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Disclaimer : Tout est à JKR, lieux, personnages -sauf certains que vous reconnaîtrez aisément- créatures, etc... je ne tire aucun bénéfice de cette histoire, si ce n'est celui du plaisir que je prends à écrire et faire partager ce que j'écris… Bonne lecture.
Chapitre 152
Un petit tour dans la tour
…
Dumbledore était penché au-dessus de la pensine de pierre posée sur un guéridon derrière son bureau. Il releva la tête quand Harry referma la porte dans son dos. Le vieil homme sourit d'un air las en faisant signe à son invité de s'approcher.
- Rien de tel, Harry, quand la situation semble inextricable, que de prendre un peu de recul…
Harry hocha la tête. Jamais Dumbledore n'avait autant accusé son âge. Il s'appuyait sur les bords de la pensine et semblait un vieillard voûté. Il se redressa lentement pour rejoindre son bureau. Il ne s'assit pas dans son fauteuil. Son chapeau bleu était posé dedans. Harry remarqua l'absence de Fumseck et il sentit au même moment le regard du Choixpeau Magique se poser sur lui. Contrairement à son habitude, aucun sourire d'aucune sorte ne donna au Choixpeau l'air de se moquer de lui. Les cadres des tableaux étaient vides, sauf celui de Phineas Nigellus qui attendait visiblement que Dumbledore lui confiât quelque mission délicate.
- Merci Nigellus… fit justement ce dernier. Je n'ai plus besoin de vous pour aujourd'hui... mais revenez demain dès la première heure, s'il vous plaît… J'aurai sans doute une mission pour vous… Nigellus ?
Dumbledore leva les yeux vers le tableau. Le portrait regardait Harry qui le fixait en retour avec défi.
- Nigellus ? insista Dumbledore.
L'ancien directeur laissa échapper un soupir.
- Et vous croyez que cela suffira, Dumbledore ? Il ne fera jamais le poids…
- Nigellus…
Nigellus renifla.
- Si c'est là tout votre espoir, Dumbledore, je n'aurais plus longtemps à vous devoir obéissance et concours…
- Nigellus ! je n'ai pas l'intention de me laisser déposer par quiconque… Et je vous rappelle que si cela arrivait, celui qui me remplacerait ne serait peut-être pas enclin à écouter les conseils de portraits poussiéreux… Pas même les vôtres, Nigellus. Vous avez vu ce qu'ils étaient capables de faire… Vous avez vu ce qu'ils étaient capables de sacrifier pour la folie d'un seul homme. Tous ces enfants… Croyez-vous réellement que quoi que ce soit vaille ce prix-là…
- Et vous Dumbledore ? demanda Nigellus avec hauteur. Quel prix êtes-vous prêt à payer pour sauver tous ces enfants ?
Nigellus tourna la tête vers Harry et le désigna du menton.
- Croyez-vous qu'il se contentera de prendre la sienne en échange de toutes ces vies-là ? Ne vous plaignez pas, Monsieur le Directeur, que Celui-Dont-On-ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom ait envoyé ses assassins sans se soucier de la vie de ceux qui se mettraient entre lui et Potter… C'est vous qui lui avez permis de s'en prendre à ces jeunes gens. C'est vous qui lui avez servi cet appât bien tentant. En gardant Potter à Poudlard vous avez mis toute l'école en danger. Vous aviez sans doute l'intention de sacrifier un seul homme à la sauvegarde de tous, mais vous n'avez réussi qu'à tous les mettre en danger pour la sauvegarde d'un seul.
Harry s'avança. L'ancienne colère revenait.
- Ce n'est pas moi qui mets en danger l'école ! cria-t-il. C'est ce vieux fou de Voldemort ! Il veut la chute de Poudlard et il se moque de savoir combien cette chute coûtera et à qui elle coûtera !
Il se tourna vers Dumbledore, décidé.
- Il faut prendre des décisions à présent, Monsieur… Il n'est plus temps de réfléchir à ce qui pourrait arriver… La partie d'échecs arrive à son terme et le temps qui nous est imparti nous est compté.
Harry reprit son souffle. Nigellus ricana.
- Vous allez vous faire dicter votre conduite par un gamin, Dumbledore ?
Harry lui fit face.
- Il se laisse bien insulter par une vieille croûte !
Nigellus ouvrit la bouche, suffoqué. Harry ne lui laissa pas le temps de se remettre.
- Vous n'existez pas. Vous n'êtes qu'un reflet fixé sur la toile qu'un peu de magie a animé. Vous êtes mort depuis cent ans. Vous n'avez rien à dire !
Il leva la main simplement et le cadre glissa du mur sur le sol dans un bruit mat.
- Dumbledore ! cria Nigellus dans un appel à l'aide.
Puis le tableau tomba en avant. Un cri partit de la toile. Il y eut un bruit de déchirure quand le cadre heurta le coin du bureau. Harry sursauta. Il jeta un œil sur Dumbledore qui s'avançait lentement vers le tableau. Le vieil homme redressa le portrait et constata que la toile était lacérée.
- J'ai cru qu'il ne partirait jamais ! lança-t-il avec sa désinvolture habituelle avant de soupirer : Harry, mon garçon… quand les portraits refusent de t'obéir, il est temps de passer la main…
- Vous n'êtes pas sérieux ? demanda le jeune homme d'une voix blanche…
Le sourire de Dumbledore le rassura.
- Crois-tu que je t'abandonnerais en ce moment crucial ?
- Non, bien sûr… répondit Harry. Vous êtes allé trop loin pour renoncer vous aussi, n'est-ce pas…
Dumbledore retira son chapeau du fauteuil directorial et prit sa place. Il fit signe à Harry d'approcher son siège et de s'asseoir.
- J'étais là, Harry… quand tout a commencé, j'étais là… et je n'ai rien pu empêcher…
- Vous l'avez empêché de continuer son œuvre de destruction dans Poudlard, professeur… De son propre aveu, il a reconnu que s'il n'a pu mettre nombre de ses projets à exécution c'est à cause de vous…
Harry se pencha en avant par-dessus le bord du bureau, au dessus des instruments d'argent.
- Vous n'êtes pas plus responsable de l'existence de Voldemort que moi de l'attaque de ce matin…
Dumbledore le regarda fixement un long moment. Puis il sourit.
- Tu n'es pas venu chercher des réponses ce soir, Harry…
Harry se redressa sur son siège et lui rendit son sourire, un peu ironique.
- J'ai fini par comprendre, Monsieur, que je n'en trouverai pas ici… Du moins pas celles que j'attends…
Il s'enfonça dans le fauteuil et cala son dos contre le dossier.
- Ça a été un long week-end, Monsieur, à la fois bouleversant et propice à la réflexion. J'ai mesuré le chemin que j'avais fait, celui qui me restait à faire. J'ai mesuré les choses qui avaient changées, celles qui restaient immuables. Et celles qui avaient changées tout en restant immuables.
Harry perçut le mouvement de sourcil de Dumbledore ainsi que l'ébauche de son sourire, caché par sa barbe blanche.
- Bien des choses m'ont sauté aux yeux avec une évidence si claire que je me demande pourquoi je ne les avais pas vues avant… Je crois que j'ai compris les raisons de votre silence. Et je sais que la principale n'a rien à voir avec celles que vous me donnez depuis bientôt sept ans. C'est la même raison pour laquelle Hermione a toujours refusé de faire nos devoirs à notre place, à Ron et moi… Parce qu'il n'est de leçon profitable que celle que l'on apprend soi-même, n'est-ce pas. Ni de réponses satisfaisantes que celles que l'on trouve de son propre chef.
Dumbledore hocha la tête.
- Vous auriez pu me donner toutes les réponses du monde, toutes aussi valables les unes que les autres, je ne vous aurais pas cru… J'aurai cherché encore, pour me fourvoyer sans doute ou pour perdre un temps précieux… Vous saviez cela. Vous teniez à ce que je découvre la vérité par moi-même afin que je ne puisse douter de la sincérité de ceux qui me l'auraient apprise.
Il se tut et Dumbledore ne reprit pas immédiatement la parole. Enfin, le directeur croisa les mains sur le bureau, s'avançant légèrement vers le jeune homme.
- Harry… je vais te dire quelque chose que tous les parents disent un jour ou l'autre à leurs enfants quand ceux-ci leur reprochent tel ou tel point de leur éducation. Ce que j'ai fait je l'ai fait avec sincérité. J'ai commis des erreurs, conscientes ou inconscientes. Car contrairement à ce que tu as entendu et que tu entendras encore, je ne suis pas omniscient. Si je l'étais, crois-moi, nous ne serions pas toi et moi à discuter dans ce bureau à cette heure tardive. Tu as raison, il n'est plus temps de se demander ce qui serait advenu si… Ni se lamenter sur les erreurs passées… Je t'entends, Harry. Tu es venu me dire que tu étais prêt à affronter la vérité en face. Tu es venu me dire que tu étais prêt à passer à l'offensive. Qu'as-tu à proposer ? Désormais c'est toi qui mènes le jeu. As-tu choisi tes armes ?
Harry sentit le poids qui pesait sur son estomac s'envoler. Il ne pensait pas que ce serait si facile. Il mit les mains sur les accoudoirs et les serra dessus. Il espérait que le reste serait aussi simple à faire passer.
- Pourquoi se casser la tête à chercher d'autres armes, Professeur, alors que Voldemort nous offre généreusement les siennes ?
Il ne détourna pas le regard lorsque Dumbledore plongea le sien au fond de ses yeux.
- Drago Malefoy ? Il faudra le remettre en confiance… murmura le vieil homme.
- La situation n'est-elle pas faite pour cela ? demanda Harry.
- Que sais-tu de la situation ?
- Que Voldemort a envoyé ses hommes sur tous les points stratégiques du monde sorcier : le Ministère, les communications, l'Hôpital, Poudlard… Il a détruit la Gazette et la RITM. Poudlard a échappé à l'horreur. Quant au Ministère, je ne sais ce qu'il est advenu de lui… Mais il est certain qu'il tenait là le moyen de contrôler le monde sorcier : les réseau de communication, le département des Mystère et celui de la justice magique. Si les dégâts sont importants autant en matériel qu'en pertes humaines, il va être difficile de maintenir la sécurité dans le pays…
Harry hésita à ce moment de la conversation. Dumbledore s'en aperçut et l'interrogea du regard, l'encourageant à poursuivre.
- A ce propos, Monsieur… Je me demandais si celui qui avait divulgué les informations concernant la prophétie à la presse n'était pas le chef des Aurors lui-même… Ce Dawlish qui accompagnait Fudge lorsqu'il est venu vous signifier votre mise à pied…
Le sourire de Dumbledore s'élargit.
- Par Merlin, murmura-t-il…
- Vous avez pu obtenir les preuves contre lui ? insista Harry.
- Nous n'aurons pas besoin de preuves, Harry… Dawlish s'est trouvé face aux Lestrange cet après-midi… Il a bravement défendu le Département du Réseau de Communications Sorcières avec ses hommes et Percy Weasley. Hélas… Dawlish a succombé à ses blessures en arrivant à Ste Mangouste…
- Ho ! fit Harry. Et on déplore beaucoup de victimes ?
- Il est trop tôt pour le dire… Mais je crois que cela aurait pu être pire. Car nous avons appris que les géants devaient prendre part à cette attaque. Or… McNair est mort en juin dernier, tu le sais Harry… et il était l'un de ceux qui avaient convaincu le Gurg de se joindre à Voldemort…
Harry se souvenait de ce que Hagrid leur avait raconté lors de son retour du pays des Géants deux ans auparavant.
- Et l'autre a été arrêté dans le vaste coup de filet qui a suivi, continua Dumbledore. Ils n'ont pu amener d'autres cadeaux aux géants pour les assurer de leur « amitié » et ceux qui sont allés les relancer un peu plus tard sur les ordres de leur maître… ont été interceptés par les membres de l'Ordre en Europe de l'Est. Pour leur propre salut, d'ailleurs, car les Géants n'aiment guère que l'on rompe des promesses… et ils n'auraient pas été très bien reçus…
Harry frissonna. Il se rappela l'aspect du visage d'Hagrid lorsque celui-ci allait régulièrement rendre visite à Graup dans la Forêt Interdite.
- Et quels sont les dégâts ? demanda-t-il pour changer de sujet, du moins essayer.
- La marque noire a flotté sur chacun des lieux où nous nous sommes battus, soupira encore Dumbledore. Mais les Mangemorts n'ont pu emporter aucune victoire totale. Nous conservons nos positions. Sauf la Gazette qui est détruite et la RITM qui n'est plus opérationnelle. Le Ministère est toujours entre nos mains, même si nous déplorons beaucoup de victimes et si les locaux ont désormais besoin d'un certain coup de neuf… Ste Mangouste hélas ressemble désormais à un hôpital de campagne. Nous avons transféré à Oak Mansion ceux qui pouvaient l'être – et en qui nous avons entière confiance… C'est une condition à notre sauvegarde… Le septième étage de l'Hôtel Delacour a repris du service, malheureusement. Molly et Deepher s'occupent des blessés avec dévouement. Grâce à Percy qui a raccordé la cheminée de l'un des bureaux de Fleur au réseau international, celle-ci a pu demander à son père des potions de soins et du matériel médical d'urgence. Nous attendons leur arrivée dans les prochains jours, en même temps que des guérisseurs recrutés par Olympe Maxime. Dès qu'ils rentreront d'Espagne en fait…
- Qu'est-ce qui s'est passé en Espagne ? s'inquiéta Harry.
- Tu sais que le Tribunal Exceptionnel de Valladolid s'était réuni…
Harry l'interrompit d'un hochement de tête.
- Ils ont décidés si les moldus devaient être considérés comme des créatures non magiques ?
- Le Tribunal a décrété que les Moldus étaient des êtres humains et que la seule différence entre les sorciers et eux étaient l'absence de pouvoirs magiques… On ne pouvait donc pas les classer dans la catégorie des créatures. D'autre part, en tant qu'Etres, même non magiques, ils avaient droit à un territoire et des règles de vie propres à tous les Etres. Les sorciers ne pouvaient donc en aucun cas empiéter sur ce territoire et n'avaient pas à s'ingérer dans l'administration des nations.
- N'est-ce pas ce qui existe déjà ? hésita Harry devant le regard soucieux de Dumbledore.
- Les anti-moldus ont aussitôt réagi en demandant une loi visant à briser tous liens entre moldus et sorcier. La dissolution de tous les mariages mixtes ; le marquage de tous les enfants nés de ces mariages et l'interdiction pour eux de retourner dans le monde moldu. La mise au banc de la société des cracmols, ainsi que des sorciers d'origine moldue. La surveillance de toute naissance sorcière chez les moldus, interdiction pour ces enfants de faire connaissance avec le monde magique… enfin toute une litanie de lois discriminatoires préparées depuis fort longtemps à n'en pas douter. Lorsque le gouvernement a annoncé son intention d'examiner cette demande afin de décider si elle était recevable, il y a eu un soulèvement dans tous le pays. Les affrontements déjà nombreux le jour d'Halloween dans les universités ont embrasé toute la péninsule jusqu'au Portugal qui jusque là s'était montré relativement discret sur ces sujets… Partout des agitateurs ont mis le feu aux poudres en clamant que l'on voulait la fin du monde sorcier et que les Moldus désormais faisaient la loi dans le monde magique… La France a aussitôt fermé ses frontières et, déjà ébranlée par l'assassinat du Ministre de la Magie, a coupé tous contact officiel avec ses voisins. Le couvre-feu a été instauré, les réunions publiques interdites. Le réseau international de communications a été coupé juste après que Fleur ait contacté Mr Delacour et Olympe Maxime. Nous travaillons à la restauration du service et Olympe de son côté tente d'en faire autant. J'espère que nous pourrons très vite renouer des contacts…
- Vous n'avez pas pu faire revenir Charlie ? demanda Harry une boule au fon de la gorge.
- Nous n'en avons pas eu le temps. Mr Delacour a du le cacher ailleurs que chez lui. Lorsqu'il a été admis à l'hôpital cet été, il l'a été sous un faux nom afin de le cacher à ceux qui l'auraient fait rechercher. Et les mesures de sécurité draconiennes qui sévissent actuellement pourraient facilement le faire passer pour suspect aux yeux des autorités françaises… Les Delacour ont été interrogés, voici quelques semaines, par la brigade spécialisée dans la surveillance de la fraude fiscale concernant leur société basée en Angleterre. Ils voulaient vérifier s'ils n'avaient aucun lien avec la mouvance voldemorienne. Bien sûr, ils ne pouvaient dire qu'au contraire ils supportaient le principal opposant de Voldemort ni qu'ils cachaient dans leurs appartements l'un des membres de l'Ordre. Ils sont particulièrement surveillés depuis et la mort du Ministre ne va pas arranger les choses…
Harry avala difficilement sa salive.
- Et pour Krum ? demanda-t-il encore.
L'air désabusé de Dumbledore lui confirma ses soupçons.
- Tu imagines que sa situation est bien pire. Non seulement il est recherché par les suppôts de Voldemort en France, mais si les Aurors français lui mettent la main dessus, il n'est pas prêt de s'en sortir. Son appartenance à Durmstrang et ses prétendues prises de position ont fait la une de tous les journaux d'Europe…
- Et vous ne pouviez le faire venir avant tout ceci ? pour le mettre à l'abri ? grimaça Harry.
- Jusqu'à présent il était bien plus à l'abri en France qu'en Angleterre… Il était attendu ici et nous étions surveillés… Du moins ceux qui étaient suspectés de faire partie de l'Ordre... Nymphadora Tonks surtout était régulièrement suivie… Cependant, on ne l'a jamais inquiétée physiquement. On attendait qu'elle prenne contact avec Krum, nous en sommes certains…
Dumbledore ferma les yeux et passa deux doigts sur ses paupières.
- Mais ce sont des problèmes pour lesquels tu ne peux rien faire de concret, Harry… reprit le vieil homme. C'est à moi qu'il incombe de les régler. A propos… Pourras-tu faire dire aux jumeaux Weasley que leurs tenues de combat sont vraiment terrifiantes… et que j'ai vraiment apprécié leur aide dans cette sombre journée. Tu leur diras aussi de mieux doser leur poudre à chatouilles la prochaine fois : ils ont mis un peu trop de poil à gratter je pense… Nous n'avons pu interroger aucun de ceux qui en avait reçu : ils n'arrêtaient pas d'éternuer en plus de se contorsionner en tous sens…
Harry n'osa réagir. Il prit un air innocent et se dit qu'il devait avoir l'air aussi coupable que s'il avait lancé lui-même cette poudre à chatouilles (une nouveauté étrennée pour l'occasion, il l'aurait parié !) au sourire en coin du directeur. Celui-ci cependant paraissait un peu plus détendu.
- A présent, Harry… revenons à notre affaire personnelle. Quelle est ton idée ?
Harry rapprocha le fauteuil du bureau et commença à lui expliquer ce qu'il souhaitait. Il voulait simplement que tout redevînt comme d'ordinaire ; ou presque… ajouta-t-il dans une grimace. Il voulait que Malefoy se sentît en confiance, qu'il crût que la méfiance de tous se fût apaisée après la victoire sur les Détraqueurs. Et qu'on lui permît de reprendre contact avec son Maître, que la surveillance dont il faisait l'objet parût se relâcher… que sa place dans l'école ne fût pas remise en question… Qu'il pût en somme donner de faux renseignements à l'ennemi…
Pendant ce temps, l'école se préparerait en secret à recevoir une attaque des mangemorts. Les élèves seraient mis à l'abri avec le concours des professeurs et la défense des lieux serait nettement améliorée en tenant compte des erreurs de la nuit d'Halloween.
Le concours de tous naturellement serait demandé, des professeurs comme des élèves fidèles à l'école. Malefoy était condamné à quelques jours d'immobilisation à l'infirmerie. Il fallait en profiter pour tout mettre en place avant son retour. Afin qu'il n'eût pas l'occasion de se poser de questions et qu'il ne songeât qu'à mettre à profit l'aubaine qui lui était offerte.
Dumbledore se rejeta dans son fauteuil. Il regardait instamment Harry derrière ses lunettes en demi lune.
- Il va falloir convaincre Minerva, Harry… Elle n'était pas pour garder Malefoy à Poudlard. Pas après cette nuit d'Halloween en tous cas. Et je dois dire que ma dernière tentative de lui ouvrir les yeux sur son maître a échoué. J'espérais, sinon le ramener vers nous – c'était une utopie, je le confesse- du moins ne pas le trouver contre nous… Cependant son attitude cet après midi encore montre qu'il n'a pas changé d'avis.
- Il est persuadé que Voldemort ne peut perdre, Monsieur. Et il ne voudra qu'une chose : se racheter à ses yeux. Autant nous servir de cette obstination…
Dumbledore ouvrit d'un geste de la main un tiroir à sa droite. Il sortit un objet enveloppé dans un tissu blanc et le posa devant lui. Sous les yeux étonnés d'Harry il découvrit l'objet en question. Le jeune homme sentit des sueurs froides à son front et son estomac se nouer.
- Sais-tu ce que c'est Harry ?
- Oui, Monsieur… Ce sont des lentilles de télescopes comme en a le professeur Sinistra. Ce sont celles qu'elle a amenées au professeur McGonagall hier matin.
- Très juste Harry… Et sais-tu ce qu'elles contiennent ?
- Oui, Monsieur…
Harry leva les yeux vers Dumbledore. Puisqu'il avait décidé de jouer cartes sur table avec lui, pourquoi lui mentir ?
- … les preuves de la forfaiture de Malefoy. Du moins si quelqu'un a entendu ce que Nott et lui se sont dit ce soir-là…
- Tout juste Harry… Qui pourrait répéter ce qui s'est dit ce soir-là ? Et surtout qui pourrait empêcher Malefoy de le traiter de menteur ? Nous savons toi et moi ce que Drago avait l'intention de faire – l'ordre même sans doute- mais quelle preuve en avons-nous ? Que ces images de deux jeunes gens manifestement en grande discussion…
Harry jeta un dernier regard aux lentilles.
- Alors le professeur Sinistra a perdu son temps…
- Non Harry… ces images sont bien plus instructives que tu ne le penses… Et les paroles de chacun encore plus…
- Oh ! laissa échapper Harry étonné… Peeves vous a répété leur conversation à vous aussi ?
Dumbledore leva les yeux par-dessus ses lunettes, un sourire malicieux aux lèvres.
- Peeves ? Il était là lui aussi ?…
Une seconde Harry se revit dans la salle de divination. Il garda les yeux sur les lentilles et son esprit fermé à tout souvenir de cette matinée.
- Algie Londubat m'a raconté que Ellen McGregor avait été agressée par Malefoy et qu'elle n'avait du son salut qu'à l'intervention de Mr Nott…
- Il lui a sauvé la mise également lors de l'attaque de la nuit d'Halloween, Monsieur, réfléchit Harry. Il l'a avertie que la salle commune de Serpentard n'était pas un endroit sûr. Je n'arrive pas à comprendre ce qu'il cherche. Cet après midi encore, il avait l'air heureux de la déconfiture de Drago… Qu'est-ce qui le pousse à se rapprocher de lui et lui donner des conseils ?
Dumbledore sourit.
- Je te l'ai déjà dit, Harry… quoi qu'en dise d'aucuns… tu es profondément Gryffondor…
Il y eut un rire discret derrière Harry et celui-ci crut Phinéas Nigellus revenu. Il réalisa cependant que ce rire éraillé provenait du Choixpeau sur son étagère. Il baissa la tête.
- Je sais… murmura-t-il. Je ne pense pas en Serpentard…
- Je n'en suis pas si sûr que cela… dit Dumbledore doucement. Il te manque juste un peu d'entraînement…
Le rire du Choixpeau fit rentrer à Harry sa tête dans ses épaules.
- Qu'est-ce qu'on fait pour Malefoy alors ? demanda-t-il pour détourner la conversation.
Dumbledore croisa ses mains sur sa barbe blanche.
- Je me charge de convaincre Minerva, dit-il.
Harry hocha la tête. Voilà. C'était décidé. Malefoy en liberté surveillée. Et lui pour appâter Voldemort. Ce n'était pas si terrible. C'était ce qu'il faisait depuis longtemps déjà. Il n'y avait vraiment pas de quoi s'inquiéter…
Le lendemain, le week-end d'Halloween serait terminé. Hermione animerait le conseil de guerre, Ron et Ellen se disputeraient sur les mesures de sécurités à appliquer, et lui jouerait à être le commandant en chef. Dumbledore distrairait quelques moments de son emploi du temps chargé pour persuader le professeur McGonagall qu'ils avaient besoin de la présence de Malefoy à Poudlard pour détruire Voldemort une fois pour toute. C'était décidé…
Il s'accrochait au regard bleu de Dumbledore pour ne pas laisser le vertige qui le saisissait soudain le submerger tout à fait.
- C'est la dernière ligne droite, cette fois, n'est-ce pas… demanda-t-il d'une voix qu'il voulait ferme.
- Droite… ? fit Dumbledore sur le ton de la réflexion. Oh ! je suis sûr que nous trouverons encore le temps de nous offrir quelques détours…
…
Harry marchait dans les couloirs comme dans un rêve, son laissez-passer à la main, au cas où il rencontrerait Rusard, ou un professeur. Le château était silencieux et sombre. Harry leva sa baguette pour faire de la lumière. Cela lui semblait incongru de se promener ainsi en toute impunité, sans avoir besoin de se cacher. La fatigue s'insinuait lentement dans ses membres. Le lendemain, tout recommencerait… différemment.
Il donna le mot de passe à Imogen qui lui ouvrit la porte sans un mot. Le feu brûlait à nouveau dans la cheminée. Dans les fauteuils Ron, Hermione, Neville en robe de chambre, et Ginny attendaient. Ron se leva quand Harry entra.
- Alors ? demanda Hermione.
- Il est d'accord, répondit Harry.
Ginny s'approcha. Elle mit sa main sur le bras d'Harry. Neville s'avança également.
- Hermione nous a appris ce que tu avais l'intention de faire, chuchota ce dernier. Nous sommes tous avec toi. Tu peux compter sur nous.
Il lui tendit la main et Harry la prit.
- Tu… ne dormais pas… fut tout ce qu'il trouva à répondre.
- J'attendais des nouvelles des jumeaux et quand je suis descendu parce que ni toi ni Ron ne montiez…
- Dobby était là… enchaîna Ron. Il voulait prendre des nouvelles de Harry Potter, imita-t-il. Parce qu'avec tout ce qui était arrivé aujourd'hui, il n'avait pas eu le temps de s'inquiéter de Harry Potter…
Le jeune homme roula des yeux levés vers le ciel et se tordit les mains d'un air malheureux.
Hermione donna une tape sur le bras de Ron.
- Tu n'as pas de cœur ! le gronda-t-elle.
- Je sais ! fit Ron fataliste. Tu me l'as pris…
- Ho ! commença Hermione prête à se récrier.
Puis elle parut réaliser ce qu'elle venait d'entendre.
-… Ron… murmura-t-elle.
Ginny pouffa. Neville secoua la tête. Harry les serra tous les quatre dans ses bras.
- A demain ? leur dit-il en les quittant le sourire retrouvé.
Neville lui fit signe de l'attendre. Ginny lui envoya un baiser du bout des doigts. Ron retint Hermione dans ses bras.
Harry et Neville montèrent les marches en leur recommandant de ne pas oublier qu'ils avaient cours le lendemain. Les deux garçons regagnèrent leur lit respectif et bientôt le ronflement régulier de Neville se fit entendre dans la chambre. Harry termina de se déshabiller et s'aperçut que la carte du maraudeur était toujours dans la poche de sa robe de sorcier. Il l'ouvrit et murmura la formule. A la lueur de sa baguette, il chercha dans les quartiers des Serpentard le nom d'Ellen. Il vit son étiquette déambuler dans les dortoirs des filles pour une dernière ronde. Il la suivit de la chambre de Betsie Singleton jusqu'à la sienne et jusqu'à son lit. A côté, les autres étiquettes étaient bien alignées chacune à leur place. Il savait, parce qu'elle le lui avait dit, qu'elle avait piégé le pourtour de son lit d'un charme de bouclier que son frère Quentin lui avait appris dès qu'elle avait reçu sa lettre de Poudlard, certain qu'il était qu'elle serait adressée à Serpentard, où l'on disait que les dortoirs étaient des nids à embrouilles… Charme du Bouclier qu'elle avait elle-même doublé d'un sortilège de Furonculus depuis l'année précédente. Non seulement il fallait se protéger de ses ennemis potentiels, avait-elle asséné avec assurance, mais les reconnaître était d'autant mieux…
Plus rien ne bougeait dans le dortoir des filles de Sixième Année de Serpentard. Harry replia la carte pour découvrir le reste du château. Miss Teigne faisait sa ronde. Peeves était dans la tour d'astronomie. Les fantômes rôdaient dans les couloirs.
Dans la salle commune de Gryffondor, les deux étiquettes de Ron et Hermione étaient côte à côte. Celle de Pattenrond descendit du dortoir des filles. Elle se dirigea vers les deux jeunes gens. Puis Ron et Hermione se séparèrent. Ils s'éloignèrent vers les escaliers de leurs dortoir, s'arrêtèrent aux premières marches puis reprirent leur chemin et disparurent à l'étage. Harry entendit arriver Ron dans la chambre. Il replia la carte, la glissa sous l'oreiller et écouta
Ron avait beau essayer de se faire aussi silencieux que possible, il était plus bruyant qu'un troupeau de centaures. Il l'entendait pester contre mille choses. Puis un cri étouffé. Un juron. Et le bruit des rideaux du lit de Neville qui s'ouvraient avec force :
- Si jamais je retrouve ta fichue gargouille sous mes pieds, je te jure que je te la fais éviscérer avec les dents !
Neville se réveilla en sursaut sans comprendre ce qui se passait.
- La ferme, Ron ! On essaie de dormir ! grommela Dean de l'autre côté de la pièce.
- Alors bonne nuit ! gronda Ron sur un ton peu aimable.
Harry se retourna dans son lit. Mauvaise humeur ? Il savait ce qu'Ellen en aurait dit. Il pouffa dans son oreiller avec remords. Il n'avait pas à rire ainsi. Ce n'était pas drôle. La journée avait été rude pour tout le monde. Et celles qui suivraient ne seraient certainement pas non plus de tout repos…
RAR :
joe : salut, tj ossi bien sauf ke sa manque un pe d'action; J'avais prévenu… et puis l'action c'est pas ce que je préfère… j'espere voir le prochain chapitre avant lundi. Vœu exaucé… UN ADMIRATEUR presque inconnu…
Kareja : jE me réjouis de la discussion avec dumbledore, ca promet d'etre intéressant! Voilà, c'est fait… combine de chapitres te reste-t-il? une dizaine de déjà écrits… avant la fin je n'en ai aucune idée. Je n'ai pas tt compris ds ce chap, mais je l'ai lu trop vit, sans doute! Dennis et ginny sont ensemble? Oui, ça fait un moment…
Kathy Magda : Le grand frère surprotecteurs réaparais en force, et il a appris à se contrôler, aurait-il eu un semon de Ginny et Hermione ? Non, il grandit lui aussi… Dernière petite question : est ce qu'on verra un jour Hermione en prof de potion ? Ce serait pas pour ça que tes professeurs en font un interim en ce moment ? Je sais pas, la fic n'ira pas si loin… Mais personnellement j'ai du mal à voir Hermione en professeur… quoi que franchement les méthodes pédagogiques de Rogue… m'enfin, lui je me demande si c'est vraiment par choix qu'il est devenu professeur… (de potions on sait que non… il préférait la défense contre les forces du mal, mais je parle plutôt en général)
Ayako : Sadique tu es pour à ce moment avoir terminé... oui, sadique je suis. Tout le monde le sait…
Dumbledore dans ce chapitre je voulais rencontrer... Une vertu est la patience, jeune padawan.
Tant pis des jumeaux je me contenterais (quoique se contenter est un mot bien restrictif je suis heureuse de les voir pimpant et en bonne santé (du moins ils en ont l'air)) De ce que le jour nous donne se contenter savoir il faut.
Vu que de Sev est Rem j'ai été privée! Comme ça est la vie. Un jour elle donne. Elle reprend un autre…
Mais une dernière question je vais te poser avnt de te laisser.
Les mangemorts supporter les moldus mme terorriste y parviendront-tils? Supporter ? Pas besoin de supporter. Contact minimum, efficacité maximum.
relis sa review... et Miss Teigne ses réponses…
Ouaip va falloir que jme refasse une cure de Star wars mon phrasé yoda n'est pas bon... Ha ! moi qui croyais que tu me faisait un review en vers…
Si tu trouves cette review pourrie, plains toi à ffnet... il m'a encore bouffée ma zoulie review! Et là j'ai plus le courage de changer! Hahahahaha ! le mauvais ouvrier accuse ses outils…
craup : Encore planté: Je me disais que lorsque Ron prétendais avoir perdu Hermione dans les souterrains, c'était peut être elle qui l'avait perdu... C'est possible aussi… Et s'ils s'étaient perdus tous les deux… Maintenant, je suis persuadé que Malefoy va être nommé préfet en chef remplaçant (une façon de lui rendre de l'assurance et du pouvoir tout en protégeant hermione) mais j'ai souvent tapé à coté avec ta fic. Hahahahahaha ! mais s'il était préfet en chef même remplaçant… il aurait accès à tous les mots de passe, entre autre, et je ne sais pas si c'est vraiment ce que souhaite la direction de Poudlard…
mate : tjs aussi bien. espere que ce chapitre donnera un nouvel élan, qui a mon gout manquait à leurs précedent (malgré leurs qualités intrasèques). Mais j'avais prévenu…
Lyane : On sait enfin ce qui s'est passé dans le monde sorcier, et que l'AD des jumeaux est très efficace. Peut-être même plus dans l'organisation que les aurors. Plus de liberté dans l'action, sans doute… Tu as vraiment un don pour inventer et imaginer les complots, plans de bataille et autres moyens de gagner une guerre. Je suis certaine que si tu avais véçu sous l'occupation, tu serais devenue un des piliers de la résistance, tu as le chic pour voir les tenants et aboutissants d'une situation. Qui sait ? Je suis peut-être simplement plus douée pour inventer des histoires que pour les vivre… mais franchement… je préfère ne pas savoir… J'attends avec impatience la conversation de Dumbledore et de Harry. Ca promet d'être très interessant. Alors ? verdict ?
Voldemort : Je trouve ça bien que Fred, George et compagnie soit si bien organisé, on a l'impression qu'ils ont monté un véritable réseau de défense au nez et à la barbe de l'ordre et en collaboration avec Harry, Pas vraiment au nez et à la barbe. Pas dans ce sens là, en tout cas… J'imagine mal les jumeaux entrer dans une organisation trop contraignante. Ils font partie de l'ordre, certes, mais pour laisser libre cours à leur génie créatif… Je ne pense pas que cela les intéresse d'être des petits soldats. Par contre mener leurs propres enquêtes, décider de se battre quand et où ils le décident… ça ça leur correspond davantage, à mon avis… Ton serviteur dévoué Lord Voldemort. P.S.: Tu as même réussit à soummettre le seigneur des ténèbres, tu m'étonnera toujours. J'espère que tu continueras à être étonné…
ttazz Bonjour ttazz et bienvenue parmi les revieweurs… je me demandais juste un truc, si ça se trouve ce n'est pas ça du tout, mais je prends le risque, le fait que bulstrod ce soit trompée, je crois ke j'ai une idée sur la question : je pense que malefoy et wilford ont échangé leur apparence avec du polynectar pour que malefoy puisse agir tranquillement alors que wilford aura à ses basques toute la petite troupe chargée de surveiller malefoy, sans que ces espions ne le sachent! et dc qd bulstrod est arrivée pour blesser wilfrod, elle a poignardé celui qu'elle croyait être wilford et ils ont soudainement retrouvé leurs apparences sous les yeux de bulstrod, qui a ce moment, sous la surprise, pousse le cri que ts les serpentards ont entendu !
je conçois que c'est un peu tiré par les cheveux mais un plan aussi machiavélique peut être sorti de l'esprit tordu de draco, surtout si c'est pour redorer son blason et retourner dans les bonnes grâces de son maître ! Ce n'est pas exactement ça, mais le raisonnement est bon… Tu chauffes très fort, là…
Angel's Eyes : Ha mais c'est pas top les slips ! Ben tant que c'est pas des slips kangourou…
Dis-donc,les jumeaux, toujours égaux à eux même on dirait! Ils n'ont pas l'air d'avoir été tellement marqués par cet événement tragique! C'est les jumeaux, ils n'ont jamais l'air de rien… La seule fois où on les a vus un peu bouleversés, c'est quand Arthur a été blessé, mais bon c'était leur père quand même…
Colombe in the box Je sais pas si c'est le stress du bac qui me fait percevoir ce chapitre comme ça, mais je trouve que ce chapitre a une intensité dramatique… Très intense : hahahahahahaha ! Faut pas stresser comme ça…
Ayaminne : Harry prend les choses en main, ça va chauffer! Tu ne crois pas si bien dire…
tu donneras plus de précisions sur l'AD façon Weasley ou non? On verra… On réentendra parler des jumeaux de toutes façons… Dis, Ron et Hermione vont-ils enfin se parler? Ha ! tout dépend d'eux…
Alixe : Comment ça tu as mis deux jour à cmprendre comment poster. Mais il fallait aller sur mon site, il y a, depuis deux jours, sur la page d'accueil un résumé sommaire des nouvelles procédure pour poster et tenir à jour les histoires. A quoi ça sert qu'Alixe se décarcasse ? En fait j'ai mis deux jours pour comprendre que ce n'était pas mon ordi qui avait des ratés mais que c'était ff qui reprenait tout à zéro…
ais pourquoi Shaklebolt a-t-il été remplacé. J'ai oublié : que lui-as-tu fait ? Heu… il est mort, le 1er janvier dernier… lors de l'attaque du château des McGregor…
POur la demande de Lyane, je suis d'accord avec elle : il y a 2 fous, 2 cavaliers, 2 tours par jeu et par joueur. Donc s'il y a deux échiquiers en parralèle, Harry a 4 fous, 2 cavaliers et 4 tours à pourvoir (et seulemnt 2 rois et 2 reines). Voledemort en a autant, en face. Mais je comprendrais que tu (Ron) ai voulu simplifier le jeu en supprimant le concept de pièces doubles. Oui…j'y étais plus… grosse fatigue, désolée… En fait, plus que les pièces elles-mêmes, c'est plutôt un rôle qu'ils représentent. Ce n'est pas une vraie partie d'échec, c'est juste une représentation stratégique pour simplifier les choses…
Je ne critiquais pas vraiment le fait que nous restons plusieurs chaptres sur la mêm soirée. Je ne l'ai pas pris comme une critique… Tes chapitres sont bien assez longs. Et je te confirme, au delà de 15 pages (times NR, 10pt), ffnet refuse les chapitres. Argh… il va falloir que je vérifie quelque chose alors…
Par contre, pourquoi veux-tu garder de l'avance sur la Pensine. J'aimerai pouvoir y aller sans risquer de tomber sur des spoil et de pouvoir lire les avis que l'on te met là bas ! Oui, pourquoi pas en effet, cela ne changera rien…
Finir avant ou après le 16 juillet ? Personnelemnt, cela m'est égal. Ton histoire est une histoire parallèle qui ne perdra pas son mérite parce qu'un autre tome officiel est sorti (si tu as entendu parler des Portes, tu constateras que cette histoire n'a rien perdu de sa popularité, bien qu'elle soit en contradiction avec le tome 5 sur un certain nombre de points). Oui, c'est vrai… J'avais commencé à la lire. Mais mon histoire, sans vouloir faire la fausse modeste, n'est pas Les Portes… Et les portes joue sur un univers plus ou moins alternatif, cela se passe dans le passé des maraudeurs…
Enfin, je lis que tu réponds que si Ron n'a pas de caleçon, il a un slip. Je vois que tu ne lis pas tellement de fanfiction sur ce site. La grande mode, si j'en crois mes lectures, c'est le boxer ! LOL Oui, je sais… c'est ce que j'ai répondu lors de la première publication… mais on m'a dit que le boxer était une invention moldue récente et donc que les sorciers de souche comme Ron Weasley ne devaient pas en avoir entendu parler… Alors à moins qu'ils parlent fanfreluches avec Harry et Dean… J'imagine la scène… MDR…
