RAR :

Charlita : Whaou ! Milles fois merci pour ta longue review ! Et non, tu ne m'embête jamais avec tes reviews, je les adore ! Contente que tu ais apprécié le concert privé de Charlie sur le terrain de golf. Je me suis éclaté en l'écrivant. Au départ, je voulais faire une conversation entre la rock star et sa belle et c'est devenu ça. La conversation, ce sera pour plus tard, lol. J'étais pliée de rire en lisant ton mot, surtout avec la pancarte faisant référence à Ethan. Je suis d'accord avec toi que là on a atteint le comble du protectionnisme. Le prochain qui la regarde de travers, tarre sa gueule à la récré ! Pour le 'bande de capitaliste', j'imaginais bien Andrej ronger son frein en aidant les autres, alors en plus si ils ont un terrain de golf sur une île perdue et dangereuse…d'autant que le golf, c'est pas tout le monde qui y joue (perso, ce serait plutôt le mini golf avec les ailes du moulin qui empêche la balle de rentrer…et je revendique !) Pour kate, ça ne fait que commencer, ah !ah !ah ! (rire de dément). Mais qui te dit qu'elle va finir avec l'un d'entre eux ? Elle va peut être gagner la rose de hurley, lol. J'ai également adoré samedi, bon un peu moins quand c'était centré sur elle et quand elle a menacé mon ti sawyer de prendre sa place. Mais comment qu'il l'a remise à sa place : maintenant, c'est elle la pestiférée ha !ha !ha ! (rire de dément, le retour). Ca me tape aussi sur les nerfs ses yeux dans le vague quand on lui parle de son passé ou de l'amour de sa vie qu'elle a tué sans le vouloir. En tout cas, je brûle des cierges pour que ce soit elle qui meurt dans la seconde saison mais faut pas rêver…quoique. Ah !ah !ah ! Pour ce qui est du cas Andrej, je vais le sociabiliser un peu mais pas de trop et il doit bien y avoir quelqu'un pour les protéger du tueur sanguinaire…uhm, uhm (je me comprends.) En ce qui concerne Thia sans peur mais pas sans reproche, en fait elle agit comme ça parce qu'elle ait atteinte de je m'en foutisme aigu et incurable mais je vais quand même tenté de la rendre un peu plus humaine (…c'est pas gagné, lol.) Pour ce qui est de l'affreux-monstre-mais-comment-peut-on-savoir-s'il-est-affreux-quand-on-l'a-jamais-vu, il garde sa part de mystère, c'est quelqu'un de très timide (…le cerveau est fatigué je crois.) Bon, je vais aussi arrêter avec ma RAR XXL et vais plutôt écrire le reste de l'histoire en espérant que tu l'apprécies tout autant.

The Werewolf : Merci de ta review, elle m'a fait drôledement plaisir ! Contente que tu aies apprécié ce chapitre. Et voui, l'amortisseur de chute sawyer est le tout nouveau gadget à la mode à Hollywood. Aucune star ne sort sans : il est inévitable et confortable grâce aux réserves de nourritures qu'il s'enfile après les avoir caché/vol aux autres, lol. Contente que tu ais apprécié mister Sawyer dans ce chapitre (j'adore écrire sur lui…non, on l'avait déjà remarqué ? bizarre, lol). Alors je vais m'employer à répondre à tes questions en espérant que mes réponses te satisferont. Pour ce qui est du monstre, la réponse est non. Malheureusement (ou heureusement ?), ils ne l'ont pas vu mais seulement senti et entendu. Cette chose a décidé subitement de ne pas aller la manger de risque de faire une indigestion en mangeant de la viande un peu trop dure…(quand je disais que le cerveau était fatigué !). Il s'est arrêté à quelques mètres d'eux et s'en est détourné mais caché par la végétation dense de la jungle. Donc, ce n'est pas aujourd'hui qu'on va savoir ce qu'est ce système de sécurité…En ce qui concerne Kate, la réponse est dans ce chapitre et comme indice, je peux te dire que c'est un monsieur très gentil, aimable et souriant, lol. J'espère que tu aimeras également ce chapitre.

Note : Un passage est inspiré par 'le monde perdu de Sir Arthur Conan Doyle', les fans reconnaîtront (et aussi les moins fans que j'ai bassiné avec cette scène…n'est ce pas les filles ?). Sinon, le reste vient de moi et de moi et de moi…ah et aussi de J.J. Abrams, il veut toujours pas avouer que l'idée de lost est de moi et pas de lui !

Chapitre 7 : Comme on se retrouve…

Kate poussa un gémissement et sentit du liquide chaud parcourir sa tempe mais quand elle voulut l'essuyer du revers de la main, elle se rendit compte que quelqu'un l'avait attaché. Elle ouvrit les yeux pour se rendre compte qu'elle se trouvait dans le fond d'une caverne que le soleil tentait d'envahir avec ses rayons ardents, sans succès. La jeune femme se mit alors à frénétiquement tenté de se libérer de peur de voir arriver celui ou celle qui l'avait assommée et emmenée ici.

« C'est désagréable, n'est ce pas ? »

Une voix chaude et masculine se répercuta sur les parois lisses de la cavité tandis qu'une silhouette massive se découpait à contre champs.

« Être tenu comme un animal en cage, être traité en tant que pire créature de l'espèce humaine…vous n'appréciez pas, n'est ce pas ? »

Maintenant, elle pouvait le voir : grand type basané, le crâne rasé, des yeux d'obsidienne, des cicatrices parsemant son corps athlétique.

« Cependant, c'est avec raison que je l'ai été. » continue-t-il en lui adressant un sourire carnassier.

.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.

La course de Nikolaï commence à perdre de la vitesse et il s'arrête complètement en voyant Locke figé dans une clairière les mains en l'air, observant d'un regard sans faille un point qui se trouve hors de vision du russe. Celui-ci sort, sans hésitation, son 9mm et avance avec prudence vers la lisière pour entrapercevoir une femme d'une quarantaine d'années tenir en respect de son fusil le chasseur.

« Comme on se retrouve… » déclare-t-elle

L'homme lui fait un signe de tête respectueux tandis que Nikolaï se rapproche en douceur de l'inconnue pour la prendre par surprise.

« Et dis à ton copain que je l'ai remarqué et que si il fait un pas de plus, je te descends en moins de deux ! »

Le scandinave ne peut s'empêcher de laisser passer un sourire et vient se positionner entre les vieilles connaissances mais ne baisse pas pour autant sa garde.

« De un, déclara-t-il, je ne suis pas son copain ; de deux, vous pouvez le descendre, j'en ai strictement rien à faire…

« Vous n'êtes pas comme les autres…réplique-t-elle en reportant son attention sur lui, le regard troublé.

« Content d'être moi-même.

« Vous êtes comme les autres…crie-t-elle, soudain effrayé, en disparaissant dans la végétation dense de la jungle.

« Et ça lui prend souvent à celle-là ?

« Elle est un peu dérangée mais vous le seriez également à vivre seul sur une île pendant 16 ans.

« Peut être bien que oui, peut être bien que non. Il faudrait peut être…

« Chercher après les autres, je sais. » poursuis Locke en revenant sur leurs pas.

Le scandinave le regarde s'éloigner, les sourcils froncés, puis lui emboîte le pas.

.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.

Ils sont tous regroupés autour du feu de camp et mangent calmement tandis que la nuit enveloppe l'île d'une aura de mystère. Bizarrement, aucune des personnes présentes ne parlent, donnant à ce repas des allures de veillée funèbre. Peut être en raison de l'attitude taciturne d'Andrej qui jette un froid sur l'humeur enthousiaste des autres rescapés. Il a passé sa journée avec Sahid et Jack à posé des pièges afin d'éviter des rencontres fâcheuses. Le russe lève son nez vers le ciel couvert de nuages gris, empêchant les étoiles d'apporter une note de rêve à l'obscurité.

« La neige va arriver… »

Tous le regardent avec incompréhension : ils étaient sur une île perdue en plein milieu du pacifique sud avec une île tropicale gorgeant d'animaux et de fruits exotiques…alors la neige n'était pas envisageable.

« Qu'est ce que vous racontez ! s'exclama Sahid.

« Je sais ce que je dis. »

L'oriental l'observa encore pendant quelques secondes avant de secouer la tête d'incompréhension. A nouveau le silence glacial s'abattit sur le camp jusqu'à ce qu'un hurlement le déchire. Sans réfléchir, Jack, suivi de près par Sahid et Andrej, fonce dans cette direction pour découvrir Hurley ensanglanté un pieu dans l'épaule. Tandis que le médecin s'active à faire cesser l'hémorragie, Andrej observe les alentours, visiblement contrarié, et Sahid le questionne :

« Qu'est ce qu'il s'est passé ?

« Je me suis pris un de vos foutus pièges. Vous pourriez indiquer où vous les mettez ! Bordel, ça fait un mal de chien, Jack !

« Désolé, réplique celui-ci après avoir retiré le morceau de bois des chairs.

« Bien sûr, ironise le scandinave, je vais mettre des petits panneaux : danger, piège, ne marchez pas là…

« Au moins, prévenez nous !

« En même temps, Hurley pourquoi t'es sorti du camp par ailleurs que les entrées sécurisés ?

« Je devais aller au petit coin…

« Ca devrait aller, dit Jack en voyant que le flot de sang avait diminué et que la frayeur était passée.

« En tout cas, c'est efficace votre truc, commente la victime.

« Non, ça aurait dû vous tuer. » répond Andrej en recommençant à étudier son mécanisme, sous les regards stupéfaits des autres.

.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.

« Vous allez me tuer ? »

Janus lève des yeux surpris vers sa prisonnière et ses lèvres minces se fendent en un large sourire quand il lui répond avec son fort accent russe.

« Vous savez parler maintenant ?

« Vous allez me tuer ? persiste Kate.

« Pas maintenant, s'il vous plaît, gémit-il. Les supplications, pour après.

« Vous aller me torturer.

« C'est dans le plan.

« Vous allez me violer ? »

A ces mots, il relève la tête et l'interroge du regard avant de retourner à ses activités d'aiguisement de couteau.

« Pourquoi je le ferai ? Vous n'êtes pas mon type.

« Christina l'était ?

« Qui ?

« Celle que vous avez tué, espèce d'immonde résidu de fausse couche putride.

« Soignez votre vocabulaire mademoiselle. Ce n'est pas joli dans votre bouche. Et je ne peux pas me rappeler des noms de toutes mes victimes.

« Qu'allez vous faire de moi ?

« Vous utiliser pour l'avoir. »

.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.

Journée d'été à la campagne, une petite fille court après des papillons dans la praire à côté de chez elle. A quelques mètres de là, des noceurs célèbrent joyeusement le mariage de Ievtikh, un des frères de l'enfant, et de Olia, une fille du village. La petite fille aux verts en amande sourit à un voisin de son âge qui lui fait signe en passant avec son père. Elle lui envoie un baiser qu'il attrape au vol et qu'il met sur sa bouche, la faisant rougir. Une voix masculine résonne derrière elle, l'appelant par son nom, et elle se retourne pour découvrir son cousin adoré qui l'observe, le sourire aux lèvres. Elle se précipite alors dans ses bras en poussant des cris de joie intense.

« Kousin ! Ti vozvratilsia ! (Cousin, tu es de retour !)

« Ia nie ostavliou nikogda moiou malienkanouioi printsessou ! (Je n'abandonnerai jamais ma petite princesse !)

« Ti mnie v ztom klianiechtasia ? (Tu me le jures?)

« Na moiei jizni, nikto drouguoi ouiem ia nie oustanovit eguo rouk na tebe. » (Sur ma vie, personne d'autre que moi ne posera ses mains sur toi.)

L'enfant, rassurée, fit un sourire éclatant avant de serrer dans ses bras son cousin qui observait un point derrière elle, le regard de glace.

Quelques semaines plus tard, la petite fille tentait d'inculquer un peu d'éducation à un chien errant qu'elle avait adopté quand elle vit passé son voisin, hurlant et pleurant de douleur, portant dans ses bras un petit paquet flasque. Il était couvert d'une substance rougeâtre et laissait sur son passage une marque sanguinolente qui mêlée à ses gémissements désespérés vous faisait froid dans le dos. L'enfant se redressa et fronça les sourcils quand il croisa son regard. Ses yeux descendirent sur son chargement et elle dût plaquer ses mains contre sa bouche pour s'empêcher de hurler quand elle vit une petite main inerte en dépasser.

Thia se redresse en hurlant de frayeur, trempée de sueur, faisant également crier de peur Sawyer sorti de son sommeil par le mauvais cauchemar de la jeune femme.

« Quoi ? Qu'est ce qu'il y a ? Non mais ça va pas la tête, j'ai failli avoir une crise cardiaque de votre faute. Il faut vraiment que vous alliez voir un professionnel parce que là ça va pas marcher si vous continuez comme ça !»

Il se tait en voyant le regard terrifié que lui lance la mercenaire en tentant de retrouver son calme et d'endiguer un flot de larmes, qui malgré ses efforts inondait déjà son visage.

« Oh ! Ca va vraiment mal. Mauvais rêve ?

« Mauvais souvenir, dénie-t-elle.

« On en a tous qui reviennent nous hanter de temps à autre.

« Ouais, on va dire que j'en ai un peu plus que la moyenne…

« Je pense qu'on est dans le même cas. »

Les deux jeunes gens s'observent du regard pendant un moment, se rendant compte qu'ils ont un peu trop de choses en commun et que c'est dangereux pour les affaires. Alors qu'il allait faire un geste pour la rassurer, Thia se redresse et reprends son attitude d'indifférence, exaspérant le jeune homme qui reprend sa position initiale.

« Il gèle ici ! La neige arrive.

« Ouais, c'est ça. Une jungle tropicale sous la neige…Et le Père Noël, vous croyez qu'il va passer cette année ? »

.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.

Claire grelottait en serrant contre elle son bébé. Il ne devait pas faire plus de 10 degrés et même près du feu, elle était gelée.

« Comment ça se fait ? interrogea-t-elle Jack.

« Encore une bizarrerie de l'île, proposa Charlie à ses côtés qui farfouillait dans son sac.

« Non, en fait intervint Artz, le phénomène c'est qu'en présence de nuages élevés, la vapeur d'eau contenue dans l'air se condense directement sur les particules… »

Tandis que le professeur de science dispensait son cours aux rescapés, Charlie trouva enfin ce qu'il cherchait et sortit une grosse couverture de laine dont il couvrit les épaules de Claire qui lui jeta un regard surpris et enchanté tandis qu'il frictionnait son dos.

«…ceux-ci ne fondent pas en tombant au sol…

« Merci, lui fit-elle dans un sourire qu'il lui rendit. Au juste pour la dernière fois…

«…ce qui vient d'être établi est vrai pour les types de neige suivants : neiges en grains, neige et neige roulé. Cependant, si le sol…

« Oh, oublie ça. Je…c'était juste une connerie de plus de ma part.

« …évidemment en tombant vers le sol, le flocon d'origine peut s'amalgamer avec d'autres flocons de neige qu'il…

« Tu sais, nous les musiciens, on compose des trucs sur des choses qui nous arrive mais qu'on amplifie…

« …en fait, en étudiant la forme d'un flocon, on peut en apprendre beaucoup sur la température de l'altitude à laquelle…

« Ouais, ça marche comme ça. Une femme te sourit dans le métro et ça devient 'smile in a subway start a new life for me and her…C'est pas vrai mais le public s'en fout que tu marches dans la rue sans rien faire de spécial.

« …de – 10°C à -12°C, les assiettes ressemblent maintenant à des flocons à 6 pointes. De -12°C à…

« En tout cas, c'était très joli, poursuivis Claire, un peu déçue mais ne voulant pas le laisser paraître.

« Ouais, merci.

« Voilà, j'espère qua ça vous a éclairé sur vos questions, mademoiselle. »

Claire et Charlie, regardant l'une au sol et l'autre en l'air, gênés et déçus, levèrent alors les yeux sur le professeur qui les observait un sourire béat sur le visage d'avoir pu étaler sa science.

.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.

« Ce qui me console, c'est que mon corps restera en parfait été de conservation. déclara Thia en montant sa couverture jusqu'au menton.

« C'est un bon début de voir le côté positif des choses…fit remarquer son compagnon d'infortune.

« Mon navire a coulé, je me suis retrouvée échouée sur une île perdue du Pacifique, mon prisonnier hautement dangereux s'est échappé et a tué mon amant, je suis tombé dans un piège sans possibilité de sortie, la nuit est glaciale et je me retrouve coincée avec vous.

« Vous voyez : que du bon ! Les autres femmes paieraient une fortune pour être seul avec moi dans le noir.

« Je leur cède volontiers ma place contre un bon bain moussant, un lit confortable et un thermostat indiquant 40°C. »

Sawyer lui jeta un coup d'œil et prenant pitié, mais aussi surtout pour ses orteils en glace, il souleva le coin de sa couverture en l'invitant :

« Un peu de chauffage humain à défaut ? »

La scandinave haussa un sourcil et sembla hésitante avant de se résigner en ayant un nouveau frisson.

« Aux grands maux, les grands remèdes. »

Elle se serra contre lui tout en lui lançant un regard noir, signifiant qu'il devait garder ses distances s'il ne voulait pas être castré. Alors qu'elle sombrait peu à peu dans une chaleur bienfaisante, il décida de passer se mettre sur le côté et sa bouche rencontra malencontreusement la sienne. Alors qu'il s'attendait à une bordée d'injures et une pluie de coups, il fut surpris en ne voyant rien arriver mais seulement les yeux troubles de la scandinaves le fixer, une lueur d'incompréhension dans le regard. Profitant de cette opportunité, il approcha à nouveau son visage du sien mais cette fois-ci, ses lèvres ne rencontrèrent que le vide. Thia s'était redressé, les oreilles aux aguets.

« Vous avez entendu ?

« A part, les grelottements d'un corps transi qui ne demande qu'à être réchauffé, non, rien.

« Il y a quelqu'un…poursuivit-elle en se mettant debout.

« Oui, quelqu'un en manque de chaleur humaine : moi ! »

Alors qu'il lui intimait de revenir sous la couverture, un bruit sourd résonna à leurs côtés et des bruits de pas qui s'enfuient résonnèrent dans le silence nocturne. Il se précipita aux côtés de la jeune femme et fixa la corde qui pendait lâchement et qui constituait leur échappatoire à ce trou. Tandis qu'il se réjouissait, il remarqua que Thia tenait dans ses mains un objet sombre dans les mains. Il l'interrogea du regard et ses yeux se baissèrent sur la longue mèche bouclée de cheveux bruns qui avait été lancé en même temps que la porte de sortie.

« Janus. » se contenta de dire la mercenaire.

.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.