Bon bah je sais pas trop ce qu'il faut m'être au début donc je vais faire la totale.

Titre : (je me doute que vous savez le titre mais bon faites comme si) Le journal. En l'occurrence celui de Relena Darlian Peacecraft truc muche machin chouette. (j'ai beau aimé ce personnage ça doit pas être simple à porter tout les jours un nom pareil)

Auteur : Votre dévouée Aphrael.

Genre : comique (enfin j'essaye), romantique (ça risque de tourner de cette manière il semblerait que je sois pas fichus d'écrire autre chose), pour le reste ça dépendra où m'en m'emmènera mon esprit tordu.

Disclaimer : la partie journal appartient à Helen Fielding ainsi qu'un p'tit bout d'idée par ci par là, le coté Gundam à …euh…comment qui s'appelle déjà…enfin bref…à qui de droit, toutes les marques qui pourront éventuellement être citées ne seront pas à moi non plus et tout le reste est à moi.

Rewiew : merchiiiiiiiiiii à tous ceux qu'on écrit. Je vous aime tous. En général j'ai essayé de répondre personnellement (j'espère juste que j'ai oublié personne). Continué à donner vos impressions, ça me motive vachement! (et il m'en faut! Lol). Merci à ceux qui on lut Saint Valentin ça m'a fais plaisir que ça vous ai fais plaisir. Je m'attendais pas à ce qu'elle du succès comme ça. (snif! Chui toute émue)

Enfin bon va quand même arrêter de palabrer. Je suis sûre qui y en a qui son passé direct à l'histoire. Lol. Mais bon je me suis aperçu que j'avais rien fais dans le premier donc je me rattrape mais en principe ça servira pour toute l'histoire.

En attendant voilà la suite du Journal…

Chapitre 2 :

Mardi 4 janvier

58 kg (tjrs pas commencé le régime), cigarettes : 0 (épatant !), envies de m'en griller une : 116.

8h51

Arrivé au bureau. Secrétaire en colère malgré ma ponctualité.

Penser à lui offrir une semaine de congé et une copie du livre que Cat m'a prêté sur "le stress : fléau des temps modernes" ou comment rester calme en toute circonstances.

Juste dix minutes avant rencontre au sommet avec mon beau, adorable et 'seulement légèrement' protecteur de frère. En deux mots : Milliardo Peacecraft.

9h27

En pleine réunion avec Milliardo.

Les dix premières minutes de son speech m'ont expliqué que suite au départ (à grand coup de pied dans les fesses) du chef de ma sécurité, je devais en engager un autre.

Faut dire que vu que ce pauvre bougre avait oublié de faire vérifier la voiture qui devait me ramener du "conseil de singes" (ou plus simplement nommée assemblée pour l'unité de la Terre et des colonies), il n'a pas traîné dans la place. Cela aurait pu passé inaperçu si la voiture n'avait pas été piégée. Heureusement pour moi (et mon chauffeur), la séance a traînée en longueur et la minuterie a fait exploser la bombe bien avant que mon chauffeur ne sorte la voiture du parking.

Enfin bon, toujours est-il que le type a été renvoyé (pas très aimablement) à la minute où mon frère a trouvé l'auteur de la bévue. Ce qui fait que je me suis retrouvé sans chef de sécurité. Enfin pas totalement puisque j'ai collé mon frérot adoré en remplacement provisoire. (Niark niark niark !)

Sauf que …

… ça lui plait pas du tout.

Bah pas grave ! Après tout, la vie est pleine de petites contrariétés.

La suite de son petit discours est entrain de descendre en flèche tous les candidats que je lui propose. Apparemment les gardes de ma sécurité actuelle ne sont pas assez efficaces pour obtenir une promotion. Enfin…quelque chose dans le genre

Zut, Milliardo vient de s'apercevoir que je n'écoute plus vraiment ce qu'il me dit.

Sauvé! Le téléphone.

10h49

Ai crié victoire un peu trop vite. Au téléphone : Eléonore Lizabeth DuGrey Darlian.

Ma mère.

M'appelle en plein "travail" pour :

a)me demander si j'ai bien reçu son message (comme si 3 messages laissés à ma secrétaire et un de plus sur mon répondeur allaient s'effacer comme par enchantement!),

b) savoir quelle est ma réponse,

c) finalement me passer un savon quand je lui dis que je ne savais pas encore.

Ensuite, arrive le couplet indispensable de toute bonne mère qui se respecte : celui qui sert à culpabiliser son enfant et à le réduire à l'acceptation de tous ces désirs. Dans le cas de ma mère, l'intensité dramatique du ton quel emploie dans sa célèbre réplique "tu te souviens de toutes les nuits que j'ai passé à ton chevet quand tu étais malade. C'est ainsi que tu me remercie en refusant un dîner avec les gens qui font parti de ta famille" est impressionnante. Elle mériterait un Oscar. Cette phrase a un effet plus redoutable sur moi que toutes les menaces de terroristes possibles. Si ils essayaient de me faire chanter il n'aurait qu'à demander conseil à ma mère. Mais loin de moi l'envie de leur souffler l'idée.

Bref, par je ne sais quel miracle de Dieu, de ses anges ou de ses chérubins, j'ai réussi à me débarrasser de ma mère.

Le problème ? Milliardo est encore ici et je ne suis vraiment plus en état de faire face à son grand discours ampoulé.

Qui aurait cru que quelqu'un de si jeune pourrait être aussi pompeux ?

11h02

J'abandonne !

Dis à mon frère de choisir qui il veut pour son remplacement.

"Qui je veux ?" me demande-t-il étonné.

C'est vrai que ce n'est pas mon genre de ne pas me mêler de tout ce qui se rapporte à ma personne ou à mon travail. Risque de me retrouver avec type byzarre, maniaque de la sécurité, pas sociable pour deux sous et ayant des tendances suicidaires…

Tant pis. Je m'en prendrais à ma mère.

"Oui qui tu veux !" je soupire "Du moment qu'il fasse son boulot et que tu me laisse tranquille avec ces histoires de sécurité. Ok ?"

"Ok."

Et il sort.

Ouf !

A moi, tonnes de paperasses, des feuilles à lire, à signer, etc.…

12h39

Pourquoi j'ai choisi ce métier déjà?


Et oui c'est court mais j'ai pas mal de choses à faire en ce moment et je suis un peu débordée. En tout cas, j'espère que ça vous a plus et si c'est le cas (ou pas) cliqué sur le petit bouton en bas a gauche et laissé une ch'tite rewiew. J'en raffole presque autant que du chocolat.