Ceci est une fanfiction traduite de l'anglais. Le titre original est Harry and the time turner avec commme auteur R. K. Thompson

disclaimer: les personnages appartiennent a J.K.Rowling.


Harry et le retourneur de temps

Ch1 : Le monde d'Harry détruit

De la fumée épaisse était en suspension partout sur l'un des terrains verts de Poudlard, assombrissant certains côtés, mais pas le son du champ de bataille. Maintenant Harry n'avait plus besoin des ses yeux pour dire où étaient étendus les corps. Son esprit connaissait parfaitement les détails des emplacements de chacun de ses amis qui étaient tombés si loin dans la dure bataille. Avec virtuellement pas assez de temps pour préparer une défense avant que la grande armée de Voldemort apparu dans les terrains avoisinant Poudlard, les professeurs, les sixièmes et septièmes années, les membres de l'ordre du Phénix, et autant d'Aurors du ministère de la Magie qui ont pus arrivé à temps ont formé une petite ligne de défense en arc autours de l'entrée de Poudlard.

A sa droite, Hagrid, battu sauvagement par trois géants, était étendu devant les corps de Lupin et MC Gonagall, entourés par des piles de Mangemorts et Géants. Le sacrifice d'Hagrid a donné assez de temps à MC Gonagall pour jeter un dernier sort explosif, emportant avec elle six Mangemorts et deux géants avant qu'un Avada Kadavra la terrasse. Ayant perdu sa baguette avec un puissant Expelliarmus, Lupin s'était transformé en Loup-garou en espérant prendre plusieurs Mangemorts de plus avec lui avant qu'il ne se fasse attrapé dans la puissante main d'un géant survivant. Avec beaucoup de peine, le géant a tourné et brisé sa tête brutalement, son corps fut ensuite jeté a terre, avec ceux de ses amis sans vies.

Sur la gauche d'Harry, la plupart de la famille Weasley et certains membres de l'ordre du Phénix gisaient froissés sur le sol. Molly était étendue au milieu, entourée de ses fils comme lors de leur pose finale contre les Mangemorts et les Détraqueurs. Dès que leurs Patronus furent plus faibles et qu'ils étaient à la merci de l'insatiable faim des Détraqueurs, Molly regarda son mari et ses fils recevoir le baiser mortel des Détraqueurs après avoir été paralysés par différents sorts de Mangemorts pour prolonger leur agonie. Harry trembla lorsqu'il vit son regard pendant qu'elle subissait le même sort que sa famille.

Entre ces groupes d'amis, gisaient les membres de l'équipe de Poudlard, tous les sixième et septièmes années qui ont choisis de se battre, le reste de l'ordre du Phénix, et tous les Aurors du Ministère de la Magie qui sont venus à leur aide. Devant eux gisaient des hordes de Mangemorts, de Détraqueurs et de géants. Sans espoir, en nombre inférieur face à l'armée de Voldemort, ils ont opposé néanmoins, une futile résistance. Dans tout ce chaos, se tenait le dernier défenseur de Poudlard, Harry accompagné de Ron, Hermione et Dumbledore. Celui ci se tenait droit, immobilisé par le dernier sort de Voldemort. Son rire aigu continuait de résonner.

« Tu a été correct Dumbledore. Il y a des pires choses que la mort. Comme regarder mourir atrocement ceux que tu aimes. »

Le cri des mourrant et de ceux déjà morts continuait de retentir dans les oreilles de Harry. Se tournant à la source de toute sa peine et sa misère, Harry remarqua Voldemort se tourner de son côté et prononcer ces mots « Avada Kadavra.»

Harry pointa sa propre baguette et commença « Expell… » Avant que la lumière verte jaillit de celle de Voldemort et toucha Ron dans la poitrine.

« Noooonnn » surgit futilement de sa bouche. « Nooonn pas Ron ! ». Harry attrapa le corps inanimé de Ron et le coucha doucement par terre.

« Petit idiot. Crois tu vraiment pouvoir encore t'opposer à moi ? N'as tu rien appris ? Crois tu pouvoir me battre avec tes maigres connaissances ? Moi, qui ai passé tant d'années à perfectionner mon art ? Crois tu que ta chance va durer éternellement ? Personne ne peut te sauver maintenant, ni tes professeurs, ni ta famille adoptive, ni ton amie Sang de Bourbe, ni même ton précieux mentor Dumbledore. Mon armée va achever le reste des élèves Sang de Bourbes, et ceux qui sont déloyal ici, à Poudlard, sous le regard de son directeur. Il va aussi pouvoir assister à ta fin et celle de tes amis, pour voir qu'on ne s'oppose pas à Voldemort. Crucio. »

Le corps d'Hermione se secoua et elle cria dans l'angoisse.

"Impedimenta! Impedimenta!" cria Harry.

"Espèce d'idiot. Tu vas avoir besoin de sorts plus puissant que ça. Tiens, laisse moi te montrer comment je vais en finir avec tes amis. Petrificus totalus."

Comme le corps d'Harry se figea sur place, il put seulement regarder vainement le cri d'Hermione devenir de plus en plus faible. Sur le sol, son corps se convulsait de douleur mais elle tenta de relever sa tête pour dire "Harry, je…je…" incapable de finir, sa tête retomba sur le sol où elle resta sans bouger.

Ayant envie de crier, ayant envie de pleurer, Harry réalisa qu'il possédait une fureur insoupçonnée. Il voulait juste poser ses mains sur la gorge de Voldemort et lui retirer sa vie. Avec un immense souhait, il réussit à se défaire de son immobilité et s'avança d'un pas vers son tourmenteur.

"Maintenant, maintenant Harry. Bien, bien. Tu as sûrement appris de meilleures manières à Poudlard? Tu peux sûrement t'incliner devant ton maître? Impero."

« Vous savez que je ne m'inclinerai jamais devant vous ! Vous savez que jamais je ne m'agenouillerai devant vous ! » Harry criai à cette voie à l'intérieur de sa tête. Continuant sa marche, il lança « Vous avez tué tous ceux qui ont compté pour moi. Je vous déteste ! Je vais vous tuer ! »

« Et que proposes tu pour faire ça mon garçon ? » Voldemort riait encore. « Mais c'est assez mon garçon. Je suis fatigué de tous ces jeux. Celui ci a duré trop longtemps. Maintenant meurs. Avada Kadavra. »

Encore une fois, Harry leva sa baguette pour se défendre, mais encore une fois, trop lentement. Il y eu un grand flash vert puis tout devint noir. Harry entendit un petit bruit qui augmenta doucement en intensité. Harry réalisa doucement qu'il écoutait ses propres cris dans sa chambre noire chez les Dursley.

Son cri se répercutait en écho dans toute la pièce jusqu'à ce qu'il se cacha la tête dans son oreiller. Hedwige s'excitait dans sa cage. Un bruit sourd retentit sur la porte de sa chambre.

« Ecoutes moi espèce de sombre crétin ! Il est près de 2 heures du matin et nous avons à travailler demain. Je te préviens mon garçon, si je reçoit d'autres plaintes des voisins à cause des tes bruits la nuit, tu passera le reste de l'été dans l'abri de jardin ! Tu m'entends mon garçon ? »

« Oui, oncle Vernon. Je suis désolé. Ca n'arrivera plus. »

« Cela ferai mieux de ne plus arriver » meugla son oncle derrière la porte lorsqu'il alla se recoucher.

Cherchant ses lunettes, Harry se leva et alla déverrouiller la cage d'Hedwige, commença à lui caresser les plumes en essayant de la calmer.

« Là, là Hedwige. Je suis désolé si je t'ai effrayé. C'est bon, c'est bon. » La dernière partie était plus pour lui que pour la chouette.

Lorsqu'il s'assit sur le lit, le violent cauchemar resurgit encore et encore dans son esprit comme quand il calma sa chouette. « Qu'est ce que je vais faire ? Comment suis je supposé le vaincre ? Je ne suis pas assez fort, pas assez intelligent pour le battre. Comment suis je supposé sauver le monde de lui ? Je suis à peine capable de me sauver moi même, et ce n'était que de la chance. Je n'ai pas pus sauver Cédric, ou Sirius. Combien de personnes vont encore devoir mourir par ma faute ? » Le sommeil le quittait alors qu'il était contre le mur en caressant le dos d'Hedwige.