merci pour la review ! en fait, ce sera moins gore par la suite, c'est pas si horrible lol ! merci encore !

CHAP 2:

Harry marchait d'un pas rapide vers la bibliothèque où il devait retrouver Hermione.

Il parcourut plusieurs rangées, tourna à droite, à gauche, et fini par trouver un rayon dans lequel il s'engoufra sans

plus de cérémonie. Hermione était plongée dans le rayon, le nez entre trois bouquins. Harry comptait s'ammuser un peu

en vue de son innatention. Il s'approcha à pas feutrés, plus silencieux qu'une panthère, et atteignit finalement le dos

d'Hermione. Il la pris subitement pas dessous les épaules et la souleva. Elle poussa un petit cris de surprise, suivit par

une tape brutale contre le bras de son "agresseur". Celui-çi rit d'un rire amer et la relacha en la tournant vers lui.

Elle fit semblant de le gifler avant de pouffer de rire et de le pousser vers la première chaise venue. Harry s'assit

donc de force, avant de reçevoir de la visite sur ses genoux. Hermione lui mis un livre devant le nez après s'être assise

sur lui.

Voilà la bête! annonça-t-elle.

Parfait. Y'a quoi dedans?

Des infos sur les liens créés par un sort ou un maléfice et leurs effets secondaires possibles.

Ok, ok! Au boulot! Mais...si tu pouvais aller t'asseoir sur une chaise, ça m'arrangerais! plaisenta Harry.

Hermione rougit légèrement Et se déplaca très vite. Ils restèrent ainsi attablés, à essayer de découvrir ce qui unissait

Harry à Voldemort, et par la même occasion en déduire "l'antidote"; jusqu'à l'heure du déjeuner. On était samedi, et donc

ils pouvaient se permettre de ne pas suivre le déroulement normal de la journée.

Tout en allant manger, ils se communiquèrent mutuellement les idées qu'ils n'avaient pas eu le temps d'échanger à la

bibliothèque. Ron les rejoint vite à la table des gryffondor, en compagnie de Lavande, mais les deux autres avaient entre

temps changé de conversation, évitant d'en parler entourés de personnes aux oreiiles indiscrètes.

Harry, comme à son habitude, ne montrait plus aucun signe de sentiments extérieurs comme intérieurs. Personne n'arrivait

plus à déchiffrer son regard. Sauf peut-être...Hermione.

Il frissona à cette idée. Il avait banni de sa tête toute idée de sentiments plus grands qu'amicaux.

Avec Hermione, il se permettait de rire, mais ce n'était plus le même rire. C'était un rire amer, plein de solitude et de

tristesse refoulée au plus profond de son être. Il se rapprochait plus d'Hermione qu'il ne le voulait lui-même, mais

c'était bien malgrès lui.

Hermione, quand à elle, avait peur. Peur d'en arriver à une solution extrême dans sa quête de vérité quand au lien unissant

Harry au mage noir. La nuit, elle avait du mal à dormir, et de temps en temps, quand le lendemain le permettait,

elle passait uune belle partie de la nuit avec Harry, à observer les étoiles. C'était pour eux une sorte d'adrénaline

de douceur qui leur permettait de tenir le coup. Dans leur profonde quiétude, ils addressaient de temps en temps des signes

à Sirius, cette étoile qui brille si étrangement, et qui représente pour eux le souvenir d'un homme aimé et respecté.

Et aujourd'hui plus que jamais, elle craignait la nuit. Cela fesait un an jour pour jour que sa cousine avait été tuée par

un homme sortant de l'asile qui avait une fois de plus perdu consience. L'affaire avait été classée sans suite et l'homme

replacé à l'asile. L'après-midi passa avec son lot d'activités, mais pourtant, plus la nuit approchait, plus Hermione

sentait son coeur battre la chamade. L'âme de sa cousine semblait pénétrer en elle au fur et à mesure que le soleil

poursuivait sa course infernale dans le ciel. L'an dernier aussi il lui était arrivé la même mésaventure. Moins de cinq

minutes après la mort de sa cousine, elle s'était sentie imprégnée de son parfum, de tout son être. Sa cousine et elle

entretenaient des liens très serrés et on les comparait même à des jumelles. Sa cousine était cracmol. La magie opérait.

Ce soir également, elle deviendrais l'espace de quelques heures deux personnes différentes emprisonnées dans un même

corps. Comme le loup-garou sort de Rémus, Lola sortirais d'elle.