Disclaimer : Bon, tous les personnages que j'utilise ne sont pas ma propriété. Ils appartiennent à Mme J. K. Rowling. Merci à elle de les avoir créer pour notre plaisir à tous.

Note de l'auteur : Et bien voilà ma première incursion dans le monde de Harry Potter. Seulement pour l'écriture parce que pour ce qui est d'en lire… Au moment où je publie, cette fic n'est pas terminée mais elle est déjà bien avancée. Je vous promets d'aller au bout de cette histoire qui, j'espère, vous plaira. Donner moi votre avis !

Merci à Eléna pour ses commentaires et ses corrections.

Pour information, j'utilise 'Draco' plutôt que 'Drago'. Par contre, il est possible que j'utilise les deux orthographes de son nom de famille ('Malefoy' et 'Malfoy'). Dans le même ordre d'idée, si j'en venais à utiliser ce personnage, j'utiliserai 'Snape' plutôt que 'Rogue'.

Sur ce, bonne lecture !

Chapitre 7

Quatre jours ! Cela faisait déjà quatre jours que Harry avait quitté l'appartement qu'ils occupaient ensemble depuis maintenant depuis six ans. Et c'est la première fois que Draco se sentait aussi mal dans ce lieu où il avait tant de souvenirs. Encore heureux qu'il avait eu son travail les deux derniers jours parce que s'ils avaient été à l'image de la journée du jeudi, celle où tout avait commencée…

« Non, ce n'est pas là que tout a commencé… Ca dure depuis cette histoire d'enfant avec toute cette incompréhension entre nous… Je pense que ça ne peut aller que mieux maintenant. Malgré nos caractères bien trempés, on n'a jamais été aussi loin l'un de l'autre. C'est bizarre, j'ai même l'impression qu'on était plus proche pendant nos premières années à Poudlard ! Et c'est pas peu dire ! »

On était dimanche matin, le jour n'était pas encore levé et Draco se retournait dans le canapé depuis un moment déjà. Depuis que Harry était parti, il n'avait pas réussi à dormir dans leur lit, mais de toute façon il dormait très peu. Il était d'ailleurs beaucoup sorti. Après la phase de sidération qui s'était abattue sur lui après le monologue de Harry, il avait transplané pour se promener sur les côtes de Cornouailles pendant deux heures puis il était revenu à l'appartement où il avait fait du rangement. Ensuite il était reparti du côté de Liverpool où il était resté dans un pub jusqu'à la fermeture. La nuit et les deux jours suivants n'avaient pas été plus calmes. Il ne tenait pas en place, ne sachant pas s'il voulait partir de cet appartement où, pour l'instant, il n'était pas bien, ou si, au contraire, il restait, ne sachant pas où aller (et si Harry le contactait ou revenait, mais ça il ne l'aurait pas avoué même sous la torture). A plusieurs reprises il avait voulu discuter de ses problèmes avec quelqu'un mais personne ne lui venait à l'esprit. Enfin, s'il était honnête avec lui-même les deux personnes auxquelles il pensait, il n'osait pas les contacter. Il avait déjà eu du mal à accepter que ses premières pensées soient allées vers Hermione. Alors il avait contacté son ancien professeur de potion avec qui il avait gardé contact pendant toutes ces années, mais celui-ci n'avait pas répondu à ses appels.

Tout en se retournant pour une énième fois, il laissa ses pensées dériver vers la fin de ses années à Poudlard, quand Séverus était devenu plus qu'un simple enseignant.

« Je me souviendrais toujours le jour de la rentrée en septième année. Je me posais déjà beaucoup de questions sur le bien fondé des actes de mon père avant l'été, surtout avec tout ce que Harry m'avait appris, mais après toutes les horreurs que j'avais vues et entendues en deux mois, j'étais dans un état lamentable. Dans le train, Harry avait voulu se précipiter vers moi pour me réconforter mais entre ses amis et les gens qui m'entouraient… D'ailleurs eux n'avaient pas remarqué que j'allais mal… Alors c'est Séverus qui a réussi à me faire parler. Il lui a d'ailleurs fallu beaucoup de patience… Mais je lui en serais éternellement reconnaissant. Grâce à son écoute, j'ai pu reforger mon masque et duper mon père quelques mois de plus, même si c'était difficile. Et quand il m'a battu… »

Draco se redressa et secoua la tête comme pour effacer ce souvenir douloureux. Il jeta un coup d'œil à sa montre qui indiquait '7h03'. Il décida donc de se lever sachant parfaitement qu'il ne se rendormirait pas. Il prit une douche rapide, s'habilla et se dirigea vers la cuisine pour prendre un petit déjeuner. Mais après cinq minutes à ouvrir les placards pour faire son choix, il fit une grimace de dégoût et se tourna vers la cafetière. Il avala lentement son café assis sur le canapé du salon, le regard perdu dans le vide, à se demander ce qu'il allait bien pouvoir faire de sa journée. A un moment, il envisagea d'aller travailler mais il repoussa rapidement cette idée, se disant qu'il ne serait sûrement pas d'une grande efficacité. Il décida donc de s'occuper de la maison. Mais au bout d'une demi-heure, et après avoir changé six fois d'activité, il finit par avouer que l'appartement était parfaitement rangé et qu'il ne pouvait pas faire mieux. Il s'assit à nouveau dans le salon, un air perdu toujours sur le visage, et tout à coup il se le va, se dirigea rapidement vers l'entrée, enfila chaussures et veste et sortit de l'appartement en murmurant :

Ce n'est plus possible, il faut que je fasse quelque chose.

Quand il se retrouva dans la rue, il jeta un coup d'œil vers la bouche de métro, semblant hésiter, puis après un soupir résigné il descendit les escaliers. L'endroit où il allait n'était pas directement relié au monde magique comme l'appartement l'était. Il s'installa dans la première rame qui passait et s'assit contre une vitre. Il n'y avait pas beaucoup de monde, ce qui l'étonna dans un premier temps car à chaque fois qu'il allait faire des courses avec Harry une foule hétéroclite se pressait. Il laissa son regard se perdre dans les paysages qui défilaient, refusant de voir les éventuelles personnes heureuses autour de lui. A Nothing Hill Gate, il faillit manquer son changement. C'est finalement vers 10h qu'il arriva devant la porte de la petite maison du quartier résidentiel dans lequel il circulait depuis qu'il était sorti du métro. Depuis ce moment là, il commençait sérieusement à tergiverser sur le bien fondé de sa démarche et son pas c'était sérieusement ralenti.

« On est dimanche matin. Je vais sûrement les déranger, peut-être même les réveiller ! … Mais non, je suis bête, avec une enfant de presque deux ans, ils ne doivent plus dormir depuis un moment… »

Il en était là de ses réflexions, devant la porte des Weasley-Granger, quand cette dernière s'ouvrit rapidement sur Ron et Samantha, le faisant sursauter.

Malfoy ? Pardon… Draco , rectifia Ron après une courte pause, étonné.

Draco ne s'étonna pas de cet étonnement car jamais il n'était jamais venu seul, sans Harry.

Bonjour D'aco , dit de son côté la petite fille sur un ton plutôt joyeux.

Bonjour la puce , sourit Draco en lui ébouriffant tendrement les cheveux. Bonjour Ron. Je venais voir si Hermione avait un peu de temps pour discuter avec moi. Mais je suis ridicule. Je vois que vous alliez sortir vous promener. Dis-lui de me contacter plus tard, si elle a le temps. Mais si elle ne peut pas, c'est pas grave.

Il avait dit ça très rapidement, se dirigeant déjà vers les deux marches qui le reconduiraient vers la rue. Une seconde de plus et il serait sûrement parti tant il se sentait mal à l'aise ici. Mais Hermione avait entendu ce qu'il avait dit et avait ouvert la porte en grand avant de s'adresser à lui.

Entre Draco, il n'y a pas de problème ! C'est une promenade père-fille qui se préparait !

Tu as probablement plein d'autres trucs à faire comme préparer tes cours, corriger des copies…

Je ne fais jamais ça le dimanche et puis tu es venu jusqu'ici, en métro j'imagine, donc tu as vraiment besoin de me parler pour avoir fait un tel effort… , ajouta-t-elle un petit sourire aux lèvres.

Merci.

Et il se glissa dans l'entrée tandis que Sam tirait son père vers l'extérieur. Ron la suivit, non sans jeter un regard méfiant au blond. Hermione referma la porte derrière eux tandis que Draco retirait sa veste.

J'ai l'impression que Ron a toujours du mal avec ma présence…

Il ne t'en veut plus vraiment, surtout après tout ce que tu as fait pour nous mais il a toujours en mémoire toutes les phrases pas forcément aimables que tu nous as adressées pendant toutes les premières années à Poudlard.

Si tu savais combien j'aimerais pouvoir effacer tout ça parfois…

Tu ne peux rien y faire. Et puis c'est aussi ça qui nous a conduit à être ce que nous sommes aujourd'hui. Et maintenant si tu me disais ce qui ne va pas, demanda-t-elle après une pause pendant laquelle ils s'étaient installés dans le salon. Parce que je ne pense pas que tu sois venu parler du passé.

Non, tu as raison, mon présent est déjà bien assez compliqué comme ça… Mais c'est tellement difficile. Je ne sais pas comment t'expliquer.

Est-ce que ça a quelque chose à voir avec Harry , tenta de l'aider Hermione.

Oui, enfin… je ne sais pas… Si, bien sûr, toute ma vie à rapport avec Harry… Je sais qu'il est venu chez vous il y a quelques jours. Comment… comment il était ?

Chacune de ses phrases était entrecoupée de silence que n'osait pas rompre Hermione.

Pas bien, mais je ne pourrais pas t'en dire plus, il ne m'a fait aucune confidence.

Draco eu un petit sourire triste. Ca ressemblait bien à Harry de venir voir ses amis, juste pour être entouré, là où il savait qu'on ne lui dirait rien.

On s'est disputé. Vraiment. Fort. C'est pas la première fois, enfin si d'une certaine manière. Ca n'a jamais été aussi violent même si on n'a pas beaucoup crié. Et puis d'habitude on se réconcilie rapidement. Là, ça fait quatre jours ! Quatre putains de jours ! Excuse-moi, ajouta-t-il rapidement.

Vous avez tous les deux un caractère… et bien, bien trempé, on va dire ! C'est normal qu'il y ait parfois quelques tensions, tu ne crois pas ?

Oui, mais là, ça fait un moment qu'on arrive plus à parler. On est bien tous les deux mais parfois j'ai l'impression qu'il y a une certaine routine. Je ne sais pas trop où on en est. On a déjà surmonté tellement de difficultés tous les deux… Est-ce qu'on va réussir à surmonter celle-là, surtout qu'elle est de taille !

Je suis sûre que vous pouvez tout dépasser. Je veux dire, tu l'aimes tellement… Et lui aussi il t'aime, ça aussi tu le sais. Il faut juste ne pas oublier ça. Et puis tu sais aussi bien que moi que parfois Harry est… impétueux on va dire !

Un long silence suivit. Draco réfléchissait à ce qu'Hermione avait dit. Il était parfaitement conscient qu'il aimait Harry mais il réalisa qu'ils avaient un peu oublié de cultiver cet amour ces derniers temps. A part la dernière soirée qu'ils avaient partagée avant le départ d'Harry… Ce souvenir le laissa un peu songeur. Il lui avait montré de bien des façons qu'il tenait vraiment à lui : les plats qu'il avait fait, la décoration du salon, la façon de lui faire l'amour… Il poussa un soupir et redressa la tête, son regard tombant sur Hermione assise dans le fauteuil en face de lui. Elle était calme et n'avait pas chercher à faire sortir Draco de ses réflexions.

Merci…

Pour quoi , demanda Hermione.

Merci de m'écouter, de me laisser réfléchir…

C'est normal, les amis sont là pour ça !

Vas-y, je sens qu'il y a une question qui te brûle les lèvres, l'incita Draco.

Et bien, tu ne veux pas me dire quels sont vraiment vos problèmes ?

Non, pour l'instant c'est entre Harry et moi. Mais je suis sûr que tu as déjà une petite idée, observatrice comme tu es ! Et toute cette conversation me fait vraiment prendre conscience que j'ai besoin de lui parler. Tu ne saurais pas où il est descendu par hasard ?

Non, pas la moindre idée. Tu peux toujours lui envoyer un hibou.

Je pourrais mais je pour une telle conversation je ne me vois pas faire ça par courrier, ni même par cheminée si je pouvais utiliser ce moyen là. Je veux être en face de lui.

Dans ce cas, tu n'as plus qu'à attendre qu'il rentre.

Ou je peux aller le rejoindre mais on revient au problème de savoir où il est.

Tu es allé au journal ?

On est dimanche. Y'a sûrement personne…

Je vais téléphoner, on ne sait jamais.

Hermione quitta la pièce. Immédiatement Draco se mit à penser à ce qu'il pourrait dire à Harry, à comment il pourrait le joindre… Il voulait vraiment faire ça rapidement. Il ne se voyait pas attendre plusieurs jours avant de poursuivre cette conversation à propos des enfants.

Cinq minutes plus tard, la brune réapparut.

Il y avait du monde mais ils ne savent pas non plus où il est. Il ne les a pas contacté. Mais il est parti seulement hier…

Je sais. Je crois que je vais lui écrire. Oh, rien de précis, juste que je veux lui parler. Et puis ensuite… et bien, on verra ! Je vais rentrer. Merci encore de m'avoir écouté.

Tu ne veux pas rester déjeuner avec nous ? Tu es tout seul depuis plusieurs jours, dans un moment difficile. Ca ne doit pas être très drôle…

Je ne veux pas déranger.

Arrête avec ça ! Tu es le bienvenu, tu le sais !

Merci, dans ce cas j'accepte. Ca ne me fera pas de mal de voir un peu de monde.

Je vais te chercher une plume et un parchemin.

Draco écrivit un mot rapide à Harry, l'envoya avec Gaston, le hibou de Hermione, puis rejoignit cette dernière dans la cuisine où elle s'était attelée à la préparation d'un gâteau. Il donna un coup de main. Hermione avait lancé la conversation sur la préparation des potions. Elle travaillait à l'université et était au fait des dernières découvertes, même si ce n'était pas son domaine. Draco eu une pensée furtive pour les nombreuses fois où une situation similaire s'était trouvé chez eux, Harry aux fourneaux et lui à l'épluchage ou tout simplement au service d'un verre de vin, discutant de manière animée des potions, des aurors, de Quidditch, des articles de Harry… Il chassa rapidement ces images pour se reconcentrer sur la situation actuelle.

Un peu avant midi Ron et Samantha refirent leur apparition. Ron fit une drôle de tête en voyant le blond installé dans sa cuisine mais ne dit rien et aida sa femme à préparer le repas. Et malgré l'absence de Harry la discussion fut des plus chaleureuse.

C'est bizarre d'être un des plus vieux de l'équipe, disait Ron.

Pourquoi ça , demanda poliment Draco.

J'ai 30 ans et on me pousse à la retraite. Je sais que j'ai encore quelques années devant moi mais il faut que je songe à ce que je ferais après. Et pourtant, je me sens encore très en forme !

Et la proposition que tu as eu d'aller entraîner cette équipe , repris Hermione.

C'est tentant mais j'ai encore envie de jouer et ils ne m'attendront pas indéfiniment.

Draco, après un regard attendri à Sam qui s'écroulait lentement sur la table, se leva et pris la petite fille dans ses bras.

Je crois qu'il est l'heure de la sieste de la demoiselle. Je la monte.

Je viens avec toi, dit Ron tranquillement et il donna un rapide baiser à Hermione qui s'était levée pour ranger la table.

Ils avaient mis la petite dans son lit et elle s'était endormie tout de suite. Ils étaient tous les deux appuyé au chambranle de la porte, la regardant affectueusement. Ron se tourna alors vers le blond et lui murmura, pour ne pas réveiller sa fille :

Je voulais juste te dire que je ne t'en veux plus même si parfois je donne encore cette impression. C'est juste que les habitudes sont difficiles à effacer. Mais je vais faire des efforts, encore plus que jusque là je veux dire… Tu es quelqu'un de bien et je suis heureux que Harry est trouvé quelqu'un comme toi. J'espère que vous réussirez à résoudre vos problèmes, quels qu'ils soient.

Merci Ron, ça me touche vraiment.

Ils redescendirent alors et Draco prit congé du couple, non sans avoir promis qu'il n'hésiterait pas à revenir, avec ou sans Harry, pour parler où juste pour passer un moment agréable. Pendant qu'il rentrait ses pensées dérivèrent vers cette journée.

« Voilà que je commence à me sentir chez moi dans cette maison. Harry déteint vraiment sur moi ! Et puis je crois que je n'ai jamais autant dit merci dans une journée, surtout à eux ! Maintenant, je sais qu'il faut que je dise vraiment ce que je ressens à Harry, qu'il le veuille ou non. La dernière fois, il ne m'a pas laissé le temps de réagir mais cette fois-ci il n'y échappera pas. Même si je ne sais pas encore ce que je vais dire… »

Il arriva chez lui vers 15h. Il retira ses chaussures et suspendit sa veste. Il prit une grande inspiration et se dirigea vers leur chambre et après avoir jeté un coup d'œil circulaire à la pièce il se laissa tomber sur le lit. Et rapidement il s'endormit.

Il était un peu plus de 18h quand il commença à émerger. Il jeta un regard au réveil, puis à la fenêtre et constata que la nuit commençait à tomber. Il entendit des faibles bruits provenant du salon. Il attrapa sa baguette qu'il avait laissée sur la table de nuit et se dirigea vers la source du bruit, prêt au combat. Mais il se rendit rapidement compte que c'était quelqu'un qui cherchait à le joindre par cheminée. Il lui tournait actuellement le dos alors il s'éclaircit la gorge pour faire réagir l'homme.

Ah, enfin… Bonjour Draco.

Séverus ? Où êtes-vous ? J'ai cherché à vous joindre hier !

Je pense que votre compagnon se fera une joie de vous expliquer cela dès son retour.

Et devant l'air totalement éberlué du blond, il poursuivit.

Vous cachiez mieux vos sentiments il y a quelques années. Je vous parle de Harry, votre compagnon…

Comment savez-vous cela ?

J'ai une source de première main, notre star du monde magique en personne ! Mais là n'est pas la question. Il m'a demandé de vous prévenir qu'il devrait être rentré vers 19h30.

19h30 ? Aujourd'hui ?

Et bien oui… Son enquête est presque finie et les détails sont à voir en Angleterre. Il vous dira ça mieux que moi.

Merci de m'avoir prévenu. Et, Séverus ?

Oui, Draco ?

C'est vraiment lui qui vous a dit qu'on était ensemble ?

Oui, vraiment. Bonne soirée Draco.

Merci. Bonne soirée à vous aussi.

Draco prit quelques minutes à réaliser mais rapidement son air hagard fut remplacé par un air beaucoup plus déterminé. Il se redressa, partit vérifier l'approvisionnement du frigo. Après avoir constater qu'il y aurait de quoi faire un dîner simple, il partit prendre une douche. Une fois cela fait il s'installa sur le sofa et attrapa un journal qu'il avait laissé sur la table basse pour essayer de passer le temps. Mais son attention n'y était pas. Pendant l'heure que dura son attente, il tourna deux pages seulement et aurait été bien incapable de retransmettre ce qu'il avait lu. Quand la clef tourna dans la serrure à 19h25, il sursauta.


Désolée pour la mise en page des dialogues mais c'est pas ma faute ! C'est FF qui fait des siennes... Je voulais absolument publier ce chapitre avant de partir en vacances donc je n'est pas le temps de me pencher sur comment faire revenir les petits traits des lignes de dialogues... J'espère que ça restera compréhensible tout de même. J'ai mis ces passages en gras pour les différentier du reste du texte. Dites moi si ça vous conviens (ou si vous avez une ruse pour avoir les traits !), au cas où ça fasse la même chose le mois prochain !

Réponses aux review :

Merci pour vos review, ça fait toujours autant plaisir. J'espère que cette suite sera à la hauteur de vos attentes ! Je pars en vacances à la fin de la semaine (une semaine de ski, le rêve !) mais ça ne m'empêchera pas d'écrire la suite. Vous aurez le prochain chapitre dans un mois… A+

Onarluca : Et oui, je tenais à faire apparaître Snape, même si on ne le voit pas beaucoup…

Sev Snape : Comme je viens de le dire, je pense que je ne ferais pas beaucoup apparaître Snape mais on ne sait jamais, tout n'est pas écrit !

Vert Emeraude : Et oui, Draco n'est pas rapide, mais c'est seulement parce qu'il a du mal à exprimer ses sentiments !

Oxaline : Tu n'es pas la seule à avoir apprécié la rencontre avec Snape ! Pour ce qui est des pensées, j'aime bien ce mode d'expression mais ce n'est pas toujours facile à écrire !