Note : J'avais commencé une autre fic, mais celle là me tenait vraiment à coeur. Attention, ce soir je n'ai pas le moral.
Disclaimer : Stargate Atlantis et les personnages sont la propriété des créateurs de la série.
Pairing : Aucun pour l'instant.
Chapitre 1
Prologue
Il était adossé contre le chêne, se laissant envahir par la force de l'arbre centenaire. Les quelques rayons de soleil qui réussissaient à passer à travers le feuillage lui caressaient la peau. Le soleil, son soleil, celui qui l'avait vu naître, celui qui l'avait vu partir pour Atlantis, et qui l'avait vu revenir. C'était si bon de ressentir sa chaleur, de le revoir, comme retrouver un vieil ami, un membre de sa famille. Une voix le fit sursauter.
- Excusez moi. Nous devons bientôt repartir.
- Oui, oui. Encore quelques minutes.
- D'accord, dix minutes, pas plus. Le Daedalus vous attend.
Il soupira. Seulement dix minutes. Il aurait aimé avoir au moins deux heures, il aurait aimé pouvoir lui dire ce qu'il ressentait, ce qu'il avait vécu depuis presque un an. Il s'agenouilla devant la tombe.
Machinalement, il se massa l'épaule. Il n'avait plus mal, mais la cicatrice était comme une page cornée dans le livre de sa vie, marquant à tout jamais un passage, un chapitre (1). Il connaissait bien le titre de ce chapitre : PROJET PANDORA. C'était il y a bientôt un an. Un chapitre qui allait se terminer dans quelques heures, il tournera la page et l'auteur écrira un autre chapitre.
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-Un an plus tôt-
- Bonjour. Je suis le major Sheppard, voiçi Teyla, le Lieutenant Ford et le Docteur McKay.
- Bonjour à tous. Je m'appelle Modulan. Je vous souhaite la bienvenue à Pandora.
TBC.
Je sais, c'est court mais c'est un prologue, une mise en bouche. Pour info, j'ai trouvé d'abord le titre, ensuite le début et la fin. Reste maintenant à trouver le milieu. Aie. Ca risque d'être dur, ce sera au feeling. Suite ... je ne sais pas quand. Dimanche peut être. Dites moi ce que vous pensez du premier chapitre.
(1) Cette phrase je l'ai écrite au boulot. C'est la première fois que j'arrête le travail pour écrire. Ca devient de plus en plus grave.