Hey ! Et voici déjà 10 autres saynètes qui débarquent ! :) J'avais plein d'idées donc je les écris assez rapidement !

Pour la première saynète de cette volée, c'est la « suite » de la dernière saynète du chapitre d'avant. Donc si vous vous en souvenez pas, aller jeter un coup d'œil. ;)

Bonne lecture !^^


Note

Hanneman : Mes élèves m'ont épuisé... Une pause me fera le plus grand bien. Professeur, pourquoi tournez-vous autour de cette table ?

Byleth : Je ne peux pas lui donner une mauvaise note, car il ne la mérite pas... Mais je ne peux pas non plus lui en donner une bonne, il pourrait le prendre comme ma bénédiction... Réfléchis, réfléchis...

Hanneman : Professeur, allez-vous bien ? Et pourquoi, diable Manuela ne fais-vous rien ?

Manuela : Tu as le culot de me dire que je ne fais rien ? Alors que j'ai été là lorsqu'il s'est mis dans cet état ? Pour une fois, je vais laisser passer pour le professeur.

Byleth : Faudrait que je marque le coup, vous ne pensez pas ? Ou bien, je devrais faire comprendre à mon rival de ne plus s'approcher de lui ?

Manuela : Cela fait mal les premières fois, mais croyez-moi, cela ne sert à rien de s'accrocher... Venez boire un verre en ma compagnie, pour vous changer les idées ! Je fais toujours ça après un échec amoureux, et je vais beaucoup mieux après.

Hanneman : Échec amoureux ?

Manuela : Et oui... Notre cher professeur connaît son premier échec... Il était en train de corriger les copies de ses élèves sur leur dernière rédaction, quand il a vu que l'étudiant dont il s'est entiché voulait se marier avec la personne qu'il aimait...

Byleth : Et toi, Sothis, tu me permets d'utiliser ton pouvoir pour remonter le temps jusqu'au début de l'année scolaire ? J'aurais le temps de faire qu'Ashe m'aime avant qu'il tombe amoureux de cet autre personne dont il parle dans sa copie...

Sothis : Jamais ! Je pourrais très certainement le faire, mais te voir dans cet état est si drôle ! Ha ha ha ! Et puis, j'ai ma petite idée sur la personne qu'aime ton étudiant...

Un état inquiétant ?

Seteth : Rhea, allez-vous bien ?

Flayn : Je pourrais utiliser un sort pour vous soigner !

Rhea : Seteth, Flayn, votre sollicitude me fait chaud au cœur. Mais je crains de ne pas comprendre ce qui vous trouble. Je vais très bien.

Flayn : Grand-frère, je crois que c'est plus grave que ce qu'on pensait...

Seteth : Êtes-vous vraiment sûr de vous Rhea ? Vous souvenez-vous de ce que vous avez prévu cette après-midi ?

Rhea : Je vous le répète encore une fois, mes chers enfants, je vais très bien. Et cette après-midi, je prends le thé en compagnie du Professeur.

Flayn : Vous m'inquiétez de plus en plus, Dame Rhea... Ne détestiez-vous pas les boissons chaudes ?

Rhea : Je crois enfin discerner ce qui vous trouble. Et permettez-moi de vous apaiser, je ne les aime toujours pas. Mais pour le Professeur, je ferai un effort. Passez en moment en sa compagnie est si plaisant.

Qui sait ?

Hubert : Il faudra que je pense à remercier ce mercenaire de vous avoir sauvé, Dame Edelgard...

Dorothea : Heureusement qu'aucune blessure est à déplorer sur ton joli minois. Hi hi.

Edelgard : J'aurais pu battre ce bandit sans l'aide de ce mercenaire.

Ferdinand : Edelgard, reconnaissez au moins que sans son intervention vous vous seriez retrouver en difficulté !

Hubert : Dame Edelgard n'a aucunement besoin d'aide pour s'illustrer sur le champ de bataille. Dois-je vous rappeler l'issue de vos derniers combats, entre vous et Dame Edelgard ?

Ferdinand : Je vous concède ce point, Hubert. Mais imaginez ce qui serait advenu du futur de l'Empire si notre future dirigeante était tombée au combat !

Dorothea : Ou bien, ce qu'il ne se passerait pas... Mais personne ne peut savoir, si ?

Dragueurs

Lorenz : Êtes-vous vraiment sûr de vouloir me défier ? Sachez que vous perdrez face à moi !

Sylvain : Je serais déjà surpris que tu séduises une fille... Et vous, Ferdinand, vous êtes toujours partant pour ce défi ?

Ferdinand : Et bien, oui. Je me dois de représenter la maison Aegir dans n'importe quel domaine. Tel est mon devoir !

Sylvain : Je vous réexplique les règles une dernière fois. Nous avons trois mois pour conquérir le plus de cœur possibles, celui qui aura le plus grand nombre de conquête gagnera. Vous êtes part-...

Ingrid : Sylvain.

Sylvain : I-Ingrid !? T-T'es là depuis longtemps... ?

Ferdinand : Ô douce et charmante Ingrid, me feriez-vous l'honneur de partager un repas avec moi ?

Lorenz : Ha ha ! N'écoutez pas les inepties qu'il raconte. Venez plutôt partager un thé avec ma formidable personne ! Je pense que cela serait un privilège pour vous.

Ingrid : Sylvain, je t'assure que si tu fais ce défi, tu vas avoir le double de bleu du nombre de tes conquêtes, lors des entraînements. Et ce, à chaque entraînement. Jusqu'à la fin de l'année. Me suis-je bien faite comprendre ?

Bonne affectation (Cerfs d'or)

Ignatz : Nous aurons le professeur Manuela pour cette année...

Lorenz : Vous avez dû mal lire ! Une roturière ne peux décemment pas me donner cours !

Léonie : Non, non, Ignatz ne s'est pas trompé. Dans mon cas, cela m'arrange bien. Vu qu'elle est pratiquement toujours absente, cela me permettra de passer plus de temps avec le capitaine Jeralt !

Marianne : Je devrais sûrement offrir un présent au professeur Manuela, pour me faire pardonner...

Ignatz : Un présent ? Mais pour vous faire pardonner de ?

Marianne : Par ma faute, toutes les relations que le professeur Manuela aura cette année seront vouées à l'échec...

Léonie : Elle arrive très bien à rater toutes ses relations seule, sans l'aide de personne, si tu veux mon avis...

Lorenz : Je ne peux pas croire qu'une telle chose puisse se produire... Et que je suis le seul à être offensé d'un tel choix pour notre classe ! Cela doit être un nouveau coup de Claude...

Entraînement solitaire

Edelgard : Hyaa ! Et hya ! ...Pff... Pff...

Claude : Et bien, je suis impressionné par l'ardeur que vous mettez dans votre entraînement, Edelgard ! Même si je doute que l'arbre apprécie, lui...

Edelgard : Claude ?! Mais que faites-vous donc dans cet arbre ? Jouez-vous au chimpanzé ? J'admets que ce rôle vous sied à merveille.

Claude : Ce n'était pas quelque chose d'aussi futile ! Pour qui me prenez-vous, votre Altesse ? Je m'adonnais à une sieste dans le feuillage de ce feuillu, lorsque tout à coup vos puissants coups sur ce tronc m'ont réveillé.

Petra : Je peux confirmer la sieste. J'étais avec lui, quand vous avez frappé l'arbre, Dame Edelgard.

Edelgard : Vous aussi, vous étiez là, Petra ? Je suis bien surprise de vous voir en compagnie de Claude... Claude, si j'apprends que vous avez mêlé Petra dans un de vos stratagèmes idiots, vous en paierez les conséquences.

Petra : Vous ne devez pas avoir de crainte sur cela, Dame Edelgard. J'apprends à Claude à monter les arbres. Et vous, vous faisiez quel genre d'activité ?

Edelgard : C'est assez gênant de m'afficher comme cela... Je m'entraînais seule sur cet arbre, puisque le terrain d'entraînement était envahie par les étudiants... Et je n'ai trouvé aucun de nos camarades pour un entraînement... Sauf Ferdinand, évidemment, mais ce n'est pas un entraînement de le battre...

Entre amis

Ashe : Cyril, où m'emmènes-tu ? Et pourquoi es-tu aussi pressé ?

Cyril : On y est presque ! Vous le saurez quand nous serons arrivés ! Voilà, on y est !

Shamir : Cyril, as-tu oublié qu'on avait entraînement, pour que tu te balades avec ton ami ?

Cyril Bien sûr que non ! C'est justement pour ça que je l'ai amené avec moi ! J'aimerais que vous nous fassiez cours à tous les deux !

Shamir : Tu sais bien que je n'ai pas vraiment de temps libre... Et que si j'accepte de lui donner cours, cela se fera sur tes heures, Cyril.

Ashe : Quoi ? Je ne savais pas ! Cyril, je ne veux pas que par ma faute, Shamir t'enseigne moins de choses... Je vais rentrer au monastère et vous laisser.

Cyril : Cela me dérange pas que tu prennes sur mes heures, pour aider Ashe ! Et Ashe, s'il-vous-plaît, acceptez la proposition ! C'est bien ce que font les amis, non ?

Ashe : Mais, je ne veux pas que tu te sacrifies pour moi...

Cyril : Mais, je ne me sacrifie pas ! Ça me ferait plaisir au contraire !

Ashe : Vu comme cela... C'est d'accord, j'accepte avec joie ! Merci beaucoup, Cyril !

Chantage

Dimitri : Nous avons à te parler, Felix.

Felix : J'ai pas le temps de parler, je dois m'entraîner.

Ingrid : Tu ne vas pas t'en sortir comme cela ! C'est grave ce que tu fais !

Felix : Ce que je fais ? M'entraîner ? Je ne savais pas que c'était grave.

Ingrid : Ne fais l'innocent, Felix ! Mercedes s'inquiète !

Mercedes : J'aimerais savoir pourquoi Annie prend toutes vos corvées... Vous savez, elle ne dort presque plus ces derniers temps...

Dimitri : Qui plus est, hier, je l'ai entendu chanter pendant qu'elle cuisinait, comme par hasard, un de tes plats préférés. Et tu veux savoir les paroles de cette chanson ? « Je dois faire plaisir à Felix ! Il ne faut pas qu'il révèle mon secret ! Alors, je lui prépare un bon met ! ».

Felix : Elle est encore avec cette histoire ?! C'est juste un mal-entendu... Je n'ai ri-...

Ingrid : Cela suffit, Felix ! Ne te cherches pas des excuses !

Dimitri : Tu comprendras, Felix, que je ne pouvais pas laisser passer de tels actes. J'ai dû en parler avec le Professeur, non pas par gaieté de cœur, et il reviendra vers toi pour te donner une punition adéquate.

Jeu d'argent

Alois : Vraiment merci beaucoup de m'aider Shamir ! Vous me retirez une épine du pied !

Shamir : Vous devriez plutôt remercier Catherine... Si elle ne m'avait pas cassé les oreilles pendant une semaine avec cette histoire, je n'aurais pas été là...

Alois : C'est vrai, ha ha ha ! Depuis le temps, je ne sais pas ce que je ferai sans vous, Catherine ! Vous me sauvez, toujours !

Catherine : Vous vous serez retrouvé sans un sous, voir même avec quelques os en moins, sans moi... Je ne sais pas comment vous faites pour vous faire piéger par tout le monde...

Shamir : Je pourrais avoir un peu de silence, pour me concentrer ? Déjà que je mise mon argent dans ce jeu pour récupérer le votre, Alois, j'aimerais ne pas tout perdre...

Alois : Oui, bien sûr ! Vous faites tellement pour m'aider, c'est bien la moindre des choses ! Mais faites attention, l'adversaire est rusée. Elle n'a pas hésité à me prendre par les sentiments pour me dépouiller !

Catherine : Il faut vraiment que je vous apprenne à ne pas vous faire avoir...

Shamir : La prochaine fois, vous ne m'accompagnerez pas, vu que je ne peux pas avoir le silence...

« Urgence vitale » (2ème partie du jeu/ Sans spoil)

Caspar : Tu vas voir Lysithea on est bientôt arrivé ! Heureusement que je suis tombé sur toi dans le garde-manger !

Lysithea : Vous voulez dire lorsque je vous ai surpris en train de fouiller à l'intérieur ? C'est sûr que si cela n'avait pas été moi, vous vous seriez retrouvé en mauvaise posture... Une chance pour vous, que j'ai toujours une réserve de gâteaux sur moi, pour votre « urgence vitale ».

Caspar : Je suis de retour Ashe ! J'entre dans ta chambre !

Ashe : Êtes-vous revenu avec un gâteau ? Ho, Lysithea, bonjour ! Je suppose que c'est à vous que nous devons ce gâteau. Merci beaucoup !

Lysithea : Es-ce un chat que vous portez dans vos bras, Ashe ? Il a l'air si doux ! Enfin, pas comme si le caresser m'intéressait... Pourquoi aviez-vous besoin d'un gâteau ?

Ashe : Pour fêter l'anniversaire de ce chat ! Enfin, pour être plus précis, l'anniversaire de notre rencontre avec ce chat à Caspar et à moi !

Caspar : Déjà cinq ans ! La bonne époque où nous n'étions que des élèves à l'académie !

Lysithea : Ne me dites pas que c'était cela votre « urgence vitale » ?!

Caspar : Bha si ! C'est bien une urgence vitale ! On ne peut fêter l'anniversaire qu'aujourd'hui ! C'est bien une urgence vitale, non ?


Voilà, voilà, c'est déjà terminé. Il me semble que le seul personnage que je n'ai pas fait encore apparaître dans mes saynètes est Gilbert... Mais, y'a-t-il des fans de lui ? x)

C'est aussi l'anniversaire de Caspar ! Joyeux anniversaire à lui ! :)

J'espère qu'elles vous auront plu et fait rire ! À bientôt ! ^^