traduit par panthere et moi.
Chapitre 6 : Arrivée à Grimmauld
Arrivée au terminus du bus bien avant l'aube, il n'y avait plus beaucoup le choix de taxis, mais ni l'un ni l'autre ne voulait demander même si il y avait eut le choix. Harry fit signe à un taxi de s'arrêter, et continua son voyage avec Maugrey. Se dirigeant vers le square Grimmauld, ils sortirent, payèrent le conducteur, et descendirent dans la rue. Quand ils furent dans la maison, entre le numéro onze et treize, Harry inspira profondément et pensa au numéro douze.
Comme avant, la maison crasseuse semblait écarter les autres maisons tandis que Harry et Maugrey marchaient à grands pas vers le porche et ouvraient la porte.
- Tu sais qu'ils vont te tuer, n'est ce pas ? En particulier Molly. Grogna Maugrey.
- Je serais surpris s'ils ne le faisaient pas. Sourit Harry un peu nerveusement.
Quand Harry traversa le seuil, le sombre vestibule lui rappela des souvenirs du dernier été et noël, souvenirs de quand Sirius était encore ici.
- Ainsi, le fils prodige est retourné à la maison. Nous nous sommes bien amusés Potter ?n'est ce pas ? Etes vous toujours désolé pour… gronda le portrait de Phineas Nigellus.
Maugrey se retint d'exploser et vit que Harry se retenait, aussi. Prenant une profonde inspiration, Harry se relaxa lentement et répondit calmement, en contrôlant sa voix.
- Oui, j'ai un peu broyé du noir Professeur Nigellus. Et je reconnais que je me sens toujours affreusement mal de la mort de mon parrain et de votre arrière arrière petit-fils. Mais, je ne crois pas qu'il y ait de la honte à en pleurer. Maintenant….
- Aucune honte de regretter la mort du traître à son sang ?cria le portrait de la mère de Sirius. J'ai célébré sa mort pendant des semaines. Et je te le dois, à toi sale amoureux des sangs de bourbes, à toi monstre de la magie…
Puisque sa voix s'entendait de la porte du vestibule jusqu'à la cuisine, la porte de celle ci s'ouvrit et en un sorcier furieux et une sorcière en colère, suivis par deux adolescents vraiment inquiets en sortit. Quand ils entendirent les ignobles railleries et insultes hurlées à Harry sur lui et la mort de Sirius, ils s'arrêtèrent, prévoyant l'explosion que Maugrey avait crains.
Personne ne parla alors que le portrait continuait de déblatérer et fulminer. Après dix minutes, elle paraissait prendre une pause pour respirer, chose qu'une image n'avait pas besoin de faire.
- Avez vous fini Mme Black ? demanda la voix basse de Harry.
Elle s'arrêta, apparemment stupéfaite par son manque de réaction.
- Je veux m'assurer que vous sortiez enfin tout ça qui était enfui en vous, parce que vous ne direz…plus jamais…un mot…dégradant…de plus….sur…mon…parrain…encore une fois.
Chacun fixa Harry du regard, puis le portrait, ensuite les regards revenaient à Harry avec stupéfaction.
- Très bien, ensuite.
Personne ne vit plus qu'une forme floue alors que Harry fouettait l'air de sa baguette et la pointait sur le portrait accroché. Harry prononça assez clairement ces mots. « Silencio Vox » et une lumière orangée venant de sa baguette heurta la mère de Sirius à la base de la gorge. Elle haleta, et puis commença à hurler, mais le calme pesant continuait. Puis, Harry retourna son regard vers Phineas Nigellus.
-Avant d'être interrompus Professeur Nigellus, j'allais vous demander une petite faveur.
- Oui, Mr Potter. Répondit-il avec une voix courtoise inhabituelle.
- Pourriez-vous s'il vous plaît avertir le Professeur Dumbledore que je suis ici ? Je suis sûr que lui et bien d'autres ont été inquiets ce soir. Merci. Demanda poliment Harry.
Quand il se détourna d'un tableau maintenant vide de Nigellus, il fut bombardé de questions. Au même moment, il ressentit une sensation particulière dans la poche gauche de son jean. Quelle surprise pour tout le monde : sa poche commença à s'étirer et à s'accroître.
La poche craqua au niveau des coutures et Harry dut sauter rapidement en arrière pour éviter d'avoir ses pieds écrasés par sa malle d'école qui grandissait à grande vitesse. Avec un bruit sourd, elle tomba sur le sol et fit taire la foule momentanément. Harry regarda la malle puis revint sur son jean déchiré.
Regardant les expressions choquées, Harry marmonna.
-Je suppose que la poudre de rétrécissement a cessé de faire effet.
Quelques rires commencèrent à éclater dans la salle, cassant la tension précédente.
Avec un ton qui n'admettait aucune réplique, Molly ordonna à Harry d'amener sa malle à l'étage et de mettre un autre pantalon. Elle annonça qu'elle commençait à préparer le petit-déjeuner. Ron offrit son aide pour transporter la malle, mais Harry la refusa et au lieu de cela, pointa sa baguette et commanda :
-Locomotor malle
Hermione siffla.
- Tu ne peux pas continuer à lancer des sorts ainsi Harry. Ils vont te punir pour usage de la magie pour un élève de 1er cycle une fois de plus cette année.
-Hermione, nous avons utilisé beaucoup de sorts l'année dernière pour aider Mme Weasley à nettoyer cette maison et personne n'a eu d'ennuis. En plus, c'est une des meilleures places protégées. Si je ne peux pas pratiquer la magie ici, je peux le faire nulle part. Et crois-moi, j'ai besoin de m'exercer.
Plusieurs des adultes lui lancèrent un regard étrange quand il dit cela, mais ils allèrent dans la cuisine alors que Ron et Hermione suivaient Harry et sa malle a l'étage.
Une fois qu'il avait déposé la malle sur le sol de la chambre qu'il partageait avec Ron, Harry fût presque jeté en arrière par Hermione qui le saisissait dans une énorme étreinte d'ours. Juste assez rapidement, elle le libéra, le regarda droit dans les yeux et cria :
-À quoi pensais-tu ? Tu aurais pu te tuer !
Elle fondit en larmes et fuit hors de la chambre. Harry et Ron se fixèrent l'un l'autre, stupéfait.
- Qu'étais-ce donc ?demanda Harry.
- Une folle, si tu me le demandes, mon pote. C'est une fille, tu te rappelles ? Nous ne sommes pas supposés les comprendre. Quoi qu'il en soit, allons manger en vitesse avant qu'ils ne t'exécutent. Tu sais qu'ils vont te tuer, n'est ce pas ?
- Ouais, je sais. Attendons que Dumbledore soit là.
- Je ne pense pas qu'il pourra te sauver de ma mère.
- Ouais, je sais. Allons-y.
Tandis qu'ils descendaient les escaliers jusqu'au hall, Hermione quitta sa chambre reniflant silencieusement et fut derrière eux. S'arrêtant à la porte de la cuisine, Harry prit une autre inspiration avant de pousser la porte. Les regards sévères le fixèrent tout autour de la table tandis qu'il allait s'asseoir. Avant qu'il ne puisse s'asseoir, il y eut une flamme verte dans la cheminée, et Dumbledore en sortit, suivi par une McGonagall très tendue et une Tonks en colère.
Bien que ses yeux bleus brillaient légèrement, son visage restait extrêmement sévère.
- J'espère que tu as d'excellentes raisons pour tes actions de ce soir, Harry. Bien entendu, tu as causé beaucoup de souci. Tu sais comme tu es important pour…
- Oui, oui, je n'oublierai jamais comme je suis important pour le monde magique, coupa Harry amèrement.
S'arrêtant un instant et reprenant sa respiration, Harry continua sur un autre ton.
- Je suis désolé, Monsieur. Je ne voulais pas vous parler ainsi. Ça a été une longue nuit et j'ai été surpris que vous veniez et…
- Bien sûr que je suis venu, Harry. Tu sais comme moi et comme nous tous nous soucions de toi. C'est pourquoi nous sommes tous si inquiets par tes actions de ce soir.
- Je sais que vous vous en préoccupez, Monsieur. Mais j'ai pensé que vous étiez peut-être effrayé que Voldemort essaye de…
à ce moment, Harry fit une pause, regardant tout autour de la salle, ne voulant pas exprimer à voix haute sa crainte que Voldemort essaye tant a posséder.
- Je pense que Voldemort a appris sa leçon la dernière fois, Harry. C'est un sort très difficile, un sort qui nécessite sa présence immédiate pour le retenter. Je ne crois pas qu'il essayera à nouveau tant que tu pourras sentir ce que tu as fait la dernière fois. Est-ce que tu comprends ?
- Oui, je pense que oui. Et je suis content que vous soyez là. Si tout le monde pouvait s'asseoir, je vais essayer de m'expliquer à propos de la nuit dernière.
Alors que tous commençaient à prendre un siège, un faible et méchant gloussement se fit entendre. La porte s'ouvrit sur Kreattur, l'elfe de maison des Black.
- Ah, je pensais avoir entendu le retour de mon jeune Maître, marmonna l'elfe, mais Kreattur sait que le vieux Maître ne reviendra jamais. Kreattur s'est assuré de ça, oui il l'a fait.
Encore une fois, l'assemblée se glaça, sûre que cette fois, Potter exploserait en furie contre le traître responsable de ma mort de Sirius au Ministère de la Magie.
De l'autre côté de la table, Harry serra le dos de sa chaise jusqu'à que ses articulations devinrent blanches. Son visage sévère, Harry se déplaça vers l'autre côté de la table, affrontant le petit elfe, avant de parler fort :
- Tu as parlé plus honnêtement que tu n'as peut-être jamais fait Kreattur. Te rends tu compte que Sirius a modifié son testament ? Non, probablement pas. Tu devrais savoir qu'à sa mort, tous les domaines et toute la fortune des Black m'ont été transférés. Sa maison, avec tous les objets et tous les serviteurs, cela m'appartient maintenant.
Avec un léger tremblement de peur, Kreattur fixa Harry pour la première fois.
- Harry, tu ne peux pas posséder un elfe de maison. Ce n'est pas….
- Hermione, laisse-moi m'occuper de ça dit Harry avec une voix froide.
- Tu ne vas pas le blesser ou le tuer, n'est ce pas ? Il est juste un pauvre… -
- Non, je ne vais pas le tuer. Bien qu'il le mérite pour ce qu'il a fait. Et il n'est pas fou de toute façon. Il savait exactement ce qu'il faisait quand il a trahi Sirius pour le faire mourir. J'ai autre chose en tête pour lui. Viens ici !Gronda-t-il.
Hermione regarda frénétiquement les adultes, effrayée qu'Harry puisse faire quelque chose de terrible, mais ils ne faisaient qu'observer, n'étant pas sûrs de ce qu'il allait faire.
Traînant des pieds, Kreattur se présenta de lui-même devant Harry.
- Reconnais-moi ! Ordonna Harry.
- Harry, s'il te plaît, ne… bégaya Hermione.
La voix froide d'Harry répondit :
-Hermione, laisse-moi régler ça. Se retournant vers elle, il vit son visage triste.
Je t'en prie, fais-moi confiance.
Puis il se retourna vers Kreattur. Il demanda :
- Qui suis-je ?
- Vous êtes mon maître, Maître Potter.
- Très bien. J'aimerais te donner quelque chose.
- Des vêtements ?lança l'elfe en un cri aigu. Le maître stupide veut donner à Kreattur des vêtements ? Mais peut-être pouvons-nous reprendre…
- Non Kreattur, pas d'habits. Je veux t'offrir ce bracelet.
- Des bijoux ? Un air d'horreur couvrit la face de l'elfe de maison. Noonn ! Pas des bijoux !NNOOOOONN !
L'elfe regarda frénétiquement autour de lui dans l'espoir de trouver une quelconque issue.
- Reste là ! Ordonna Harry. Tu sais ce que cela signifie, lorsque le maître donne un bijou à son serviteur ? N'est ce pas ?
- Ouiii. Je vous en supplie Maître. Kreattur fera tout ce que le maître voudra. Mais le maître ne doit pas lui donner des bijoux. Pitié, noonn !
- Si tu n'avais pas trahi Sirius, je n'aurais pas pu par la suite te donner le bracelet. Si tu n'avais pas essayé de trahir chaque membre de l'ordre, je ne t'aurais pas donné le bracelet. Mais puisque tu n'as pas été loyal envers ton Maître, présent ou passé, tu n'es plus la bienvenue en tant que domestique. Bien que le fait d'offrir des bijoux te libère de mon service, ça ne te libère pas de mes ordres. Tu ne dois parler a personne de ce que tu a appris, vu, ou entendu dans cette maison ou quoique ce soit a propos de moi ou les autres personnes qui ont été dans cette maison. Tu ne dois rien dire a propos de l'ordre du Phoenix, que ça soit les membres ou les activités de qui que ce soit. Suis-je parfaitement clair? Suis-je clair? Rugit Harry.
-oui, maître. Parfaitement clair. Vint la réponse sanglotante.
-Ton nouveau maître, Si nous en trouvons un, connaîtra tout a propos du bracelet que tu portes, que ton service sera peut-être seulement temporaire, que je peux te rappeler a mon service quand et combien de temps je le voudrais. Donc tu peux espérer servir les Malefoy ou les Lestranges.
Harry cracha leurs noms.
Ils sauront que tu ne pourras pas garder complètement leurs secrets. Apres tout, ton devoir envers moi, a travers le cadeau du bracelet, sera toujours dominer a travers leurs demandes a toi. Lorsque je te rappellerais, ma revendication a tes services sera utilise a te forcer a divulguer tout leurs secrets. Maintenant, reçoit le bracelet comme un présent.
Kreattur trembla comme une feuille, comme si le rapprochement du bracelet aller lui marquer au fer rouge sa peau.
-Maintenant, deviens un traître. Trouve un nouveau maître plus approprier a ta nature démoniaque.
Avec un dernier gémissement, Kreattur disparut de la salle avec un pop sonore.
Les épaules de Harry s'effondrèrent et il retourna à sa chaise. Il accepta avec reconnaissance la tasse de chocolat que Molly posa en face de lui, mais ne releva pas les yeux. Il ne se sentait pas prêt a affronter le regard de qui que ce soit maintenant.
-Harry, pourquoi était tu si vache…Je veux dire, tu n'avais pas d'autres…
"Hermione, il a trahit Sirius a sa mort. Lui donner une seconde chance ? Il fera la même chose pour n'importe qui d'entre nous. Qu'est ce que j'étais suppose faire ? L'enfermer dans un placard quelque part? N'aurais ce pas été plus cruel ? De cette façon la, il pourra éventuellement trouver un autre maître, et nos secrets ici seront sauvé d'une éventuelle trahison. Je ne voulais pas être cruel, mais j'ai fais ce que je pensait être le mieux. Il n'y a avait pas un sentiment de vengeance. Sil te plait, crois moi Hermione.
- Je… oui, Harry. Mais comment a tu su a propos du bracelet? Je n'en ai jamais entendu parler
D'autres murmurements autour de la sale indiquèrent que personne n'avait un indice, personne. Sauf Dumbledore.
-Bon, j'ai demandé à Dobby a propos de ça. Il était le seul à pouvoir me le dire. J'ai sus que lorsque j'ai hérité de cet endroit, je devais faire quelque chose de Kreattur. Je ne voulais pas prendre le risque de nous laisser nous trahir. Et… et j'était effrayé que si je ne pouvais pas m'en débarrasser, j'aurais du le tuer de mes propres mains.
La dernière phrase était parlée très doucement en espoir que personne n'entendrait, mais tout le monde l'entendit.
Molly parla ensuite.
- Le petit déjeuner est prêt. Pourquoi donc ne continuerons nous pas cette discussion plus tard ?
Harry regarda avec reconnaissance Molly et murmura un merci. Ensuite, il dirigea ses yeux vers son assiette rempli et l'entama, sans lever ses yeux pour ne pas a avoir un contact avec n'importe qui et ainsi ne pas se sentir rejeté. D'inconfortablement papotages l'entourèrent pendant le petit déjeuner qui était plutôt troublé. Harry apprécia les quelques minutes du petit déjeuner rapide qui lui avait permis de se reposer après la discussion avec Kreattur.
Il savait que c'était très important de se faire comprendre après le petit déjeuner.
Apres avoir fini le petit déjeuner composé d'œufs, de bacons, toast et chocolat, Harry attendit que les bruits de repas et de paroles s'atténuent.
Les regardant, il vit que tout le monde avait fini et qu'ils attendaient simplement sur lui pour commencer. La plupart des regards méchant avaient étés remplacés par un mélange d'inquiétude et de curiosité.
Les yeux de Dumbledore semblaient être plus pétillant qu'avant, mais peut-être était-ce son imagination
- Bon, premièrement, laissez moi—euh—m'excuser a chacun pour vous avoir effrayer. Si j'avais pu faire la même chose par un autre chemin, je l'aurais fait. Mais je devais faire quelque chose. Je - euh, oh - par ou pourrais-je commencer? Bon, après la mort de Sirius je ne savais pas quoi penser. Je ne pouvais pas le croire. Encore une fois, quelqu'un qui m'était cher est mort. Et c'était de ma faute. Bon, je me suis senti comme si c'était de la faute. Et c'était la seule chose dont j'étais capable de penser. Et lorsque je m'endormais, ça empirait. J'ai eu tous ces cauchemars. C'est comme si je pouvais voir une vision de la confrontation finale avec Voldemort, et tout ceux présent ici, et… Et…et vous étiez tous mort. Je ne pouvais pas vous sauver. Je ne pouvais sauver aucun d'entre vous.
Regardant autour de la table, il s'arrêta sur chacun d'entre eux, mais un par un, tous sauf Dumbledore, baissèrent la tête, incapable de maintenir le contact visuel avec la terrible lueur de douleur dans ses yeux.
- La pire chose était que j'essayait de faire quelque chose et lorsque j'essayait quelque chose, Voldemort rigolait et me demandait si c'était la seul chose dont j'était capable? N'as tu rien appris ? Me demandait-il. Et je me sentait comme si il y avait autre chose que j'aurais du faire, que j'aurais du apprendre, mais parce que je ne l'ai pas fait, tout était perdu. Tout ! Vous tous, tout ceux que je connais, parce que je ne pouvais pas battre Voldemort.
-mais c'est complètement insensé, Harry. Personne n'attend à ce que tu sauves le monde. Tu es seulement … débita Molly.
-Donc pourquoi est-ce que Voldemort veut ma peau? Pourquoi a-il essayé de me tuer étant bébé ? Il devait y avoir quelque chose, quelque chose de spécial que j'ai dont il est effrayé si je l'utilise contre lui" démentit Harry.
- Harry, je suis sur que tu réalise que ces rêves sont probablement envoyé par Voldemort, qu'il essaye de te déstabiliser, de te tromper encore une fois. Proposa Dumbledore. Tu sais qu'il parle seulement avec mensonge et tromperie.
- Plus avec des demis vérité professeur. J'ai été très chanceux dans toutes mes rencontres que j'ai eues avec Voldemort. Non, attendez. Continua Harry, anticipant les arguments. Oui. Personne ne le sait mieux que moi. Et un de ces jours, ma chance tournera. Mais dans les rêves, je pense que Voldemort révéla plus qu'il ne le pense. Il continuera de se moquer de moi de ne pas avoir appris plus, de ne pas avoir développé plus de puissance. Mais je n'ai pas réalisé cela aux premiers abords. Tout ce que je pouvais voir n'était que votre mort, a vous tous, des nombreux morts dont je n'ai pas été capable de prévenir. On, s'il vous plait, laissez moi finir. Et après, tard dans la dernière nuit, ou au petit matin je pense, après encore un de ces rêves, j'ai regardé la télévision. C'est une boite moldu qui nous montre des images. Et j'ai fini par voir une guerre moldu qui c'est passé il y a 50 ans dans le monde moldu et qui se déroulait dans le monde entier. Plusieurs de ces événement me rappelèrent mes propres bataille contre Voldemort. Et il y avait cette homme nommé Winston Churchill…"
-Ah Winston. Un des meilleur, des plus brave homme que j'ai rencontré. Ajouta Dumbledore.
- Mais il n'a pas combattu réellement …Et comment vous le connaissez? Bafouilla Harry.
-Oh Winston se battu tôt dans la guerre. Mais il affronta des ennemis plus dangereux plus tard dans la vie, dans la période ou tu l'as vu. Un léger sourire apparu sur le visage de Dumbledore. . Il affronta les politiciens, les bureaucrates et l'indifférence du public. Des formidables ennemis ceux la et souvent imbattable. C'était une sombre décadence pour le monde moldu et magique. Plusieurs d'entre nous les aidèrent lorsque nous pouvions.
Il finit mystérieusement, avec une autre étincelle dans les yeux.
D'un geste de la tête, il invita Harry à continuer.
-Churchill conduit la Grande Bretagne dans cette guerre, et comme je pense que la plupart d'entre vous le savent, c'était lorsque qu'il n'y avait plus d'espoir. Mas il rallia les hommes du pays et les incita a se battre a ne jamais se rendre, a continuer a se battre contre les étrangers. Et la mer pouvait éventuellement tourné. Mais vint un grand sacrifice. Alors que la guerre faisait rage, les soldats devenaient de plus en plus jeunes des deux cotés.
Il regarda Ron.
-La majorité d'entre eux n'était âgé que d'un an ou deux de plus que nous. Et ils étaient effrayés, cela se voyait dans les images. Mais ils se battirent. Ils se battirent ! Ils n'attendirent pas que l'ennemi vienne a eux, mais ils allèrent vers l'ennemi. Et je pense que c'est la meilleur façon a moi de vous expliquer pourquoi j'ai tout quitter.
Aux regards d'horreur autour de lui, Harry continua.
- Ne vous inquiéter pas, je n'avait pas programmer d'aller, de chercher et de trouver Voldemort aujourd'hui puis le combattre. Mais je suis fatigué de rester chez les Dursley. Je suis malade de passer mon entière année a l'école a attendre une de ces attaques et m'inquiéter sur ce qu'il prévoit de faire a moi et au reste du monde magique. Je dois maintenant agir. Si il y a quelque chose en moi qui l'effraie assez pour essayer de m'avoir tuer étant bébé, je dois trouver ce que c'est et l'utiliser pour le détruire.
Lorsque j'ai quitter les Dursley, je ne courait pas n'importe ou et ce n'était pas une mauvaise blague. Je suis parti parce que cela n'aidait personne à être le bas. Donc je suis partit et je suis venu ici. Il y a deux raisons pour que je sois venu ici. Première: c'était la meilleure place en dehors de Poudlard que je connaissais ou je pouvais pratiquer la magie. Seconde : vous êtes tous ici, une bonne partie de votre temps. Et c'est crucial car j'ai une énorme faveur à vous demander.
Harry regarda autour de la table, tous pendu a ses mots. Je veux que vous - non- j'ai besoin de votre aide pour m'entraîner. Aidez moi a découvrir le quelconque talent que j'ai et dont Voldemort est si effrayer et aider moi a le développer pour qu'il me serve d'arme a utiliser contre lui et le détruire une bonne fois pour toute. S'il vous plait.
La cuisine explosa dans la confusion car tout le monde parlait en même temps. Regardant autour de lui, Dumbledore sourit avant de lever son bras pour avoir l'attention.
-S'il vous plait, s'il vous plait. Si je devais…
Il attendit la fin du remue ménage pour continuer.
- J'imagine que nous avons tous des opinions différentes sur les paroles de Harry.
Se tournant directement vers Harry, il continua.
- J'espère que tu réalises la taille et le danger de la tache que tu espères entreprendre.
-Oui monsieur, et je suis prêt a la faire. Répondit Harry avec espoir.
-Non, Harry, je ne crois pas que tu comprennes la lourdeur du poids que tu espères porter. Mais tu as déjà eut des fardeaux plus lourds que n'importe qui de ton âge ne devraient jamais pouvoir soutenir. Je ne doute pas pendant un moment de l'un ou l'autre de ton courage, ta détermination, ou ta capacité de développer ces talents cachés en toi. En outre, tu as les meilleurs des amis pour te soutenir dans tes efforts."
Dumbledore a fait une pause pour jeter un coup d'oeil clairement chez Hermione et Ron.
- Et Harry aura besoin de tout l'appui que vous pouvez lui donner. En même temps que ces amis, Harry, Je voudrais t'offrir n'importe quelle aide dont je serais capable. Je serais heureux de continuer ta formation comme en t'aidant a développez tous les autres talents ou qualifications que nous pourrions découvrir et qui pourraient s'avérer utile."
-Albus, vous ne pouvez pas être sérieux. Harry est trop jeune pour ceci. C'est probablement ce que Voldemort voulait : obtenir quelques leçons supplémentaires a Harry, le juger et le chercher dans la bataille pour pouvoir ainsi le tuer. Protesta Molly
- non, Molly. Je crois que la dernière chose sur terre que Voldemort veut est que Harry est une meilleure formation. Je crois que Voldemort s'est considérablement affaibli en envoyant ces cauchemars à Harry. Le courage de Harry ne l'a jamais trahit dans le passé. Et il ne le fera pas maintenant. Non, Voldemort a fait une erreur grave, en essayant d'effrayer Harry avec des rêves terribles. Au lieu de le casser, je crois que Voldemort est seulement parvenu à le rendre plus fort.
Dumbledore a regardé directement dans les yeux reconnaissants de Harry pendant qu'il finissait.
Comme Dumbledore finissait, le professeur McGonagall parla. Jetant un coup d'oeil brièvement chez Dumbledore, en insistant plus dans ceux de Harry, elle annonça vivement.
-Bien, si Albus croit c'est la meilleure ligne de conduite, aussi, je vous aiderais comme je le peux. Je vous offrirai une formation accru dans la métamorphose, si vous le désirez, mais soyez averti, il sera beaucoup plus difficile que mes classes a Poudlard.
Le visage de Harry blanchi légèrement à la menace du travail en plus à avoir.
Regardant plus Maugrey et Tonks, qui tous les deux ont donné à des signes d'approbation peu profonds, Lupin dégagea sa gorge et indiqua
-Puisque apparemment nous ne passerons plus de temps sur le devoir de garde chez le Dursley, nous pourrions aussi bien passer notre temps supplémentaire en donnant des leçons de B.A.BA. Mais elles ne seront pas faciles. Et tu va payer ta petite escapade la nuit passée."
Harry a rapidement baissé sa tête pour cacher son sourire. La soulevant, il a regardé avec reconnaissance autour de lui tous ses amis autour de la table. Notant les regards de souci sur le visage de Hermione et de Molly, il parla.
-Ne vous inquiétez pas, Je ferai attention. Je ne veux pas le faire, croyez-moi. Mais cette chose doit être combattu. Le mal doit être opposé et défait. Et si je pouvais faire tourner la chance, je le ferais et pour cela, je dois faire mon meilleur pour aider. Je ne peux pas simplement me cacher, ou rester de côté et ne faire rien, ou espéré que d'une façon ou d'une autre, les choses s'arrangeront. Je dois faire quelque chose. S'il vous plait, essayez de comprendre. S'il vous plait.
Hermione a simplement incliné la tête et a baissé sa tête.
Harry ne a pas remarqué les larmes parce que Molly a rapidement traversé la salle et l'a enveloppé dans une étreinte énorme.
-Je sais, Harry. Je sais. Tu es juste jeune et tu es comme un de mes propres garçons. C'est juste trop à demander pour n'importe quelle personne. Mais j'aiderai du mieux que je pourrais. Et j'essayerai de ne pas trop pleurer. Je sais qui je dois détester. Molly essaya de rigoler.
-Merci, Molly. Si vous voulez, vous pouvez pleurer. C'est ce que les bonnes mamans font.
Il la regarda, lui sourit et elle serra son étreinte.
Comme chacun s'était déplacé pour partir de la cuisine, la voix de Ron cassa le silence.
- Maman, si tu pouvais arrêter d'étouffer Harry, J'ai une question pour lui. Molly recula rapidement, un regard légèrement embarrassé.
- Comment diable as-tu dupé ces trois là pour sortir de ta maison ?
Ron ignora les lueurs fâchées qu'il a reçues de Tonks, Lupin, et Maugrey.
Soudainement embarrassé, Harry rapidement regarda le sol pour éviter d'entrer en contact avec Mme Weasley.
- Bien…J'ai eu quelques…amis qui m'ont envoyé quelques…choses qui ont aidé un peu.
- Ces jumeaux ! Quand je les aurais choper ces deux la je ... "
Elle souffla bruyamment et alla rapidement à l'évier, faisant semblant de commencer à nettoyer le désordre de petit déjeuner. Elle restait très tranquille cependant, comme si elle voulait entendre plus des détails de la discussion.
- Mais qu'a tu fais avec ces choses ? Demanda Ron curieusement.
- ben, j'ai remarqué qu'il y avait des membres de l'ordre qui m'observaient cette année, comme l'année dernière. J'ai également suspecté Voldemort d'avoir envoyer ces mangemorts m'observer, mais ils n'auraient pas su où observer exactement. Je n'ai aucune idée combien de mangemorts il a maintenant ou comment ils pourraient être efficace dans des secteurs d'observation. J'ai remarqué si je faisais un sortilège, il pourrait me détecter d'une quelconque façon, comme le ministère de la magie. Ainsi j'ai commandé quelques dispositifs magiques…spéciaux qui pourraient faire ce que je voulais.
- Intelligent, Potter. Très intelligent. Complimenta Maugrey.
- Et qu'était les noms de ces dispositifs magiques…spéciaux, Harry ? J'ai pensé ma liste de services de spécialité chez Weas...
Avec un regard sur Mme Weasley, Dumbledore continua :
-Euh... les divers magasins de plaisanterie qui était le plus fournis et expérimenté mais je n'avais trouvé aucun article qui semble faire les effets qu Lupin et Maugrey m'ont décrit.
Dans le choc complet, chacun dans la cuisine a lentement tourné pour jeter un coup d'oeil a Dumbledore qui tenait un rouleau a parchemin qui devait mesuré aux moins deux mètres une fois déroulé.
-Que font-ils? A demandé Molly très blanche
-Oui Molly. Ils sont tout à fait ingénieux, vraiment. Ils vendent les farces et attrapes les plus étonnantes. D'ailleurs, quand ils étaient à l'école, ils ont fait une partie...
Dumbledore s'arrêta. Tout le monde riait en voyant le regard très sévère du professeur McGonagall à Dumbledore.
-Bien, revenons à nos moutons. En tant que directeur de Poudlard, je trouve très bien pour rester compétitif des multiples magasins de plaisanterie. Vos fils font le meilleur et le plus innovateur, et ce sont les seules. Je leurs ait fait une remarque d'exercer une surveillance particulière sur leurs articles, parce que pour quelque raison, un bon nombre d'entre eux s'avèrent justement apparaître a Poudlard.
Dumbledore nota le regard de fierté dans les yeux du Molly qu'elle essayait tant bien que mal de cacher.
- Mais Harry, a-t-il répété, je dois admettre que j'aimerais moi aussi savoir comment tu as effectué ton évasion.
-Bien.
Harry continua, refusant toujours de rencontrer les yeux du Molly.
-D'abord j'ai dû créer une distraction de sorte que je glisser loin avec mon manteau d'invisibilité. J'ai emballé tout dans mon barda et ai arrosé arrosoir à rapetisser dessus. C'est juste seulement aux objets inanimés et la durée change, même que la taille elle se rétrécit aussi. Il y a beaucoup de variables. Je pense que j'étais chanceux que ma valise n'a pas éclaté sur moi plus tôt lorsque j'étais dans l'autobus.
Des rires se firent entendre.
-Je suis donc aller hors de ma pièce et pris le trophée et le balai de ma tante et de mon cousin et je suis retourné dans ma pièce. J'ai attaché du ruban adhésif du trophée sur le balai, j'ai pensé a l'image ai j'ai employé le copieur.
Remarquant les regards autour de lui, Harry a expliqué
-Le copieur est un petit globe avec deux boutons. Vous vous tenez devant lui, habillé comment vous voulez être vu, et appuyez sur un bouton, ce qui capture l'image. Alors vous poussez l'autre bouton et il crée une deuxième image de vous. Fre…euh mes amis l'ont prévu pour les étudiants qui veulent faire comme si ils sont endormis alors qu'ils sont autre part.
Harry fit une pause.
-Il n'y a rien d'autre à son sujet. Vous devrez mettre des feuilles sous quelque chose et la substance quelque part pour ne pas glisser. C'est comme ça qu'il a expliqué à moi, je ne comprend toujours pas. Il y a juste une image qui est produite.
Harry feint d'ignorer les rires pour son mensonge évident. "
-J'ai pensé qu'il pourrait travailler assez bien pour faire une image de moi montant mon manche à balai, ainsi je l'ai fait en collant la boule dans le trophée et je lui ai attaché du ruban adhésif autour aussi.
-La prochaine fois, assurez-vous que vous employez une image avec vous sur votre vrai manche à balai, parce que j'ai reconnu que ce n'était pas le votre. C'est comme cela que j'ai su que vous n'étiez pas parti pour de vrai. Vous n'étiez pas montez sur votre éclair de feu. Dit Maugrey et rajouta alors un commentaire. Et heureusement que je vous ai vu, vous seriez parti sans protection.
-Euh, ouais. J'aurais du pensé à cela. Mais j'ai pensé que vous auriez vu que quelque chose était en vol et que vous ne m'auriez pas vu sous ma cape d'invisibilité. Répondit Harry.
-Oui. J'ai pensé a vous rechercher après que je me sois rendu compte que ce n'était pas vous sur le balai."
-Mais j'ai pensé qu'avec votre oeil... Harry commença.
-Je ne peux pas voir tout en peu de temps, gamin. Trop d'images et trop peu de temps me rendraient fou. Je dois limiter la quantité d'entrée sensorielle ou je ferais cramer mon cerveau. Et je ne monterais même plus en grade ! Maugrey ri.
-Harry, cette image. Est-il corporel ou éthéré? demanda Dumbledore.
-Mais comment avez-vous obtenu ce vieux balai pour voler sans magie ? demanda Tonks.
-Bien, une fois que j'avais une image de moi en vol, j'ai utilisé un vol à asperger. C'est une modification de certains des feux d'artifice des jume.euh quelques étudiants qui étaient l'an dernier a Poudlard. Dit Harry avec un regard rapide à Molly, qui continuait à frotter des casseroles.
- Le vol à asperger peut être employé pour faire n'importe quel objet, comme un grand pot, flotter entre le ciel et la terre, et volez avec une traînée énorme derrière elle. C'est un tube avec un bout plat. Vous attachez la tête plate à ce que vous voulez qui vole, comme le grand pot, puis vous le lancer. Et il reste de cette manière la. J'ai juste enlevé la pièce de flamme. Je savais que cela n'allait pas faire trop réaliste si mon balai était en feu.
-Et Et ou avez-vous volez l'argent pour payer l'autobus, gamin ? Grogna Maugrey, couvrant les rires.
- Ben, mes amis m'ont avancé un prêt à court terme et l'ont échangé en argent moldus pour moi. Chez Gringotts, naturellement. Ce ne sont pas des contrefaçons ! Se défendu Harry.
-Naturellement, Harry. Très inventif. Très inventif en effet.
Dumbledore ri.
-Tu as eu une nuit très longue. Pourquoi n'iriez vous pas dormir ? Nous arrangerons nos programmes demain de sorte que vous puissiez commencer vos nouvelles leçons.
Soudainement, Harry se senti très fatigué.
- Alors nous allons commencé demain ? demanda-t-il avec enthousiasme.
-Oui, mais je vous conseille fortement d'aller régénérer votre énergie. Vous en aurez besoin. Rajouta Dumbledore.
- Bien. J'y vais.
Comme il s'est levé pour prendre congé, Ron et Hermione le suivirent. Des voix se firent de nouveau entendre dans la cuisine et ils se dirigèrent vers le haut des escaliers.
-Harry, c'était brillant t. Je n'arrive pas à y croire... Ron ri.
-Je n'arrive pas a croire que tu ai fait cela sans le dire a quelqu'un'. Tu aurais pu être tué ! Tu sais qu'il y a les mangemorts qui te suivait et qui ont explosé le trophée, pas toi. Sa aurait pu être toi ! Réprimanda Hermione.
- Vraiment ? Heureusement chose je n'ai pas envoyé mon éclair de feu en tant qu'élément du tour alors, hein ? Qu'est-ce que j'aurais fait pendant la saison de Quidditch ?
Harry sourit intérieurement et Ron de même. Hermione soupira d'exaspération et ces derniers pouvaient être entendu clairement dans la cuisine autant que son soupir.
- Honnêtement, vous deux. Est-ce que c'est la seule chose dont vous pensez ?
Retournant dans la cuisine, Professeur McGonagall marmonna :
-Bien, au moins l'un d'entre eux a un cerveau. Je jure, Monsieur Potter. Chercher les ennuis, vous ne aurez encore plus….
-Non, Minerva, ne le juger pas trop durement.
Se tournant vers Molly, Dumbledore continua.
-Harry a d'excellents amis. Oui, Hermione semble être la plus responsable des 3, mais il a besoin de Ron aussi. Ron l'aide à décompresser, à s'amuser et à aimer la vie. Harry n'a jamais vraiment eu quelqu'un qui faisait attention a lui comme Hermione ou quelqu'un avec qui s'amuser comme Ron. Les deux sont cruciales pour lui, et le seront encore plus avec toutes ces taches qu'il va devoir affronter au plus tôt.
-Pensez vous vraiment que Harry est prêt pour tout cela. Il prends beaucoup trop de responsabilité pour qu il est. Dit Molly.
-Harry est assez vieux maintenant pour choisir la tache dont il devra s'occuper. Si je pouvais lui donner une adolescence et enfance normale, je le ferais sur le champ. Mais Harry à un rôle vital a joué dans le prochain conflit avec Voldemort. Et plus tôt nous l'aiderons à découvrir ce rôle et à le préparer, il y aura plus de chance à ce qu'il s'en sorte sain et sauf Molly. Ne vous inquiétez pas, je le surveillerais de plus prêt qu'avant.
RAR:
Marilou Lupin : merci pour ta reveiws. Je pense que les chapitres vont etre tres irregulier mais bon.
Rebecca-Black: pour le voyage, je n'en ai aucune idée, je la traduit petit a petit donc je ne sais pas ce qu'il va se passer.
