Chapitre 28
Melbourne entraîna Harry un peu plus loin à l'abri des oreilles indiscrètes.
Harry était étonné, il se demandait de quoi Melbourne voulait lui parler.
Il surpris un regard du professeur, ce dernier était grave et anxieux.
- Harry. Je ne sais par où commencer.
Harry attendit, il était bien décidé à le laisser parler.
- Harry, promet moi de ne répéter à personne si ce n'est à Ron Hermione et Ginny ce que je vais te dire. Promet moi aussi de leur faire jurer de se taire. C'est capital.
- Je vous le promets.
Harry était trop avide d'en savoir plus pour contredire Melbourne à ce moment.
- Très bien. Je pense que tu te poses de nombreuses questions sur moi depuis le début de l'année. Par exemple qui suis-je ? Pourquoi ne suis-je pas venu avant enseigner à Poudlard ? Pourquoi personne ne me connaît ?
- C'est vrai
- Ce soir tu auras toutes les réponses à tes questions dans la mesure où je serais capable d'y répondre. Mais je ne sais vraiment pas par où commencer.
Melbourne se tut et ne dit rien pendant un moment, mais Harry ne brisa pas le silence.
- Harry Potter. Tu as reçu à Noël une lettre de tes amis restés à Poudlard dans laquelle ils te fêtaient un joyeux Noël de la part de toute l'AD. Ce soir tu as vu beaucoup des membres de l'AD avec moi vous secourir.
Il fit une pause, Harry était médusé.
Il le vit et reprit en souriant :
- Harry, il s'avère que je connais l'existence de l'AD, mais cette histoire est un peu plus longue, donc elle sera pour après. Donc je disais, l'AD a été reconstituée. Tu dois te demander pourquoi ? Et bien, c'est simple, tous les membres étaient volontaires pour t'aider dans ta tache, à savoir détruire Voldemort. Ils ne supportaient pas l'idée de devoir rester derrière pendant que tu risquais seul ta vie.
Il s'avère que j'ai surpris une conversation entre Mr Ronald Weasley et Miss Hermione Granger, ils parlaient de la reconstituer mais ne voulaient pas t'en parler de peur que tu le prennes mal, ils n'avaient donc pas de professeur.
C'est pourquoi depuis la moitié du mois de novembre c'est moi qui assure ce rôle, c'est aussi pourquoi tu n'as jamais vu Ron et Hermione pendant nos leçons de duels, ils sont aussi entraînés ne t'inquiète pas. Miss Ginny Weasley aussi, mais elle a insisté pour faire les deux. Ils avaient comme consigne de ne pas t'en parler, mais cela a filtré à Noël.
Il fit une pause un peu plus longue
Harry était stupéfait, il se demandait bien pourquoi Ron et Hermione ne s'entraînaient pas avec lui, mais jamais il n'aurait imaginé une telle situation.
Melbourne reprit :
- Cela
peut te paraître surprenant Harry, mais il faut te rendre à
l'évidence, tu n'as pas les capacités pour vaincre
Voldemort pour le moment. Tu auras besoin d'aide, du moins tu auras
de l'aide, car il est hors de question pour toi de vouloir jouer au
héros solitaire et de partir seul au combat.
Maintenant, tu
te demandes sûrement pourquoi je ne suis pas venu plus tôt
à Poudlard ?
Pour une simple et bonne raison, Albus n'avait pas besoin de moi. Mais maintenant qu'il n'est plus les choses changent, il était temps pour moi d'intervenir.
Il marqua une nouvelle pause et regarda Harry droit dans les yeux.
- Maintenant, tu te demandes sûrement pourquoi tu n'as jamais entendu parler de John Melbourne par le passé. La raison est simple : cet homme n'existe pas.
- QUOI ?
- Harry, calme toi. En effet, il s'avère que pour des raisons pratiques, disons, je ne suis pas celui que je prétends être. Sache toutefois que je ne suis pas un mangemort ni un partisan de Voldemort. Je suis de ton côté Harry.
- Mais qui êtes vous alors ? Vous n'êtes quand même pas … Rogue ?
- Non, je ne suis pas Severus Rogue, je vois mal comment Severus Rogue aurait pu revenir à Poudlard, même métamorphosé, après les événements de juin, mais nous parlerons de lui plus tard, Harry. Pour ce qui est de ma véritable identité, tu ne me croirais pas si je te le disais.
- Vous pouvez toujours essayer.
- Pas pour le moment Harry. Mais tu sauras à la fin de cet entrevu.
- Ok
Melbourne le regardait encore plus intensément.
- Je voudrais savoir où tu en es dans ta recherche des Horcruxes ?
Harry n'en croyait pas ses oreilles, comment pouvait il savoir ?
- Harry, Harry, ne soit pas étonné, j'ai dit que tout te sera expliqué avant la fin, il s'avère que j'étais en étroite collaboration avec Albus pour ce qui est de la recherche des Horcruxes. Je sais qu'il a détruit la bague, que la caverne était vide, que le journal de Jedusor est détruit et que Nagini est toujours auprès de Voldemort.
- Monsieur, je ne peux pas vous en parler pour le moment, je ne sais même pas qui vous êtes.
- La leçon de prudence a été bien apprise, je vois que Albus c'est très bien occupé de toi, bien que pas assez je pense. Je le lui répétais sans cesse pourtant, mais il n'était pas homme à vouloir couver les gens.
Enfin, je suppose que tu as raison, il est temps pour toi de savoir.
Ayant dit ces mots, Melbourne regarda Harry puis son visage changea.
Harry connaissait cet homme. Il l'avait déjà vu mais il ne savait pas où.
Il réfléchit pendant quelques minutes et cela lui revint.
- Vous êtes ….
Harry ne pouvait le croire, il avait vu cet homme sur une photo il y avait deux ans. C'était Maugrey qui lui avait montré la photo. L'ordre du phénix pendant la première guerre. Harry ne s'était attardé que sur ses parents, Maugrey lui avait pourtant décrit tout le monde. Il aurait du s'inquiéter de l'absence de cet homme dans sa vie. Surtout aux vues de sa famille …
- Vous êtes … Alberforth Dumbledore ?
- C'est exact, Harry.
- Et comment pouvez vous prouver que vous êtes bien celui que vous prétendez être ?
- Très simple, la confiture préférée de mon frère était celle à la framboise.
Harry se rapella de la discussion avec Dumbledore au début de l'année dernière où ce dernier lui avait parlé des tracts du ministère et dit que sa confiture préférée était bien celle à la framboise.
Il ne pouvait le croire. Le propre frère de Dumbledore sous une fausse identité à Poudlard ? Mais pourquoi ?
- Harry, petite précision, si tu veux savoir comment je connaissais l'existence de l'AD, c'est tout simplement car un petit groupe d'écolier a choisis mon auberge il y a deux ans pour se réunir pour en parler.
- Vous êtes le tavernier de la tête de sanglier ?
- C'est exact. Si les sorties à Pré Au Lard étaient prévues cette année tu aurais peut être remarquer que l'auberge est fermée depuis la mort de mon frère. Je n'avais jamais voulu intervenir depuis la chute de Voldemort il y a 17 ans, mais maintenant que mon frère est mort, il faut en finir.
Tu dois encore te demander pourquoi je suis venu en tant que professeur. Les raisons en sont simples, je voulais te surveiller, te guider, sans toutefois attirer ton attention, et en plus c'était une magnifique couverture pour rechercher des objets suspects dans Poudlard. Tu n'oublies pas que Voldemort recherchait des objets ayant appartenus aux descendants des fondateurs de l'école pour en faire des Horcruxes.
Si je me révèle maintenant, c'est parce que je n'ai rien trouvé dans l'école, et que j'observe depuis quelques temps que tu as de sérieux problèmes.
- Monsieur, comment faites vous pour changer votre visage comme ça ?
- Et bien, Harry, il s'avère que nous avons un don pour la métamorphose dans la famille, Albus, beaucoup plus puissant que moi, était professeur de métamorphose à Poudlard, moi j'ai choisis une vie plus reculée, mais il s'avère que je suis un métamorphomage comme ton amie Tonks.
- Mais pourquoi ne pas vous être investit dans la lutte contre Voldemort ?
- Harry, Harry, il y a différentes manières de s'investir. Ne te rappelle tu pas du souvenir que Albus t'a montré ?
Oh non Tom, juste ami avec les barmans du coin.
Tu sais que ma clientèle était … disons … pas très normale, et c'était parfois utile de pouvoir espionner sans que les gens s'en rendent compte.
- Ainsi vous étiez la quand la prophétie a été faite …
- Oui, Harry, je ne suis pas fier de ne pas avoir vu Rogue rejoindre mon frère en haut, sans quoi tout ceci ne serait pas arrivé.
Mais maintenant Harry, le passé est passé, il faut se tourner vers l'avenir. Je répète ma question : Où en es tu dans la chasse aux Horcruxes ?
Chapitre 28
Harry avait du mal à digérer toutes les informations qu'il avait reçu, plus que depuis le début de l'année, et il était encore surpris. Cette famille n'avait pas fini de le surprendre.
- J'ai trouvé deux objets susceptibles d'être des Horcruxes mais je ne sais pas comment faire pour en être sur.
- Ces objets sont peut être piégés, attention Harry, regarde la main de mon frère.
- Ils l'étaient mais ne le sont plus, je m'en suis occupé.
Abelforth avait l'air impressionné.
- Et quels Horcruxes croit tu avoir trouvé ?
- le médaillon de Serpentard et … La baguette de mon père.
- La baguette de James ?
- Vous connaissiez mon père ?
Harry était surpris.
- Un petit peu, tu dis avoir trouvé sa baguette ? Et qu'elle serait un horcruxe ?
- En tout cas, elle était très bien protégée et défendue.
- Hm mm. Et tu n'arrives pas à déterminer la nature de l'objet ?
- Je ne sais pas comment dire si il y a une partie d'âme ou non dedans.
- Tu n'as pas regardé dans le livre que Albus t'a légué ?
- Non.
- Et le médaillon de Serpentard était où ? Je sais qu'il n'était pas dans la grotte.
Harry sursauta.
- Professeur, comment pouvez vous le savoir ?
Pour la première fois, Harry vit Abelforth tressaillir
- Harry. Je ne voulais pas t'en parler maintenant, mais je ne suis pas aussi habile que mon défunt frère dans les grandes discussions, je laisse passer un peu plus que nécessaire.
Donc, tu dois savoir que Albus était parfaitement conscient de sa mort prochaine.
La bague de Gaunt et le duel contre Voldemort lors de ta cinquième année l'avaient beaucoup affaibli.
Il avait décidé au cours de la sixième année de tout faire pour te préparer, il savait qu'il ne ferait pas plus, car il pensait qu'il était temps de passer la main.
Il s'avère que aux alentours du mois de mai il est venu me trouver à la taverne.
Il m'a dit qu'il avait trouvé une grotte qu'il pensait être celle où Voldemort avait emmené les jeunes moldus pour les traumatiser pendant son enfance.
Il se doutait de la présence d'un Horcruxe là bas, il m'a donc prévenu qu'il irait bientôt. Comme pour la bague de Gaunt je suis allé avec lui.
Tu t'étais peut être demandé comment il faisait pour passer si facilement les obstacles lorsque vous y êtes allés.
Nous y sommes donc allé. La barque nous a posé quelques problèmes, car il nous fut impossible de passer à deux. Mais le plus important était de voir que l'horcruxe n'était plus la, Albus n'a pas reconnu le médaillon de Serpentard, et il avait une très bonne mémoire visuelle.
Il y avait aussi la potion dans le seau qui contenait le faux horcruxe.
Albus l'a identifiée comme étant un très ancien poison, pas un poison comme ceux qui te tuent en une heure, mais un poison qui provoque la folie et qui draine tes forces d'heures en heures, jusqu'à te dessécher complètement. La formule de ce poison est horriblement compliquée, et je ne connais pas de sorciers qui sachent le refaire aujourd'hui. Peut être en existe il mais je ne les connais pas. Ce poison ce nomme le Basilo. Il est nommé ainsi car c'était, lorsqu'il a été inventé, la terreur des sorciers, tout comme le Basilic.
Donc nous étions dans la grotte, Albus avait vu que l'horcruxe n'y était plus et c'est à ce moment qu'il a décidé qu'il était temps pour lui de partir.
Nous sommes donc revenus, et nous avons monté cette petite comédie.
Albus a préparé le livre qu'il t'a légué, au nom de John Melbourne, personnage que j'incarnerai dès la rentrée en tant que professeur.
Il est venu dans la grotte avec toi, mais l'histoire tu la connais.
Harry était bouleversé. Ainsi Albus Dumbledore, le plus grand sorcier que le monde ait connu jusqu'à ce jour avait décidé de sa propre mort, pour aider à détruire le plus puissant mage noir qui ait jamais existé.
- Je n'ai été qu'un pantin donc
- Harry ! Non tu n'as pas été qu'un pantin. Car c'est sur toi que repose la victoire. C'était nécessaire. Tu sais aussi bien que moi que Albus vieillissait, il le savait aussi. Tu te rappelles, Harry, pour un esprit équilibré, la mort n'est qu'une grande aventure de plus.
Harry, nous en venons maintenant au rôle de Severus. Tu l'as vu dans le souvenir qu'il ta envoyé, sur mon ordre, Albus lui avait clairement dit que si le besoin s'en faisait sentir, il devrait le tuer. Severus et Albus ont eu une longue discussion après que Albus soit revenu grièvement blessé à cause de la malédiction de la bague. Severus lui a clairement dit qu'il était en train de s'affaiblir, mais Albus en était conscient. Mais les détails ne te sont pas essentiels.
Le soir où vous êtes allés à la grotte, Severus savait qu'il y aurait une attaque mangemort des que Albus quitterait le château. Il a donc fait exprès de ne pas intervenir aux côtés de l'ordre du phénix !
La mort de Albus par la main de Severus au lieu d'une mort naturelle était toute bénéfique pour nous. Ecoute Harry, ne t'énerve pas ! Si Severus n'avait pas tué Albus, il n'aurait pas eu toute la crédibilité qu'il doit avoir maintenant auprès de Voldemort ! De toute manière Albus était condamné ! Il avait bu le poison, et étant déjà en situation de faiblesse il n'aurait pas tenu longtemps !
Je peux t'assurer que Severus est de notre côté, Harry, il continue depuis l'année dernière à me fournir personnellement des informations sur les agissements de Voldemort.
Severus nous sera utile quand il faudra se débarrasser de Nagini !
Harry ne savait que pensé, il n'aimait pas Rogue, Rogue qui avait joué trop longtemps un double jeu pour être honnête, mais Abelforth inspirait confiance. De plus il était le frère de Albus, donc il ne pouvait être qu'honnête.
Il avait des questions, il se risqua à les poser :
- Monsieur, êtes vous aussi puissant que votre frère l'était ? Le monde de la sorcellerie ne semble avoir d'yeux que pour lui.
- Non Harry. Albus était meilleur et de loin. Dans sa jeunesse son pouvoir était vraiment immense et surprenant. Je ne lui arrivais pas à la cheville. Mais maintenant qu'il est mort et que le ministère se compose de plus en plus de crétins, mon niveau peut être considéré comme bon.
Mais je ne fais pas le poids contre Voldemort, Harry.
- Mais vous êtes si puissant … Contre les araignées … Je n'avais rien pu faire.
- Détrompes toi. Si tu n'as rien fait c'est que tu n'avais pas les outils pour le faire. Hagrid m'a raconté que tu avais encore utilisé le sortilège Lumos pour les aveugler, tu aurais eu le sortilège pyro avant, je ne doute pas que tu t'en serais tiré seul. Harry, tu possèdes un grand pouvoir. Pourquoi crois tu que je te demande depuis le début de l'année d'apprendre des sortilèges par toi-même ? Et les leçons de duel ? Harry, j'essaye de te préparer au mieux pour ce qui t'attend, car ce n'est pas mon combat.
Harry ne put l'expliquer, mais le fait de moins en vouloir à Rogue ne faisait qu'accroître sa haine envers Voldemort. Cet homme, ou du moins cette pâle copie d'être humain, avec son âme mutilée, avait fait tant de ravages dans sa vie ….
Harry commençait à vraiment prendre conscience de ce que lui avait dit Albus Dumbledore l'année précédente, le pouvoir d'aimer Harry. Le pouvoir d'aimer.
- Harry ?
- Oui ?
- Il faut que tu lises attentivement le livre que Albus t'a laissé, il t'expliques beaucoup de choses. Mais je voudrais que tu m'expliques pourquoi Voldemort voudrait faire de la baguette de ton père un Horcruxe ? Ensuite nous rentrerons au château, car il me reste encore beaucoup à faire avant de me coucher.
Harry lui raconta ce qu'avait pensé Hermione. Abelforth fut surpris, mais quand il eut entendu toute l'histoire il dit :
- Très bonne déduction de miss Granger, pour ne pas changer, je ne serais pas étonné que la baguette soit l'horcruxe qu'il nous manque, c'est une très bonne idée.
- Professeur, si les deux objets que j'ai sont des Horcruxes, il ne manquera que la coupe de Poufsouffle, et j'ai une idée d'où elle peut se trouver.
Il n'y avait plus de doute à avoir, Abelforth était stupéfait.
- Tu as bien fait le travail, j'espère que ce sont vraiment des Horcruxes. Et où pourrait elle être ?
- Je me suis rappelé que Voldemort avait déposé un Horcruxe sur un lieu représentant sa jeunesse, il n'avait pas pu en poser un à Poudlard, mais je me suis demandé s'il n'avait rien laissé chez Barjow et Beurk, qui fut son premier travail, chose importante, je pense.
Abelforth avait écouté Harry. Ses yeux brillaient.
- Très bonne idée, Harry, mais ce ne sera pas facile de vérifier. Cette boutique est vraiment mal famée et je te vois mal entrer dedans, tu es trop connu et le chemin de traverse n'est pas fiable ses temps ci.
J'irais donc à ta place voir si je trouve cette coupe. Mais le cas échéant, je te la ramènerai, mais tu devras faire le reste.
- Ok
- Et maintenant rentrons au château, et demain soir nous aurons une séance de duel Harry, je ne te propose pas de venir aux séances de l'AD, tu as un niveau bien supérieur à ce que nous faisons.
- Ok
- Une dernière chose Harry. Il ne faut absolument pas que tu parles. Personne ne doit savoir qui je suis, je n'ai pas envie de répondre à des questions embarrassantes, pour toi je devrais encore être le professeur Melbourne en public, si tu le raconte à tes amis, cela devrai être pareil. J'y tiens, Harry. Ah oui, le professeur Mcgonagall est au courant.
- QUOI ? Je lui ai demandé des informations sur vous au début de l'année elle ne m'a rien dit
- Elle avait promis de ne rien en faire.
- ok, je ne dirais mot, et merci pour ses explications.
- Harry, une dernière chose que je dois aborder avec toi. Il va falloir que nous trouvions une solution pour que tu réussisses à fermer ton esprit, c'est ta grande faiblesse à ce jour.
Le seul problème, c'est que je ne suis pas du tout doué dans ce domaine.
- Ok professeur. Merci
Harry pensa que des leçons d'occlumancie non données par Rogue ne pourraient pas être trop horribles.
