Helloo ! Voici le 11° chapitre…
Merci à Les maraudeuses pour leur gentille review : si c'est William le sauveur ? Arf nan pas vraiment en fait… Mais bon ça aurait pu être le cas lol…fin bon merci énormément pour la review !
Chapitre 11 : Fin de soirée
Black me tend la main pour m'aider à me relever. J'arrive pas à croire que s'il ne serait pas venu…Je me serais faite violée. Les larmes coulent toujours sur mes joues, rougies par la peur. Sans m'en rendre compte, je me blottis près de Black.
« Merci » dis-je, ne sachant dire autre chose et que mes sanglots auraient certainement été contre le fait que je produise une phrase complète.
« Tu veux que je te reconduise chez toi, Wilkes ? »
« Non, ça va, je rentre avec…quelqu'un d'autre. »
Il me regarde bizarrement mais ne dit rien. Bon Dieu, j'ai eu la trouille de ma vie.
« Avec Remus, on t'a vue partir dehors avec ce type et t'avais pas l'air très heureuse, alors, on a voulu te rattraper, mais on a du se séparer pour te chercher. Il faudrait retrouver Remus, il doit sûrement te chercher lui aussi. »
« D'accord » dis-je.
On va à la rencontre de Lupin, qui comme par enchantement vient de ce côté. Ses yeux s'agrandissent un peu en me voyant, tremblant comme une feuille.
Il interroge son copain du regard, qui lui fait comprendre qu'il lui expliquera plus tard.
« Rentrons » dit simplement Lupin.
Je le gratifie du regard. Il fait vachement froid pour la plus chaude soirée de l'été.
A peine est-on entré dans la salle que Stanislav m'accapare.
J'entend Black demander à Lupin « c'est qui celui-là ? » Mais je n'écoute pas la réponse.
« Mais où étais-tu Julia ? N'oublie pas que je dois te surrrveiller ! »
« T'inquiète ! J'ai été prendre l'air. » dis-je, impassible.
« D'accorrrd. »
« Et, Stan' ! »
Je me retourne pour voir qui appelle mon prof. Mes yeux s'agrandissent lorsque je m'aperçois qu'il s'agit de Kelly Macnair. Elle n'a pas changé depuis juin dernier. Ses cheveux blonds tombant en dégradé à la moitié de son dos, jamais coiffés. Ses yeux verts brillants de malice et sa petite taille. Ma meilleure ennemie.
« Qu'est-ce que tu fous là, Wilkes ? » me demande-t-elle.
Ses yeux se sont transformés en une malice démente. Lorsqu'elle s'adresse à moi, son attitude change du tout au tout.
« Ca ne se voit pas ? Je bronze… » dis-je, ironiquement.
« T'as pas perdu ton humour décapant pendant les vacances en tout cas. » me dit-elle.
« Non, mais Stan' m'initie à l'humour Bulgare. Hein, Stan' ? »
Gagné. Elle essaye de garder une expression neutre, mais cette fille je la connais trop. Elle est complètement dépitée.
« Qu'est-ce que tu veux dire ? » dit-elle.
« A ton avis ? Il fait du « baby sitting »…quelle question ! »
« Vous vous connaissez ? » demande-t-elle à Stanislav.
« Oui ». dit-il simplement. « J'habite chez elle. »
Je me demande bien pourquoi il lui raconte tout ça. Moi qui pensais qu'il se ferait une joie de sortir avec elle. Elle a tout pour plaire, là où il faut.
Enfin, bon, je m'en contre-fiche et je préfère aller…boire.
« Black », dis-je, en pivotant sur moi-même. « ça ne te dérangerait pas de me payer un verre ? »
« Tiens tiens…Il me semble que tu es bien vite remise de tes émotions. »
Il a vraiment le don pour instaurer le froid partout où il passe. Charmant. Je lui lance un regard très provoquant.
« Désolé. »
C'est une première. Sirius Black s'excuse ! A noter dans le calendrier !
« Tu bois quoi ? »
« Fire whisky. »
« Rien que ça… » ironise-t-il.
J'en suis à mon… je-ne-sais-pas combien de verre mais en tout cas, je sens la chaleur monter en moi. Je ne suis pas saoule, nan, mais je ne suis plus non plus très sobre. Entre les deux…Moui…
Par contre, Black me colle toujours autant, il a sûrement peur que je me fasse entraîner par un autre type. Ou autre possibilité : il veut pas que quelqu'un me drague. Les deux possibilités se font concurrences et… Je ne sais pas quoi penser. Je m'en fiche un peu.
Lupin est toujours là aussi, il est en grande conversation avec son pote. J'ai pas très bien saisi de quoi ils parlaient ; mais ce qui est sur c'est que c'est d'une fille et d'un gars prénommé Cornedrue. Je savais pas qu'il y avait des parents encore à la masse pour appeler leur gosse ainsi. Enfin, chacun ses goûts…
« Salut Julia ! »
Je me retourne. C'est… hum bonne question ! Je ne me souviens plus de son nom ! Un type de Serdaigle, de septième.
« Salut ! » lui dis-je.
« Ça va ? Tu as passé de bonnes vacances ? Tu veux boire quelque chose ? Ou tu veux venir danser ? »
Hum… C'est pas les questions qui lui manquent ! Certes, il est bien gentil, mais… j'ai pas vraiment envie de danser avec lui. Ça fait cinq minutes que je parlais le langage visuel avec un type à l'autre bout de la salle, adossé au mur. Vous voyez le genre de conversation normale inter-regard…
D'abord quelques sourires bien godiche.
Puis, « C'est tes copains, ces deux-là ? » En désignant Black et Lupin.
Un mouvement négatif de la tête fort précipité et une grimace.
Puis…
Une fille qui vient cacher notre champ de vision. Le temps qu'elle met pour passer, c'est au tour du Serdaigle de venir s'interposer entre nous…
« Alors, ça te dit de venir danser ? » me répète-t-il.
« Heu…c'est que… »commençai-je.
« Elle est avec moi. » dit Black.
« Ah heu… »
Le pauvre petit Serdaigle ne sait plus où se mettre. Je suis sûr que s'il y aurait un trou de souris, il y serait volontiers entrer…
Il prétexte qu'un copain l'appelle et s'en va en me faisant un léger sourire. Dès demain tout le monde sera au courant que Black et Wilkes sortent ensemble. Quelle joie…
Je me tourne vers mon cher et tendre fiancé :
« Fort perspicace pour la discrétion… » lui dis-je.
« Je t'aide à rembarer les mecs que tu veux pas. Tu devrais me remercier. »
« Merci, mais je sais le faire toute seule. » dis-je.
Même si je ne suis pas mécontente qu'il l'ait fait pour moi, je vais pas lui dire !
« Dis, tu devrais mettre un panneau sur ma tête tant que t'y es : Chasse gardée. Ça éviterait qu'on vienne me draguer… »lui dis-je.
« Très drôle, Wilkes. »
« Ça éviterait surtout que tout Poudlard soit au courantTu me payes un autre verre ? » lui demandai-je avec un regard ô combien séduisant. « Tu peux bien me faire ça, tu viens de faire fuir qui sait mon futur petit copain… Tu vois le beau Serdaigle aux beaux yeux bleus… »
Il hausse les épaules. Gagné. Ce mec est tellement prévisible. Même Lupin hausse les sourcils bien haut, disparaissants dans ses cheveux.
On dirait que Black a été drogué et/ou hypnotisé. Je lui demande un verre, et il me l'offre ! Nan, sérieusement, il lui manque quelques cases… Ce mec n'est pas du tout équilibré.
Suis-je bête !
C'est Sirius Black !
D'un coup, mes yeux dévient vers le type toujours adossé au mur, juste en face de moi. Je l'avais complètement oublié !
Comment as-tu pu !
Tout a fait d'accord avec toi très chère…
Voilà que je me parle à moi-même…
Le contact visuel se rétablit. Wouaw, il est vraiment beau !
Et sexy !
J'y crois pas ! Je suis sur la même longueur d'onde que cette abrutie de petite voix ! Miracle !
« Wilkes ! Je te parle ! »
« Quoi encore ? » dis-je, sans quitter le garçon adossé au mur à l'allure sexy.
« Comment se fait-il que tu ais pu sortir de chez toi ? »
Qu'est-ce que ça peut lui faire ?
« Je suis venue accompagnée. » dis-je toujours le regard droit devant moi.
« Avec le gars de tantôt ? »
« Oui. »
« C'est qui ? »
« Mon mec. »
« Quoi ? »
Mais c'est qu'il est idiot le p'tit Black. Et surtout très chiant. Il vient de se mettre devant moi.
« Tire-toi Black », dis-je en cherchant en rentrer à nouveau en contact avec les yeux les plus magnifiques de tout l'univers.
Black ?
Nan pas Black évidemment…
« C'est mon prof. T'es content ? »
« Ouais… »
« Tu me lâches, maintenant ? »
Il pousse un grognement inaudible –je le remarque surtout par la forme qu'à prit sa bouche- et vide son verre cul sec. Pauvre petit qui n'aime pas avoir le dernier mot… Puis, surtout à une de ses interrogations stupides. Il est pas très fortiche, Sirius Black !
Il est toujours face à moi et ça m'agace. Un petit défi du regard, ça le tente ?
Et c'est parti…
« Wilkes, tes jeux puérils dignes d'un gosse de cinq ans, c'est bon que pour toi. »
« Dis tout de suite que TU ne saurais pas relever un simple défi. Tu sais, ceux qui ne regardent pas leur interlocuteur dans les yeux sont qualifiés de faible. » dis-je.
Il me lance un regard mauvais.
Je sens Lupin rire doucement à côté de moi. Une petite remarque Lupin ?
« Dites… » commence Lupin.
Ça y est, je suis devin.
« Oui ? » dis-je. « Tu veux miser ton argent sur moi. C'est un bon placement, et puis, Black est vraiment trop nul. »
« Tu te crois drôle, Wilkes ? » me dit Black.
« Très. »
« Est-ce qu'il est possible », demande Lupin, « que l'un de vous deux arrête ? N'oubliez pas que vous êtes fiancés… »
D'un même mouvement, Black et moi tournons la tête vers Lupin. Je pense que l'expression de nos visages reflète l'entière réalité.
Horreur.
« Je crois que je vais aller faire un tour. » dis-je.
« Wilkes, sans vouloir t'offenser, ne va pas dehors. » me dit Black.
« Je n'en avais pas l'intention, et de toute façon, tu vas encore me suivre, alors à quoi bon tenter le diable. Où que j'aille, je t'aurai sur le dos. Jusqu'à la fin de ma vie. »
Oh, je crois que je l'ai joué un peu trop drama…
Un petit sourire ?
Je jette un coup d'œil au gars aux longs cheveux noirs en face de moi et à la tête aussi belle qu'un chien près à vous mordre.
Nan, pas de petit sourire.
« Hasta la Vista les gars… » dis-je, sourire destiné à Lupin (seul gentil petit Gryffondor au caractère très relatif…)
« Oh ! Mais c'est ma jolie copine qui ne sait pas décrocher son regard du mien ! »
« Salut, serais-tu mon sauveur ? » dis-je, amusée.
Le garçon avec lequel je parlais tout à l'heure par la voie des yeux (très spirituel comme technique…hein la p'tite voix ?) vient de me rejoindre sur la piste de danse. Comme c'est une danse où tous dansent serrés, on s'est vite retrouvés collés l'un à l'autre. Drôle de coïncidence, n'est-ce pas !
« Quel est ton nom, jolie demoiselle ? »
« Julia. »
« Fort beau. » me dit-il.
Un mot à dire : Grrrr
C'est un mot ?
T'en veux deux ?
La. Ferme.
« Et le tien ? » demandai-je, intéressée de mettre fin au mystère du nom de ce bel inconnu aux yeux magnifiques (et coupant court à la petite voix idiote qui abrite ma tête).
« Erwann. Avec deux n ! »
« Mmmh…Hé bien, Erwann avec deux n, contente de te rencontrer ! »
« Moi de même. »
« Tu as quel âge ? » lui demandai-je.
« Dix-huit depuis (il regarde sa montre) deux heures ! »
« C'est super ! » dis-je. « Bon anniversaire ! »
« Merci ! »
« Donc, tu as fini tes études ? »
Il acquiesce. Il semble comprendre où je veux en venir.
« J'ai fais mes études en France et je suis en Angleterre pour un stage, chez ma tante. »
« Ah…Je me disais aussi que si tu étais à Poudlard l'an passé, je t'aurais reconnu ! »
« On danse ? »
« Avec joie ! »
Je reconnais qu'il est excellent danseur. D'accord, c'est facile de danser sur de la musique ainsi (quoique…à voir comment Estia Jones bouge…), mais Erwann a le rythme dans la peau. Il est bien agréable de le regarder. Je l'aime bien ce p'tit français.
Il est deux heures trente, c'est le moment pour le groupe de musique de changer les disques. Après plus d'une heure et demie de musique forte et entraînante ; Black ans white passe une deuxième série de musiques plus calmes et tellement plus propice aux 'rapprochements' : les slows.
« M'accordes-tu cette danse, Julia ? »
« Comment te refuser ça ! Le jour de ton anniversaire ! »
Il m'offre un sourire rayonnant et plie légèrement une de ses jambes.
« Quel galant tu fais ! »
« C'est pour mieux te séduire mon enfant… ! »
Il me regarde dans les yeux, impassible. Il a ce petit sourire en coin qui le rend si…irrésistible. J'ai bien de la chance…
« Aaah, c'était donc ça ! » dis-je, mi amusée, mi cœur battant.
« Ni plus ni moins ! »
Etant fort doués –sans se venter- pour de telles danses, on se fait bien vite remarquer au milieu de la piste de danse. Erwann me fait tournoyer avec une telle vivacité que j'en ai la tête qui tourne. J'adore. Du bout des doigts, il me fait valser sur moi-même. Je m'amuse vraiment bien. Et puis… J'ai remarqué que beaucoup de monde nous regardait (évidemment, on bouscule la moitié des gens trop près) dont Black et une fille qui dansaient juste derrière nous. Il n'a pas sa tête des beaux jours. Je parie n'importe quoi qu'il est jaloux.
Je reporte mon attention sur mon cavalier, je tourne ma tête et soudain mes lèvres entre en contact avec les siennes.
« Hé ! » dis-je.
Sa réponse me plaît énormément : un immense sourire. Je le lui rends.
Rend lui aussi son baiser !
J'y compte bien très chère…J'y compte bien !
« Les français embrassent divinement bien ! » lui dis-je.
« Naturellement. »
Le groupe de musique stoppe les batteries, guitares, claviers. Le lieder du groupe s'avance sur la scène et nous demande notre attention. D'un coup, toute la salle commence a diminuer le son de leur conversation.
« Je lègue le micro pour une chanson à… Kelly Macnair ! »
Oh non, c'est pas vrai. Je dois déjà la supporter dans le dortoir, dans la salle commune, aux cours, dans la Grande Salle, partout…Elle et sa voix ! J'avoue qu'elle a une jolie voix, qu'elle sait chanter. Et elle le sait, c'est pour ça qu'elle fait ça. Pour être encore plus populaire. Comme si quelqu'un à Poudlard ne la connaissait pas. Comme si quelqu'un au Chemin de Traverse à Pré-Au-Lard ne la connaissait pas. Ce qu'elle veut ? Avoir tous les mecs à ses pieds. N'est-ce pas pitoyable ?
« On va boire un verre ? » proposai-je à mon petit copain.
« Sans problème… »
Nous sommes à nouveau sur la piste de danse. La langue d'Erwann se même parfaitement à la mienne. Mmmmh…
« Dis, tu comptes embrasser tous les gars de la discothèque ? »
Je me sépare à regret d'Erwann et je regarde méchamment la personne qui vient de dire ça. Evidement, Black, qui d'autre.
« Pour qui te prends-tu ? » lui demandai-je, agressivement. « Laisse-moi un peu. »
« Tu comptes les draguer tous ? D'abord t'embrasse Remus, puis maintenant lui. »
« Et on se demande à chaque fois qui vient pour interrompre tout. Va plutôt surveiller ton James Potter, faudrait pas qu'il tue Evans parce qu'elle ne veut pas sortir avec. Vous ne manquez pas de culot vous deux. Je suis pas ta femme, alors lâche-moi. »
« Dis, tu as un problème avec ma copine ? » intervient Erwann.
« Ouais. C'est ma fiancée. »
Erwann me regarde droit dans les yeux. Il a pas l'air super heureux de savoir ça.
« C'est purement politique. » dis-je. « Jamais je ne ferai quoique se soit avec Black. Alors maintenant, Black, dégage. »
« Non. Je compte bien t'empêcher de sortir avec tous les mecs ici présent. »
« Mais je ne sors pas avec TOUS les mecs, je sors avec Erwann. »
« Ça commence à bien faire ici. » continue Black.
En moins de temps qu'il faut pour le dire, on est parti dans un concours d'insultes. D'abord Black et moi, puis Erwann s'en mêle également. Il a pas apprécié que Black me traite de « grosse chaudasse sans cervelle ».
Inutile de dire qu'une bagarre vient de se déclancher. Black contre Erwann.
Faut que j'aille chercher Stanislav. Il saura les séparer, lui.
« Arrêtez ! Mais arrêtez ! Black t'es vraiment un gamin puéril. »
Stanislav fait un geste compliqué de la main et les sépare.
Par contre la sécurité a également rappliqué. En moins de deux, Black et Erwann sont fichu sans ménagement à l'extérieur. Interdiction de revenir. C'est du joli…
« Hum…Julia, on va rrrentrrrer ? » me demande Stanislav.
« Mouais. Black m'énerve vraiment de trop. »
« Va déjà dehorrrs, je te rrrejoins dans une minute. »
« Ok. »
Ça me laissera le temps de dire au revoir à Erwann.
« Julia ! Tu trrransplane d'aborrrd ? »
« Oui, mais avant, faut que je fasse un truc. »
Je viens de repérer Potter, Lupin et leur copain, je suppose qu'ils vont rejoindre leur très cher copain Black. Je les suis.
« Hé Patmol ! Mais enfin, elle te rend complètement barge cette fille ! »
Hein ? A qui parlent-ils ?
« Je serais toi, je l'ignorerais. » ajoute Lupin. « Laisse-la respirer un peu. »
« Merci pour tes précieux conseils, Remus. »
Ah, ils parlent à Black.
« Pourquoi tu es jaloux, Sirius ? » demande Petigrew.
« Je ne suis pas jaloux. »
« Siri… » reprend Potter.
« Bon, OK je suis jaloux et cette fille me rend complètement fou ! Je la hais vraiment et pourtant elle a… »
« Du caractère. » finit Lupin.
« Dis…Sirius », demande prudemment Petigrew, « tu…tu ne serais pas amoureux d'elle ? »
« Quoi ? »
Quoi ?
« T'es malade mon vieux ! Julia Wilkes ! Jamais de la vie… »
Je préfère ça…
Potter et Lupin se sont lancé dans une toux qui sonne archi faux.
« Quoi ? » demande Black.
« Répète… »
J'en ai entendu assez. Moi qui voulais aller lui donner une bonne gifle, je crois que je vais m'abstenir… Oh mon Dieu, Black est… amoureux de moi ?
Non, j'ai certainement mal entendu. Oui, sûrement qu'avec toute cette musique assourdissante, j'ai loupé un épisode. Oui, c'est ça, j'ai loupé un épisode.
Voilàààà ! alors z'en avez pensé quoi de ce chapitre ?
Laissez une petite review ;-)
Bizoooo
