Auteur: TiaKin

Genre: M

Tiré de la série: One Piece

Disclaimer: Je le répète, Filou est à moi, et la famille de Sandy pareil, les autres non.

Les italiques sont des pensées intérieures et les OoO sont un passage dans le temps (normal: temps plus long, gras: autre moment dans la journée).

Réponses aux reviews:

Sely: C'est effectivement vrai que ça traîne un peu en longueur. Je pense sérieusement couper des chapitres dans mon histoire initiale, et rallonger les autres afin qu'on arrive plus rapidement à mon fil conducteur principal, soit la relation de Sandy avec un autre personnage. Je suis contente que tu m'ais fait cette remarque (j'avais peur que les gens se lassent en lisant ma fic, et tu l'as dit, donc merci beaucoup).


Cousine et nouvel an

Je rêve qu'un mouton géant emporte tête de gazon et Pipo, tandis que je reste sur un phare avec un homme aux cheveux noirs et emmêlés. Alors qu'il allait s'approcher de moi, un rayon de lumière le balaye loin du phare et me réveille par la même occasion.

-Mmmmh, je grogne dans mon coussin.

-Allez, debout fainéant, fait une voix lointaine.

-Mmmh… non… dormir.

-Sandy, debout! Tu ne vas pas rester au lit toute la mâtinée.

J'ouvre un œil, puis le referme en voyant que ma mère se tient devant mon lit, habillée d'une splendide robe de chambre rouge et or, des bigoudis encore emmêlés dans ses cheveux.

-Gnan!

-Sandy!

-Dodo… vacances.

-Si c'est comme ça, j'appelle tes neveux.

Je saute hors de mon lit, redoutant le poids de deux gamins sur mon dos. Je file immédiatement vers la salle de bain, une serviette à la main, et m'y enferme. J'entends ma mère rigoler derrière la porte.

-Tu es toujours aussi prévisible mon chéri, dit-elle en descendant joyeusement l'escalier.

-Sale vieille bique, je dis en me mettant devant la glace.

OoO

Une fois habillé de mon training, je descends dans la salle à manger où je trouve le reste de la famille en train de prendre le petit-déjeuner.

-Bonjour Sandy, fait ma sœur avec un sourire. Tu as bien dormi?

-J'aurais bien voulu dormir un peu plus longtemps, mais sinon c'était bien.

-Tu vas où comme ça, me fait maman en me voyant prendre un croissant et me diriger vers l'entrée.

-Je vais faire un footing, puisque tu m'as réveillé trop tôt. Filou!

Je regarde autour de moi, rien.

-L'est où ce chien? FILOU!

-Il est déjà dehors.

Je trouve mon chien en train de renifler le rosier en face de la porte.

-Allez Filou, on va courir.

Filou me regarde en battant de la queue, puis me suis à l'arrière de la maison. Après avoir refermé le portail, je me mets à courir vers la forêt, Filou à mes trousses.

OoO

En arrivant sous les arbres, je tourne légèrement vers la droite, filant vers mon endroit préféré pour m'entraîner tranquille. J'arrive enfin à la large clairière bordée par des arbres meurtris par mes coups de pieds. J'examine tout autour de moi, retrouvant les marques de mon adolescence, de tous mes combats au corps à corps avec Zorro et de tous mes pètages de plombs.

Enfin, je m'avance au milieu de la clairière enneigée pour m'échauffer doucement les muscles.

-Ouaf?

Je jette un coup d'œil à Filou qui s'est assis à quelques mètres de moi.

-Tu peux filer, mon chien. On va rester un bon moment ici.

Filou me regarde, puis détale vers les arbres.

Après les échauffements, je me dirige vers l'arbre le plus proche et je commence à le frapper avec mes pieds.

Je passe en revue tous mes coups préférés, toutes mes feintes, changeant d'arbre par moment.

Alors que je vais faire une "Addition" sur un chêne, Filou arrive brusquement dans la clairière, pourchassant un lapin. Je rate mon coup et m'éclate par terre, la neige amortissant le choc.

-Filou, arrête de chasser ce lapin, j'hurle en me relevant.

Quelqu'un rigole dans mon dos en claquant des mains. Je me retourne et vois ma chère cousine Kimi, blonde aux yeux bleus, habillée dans un superbe manteau long doublé de fourrure blanche, ses yeux cachés derrière des lunettes genres masque de ski, mais en plus classe, et ses cheveux normalement attachés en une queue de cheval sont enroulés dans un chapeau assorti au manteau. À part être le pire cauchemar de ma vie, elle est infirmière dans une clinique privée d'une ville au sud de la capitale, soit pas loin de chez moi.

-Toujours aussi doué avec tes jambes, lance-t-elle ironiquement.

-Je suis tout aussi heureux de te voir, chère cousine.

-Quel sens de l'humour, ajoute-t-elle avec un sourire. Tu as pris des clowns flakes au p'tit-dèj'?

-Non. Je n'ai pas l'habitude d'en sucer tous les matins.

Elle est incapable de répondre à ça –un point pour moi, yes!

-Que viens-tu faire ici, je demande en cherchant mon paquet de cigarettes.

-Je suis simplement venue te voir. Tante Ella se fait du souci pour toi. Il paraît que tu es toujours célibataire?

-Oui. J'ai décidé de faire un break, juste comme ça.

-Une envie passagère?

-Ouaip. Et puis j'veux pas encore choquer mon chien en ramenant des femmes à la maison.

J'allume ma clope et m'intéresse vivement à l'arbre en face de moi.

-Tu es zoophile?

Je dérape dans la neige et m'éclate le front contre l'arbre.

-Qu'est-ce qui te fait penser ça, je demande avec colère en me relevant, frottant ma bosse avec une main.

-Tu viens juste de le dire.

-Je sous-entends juste que même si j'aime les femmes, j'ai pas envie de choquer mon chien.

-Comment peux-tu savoir si tu choques ton chien?

-La dernière fois que j'ai eu une copine, mon chien n'a pas arrêté de me mater en pleine action.

Elle me regarde avec de gros yeux. Ça y est, elle me prend pour un fou.

-Tu es complètement taré. Mais ça fait rien, tu as toujours été comme ça.

Elle se retourne et veut s'en aller, mais Filou apparaît soudainement et lui saute dessus, la faisant tomber en arrière. À terre, Filou se met à lui lécher le visage, ce qui me fait exploser de rire.

-Sandyyyy, fais partir ce chien de dessus moi, s'exclama ma cousine avec une voix stridente qui ne fait qu'augmenter mon fou rire.

Filou finit par fouiller avec sa truffe dans le décolleté de Kimi, ce qui me met définitivement à terre.

OoO

De retour à la maison, Kimi se dirige vers la chambre qu'elle occupe, totalement décoiffée et les habits froissés, tandis que je vais occuper la salle de bain, remerciant intérieurement mon chien d'avoir ridiculisé ma cousine en fouinant dans son manteau –je n'imaginais pas Kimi mettre de la lingerie noire avec de la dentelle rouge.

-Sandy, que s'est-il passé avec ta soeur, me demande maman alors que j'arrive à l'étage.

-Une simple rencontre avec Filou, je lance joyeusement en fermant la porte de la salle de bain, un sourire hilare sur le visage.

Après m'être changé, je vais trouver ma sœur pour lui raconter l'histoire.

OoO

-À taaaable, fait la voix chantonnante de ma mère en entrant dans la salle à manger, un plat fumant dans les mains.

Je me lève de mon fauteuil et vais m'installer entre mon beau-frère et mon père, ne voulant pas recevoir de coups bas de la part de ma très chère cousine, qui s'est changée entre temps.

-Alors, je lance alors que ma mère soulève le couvercle de son plat, tu as pu changer ta lingerie affriolante?

Kimi me lance des éclairs avec ses yeux, puis attrape un plat et se sert frénétiquement de nouilles sautées.

-Sandy, arrête d'être méchant avec ta cousine qui a bien voulu venir. Et arrête aussi de rire bêtement, on dirait un adolescent.

-J'ai toujours été un adolescent, je lance joyeusement en attrapant le plat de nouilles.

-Un adolescent bourré d'hormones oui, murmure trop fort ma cousine avant de mettre des nouilles dans sa grande bouche.

Je me sers allègrement de porc au caramel, que je me mets à dévorer lentement. Tout à coup, quelque chose me vient à l'esprit.

-Au fait, Kimi, tu es toujours célibataire toi, je demande d'un air détaché, faisant s'étouffer l'interpellée.

Il faut un bon moment à ma cousine pour reprendre son souffle avant de pouvoir me répondre.

-Non, j'ai toujours pas trouvé l'âme sœur, lance-t-elle honteusement. Mais tu es dans le même cas que moi.

-C'est vrai, mais je ne comprends pas pourquoi toi tu l'es. Tu es pourtant très agréable et belle.

À ces mots, Kimi se fige sur sa chaise. Qu'est-ce que j'ai dit?

-Tu… tu peux répéter?

-Tu es agréable et belle.

-C'est ironique j'espère?

-Hein? Mais non. Je suis très sérieux. Je ne rigole jamais sur ce genre de chose.

Ma cousine me fixe d'un air voulant sûrement dire il-blague-c'est-sûr.

-Hého, je fait en passant une main devant ses yeux. Tu es toujours avec nous.

-Tante Ella, est-ce que tu as entendu ce qu'il vient de dire?

-Oui Kimi, répond ma mère en se servant de porc.

Bizarrement, ma cousine se lève et se dirige vers sa chambre, sans prendre vraiment la peine de s'excuser.

-Qu'est-ce qu'il lui prend, je demande sans vraiment rien comprendre.

-Laisse tomber, me fait ma sœur. Tu me passes les nouilles?

OoO

Il est exactement onze heures vingt-sept. Je suis habillé d'un costume noir, tout ce qu'il y a de plus sobre. Ma sœur et sa famille sont également sur leur trente et un, mes parents ont fait un effort –ils sont normalement pas sortables–, mon oncle porte l'un de ses habituels costard-cravatte qui prennent la poussière au fond d'une armoire, et ma cousine porte une splendide robe rouge du plus bel effet.

Bref, c'est le nouvel an dans la salle commune du village, avec tous les habitants restés pour ce jour de fête. Seul Filou est resté à la maison, les chiens n'étant pas acceptés.

-Sandy, tu viens danser, me propose ma sœur en posant son verre de champagne.

-Avec plaisir sœurette, je lance en posant ma flûte à mon tour.

J'attrape la main gantée de Fanny et nous nous dirigeons vers la piste de danse, sur laquelle je vois mon beau-frère et ma mère enchaîner valses sur tangos sur polkas sans se fatiguer.

-Ton mari est en pleine forme, je dis tandis que nous commençons à danser au rythme du rock.

-Oui. Il est toujours plein de vie après quelques verres.

-Oncle Nero est toujours aussi coincé par contre.

-Effectivement. Depuis la mort de tante Naya, il a perdu son habituelle bonne humeur. Et Kimi ne fait rien pour y changer.

-Vraiment?

-Oui. Maman m'a dit qu'ils se sont disputés il y a deux ans. Depuis, Kimi ne va plus le voir.

Ha là là, les histoires de famille, c'est bien difficile de suivre des fois.

-J'en savais rien. Attention, je lance à un couple qui nous fonce dessus.

Le rock se finit tranquillement, quand le maire du village prend le micro pour faire son speech.

-Mesdames et messieurs, bienvenue à notre fête annuelle du nouvel an. Dans quelques secondes, la nouvelle année commencera, prenant la place de celle qui se termine.

Nous avons tous levé les yeux vers la boule décorée qui descend doucement vers nous et qui éclatera au dernier coup de minuit.

Ensuite, je me rappelle cette année tumultueuse que j'ai passée en compagnie de Filou. Toute son éducation me revient en tête, avec ses hauts et ses bas. Le souvenir du baptême de Rika vient ensuite, remplacé par la nouvelle de la mort de la mère de Zorro.

Finalement, cette année restera bonne malgré tout, et cela grâce à mes amis et Filou. Je ferme les yeux. Espérons que l'année qui vient sera aussi bonne. J'aimerais bien me trouver une copine et abolir à jamais ma condition de célibataire. … Oh non, je pense comme ma mère.

Dong! Dong! Dong!

J'aimerais pourtant trouver une fille sympa. Me caser pour un moment quoi.

Dong! Dong! Dong!

Une fille avec des cheveux noirs et des yeux bruns, un peu comme Laki.

Dong! Dong! Dong!

Tout ce que je veux, c'est une copine, que ma mère me foute la paix avec ses envies de mariage par la même occasion.

Dong!

-Sandy, me fait Kimi en me tirant la manche.

Dong!

-Quoi?

Sans préavis, Kimi me saute au cou et m'embrasse pendant que le dernier coup de minuit sonne et que la boule explose en une pluie de cotillons et de vermicelles de papier qui viennent s'emmêler dans les cheveux des gens.

D'un œil, je vois ma mère me faire un grand sourire, puis se retourne pour embrasser mon père. Salope!

OoO

Après une nuit mouvementée par la présence exaspérante de ma cousine derrière la porte et qui voulait absolument dormir avec moi, je me réveille dans un état on ne peut plus chaotique, mais avec la ferme intention de m'expliquer avec Kimi.

Hélas, dès que je pose le pied sur le sol, la porte s'ouvre brusquement sur ma mère qui est apparemment folle de joie et en pleine forme.

-Sandy, mon chéri, bonjour!

-DEHORS, je rugis en poussant la figure maternelle en-dehors de ma chambre.

-Ouaf, fait la voix de Filou dans mon dos tandis que je claque la porte de ma chambre.

-Ouais, ouaf, je dis furieusement en m'asseyant sur mon lit.

Je lance un coup d'œil à mon chien, qui me regarde avec de grands yeux curieux.

-Tu veux savoir ce qui se passe?

Il fait pencher sa tête sur le côté, prenant ainsi cet air innocent qui me fait tant rire.

-Bon, si tu veux tout savoir, y'a ma cousine, Kimi, qui s'est jetée à mon cou hier soir, et depuis, elle et ma mère me courent après.

Je me prends la tête. Mais pourquoi il faut que ça m'arrive à moi?

-Sandy, tu es là, fait la voix ô combien horrible de ma cousine qui frappe contre la porte.

-Non, je danse le tango avec la lune, je lance en retournant me coucher.

Mais Kimi n'abandonne pas, et, pour mon plus grand désespoir, ouvre la porte en grand, puis me saute dessus.

-Sandy, debout!

-Mmh, non.

-Allez, viens. On va aller se promener.

-Non, pas envie de bouger. Dégage de ma chambre. Non, de ma vie plutôt.

-Pourquoi, elle demande en se redressant –et quittant mon dos par la même occasion.

-Parce que tu viens de gâcher la nouvelle année qui commence, je hurle en me mettant en position assise.

Son regard se fait rapidement larmoyant, mais elle ne peut pleurer, car ma mère entre aussitôt dans ma chambre, armée d'un plumeau et d'une serpillière.

-AUJOURD'HUI, JOUR DE GRAND NETTOYAGE ANNUEL, hurle-t-elle avec joie.

Ouf, sauvé par le gong. Je sors de mon lit et me dirige vers la salle de bain, laissant ma mère entraîner ma cousine dans sa chambre.

OoO

Une fois habillé d'un vieux T-shirt et d'un jeans, je descends prendre un rapide petit-déjeuner, évitant soigneusement de croiser ma mère qui se balade partout, faisant l'inventaire des choses à garder et de celles à jeter.

Une fois mon café et mon croissant avalés, je remonte rapidement dans ma chambre, prenant au passage un chiffon et une bassine dans la cuisine, et vais m'enfermer dans ma chambre pour faire le rangement.

Filou me regarde nettoyer mon bureau avec curiosité, puis se lasse rapidement et va finalement gratter à la porte pour sortir.

-C'est bon, c'est bon, je fais en émergeant de mes tiroirs.

J'ouvre la porte à mon chien, puis la referme pour replonger dans mes tiroirs remplis de souvenirs de ma jeunesse.

Après avoir vidé complètement tous les tiroirs des objets inutiles –genre photos d'anciennes copines, épreuves de japonais ancien, de maths ou d'histoire, vieux cours que je croyais avoir perdus, le manga que j'avais emprunté à Pipo et que je croyais aussi avoir perdu, bref, ce genre de truc–, je m'attelle à vider les cartons sous mon lit.

Après le vingtième magazine porno, je tombe sur un vieil album photos qui prenait la poussière. C'est quoi ça? J'ouvre le cahier et tombe sur une photo de moi, à quatre ans, habillé avec l'uniforme des tout-petits –un chapeau jaune, un short rouge et une chemise à manches longues.

Sur la photo, je tiens fermement la main de ma mère, les larmes aux yeux. Je rigole en voyant cette scène. Il est loin le temps des pleurs.

Au fil des pages, je retrouve toute mon enfance, tous mes exploits au club de football de mon école primaire et toutes mes fêtes d'anniversaire avec Pipo. Aaah, Pipo, mon premier ami. Je me souviens de ma première rencontre avec lui, dans le préau de l'école maternelle.

J'arrive enfin à ma photo préférée, celle qui marque mon entrée au collège, avec mon changement d'uniforme et le début de mes amours. Sur la photographie, je suis adossé contre une barrière, le regard tourné vers la droite du cliché. Pipo est à mes côtés, rigolant de toutes ses dents.

Après quelques images me montrant tantôt avec Pipo, tantôt seul, je découvre le premier instantané qui me montre avec une cigarette dans la bouche. Je soupire. Haa, la bonne époque. Maman a fait une crise en découvrant cette image.

Encore plus loin, je trouve la photo de classe de ma première année au lycée. Sur celle-ci, je souris de toutes mes dents, à côté d'une superbe créature. En haut à droite de l'image, je vois Zorro qui regarde ailleurs. Ah, çui-là. J'pouvais pas l'encadrer au début.

Je m'installe confortablement sur mon lit. Je reporte mon attention sur le visage d'une fille aux cheveux noirs et aux yeux pétillants qui faisait partie du club de kendo avec Zorro: Kousirou Kuina, et me souviens de l'incident qui me rapprocha de ce garçon froid et distant qu'était face de légumes. Aaah, quel souvenir, cet enterrement. Zorro était en larmes pendant son discours.

Zorro était fou d'elle à l'époque. Il ne l'a pas oubliée d'ailleurs.

Je tourne une page et trouve la photo où Zorro et moi étions couverts de bleus après un combat. Je soupire doucement en repensant à ce premier combat rudement mené dans le gymnase du lycée. Nous étions toujours en compétition, voulant prouver à l'autre qu'on était le plus fort, sans vraiment y arriver.

-Sandyyy! À table, fait la voix de ma mère derrière la porte.

Je regarde encore un peu l'album, examinant la dernière photographie me montrant tenant mon diplôme de fin d'études dans les mains, aux côtés de Zorro et Pipo tout aussi heureux.

-Sandyy!

-J'arrive, je réponds en posant l'album sur mon lit.


Un chapitre un peu plus long cette fois. Les chapitres vont s'allonger progressivement, comme ça, on va arriver plus vite au chapitre phare.