Hey ! Et me revoici, une nouvelle fois, avec 10 nouvelles saynètes ! :)

Avec ce chapitre, on atteint le nombre de 50 saynètes écrites sur Three Houses ! 50 idées que j'ai eu, ça fait beaucoup. Mais, j'en trouverais d'autres ! En espérant qu'elles soient toujours aussi drôles !

Bonne lecture ! ^^


Dernier verre

Yuri/ Balthus : À la vôtre !

Jeralt : À mon dernier verre ici, à la vôtre !

Balthus : Pardon ?! Votre dernier verre ici ?!

Yuri : T'aurais pu avaler ta gorgée, avant de tout me recracher dessus...

Jeralt : Ha ha ha ! Et oui, je ne reviendrais sûrement plus.

Balthus : Quoi ?! Mais pourquoi ?!

Yuri : Fais marcher tes neurones, deux minutes, tu veux ? Il s'est passé quoi y'a quelques jours ?

Balthus : Bha... Le gosse du capitaine est arrivé avec ses élèves, on a bastonné plein d'ennemis, et... L'église nous a reconnus, et les élèves d'en haut peuvent maintenant circuler dans l'Abysse ! Mais je vois toujours pas pourquoi le capitaine ne veut plus boire de pintes avec nous !

Jeralt : Je venais ici, pour être au calme... Loin de tout le remue-ménage des élèves, surtout ceux de mon gamin, qui me demandent plein d'informations sur lui. Et puis, je n'ai pas envie d'entendre un énième sermon de Seteth, sur l'exemple que je devrais être pour les chevaliers...

La plus jeune ?

Raphaël : Et dites, c'est bien vrai que vous êtes l'élève la plus jeune de l'académie ?

Lysithea : Oui, et alors ?! Cela ne fait pas de moi une gamine, pour autant !

Raphaël : Vous me rappelez vraiment ma sœurette, vous savez ! Ha ha !

Petra : Votre jour de naîtr... Jour de naissance, est-il pour bientôt ?

Raphaël : Mais c'est vrai ! Vous et Lysithea êtes nées la même année ! En mille huit cents soixante, hmm...

Petra : mille huit cents soixante quatre.

Lysithea : Pour répondre à votre question, Petra, mon anniversaire est déjà passé. J'ai soufflé mes quinze bougies, cette année...

Raphaël : Vous avez quinze ans ? Je sais que je ne suis pas très fort avec les maths, mais vous auriez dû fêter vos seize ans, non ? De 1164 à 1180, si je retiens un puis...

Petra : Je n'ai pas encore célébrationner mon jour de naissance. Ne devrais-pas être plus jeune que vous ? Ou auriez vous un autre système de comptage d'années, en Fódlan ?

Lysithea : Je... Mmh... Je ne sais plus, moi !

Raphaël : Ces calculs sont vraiment trop compliqué, je vais demander au professeur de les faire !

Impassible

Caspar : Dis Annette, pourquoi ton père ne sourit jamais ?

Annette : Certainement car il culpabilise d'avoir échoué à protéger le roi...

Bernadetta : Il me fait si peur ! Yaaah, il s'approche ! Il veut me tuer !

Gilbert : Je vous ai entendu dire que je vous faisais peur, alors je suis venu m'excuser.

Bernadetta : V-vous n'avez pas l'air de vous en vouloir... Tout ceci est une ruse pour venir me tuer dans mon sommeil, hiii !

Caspar : BOUUUUUH !

Annette : Hya ! Caspar, pourquoi criez-vous de la sorte ?

Gilbert : Y'a t-il un danger dont vous vouliez nous prévenir ?

Caspar : Nan... J'espérais obtenir une réaction de ta part, en criant comme ça... Mais il n'y en a eu aucune.

Annette : Ne me faites pas de telles peurs, Caspar ! Bernadetta, vous allez bien ? Mince, je crois qu'elle s'est évanouie...

Pois(s)on

Claude : Vous n'avez aucune chance de me battre !

Hubert : Je n'en serai pas si sûr, si j'étais vous... Mes poisons, comparés aux vôtres, ont déjà tués bien nombre d'opposants à Dame Edelgard.

Claude : Ce n'est qu'un léger détail. Récapitulons, vous, vous verserez votre poison dans le ragoût du pêcheur, tandis que moi, je le verserai dans le ragoût à la Daphnel. Le gagnant sera celui qui intoxiquera le plus de personnes. Allons-y !

Hubert : Pourriez-vous m'expliquer pourquoi toutes ces personnes gisent sur le sol du réfectoire, en se tenant le ventre ?

Claude : Je n'en ai pas la moindre idée...

Hubert : Vous ne pensiez pas pouvoir me battre, alors vous avez empoisonné les plats bien avant, sauf que vous n'avez pas prévu qu'ils soient si vite contaminés ? Je vous pensais être un adversaire digne de ce nom.

Claude : Hé ! J'ai de l'honneur, je vous signale ! Pas comme « l'Ombre de l'Impératrice »...

Flayn : Claude ! Hubert ! Louée soit la Déesse, de vous voir ici ! J'ai besoin de votre aide !

Claude : Allez-vous bien ? A-t-on voulu une nouvelle fois s'en prendre à vous ?

Flayn : Moi, je vais très bien. Je vous en remercie de vous en soucier. J'ai cuisiné du poisson pour toutes les personnes du monastère, et ils en ont tous pris ! Mais peu après qu'ils l'ont ingéré, ils se sont retrouvé étendus sur le sol en criant que le poisson était en train de détruire leurs intestins... Il faut vite que vous alliez chercher le professeur Manuela !

Claude : Hubert, je pense que vous serez d'accord avec moi, pour affirmer que Flayn remporte notre petit défi. Je ne pense pas que nos poisons puissent égaler son poisson...

Demander sa main

Ashe : Merci à vous, Votre Altesse de m'accompagner ! Ainsi que vous, Léonie !

Dimitri : Vu qu'à la base c'était une idée de Sylvain, je me sentirai coupable si cela devait se passer mal...

Ashe : Tout ceci me stresse beaucoup... Mais je dois le faire !

Léonie : Il n'y a pas de raison de s'en faire ! Le capitaine n'est pas méchant. D'ailleurs, le voilà. Hé capitaine !

Jeralt : Bonjour, Léonie. Bonjour, les garçons. Vous êtes des élèves de la classe de mon fils. Le prince héritier et ?

Ashe : A... A... Aaaaaa-...

Léonie : Ashe. Il s'appelle Ashe. Et il a quelque chose à vous demander.

Ashe : O-oui... Je vou-vou... J'aimerais-... Vous...

Dimitri : Respire. Tout va bien. Ce n'est pas plus dur que quand le Professeur te donne des tutorats particuliers...

Ashe : M'accorderiez-vous la main de votre fils ?! Je l'ai enfin dit... Pfiou...

Jeralt : Ha ha ha ! Tu n'es pas un peu trop jeune pour me demander une telle chose ? Ha ha ! Et puis, faudrait plutôt voir avec le principal concerné qu'avec moi. Mais je vais te dire un petit secret... Tu as toutes tes chances. Sur ce, je vous laisse !

Dimitri : Ashe, tu es tout rouge ! Tu vas bien ?

Ashe : T-très bien...

Café

Constance : Ho ho ho ! Moi, Constance Von Nuvelle redorera la gloire de ma maison ! Ho ho ho !

Linhardt : Vous voulez bien descendre de votre bureau et arrêtez de crier à tout va ? Je m'apprêtais à commencer une sieste...

Constance : Dormir alors que le cours va débuter, quel irrespect !

Edelgard : Constance, vous êtes encore plus turbulente que d'habitude. Et même si je n'aurais jamais cru dire une telle chose, vous êtes plus turbulente que Caspar lui-même... Comment cela se fait-il ?

Ferdinand : Je crois que je pourrai apporter une réponse à votre questionnement, Dame Edelgard. Dernièrement, Constance s'est acquis à nouveau du café et...

Constance : Et il est vraiment très exquis ! Rien que ce matin, j'en ai pris cinq tasses ! Ho ho ho ! Je déborde d'énergie !

Edelgard : Je ne vois pas en quoi du café expliquerait son comportement...

Linhardt : Et bien, récemment des chercheurs adestriens ont démontré que le café stimulerait les personnes qui en boivent, surtout lorsqu'on en boit à forte dose.

Ferdinand : Évidemment, je le savais, Dame Edelgard. Je vous surpasse dans les dernières avancées scientifiques !

Constance : Ho ho ho ! Je vais très bien ! Une boisson ne peut avoir aucun effet sur mon illustre personne !

Surnom

Dorothea : Caspar, tu vas bien ?

Caspar : Mmm... Mouais...

Dorothea : C'est pas très convaincant, ça. Hapi, seriez-vous ce qu'il a ?

Hapi : Yup. Il est triste car je ne lui donne pas de surnom...

Caspar : Pourquoi ça tombe sur moi ? Je suis pas assez inspirant pour toi, Hapi !?

Hapi : Non, mais tu me fais trop penser à Balthus... Aussi crieur et tapageur que lui. Ça me bloque.

Dorothea : Mais, tu en as un, Caspar ! L'aurais-tu oublié ? Hi hi...

Caspar : J'en ai un, c'est vrai ?! C'est lequel ?

Dorothea : « Grand-frère », évidemment.

Caspar : Encore avec cette histoire ! T'es pas possible !

Hapi : « Grand-frère », je prends. Comme ça tu seras plus triste de ne pas avoir de surnom, Grand-frère.

Des armes de guerre

Byleth : Je vous ai déjà dit non, Sylvain.

Sylvain : Pourrais-je vous convaincre si je vous invitais à dîner ce soir, avec moi ?

Byleth : Certainement pas. Je ne vous laisserai pas utiliser la Lance de la Destruction pendant les entraînements.

Ingrid : Je suis de l'avis du Professeur. Les Reliques de Héros n'ont pas une énergie illimitée. Imagine que tu utilises tout son pouvoir lors de l'entraînement, et lorsqu'on en aura besoin elle serait inutilisable.

Sylvain : Mais comment je serai capable de la manier si je ne m'entraîne pas avec elle ?

Ingrid : Tu nous auras pas comme cela. Le professeur sait très bien manier l'Épée du Créateur, alors qu'il ne s'entraîne pas avec. Tu veux l'utiliser juste pour avoir une bonne note en combat, contre les élèves.

Sylvain : Si c'est comme ça, je n'irais plus aux entraînements. Je manierai ma Lance de la Destruction avec les charmantes demoiselles qui voudront de moi...

Byleth : Un instant, Sylvain. Je vous laisserai vous entraîner avec votre Relique de Héros que contre un élève. Dimitri ?

Dimitri : Oui, Professeur ?

Byleth : Il faudrait que vous combattiez Sylvain et sa Lance de la Destruction. Et Sylvain, si vous pensez que cela n'est pas un défi si dur, je pourrai très bien appeler également Claude et Edelgard.

Sylvain : Ce ne sont pas des élèves, mais des armes de guerre... Ha ha ! Professeur, vous m'avez cru ? C'était une blague, voyons ! Je vais de ce pas m'entraîner avec une lance normale...

Opéra (2ème partie)

Edelgard : Tu as l'air bien sérieuse, pour une fois, Dorothea. Cela ne te ressemble pas.

Dorothea : Edie, tu es toujours aussi froide... Heureusement que je trouve cela attirant !

Hubert : Vous devriez respecter un peu plus, Dame Edelgard.

Dorothea : Oh Hubie ! Cesse de faire ton rabat-joie ! Et dis-moi plutôt un secret sur la jeune Edie !

Edelgard : Un secret... Sur moi ? Je demande des explications.

Dorothea : J'ai commencé à écrire un opéra sur toi ! Et tu comprends, ce qui intéressent les gens ce sont tes petits secrets inavouables. Ceux qui cassent l'image de la fière impératrice. Et qui d'autre que ton fidèle vassal pour apprendre tout ce que tu me caches.

Hubert : Je ne le fais pas de gaieté de cœur, mais si cela permet de vous faire encore plus respecté dans tout Fódlan...Tenez, voici les partitions que nous avons déjà rédigées.

Edelgard : Est-il vraiment nécessaire de préciser que j'aime « me goinfrer de sucrerie le soir » ?

Dorothea : Absolument ! C'est ce qui fait ton charme ! Alors, je vous écoute pour tout me dire sur toi !

Charme ineffectif

Hilda : C'est injuste, pourquoi c'est à moi de rentrer tout le stock de potion qu'on a reçu dans la réserve... Oh, mais c'est Felix. Bonjour Felix !

Felix : C'est non.

Hilda : Ha ha ! Ce que vous êtes drôle ! Vous ne trouvez pas injuste de faire porter toutes ces potions à une jeune fille frêle telle que moi ?

Felix : Non. Si vous les avez portées jusqu'ici, vous pourrez les porter jusqu'à la réserve.

Marianne : Hilda, êtes-vous sûre à ne pas vouloir que je vous aide à porter les potions ? Le Professeur nous a mis en duo pour le faire...

Hilda : Mais non, Marianne ! Reposez-vous ! Cela me fait plaisir.

Marianne : Je suis désolée d'être aussi maladroite... Je sais que vous avez peur que je brise toutes les potions...

Felix : Si cela vous fait plaisir de les porter, je vous laisse. J'ai des choses plus importantes à faire.

Hilda : Attendez ! Il est parti. Pourquoi es-ce que cela n'a pas marché ? D'habitude, n'importe quel garçon est ravi de m'offrir son aide... Ai-je perdu mon charme... ? Bon, je vais devoir m'y remettre...


Alors, pour La plus jeune ?, c'est bien Petra qui est la plus jeune des étudiantes, et non Lysithea comme dit dans le jeu... Lys est née lors de la lune des Pégases (février), alors que Petra est née durant celle de l'Arc (Septembre. C'est d'ailleurs la meilleure lune vu que je suis née sous celle-là moi aussi !XD). Et elles sont nées durant la même année... Alors Intelligent Systems, ça met des mystères à droite à gauche mais ça sait pas compter ? x)

Je sais pas pourquoi j'ai fait faire cette blague de beauf à Sylvain dans Des armes de guerre... Je regrette, je crois ? XD

Et pour Demander sa main, j'ai eu cette idée pendant que j'écrivais Réécrire la légende. Et comme vous devez tous vous en douter, j'ai adoré l'écrire ! ^^

À bientôt ! :)