Gryffondor gagna les autres tables. Et bientôt, si la mort de Lucius Malefoy restait encore dans les esprits, elle n'était plus le centre des conversations. Drago Malefoy qui avait cru faire impression sur ses camarades prit comme un affront personnel ce désintérêt irrespectueux.Il quitta la table des Serpentard avant la fin du repas, dans l'indifférence quasi générale. Ses fidèles hésitèrent à laisser leurs assiettes à demi pleines, mais se hâtèrent de le suivre lorsque Crabbe et Goyle se levèrent eux-mêmes, à regrets et la bouche encore pleine.
…
Harry vit McGregor qui laissait sa place. Elle allait s'avancer vers la table des Gryffondor pour leur lancer une remarque piquante sur l'entrée et la sortie de Malefoy. Elle serait drôle et tout le monde louerait son esprit. Lui seul savait que si elle plaisantait ainsi sur Drago, c'était parce qu'il faisait partie des choses dont elle s'empressait de rire avant d'avoir à en pleurer. Il se leva sans même réfléchir à ce qu'il faisait.
- Je vais finir par croire que je fais réellement peur… dit la voix de McGregor dans son dos.
- Tu te surestimes, McGregor, répondit Harry.
- A moi, tu ne me fais pas peur, assura Seamus.
Elle pencha la tête sur le côté comme pour le jauger.
- Finnigan ? fit-elle dans un sourire. Tu veux me faire plaisir ? Disparaît !
Dean donna un coup de coude à son ami.
-J'ai bien le droit d'essayer ! s'exclama Seamus.
Ellie leva les yeux au ciel. Hermione secoua la tête. Ginny passait derrière le jeune homme pour rejoindre sa camarade. Elle lui donna une tape sur la tête pour l'aider à s'enfoncer dans le crâne qu'il ne faisait pas le poids contre Ellie McGregor. La jeune fille ne faisait déjà plus attention à lui. Elle se tournait vers Hermione.
-Vous avez vu ? Qu'est-ce que je vous avais dit : il voudrait faire porter à toute l'école le deuil de son père. Je ne suis pas du genre à me réjouir de la mort de quiconque, mais… n'avions-nous pas une victoire à fêter ce soir ?
-Ellie ! s'indigna Hermione.
- Une victoire au Quidditch ! se défendit McGregor. Oh ! pas une vraie fête ! Une petite réunion entre amis… comme d'habitude ! On parlerait de choses et d'autres, du temps qu'il fait, de Quidditch et encore de Quidditch et absolument pas de Lucius Malefoy ni de son crétin de fils ! J'en ai soupé des Malefoy ! et on en remangera encore demain au petit déjeuner quand la Gazette nous tombera dans les assiettes comme tous les matins !
- Elle a raison ! S'enthousiasma Ginny. Il y a longtemps qu'on ne s'est pas réunis dans la salle des Quatre Maisons pour ne rien faire d'autre qu'être entre nous…
…
Hermione hésitait. Neville se joignit aux deux jeunes filles dans leur prière.
-Vous faites comme vous voulez, céda Hermione. Mais pas plus de bruit que convenable. N'oubliez pas que je suis Préfète en Chef et que j'ai le droit de faire fermer la salle avant l'heure si le règlement n'est pas respecté…
- Comment pourrait-on l'oublier ! Geignit Seamus aigrement.
-Merci Hermione ! s'exclama Ginny. Neville, va chercher Luna !
- Moi je rameute les filles… décida McGregor.
-Hep là ! la rappela Hermione. Vous allez en profiter pour faire passer le mot : demain, à l'heure de la Gazette, le premier qui se lève pour faire une lecture à haute voix de quoi que ce soit, je lui colle six mois de retenue !
McGregor parut hésiter. Elle fit une grimace et feignit de céder à regrets : « Rabat-joie ! » fit-elle alors qu'elle courrait derrière Ginny.
Neville, Dean et Seamus la suivirent. Hermione se leva.
- Viens Ron, allons veiller à ce que cette soirée se déroule sous les meilleurs auspices.
-Oui, Trésor, répondit Ron dans une grimace. Le premier qui parle de Lucius Malefoy sera à l'amende ! Tu viens Harry ?
Celui-ci soupira :
-Pas longtemps, je suis fatigué… Et sincèrement, l'idée que demain il faudra à nouveau remettre tout ça sur le tapis quand la Gazette atterrira sur la table… Ce serait beaucoup demander d'avoir un week-end tranquille de temps en temps ?
Ron se mit à rire. Hermione lui tendit la main dans un sourire. Il la prit et s'aperçut qu'elle tenait discrètement un flacon de potion contre les maux de tête.
- Je savais que tu en aurais besoin... murmura-t-elle. Je suis Préfète en Chef, ne l'oublie pas…
-On ne risque pas… lui glissa Ron à l'oreille.
Il effleura de la main la hanche de la jeune fille. Elle le menaça du doigt. Harry les suivit jusque dans la salle des Quatre Maisons.
…
Il s'installa près de la cheminée. Les rires et les voix faisaient un brouhaha bienvenu dans sa tête. Il ferma les yeux et les évènements de la journée défilèrent en accéléré dans son esprit. Des jardins de Dame Agnes à la cabane d'Hagrid, il revécut tout ce qui était arrivé. Il lui semblait que son aventure de la veille n'était jamais survenue. Ou bien il y avait très longtemps et à quelqu'un d'autre. C'était un souvenir lointain qui ne lui faisait presque plus mal. Avec un peu de chance et une bonne nuit de sommeil, il en irait de même pour ce qu'il voulait oublier de cette journée. Colin Crivey vint le tirer de ses réflexions. Il agitait sous son nez les photos du match de l'après midi. Et il songea alors que ce match était justement une des choses qu'il préférait enfouir au fond de sa mémoire…
…
-Ho ! Voici un capitaine dans l'expression de la confiance absolue en son équipe !
Ellie McGregor venait de subtiliser d'un geste preste la photo qu'Harry tenait entre ses mains. Il était justement en train de se demander quand les Crivey avaient bien pu prendre cette fichue photo. Il n'avait aucun souvenir de les avoir vu s'approcher de lui… sans doute parce qu'il avait les mains devant les yeux, pour ne pas voir Joanna se saisir du Vif alors que le score était sur le point de tomber en négatif.
-Oui ! s'exclama Colin, radieux. Elle est superbe celle-là !
Harry reprit la photo des mains de McGregor, ironique.
-Laisse-la-moi, Colin… dit-il. Je la ferai passer parmi les joueurs avant le prochain entraînement et je n'aurai besoin de faire aucun commentaire !
McGregor se mit à rire et Colin partit montrer ses œuvres aux Phénix et aux Sphinx qui l'accueillirent avec enthousiasme. Ellie s'assit à la place qu'il venait de quitter et le suivit du regard :
-Il a du succès avec ses photos, fit-elle remarquer songeuse. Tu crois qu'on pourrait le mettre dans le coup ? Je sais que certains des joueurs achètent ses photos pour les envoyer à leurs parents. Il ne les vend que le prix du papier et de la potion de développement, mais il suffirait de quelques noises de plus… Vu le nombre de joueurs et de matches…
Harry renifla, goguenard.
-Je croyais que les Coquettes renflouaient le Trésor de Guerre, se moqua-t-il.
-Ce qui rapporte le plus, ce sont les parfums de Neville, admit-elle. Mais il faut du temps pour élaborer un parfum… et nous avons besoin de renouveler le stock de poudre de Perlimpinpin…
-Tu ne t'arrêtes donc jamais, McGregor ? fit Harry, à la fois admiratif et exaspéré.
-Il faut bien que quelqu'un s'occupe de l'Intendance ! répondit-elle avec évidence.
Harry se tut. Il la revit dans la salle de Serpentard, debout près de la cheminée à côté de Théodore Nott. Que dirait-elle si elle savait qu'il n'avait pu s'empêcher de l'espionner ? Le malaise en lui fut visible sur son visage. Elle sourit du coin de l'œil.
-Tu es un vrai bonnet de nuit, Potter… Tu le sais ça ?
-Je n'ai pas tellement le cœur à m'amuser… grogna Harry.
-Et tu crois que je l'ai, moi ?
Elle tourna la tête vers la salle et les groupes qui s'étaient formés. Les discussions ne languissaient pas et il se trouvait toujours quelqu'un pour relancer les conversations. Les photos des Colin circulaient, causant maints commentaires et controverses. Ellie McGregor reporta son attention et son regard de bronze sur Harry.
-On devrait pourtant trouver un terrain d'entente, non ? dit-elle doucement. Si nous arrivons à nous entendre dans la peine, ou dans la guerre, pourquoi n'y arriverions-nous pas… pour le reste ?
Harry haussa les épaules.
-Je suis désolé, murmura-t-il. Tu as raison, c'était une dispute idiote. On oublie tout ?
-Non…
Elle plongeait son regard dans le sien. Harry ressentit une fois de plus la chair de poule remonter le long de ses poignets et un frisson chatouilla sa nuque.
-Ce n'est pas parce que tu as une façon très déroutante de dire les choses qu'elles ne doivent pas être entendues… continua-t-elle. Et je n'ai pas l'intention non plus de te laisser oublier ce que j'ai dit moi-même.
-Cela veut-il dire que tu es toujours fâchée ?
Elle sourit et Harry eut la désagréable impression qu'elle se moquait de lui… davantage encore que d'ordinaire.
-Si j'étais vraiment fâchée contre toi, Potter, lui souffla-t-elle en confidence, crois-moi, tu ne poserais pas la question…
Harry retint sa respiration. Il fut presque reconnaissant à Seamus de se précipiter vers McGregor.
- Viens raconter la tête qu'ont fait Crabbe et Goyle quand Malefoy est revenu dans votre salle commune, Ellie ! s'écria-t-il. Lavande et Parvati ne veulent pas me croire !
-La paix, Finnigan ! gronda McGregor.
- S'il te plait ! pria Seamus.
- On n'a pas le droit de parler de Malefoy…
- Je ne te demande pas de parler de Malefoy, seulement de Crabbe et Goyle. J'adore quand tu imites ces deux Trolls…
-Dans ce cas… murmura McGregor.
Elle fit signe à Seamus qu'elle le suivait dans un instant. Elle se leva et se tint devant Harry.
-Inutile de te demander de te joindre à nous, je suppose, ironisa-t-elle.
-Le bonnet de nuit va monter retrouver sa place sur son oreiller, répliqua Harry.
-C'est très sage, approuva McGregor.
Elle le dévisagea quelques secondes puis reprit :
-Tu m'inquiètes, Potter. Tu n'as pas bonne mine en ce moment.
Elle baissa le ton.
-Je suis sûre que Ginny te ferait crédit d'un de ses sortilèges…
-Je me fiche de l'air que j'ai… riposta Harry qui hésitait entre le prendre de haut et se mettre à rire.
- Oui, mais tu pourrais penser à ceux qui regardent ta figure maussade…
-Fiche le camp, McGregor, ton public te réclame…
Ellie se détourna dans un éclat de rire.
-Bonne nuit, Potter… Elle porte conseil à ce qu'on dit. Espérons que demain tu seras en de meilleures dispositions…
Elle s'éloigna. Seamus vint au devant d'elle. Harry ricana pour lui-même. Si ce crétin s'imaginait avoir une quelconque chance avec elle…
Il fit le tour de la salle pour gagner la porte. Il trouva Ron sur son chemin. Il avait l'air fort satisfait, un sourire radieux sur son visage. Harry ne résista pas à la tentation de lui demander les raisons d'un tel contentement.
-Je viens d'entendre Hermione dire à Goldstein qu'elle renonçait à son débat public sur les Elfes pour l'après midi d'Halloween…
-C'est évident, répondit Harry. Comment voudrais-tu qu'elle soit à la tribune et dans les souterrains au même moment !
Sur ces entrefaites Hermione arriva et se glissa entre les deux jeunes gens.
-Vous parliez de quoi ? demanda-t-elle avec un sourire.
Ron prit un air coupable qui fit rire Harry.
- De tes projets avortés pour l'après midi d'Halloween… fit ce dernier.
-Mais Anthony a eu la très bonne idée de reconduire le Concours de Sorcellerie pour ce jour-là… et vous allez me faire le plaisir tous les deux de le soutenir dans son intention…
-Oh non, Hony ! l'interrompit Ron en grimaçant. Je refuse totalement de participer à ce concours ridicule !
-Qui te le demande ? Au contraire, toi, moi et Harry nous devons nous faire aussi discrets que possible cet après midi là. Il ne faut pas qu'on remarque notre absence trop tôt, pour ne donner l'alerte à personne.
-Mais… fit Ron, un peu perdu.
-Je veux juste que vous fassiez tout votre possible pour attirer le plus d'élèves à cette démonstration. Les Préfets auront la partie plus facile si tous les jeunes gens sont rassemblés dans un même lieu, quand il faudra les conduire à l'abri…
-Tu crois que cela sera nécessaire quand même ? déglutit Ron.
-Il vaut mieux prévenir que guérir, estima Hermione. Sans compter que moins il y aura de badauds dans les couloirs, mieux cela vaudra pour nous…
- On devra quand même traverser les quartiers des Serpentard… rappela Harry.
-Oui, et Rusard traînera sans doute dans le couloir du rez-de-chaussée. Il n'aime pas les rassemblement de jeunesse… grimaça Ron.
Hermione hocha la tête. Elle soupira.
- Je sais ! Je sais ! J'ai déjà vu cela avec Ellie. Elle pense pouvoir organiser une opération de diversionpour nous permettre de nous rendre dans les cachots incognito… On en discutera demain, voulez-vous. On avait dit : pas de conciliabules de guerre ce soir !
-C'est toi qui a décrété cela ! rappela Ron. Tu es à l'amende, Hony. Ou alors tu me donnes un baiser pour que j'oublie…
Il tendit ses lèvres à Hermione qui le repoussa en riant.
-Vaine tentative de corruption, Ron, releva Harry.
-Qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour obtenir le moindre baiser… soupira le jeune Weasley.
Hermione leva les yeux au ciel.
-Vous me feriez croire que je suis un monstre de froideur… se moqua-t-elle.
Elle se tourna tout à coup vers Harry.
- Ah ! fit-elle comme si elle se souvenait brusquement de quelque chose. Ça s'est arrangé avec Ellie ?
Pris de cours, Harry ne put que confirmer. Il crut que c'en serait fini des questions indiscrètes lorsque Ron revint à la charge.
-Est-ce que tu considères qu'elle fait partie de notre cercle ?
-Quoi ?
-Toi, moi, Hony, Ginny et Neville… énuméra Ron. Tu l'as emmenée à notre conseil privé hier soir. Alors je me demande simplement si elle a réussi à te convaincre de la faire entrer dans notre cercle d'initiés… Tu vois ce que je veux dire… ?
Il leva les yeux vers la cicatrice d'Harry d'un air entendu. Harry porta sa main à son front, dans un réflexe.
- Oh ! fit-il. Eh bien, plus ou moins…
-Oui, mais plutôt plus que moins ou plutôt moins que plus… ? insista Ron. Parce que cette fille… Je ne veux pas en dire du mal, comprenez-moi bien… mais cette fille, elle est plutôt du genre à vouloir plus que moins… Enfin, ce que j'en dis moi… C'est toi qui décides, Harry.
Il regardait son ami d'un air interrogateur, attendant une réponse qu'Harry était bien incapable de lui donner.
-Laisse-le tranquille, Ron… intervint enfin Hermione. Tu ne vois pas qu'Harry est fatigué de toutes ces questions.
Harry sauta sur l'occasion qui lui était donnée de se retirer.
-Oui ! approuva-t-il. Je monte au dortoir. A demain.
-A demain, dit Ron, un peu perplexe.
-Demain est un autre jour, acquiesça Hermione. N'oublie pas ma potion, si tu veux te reposer. Et si tu as encore des maux de tête demain, tu iras voir Madame Pomfresh, n'est-ce pas…
Harry promit vaguement et il quitta la pièce, un peu contrarié de tous ces gens qui se souciaient de ses intérêts. A la porte, il se retourna pour jeter un dernier regard sur le groupe des admirateurs de McGregor qui buvaient ses paroles. Seamus n'était pas le moins intéressé.Il applaudissait chaque fois qu'elle ouvrait la bouche. Elle eut un sourire espiègle et Harry se prit à sourire lui-même dans l'attente de ce qu'elle allait faire. Elle tendit vivement la main vers le chapeau de Seamus et le lui enfonça sur le visage. Il devina qu'elle s'exclamait : « La paix ! Finnigan ! » Ses camarades se mirent à rire. Seamus retira son chapeau et s'efforça de trouver drôle la plaisanterie.
Harry passa dans le couloir. Il croisa Rusard, l'air plus chafouin que jamais, qui surveillait la sortie de la salle des Quatre Maisons. Le vieux concierge ricana.
-Alors Potter ? Vous n'êtes pas passé au travers des mailles du filet, cette fois… Vous vous êtes bel et bien fait prendre… Qu'est-ce qu'il vous a donné comme punition, le Professeur Rogue ?
Harry fut sur le point de lui répondre que cela ne le concernait pas. Il se mordit les lèvres.
-Récurer les fonds de chaudrons de la classe de Potion, Monsieur Rusard… répondit-il très aimablement.
Rusard eut l'air déçu.
-Peuh ! Ce n'est pas une punition, ça…
…
Harry se mordit les lèvres à nouveau et un peu plus fort, pour réprimer un sourire cette fois. Quelques mois auparavant, récurer les chaudrons de la classe de Rogue lui aurait paru le châtiment le plus terrible qu'on eût pu lui infliger – la plume sanglante d'Ombrage y compris. A présent, il était bien d'accord avec le concierge. Le fait qu'il dût les nettoyer en compagnie d'Ellen n'était pas sans doute pas étranger à cet état d'esprit, surtout depuis qu'elle lui avait assuré qu'elle n'était pas fâchée contre lui.
Il salua Rusard avec un entrain qui inquiéta le concierge. Qu'est-ce que ces vauriens manigançaient encore ? Il l'avait dit depuis le début que cette salle n'amènerait que des ennuis… Il se passait des choses étranges dans l'école... et cette magie qu'il détestait et enviait en même temps, cette magie dont il avait appris à reconnaître les fluctuations, qu'il ressentait sans appréhender les pouvoirs… cette magie qui courrait les couloirs d'ordinaire et qui s'amenuisait par moment… Tous ces évènements bizarres depuis que Potter était arrivé à Poudlard… Et l'autre là, qui le regardait de haut depuis qu'il avait appris qu'il était un cracmol… Du jour au lendemain, il avait cessé de lui montrer le respect qu'on lui devait… Mais à présent, il ne pourrait plus se cacher derrière son renégat de Père… Oui, lui aussi il l'avait à l'œil. Il lui avait collé sa bien-aimée Miss Teigne aux basques. Il lui ferait payer les brimades et le mépris affiché. Oh ! Il pouvait encore dédaigner son autorité… lui, il avait le pouvoir de le faire renvoyer… Quant à Potter, il n'aurait peut-être même pas à se donner ce mal. Il eut un sourire pervers tandis qu'Harry s'éloignait avec désinvolture.
-Votre père aussi se croyait intouchable, Potter… Et tout le monde sait comment il a fini…
Une seconde, le pas du jeune homme hésita. Mais si Rusard espérait qu'il se retournât vers lui, il en fut pour ses frais. Harry continua son chemin vers le Grand Escalier. Dès qu'il fut hors de vue du concierge, il se mit à courir, sautant les marches quatre à quatre. Elle était loin la quiétude ressentie le soir du retour d'Ellen et l'idée que Malefoy devait éprouver à ce moment même les affres qu'il avait endurés lors de la mort de Sirius ne le consola pas le moins du monde.
…
La colère fit revenir son mal de tête qui commençait pourtant à s'estomper tout seul. Il entra dans le passage secret qui menait au portrait de la Grosse Dame. Pattenrond l'accueillit en miaulant fortement. Il sauta aux jambes du jeune homme. Le chat manifestait son impatience d'une manière fort bruyante et Imogen se déclara très heureuse de voir enfin arriver quelqu'un en mesure de lui donner le mot de passe, afin de faire taire les braillements de ce stupide animal. Elle fit toutefois remarquer à Harry que le chat d'Hermione avait un peu gratté le cadre de son portrait, en bas à gauche. Harry promit de demander à la Préfète en Chef de remédier à cela dès le lendemain. La Grosse Dame le gratifia d'un sourire charmeur plein de reconnaissance et déplaça son portrait. Pattenrond se faufila vivement, toujours feulant. Il traversa la pièce commune, dans un grondement sourd qui fit lever les têtes des quelques Gryffondor qui se trouvaient là. Harry le suivit jusqu'à son dortoir. Il vit le chat sauter sur la poignée de la porte qui s'ouvrit à la volée sous le poids du Kneazle enragé.
…
La fenêtre de la chambrée était ouverte et un hibou grand-duc cligna de ses yeux jaunes dans l'ombre de la nuit. Le froid glaça Harry. Il cria Lumos et la lumière jaillit de la baguette qu'il avait dans sa poche. Il vit la porte de son armoire grand ouverte. Ses affaires gisaient au sol. Il y eut un cri perçant, un grognement aigu de Pattenrond. Deux corps tombèrent au sol. Le hibou grand-duc hulula et ouvrit ses ailes. Le chat glapit de douleur et de rage. Harry tendit sa baguette. Il hurla Stupéfix ! dans l'obscurité. Pattenrond se releva. Il cracha avant de s'élancer à nouveau. Une main se tendit pour le serrer à la gorge.
-Pattenrond ! NON !
Harry fit un geste. Pattenrond vola sur le lit de Ron. Un nouveau Stupéfix sortit de la bouche du jeune Potter. Des bruits montèrent de l'escalier. Des voix accouraient. Le Préfet de Cinquième Année se précipita suivi de quelques uns de ses camarades. Jezebel Dawson repoussa tout le monde et courut à Harry. Pâle, le jeune homme tendait encore sa baguette vers le sol devant la fenêtre vide.
-Qu'est-ce que tu as encore fait, Potter ? demanda le Préfet.
-Il était là… murmura Harry d'une voix blanche.
Les vêtements gisaient au sol. Les livres et les parchemins étaient sens dessus dessous. Pattenrond pantelait sur le lit près de la fenêtre. Mais il n'y avait personne d'autre dans la pièce que Potter, sa baguette à la main, le visage crispé dans une grimace de fureur et d'égarement.
RAR
Ayako : Rah quand est ce un Slytherin se dévouera pour aller claquer la tête de Draco contre un mur? Et pis si c'est pas un Slytherin ce sera Peeve... On prend les paris ? mais que quelqu'un se dévoue... Il faut absolument lui déenfler sa tête! Ouais et il n'a pas d'Ellie McGregor pour ça lui… En tout cas pauvre Sev... l'a pas fini de faire des insomnies etavec ça il va être fatigué et execrable et il va tomber dans les pommes... Et qui s'occupera de lui à cet instant là Heureusement que tu es là pour penser à lui… le pauvre…
Et Nott, il veut faire quoi? Une groupe de Neutres belliqueux? A lui tout seul ?
Keana : je vois que draco a toujours la grosse tete! Qu'est ce qu'il m'énerve! la mort de son père ne lui a pas servi de leçon, trop tétu ce jeune homme ... Oui, ou fidèle à ses convictions…
meredith : la nuit de samain , c'est halloween , mais ca vient d'ou ce nom ? C'est le nom celte. Samain, premier mois de l'année Celte. La nuit de Samain ou Samhain, la nuit entre le dernier jour de l'année qui meurt et le premier jour de l'année qui naît… Je crois que l'incursion d'harry dans la salle des serpentards lui a peut être mieux fait comprendre ce que vivait Mcgrégor. Sans doute, mais il le savait déjà… Il était déjà venu, par hasard,mais il y était déjà venu… Sinon , je ne pensais pas que Malfoy n'éprouverait pas une once de tristesse en apprenant la mort de son père . Il est drôlement en colère. Ce n'est pas seulement de la colère. Sa tristesse, il l'a gardée pour lui. Il l'a refoulée et transformée. Il ne veut pas montrer son désarroi. Il est le chef. Et il doit montrer l'exemple… Du moins c'est ce qu'il pense. Je n'ai pas bien compris cette promesse entre rogue et lucius a propos de drago / J'ai peut être loupé quelquechose. C'est une promesse que Rogue a faite à Lucius le jour de l'entrée à Poudlard de Drago : il a promis qu'il n'arriverait rien de facheux à Drago tant qu'il serait sous sa responsabilité. C'est Dennis qui a surpris cette conversation entre Drago et Rogue un jour de l'année précédente… en fait il n'y aura jamais d'exception a la règle d'un chapitre par jour ? une exception du genre : plusieurs chapitres d'un coup ..non ? hum.. bon , d'accord Tu fais les questions et les réponses ? remarque ça m'évite de te répondre… lol !
Lyane : J'ai l'impression que depuis quelques chapitrs, les choses s'accélèrent. Il se passe de plus en plus de chose, de plus en plus complexes et qui posent plus de questions qu'elles n'en résolvent. C'est pire qu'un casse-tête chinois. Hahahahaha ! non tout tourne autour de la même chose. Bien trouvé, le coup de Samhain, la nuit des morts, la nuit où le voile entre les deux mondes est le plus mince...Tu pourrais nous ramener Sirius, d'ailleurs, le voile est si mince... Hélas, non… le passage ne se fait que dans un sens… Je me demande si en plus de l'attaque, il risque d'y avoir d'autre chose qui vont se produire. Ca risque d'être mouvementé. Fort mouvementé… Ces sorciers, alors! Ils ne pourraient pas faire comme les moldus, se déguiser et demander des bonbons? Non, ils essaient de s'entre tuer...Preuve indéniable que les moldus sont infiniment supérieurs aux sorciers. Voldemort devrait vénérer le sol où nous marchons... (quoi? ce que j'ai fumé? la moquette, pourquoi?). MDR ! Mais je ne pense pas que ce soit un argument valable pour les sorciers… d'ailleurs… mais je préfère te laisser découvrir le reste…
Kathylol : Comme promis, je review, j'hallucine que tu aies déjà postée la suite! La rapidité avec laquelle tu postes est vraiment u grand plus dans cette fic, puisque tu nous fais tjs poirauter à un moment crucial! ggrr! michante:p Non ! pas méchante ! sadique, oui, mais pas méchante ! Je n'ai pas une once de méchanceté en moi… Eh bien, la fin de ce chapitre est bien sombre! Wouh! Ca jette un froid! Ouais, surtout pour Harry, histoire de lui mettre un peu plus de pression sur les épaules…Quant a McGregor... Qu'attend-elle d'Harry exactement? Qu'il saisisse la perche qu'elle lui tend inlassablement. Elle l'a sans doute cerné mieux qu'on ne le croit. Mieux que lui ne l'a cernée, elle, en tous cas. Elle a compris que se jeter à sa tête ne serait pas du meilleur effet pour lui. Elle attend que la décision vienne de lui tout en faisant tout pour s'installer… Certain appellerait cela de la manipulation… mais ce n'est qu'un moyen d'arriver à ses fins…Etait ce d'elle que ginny et Hermione paralit après qu'Harry eut quitté la salle? Elles parlaient en général. Et Malefoy? Pourquoi s'obstine-t-il? Parce qu'il ne peut faire marche arrière, du moins dans son optique.J'aime bcp ce que tu as fait du personnage de Nott, meme si jene comprends pas touours ces agissements! C'est normal que tu ne comprennes pas tous ses agissements. Il manque des éléments de compréhension…
Alixe : Ouf ça va ils n'ont l'air trop fachés les tourtereaux. Ce n'est pas vraiment une querelle d'amoureux non plus… Et Harry n'a pas eu le temps d'assimiler ce qu'elle lui a dit.
C'est un peu du voyeurisme, non, d'aller espionner la réaction de Malefoy à l'annonce de la mort de son père ? Oui ! Mais c'est aussi la réaction de Rogue qu'il voulait avoir. Enfin, au moins cela fait réalidser à harry ce que vit Ellie. En partie du moins…
Kareja : Encore des chapitres! mais comment fais-tu pour tout écrire si vite? C'est un secret ! enfin sinon, c'etait une bonne idée de Harry d'utiliser une transe...qu'est ce que nott voulait dire? Mystère ! et sinon je n'ai pas bien compris comment hermione et cie ont deviné à partir du message que ca se passerait la nuit d'halloween... Parce qu'il y avait écrit …EEN sur le papier et comme Halloween est une date propice… j me réjouis d'arriver à halloween...ce sera ds combien de chapitres? Mais si je le dis , y aura plus de suspens… et please, fais en sorte qu'il se passe qqch entre harry et ellie...en voit bien qu'elle l'aime, ou au moins qu'elle est très attirée pa lui... Mais oui, tout le monde le voit, même Harry… mais c'est pas si simple..
hadler : quelle curiosité ce harry, suivre drago jusque dans la salle comune serpentard. Enfin, je suis sure que ce n'est qu'un prétexte pour voir un peu Ellie, ou tout du moins s'assurer qu'il n'arrive rien. C'est possible aussi… Nott est vraiment un personnage insaisissable, il n'est pas prêt à servir Voldie, masi il en semble pas prêt non plus à prendre les armes contre lui. Pas facile à cerner quand même. Mais je pense (ou j'espére du moins) qu'il prendra quand même parti, et du bon côté. On verra… Ellie ne semble pas trop fachée contre harry, mais bon, si elle attend encore qu'il fasse le premier pas, c'est pas gagner. Non en effet… Aller, courage harry, la fin approche peut être, faut tout lui dire. Vu qu'elle court déjà un grand danger à cause de ce que malfoy croit sur eux deux, autant qu'elle court ce danger pour une véritable raison. non ? C'est ce qu'elle lui a déjà dis il y a plusieurs mois, mais apparemment, il n'est pire sourd qui ne veut point entendre…
