Titre de la Fanfiction :
Harry Black and my world
Auteure :La dame bleu ou juste Andréanne pour les intimes.
Déni : Tout ici appartient à J.K.Rowling sauf ce que vous ne reconnaissez pas! Merci énormément à ma merveilleuse correctrice :Tatatia qui lu, corrigea et m'aida à mieux formulé mes phrases. Elle est une de mes grandes amies et je la remercie du plus profond de mon cœur!
Réponse aux reviews : faby.fan Je suis vraiment très contente et très flattée de ta review! C'est vraiment très gentil et je vais tout faire en mon pouvoir pour que tu ne sois pas déçu! Moi aussi je crois que James et Lily sont fais pour aller ensemble mais j'avais le goût de changement! Toutes les FanFictions sont pareils! Alors j'ai mis ma petite touche d'originalité dans le script. Du changement sa fait de mal à personne! Merci encore pour ta review et continus de m'en envoyé! Byebye et vraiment un gros merci! Bisous xxx
Eliwan : En premier je voudrais te remercier pour ta review! C'est vraiment très gentil à toi et j'espère que je ne te décevrai pas! Pour le cas Julie/Sirius/Harry, ne t'en fais pas trop. Tu vas comprendre mieux dans ce chapitre ce qu'est vraiment Julie. Et pour Sirius, Harry n'est sans aucun doute sa priorité, la personne la plus importante dans toute sa vie et une simple femme ne viendras pas tout gâcher… bonne lecture et continus de m'envoyé des reviews! Bisous xxx
Saozens'Snape : Salut! Merci beaucoup pour ta review je suis très touché et j'espère que ce chapitre sera assez long pour toi! Lol, merci beaucoup et gros bisous xxx
Gryffondor :Allo! Je suis super contente de ta review. Elle m'inspire beaucoup! Mais pour toutes tes questions, attends! Tu vas voir comment ce déroulera l'affaire Cyna/Harry dans les prochains chapitre! Et comme dit le dicton : il ne faute pas vendre la peau du loup avant de l'avoir attrapé! Merci pour ta review et j'espère que tu ne seras pas déçu par la continuité de l'histoire! Byebye et gros bisous xxx.
P3 : Merci énormément! Et oui, je continus! Malheureusement j'ai bloqué sur se chapitre mais je continus! Promis!
Harry-Anne Potter3 : Merci!Je suis vraiment flatté! Mon auteure préférée! Cool! Et le voici, un noël magique, juste pour vous, mes revieurs!
Nini : Merci, moi aussi je les aimes beaucoup! Et pour la formation, je crois que se sera peut-être dans le cinquième chapitre! Mais j'en suis pas sûr! Merci encore pour ta review!
Blackgirl : Merci et oui, il arrive! lol
Aller, maintenant à la lecture!
3. Un noël magique
Harry dévala les escaliers, manquant de tomber plusieurs fois. Il salua le fantôme de Limoge qui passait à travers la maison pour aller chez les Loguers, il avait l'habitude de fuire les Black depuis l'incident de la terre… sauf quand il était trop paresseux pour faire le détour… En tout cas.
Harry regarda dans le miroir du hall d'entré, il y vit un garçon, encore très jeune, avec des cheveux absolument imbibés d'eau, tombant élégamment sur ses yeux d'un vert émeraude magnifique. Il avait des traits fins, encore très enfantins. Harry était petit pour son âge, même le cousin de Harry, âgé seulement de cinq ans, le dépassait presque! Il soupira bruyamment en voyant la porte s'ouvrir sur une Julie qui semblait énervée et légèrement en colère.
Elle ne semblait pas avoir remarqué la présence du fils de son amant. Marmonnant des : « S'il n'est pas réveillé et habillé dans moins de cinq minutes je vais piquer un crise! », et des « je pense que je n'ai pas mis assez de rouge à lèvre…»
Harry toussota légèrement, faisant automatiquement tourner la tête de sa belle-mère dans sa direction. Il rougit légèrement quand elle le dévisagea pensivement.
- Enfin réveillé! Dit-elle d'une voix légèrement provocante, c'est pas trop tôt! J'ai eut le temps de préparer à manger, les elfes de maison étant en congé pour noël… je me demande bien comment Sirius a bien pu oser leur donner un congé forcé sans même m'en parler avant! Des fois je me demande si j'ai bien fait de venir habiter ici, on a juste à voir tout le mal que je dois me donner juste pour toi! Si j'avais su avant… Enfin! Va dans la cuisine tu vas y trouver une assiette pour toi, tu n'auras qu'à mettre un peu de poudre de chaleur dessus et tout sera prêt à manger, dit-elle évasivement en retournant à ses problèmes de rouge à lèvre.
Harry soupira, il n'avait jamais apprécié les blondes de son père. Elles semblaient toutes le détester. Il n'avait jamais compris pourquoi, peut-être parce qu'elles n'aimaient pas que leur « amant » aime plus un gosse qu'elles. Enfin…
Il partit d'un pas traînant vers la cuisine. Des fois il se disait que tout aurait été bien plus facile s'il n'avait jamais existé, sa mère ne serait pas morte… malgré les apparences, le cœur de Harry saignait quand il repensait à ce qu'il aurait pu avoir si seulement sa mère avait survécu, comme lui. Il se secoua la tête mentalement, pensant que de toute façon rien ne pourrait la ramener, il devait se faire à cette idée, comme son père s'y était fait.
Il rentra dans la cuisine par les deux grandes portes qui débouchaient sur un couloir fait en verre, où ont voyait la magnifique cours arrière remplis d'une neige blanche et scintillante. Il parcourut le couloir pour arriver à deux portes extraordinairement blanches, des scintillements dorés parcouraient l'ornière. Il ouvrit précieusement la porte, dévalant sur un palier complètement rouge, blanc et or. Les escaliers en bois rosie menant à une cuisine totalement somptueuse. Le toit était fait de centaines et de centaines de vitraux de toutes les couleurs possibles et imaginables. Au milieu du cercle de vitraux, était suspendu un immense lustre de cristal de couleur chaude, la lumière se reflétait à l'intérieur et parcourait le reste de la pièce avec des reflets totalement somptueux.
Une petite table ovale de couleur brun acajou était placée en avant des portes vitrés, menant à la cours extérieur.
La cuisine et la salle à manger (seulement pour le petit-déjeuner et le déjeuner) étaient seulement séparées par un immense îlot où étaient placé des centaines et des centaines de petites fées, répandant une douce chaleur dans la pièce. La cuisine donnait une impression d'extrême richesse, aucune autre « cuisine » sorcière ou moldu de la terre ne pouvait rivaliser avec la beauté des lieux. Pour la simple et bonne raison qu'elle était, sans conteste, la plus belle. Elle était sorcière et moldu, son père avait opté pour tous les objets ménagers moldus quand il vivait encore ici avec sa mère. Par contre on pouvait facilement voir qu'elle n'était pas tout à fait " normale ". D'abord à cause des fées suspendues, puis des elfes de maison qui se promenaient habituellement dans la cuisine d'un air effréné pour faire le repas du soir ou les autres repas de la journée.
Il parcourut la cuisine, les mains dans les poches d'un air ennuyé. Il pris l'assiette qui était déposée sur l'îlot et mis un peu de « Poudre pour cracmol qui ne sait pas faire réchauffer son plat sans magie ou pour enfant de premier cycle ou moins » c'est d'ailleurs pour ce magnifique noms qu'il l'avait simplement rebaptisé : la poudre chauffante.
Il en versa un peu d'un air ennuyé sur ses oeufs aux lards et son pain doré et alla d'un pas maladroit à la table. Regardant fixement par la porte patio où il pouvait voir les cerfs et une licorne jouer gaiement ensemble, malgré le froid hivernale qui régnait dehors : - 18! Il joua un peu avec sa nourriture avant de siroter tranquillement son jus de pamplemousse ( dans lequel il avait versé la moitié du sac de sucre )
Il sentit alors deux mains se mettre sur ses paupières closes et on lui cria carrément à l'oreille :
- C'est qui le plus beau, le meilleur et le plus intelligent des papas qui a présentement ses mains sur tes yeux, mon cher fils? Demanda une belle voix d'homme…
- Je sais pas… répondit-il, malicieusement.
- Harry, dit celui-ci d'une voix menaçante mais où perçais un léger amusement.
Il enleva les mains des paupières de son fils et s'agenouilla pour être un peu plus petit que sa hauteur.
- Ah! d'accord… je pensais bien que c'était quelqu'un de grand… vraiment très grand. Il jeta un coup d'œil à son père qui bombait le torse d'une manière arrogante mais qui laissait voir son amusement. Il est aussi vaniteux, prétentieux, arrogant avec encore vaniteux…
Il se fit abruptement bloquer la bouche par Sirius qui regardait son fils d'une manière indéchiffrable, soudain il le souleva dans ses bras, le collant le plus fort possible manquant de peu d'asphyxier Harry. Il le prit ensuite comme un bébé dans ses bras et lui donna un léger baiser sur le front, donnant un sourire attendrissant à Harry.
- Tu m'as manqué Patfolle Junior! Déclara-t-il d'une voix peiné.
- Toi aussi papa! pleura-t-il dans son épaule, promet moi de ne plus jamais me laisser tout seul pendant deux semaines avec Julie et sa peste de fille pour seule compagnie! Déclara-t-il d'une voix suppliante, ce qui fit froncer les sourcils de Sirius.
- Harry… bafouilla t-il d'un voix éteinte, tu sais qu'avec mon travail, je dois partir souvent… je sais que c'est dur Harry mais je n'ai pas le choix! Je suis désolé, si tu veux la prochaine fois je demanderais à Corne drue ou à Remus s'ils veulent te garder. Mais je te promets mon phœnix que je te laisserais jamais. Tu m'as compris Harry? Jamais!
- Je t'aime papa, chuchota-t-il dans son épaule, merci. Mais pas question que tu partes aujourd'hui ou pendant les vacances! Déclara t-il d'une façon autoritaire qui fit rire Sirius.
- Ho non, ça c'est sûr! J'ai pris congé pour une semaine! Il reposa alors Harry sur sa chaise, devant son petit-déjeuner qui avait à peine été mangé, et le regarda d'un air sévère dans lequel on pouvait tout de même voir de l'amusement. Il alors dit d'une voix autoritaire : « Mon cher monsieur Black, vous ne pourrez sortir d'ici, ni même savoir votre itinéraire de vacances, avant que vous ayez fini votre petit déjeuner à peine dégusté. » Conclu-t-il sous les innombrables grognements de protestation de son fils.
Harry lança un regard noir à son père et pris lentement sa fourchette, n'ayant vraisemblablement pas faim, il jeta un regard suppliant à Sirius qui ne fit que hausser un sourcil. Il prit donc un peu de son œuf au lard et le mis difficilement dans sa bouche, l'avalant avec difficulté. Il continua ainsi pendant une demi-heure et après sa dernière bouché, il fit un petit sourire triomphant à son père qui s'était presque assoupit sur la table à manger.
Sirius releva la tête d'un coup et fit un sourire éblouissant à Harry. Il se releva et le pris dans ses bras pour marcher jusqu'à la chambre de Harry. Celui-ci collait son père joyeusement, heureux de le revoir enfin à la maison depuis tout ce temps.
Sirius déposa son fils sur son lit baldaquin et se jeta carrément à côté de lui dans une position fort accueillante pour une collade ( n.d.a. Collade est un mot que tous les québécois utilisent, il désigne une embrassade profondément douce ) Harry s'empressa de se jeter dans les bras de son père et ils restèrent comme sa pendant dix minutes, avant que Harry brise le silence d'une voix où il laissait voir sa curiosité.
- Alors, demanda-t-il d'une voix avide.
- Alors quoi? Demanda Sirius, faignant la surprise.
- Alors, qu'est-ce qu'on va faire pendant les vacances? Est-ce qu'on va toujours chez Cornedrue ou Remus? Est-ce que j'ai beaucoup de cadeaux? Et enfin, est-ce que je vais pouvoir essayer le Quidditch sans que tu me prive de sortie pendant une semaine? Demanda-t-il d'une voix suppliante.
- Bah… p'être… le Quidditch… Pô sûr… marmonna-t-il pour lui-même avant de revenir à son fils, premièrement, oui on va aller chez Corny cette année, oui Remy va être là, pour les cadeaux attend jusqu'à demain et pour le Quidditch on va voir, dit-il de sa voix de père autoritaire qui-ne-l'est-pas-du-tout-mais-qui-feind-l'être.
- Papa! Supplia-t-il, avec ses petits yeux de chiot qui faisait automatiquement fondre son père ou n'importe qui autrement.
- Oh non… dit-il, se redressant d'un coup en essayant en vain d'échapper aux yeux de chiot de son fils. Non… Harry, essaya-t-il d'une voix grave mais qui était bizarrement extrêmement aiguë. Bon d'accord, tu pourras essayer le Quidditch, mais je te jure que si tu tombes de ton balais et que tu te casses une quelconque partie de ton corps, tu vas être guéri de la façon moldu! Menaça t-il sérieusement.
- Merci papa! Cria-t-il en se jetant dans ses bras, ce qui les fit tomber, lui et Sirius du lit.
L'après-midi ne fut pas spectaculaire, Sirius et Harry allèrent glisser vers 14 : 00 et rentrèrent deux heures après, complètement frigorifié et avec un grand sourire. Harry fit une petite crise lors de son heure de couché mais céda après avoir été lourdement couché par Sirius qui en avait plus qu'assez, il passa à deux doigts d'avoir la fessée.
Mais, dix minutes après s'être finalement couché, il partit furtivement de son lit pour murmurer le nom de Cyna en dessous de la trappe presque invisible.
Une lumière étrange et bleuté apparut dans la chambre, Harry sourit quand une forme, visiblement une très belle femme, apparut dans sa chambre. Elle semblait inquiète et en colère. Il ne comprit pas tout de suite pourquoi la femme qu'il considérait maintenant comme sa mère pouvait être en colère contre lui. Mais il se souvint de son petit jeu avec son père cette après midi. Il s'avoua que se n'était pas tout à fait prudent de se mettre debout sur un long bout de bois et de glissé dans la pente la plus raide du quartier pour tomber la tête la première dans la neige et de débouler la pente. En y pensant bien, il se sentait un peu malade, mais il ne s'était pas plaint, surtout pas après que son père lui ai fait une vraie leçon de morale digne du pire des martyres.
À ce moment, il avait sentit une présence avec lui mais qui semblait bloquée par quelque chose, sûrement la présence de son père « je ne pourrais jamais t'aider ou intervenir quand tu seras en présence d'un être dans lequel tu auras une immense confiance » Il baissa les yeux quand il sentit le regard plus que perçant de sa protectrice qu'il considérait plus comme sa mère, lui brûler le corps tout entier. Elle pris la parole d'une voix autoritaire et froide.
- Je peux savoir ce qui t'a pris ? Commença-t-elle mais ne laissa pas le temps à Harry de répondre qu'elle partit dans une longue et ennuyeuse conversation sur la sécurité et son imbécillité. Après avoir dit un dernier mot, ses yeux redevinrent de leur naturelle couleur rose et bleu. Elle fit un petit sourire triste à Harry et s'avança précieusement de lui pour le serrer dans ses bras. Elle s'excusa dans un murmure et pris ensuite le garçon dans ses bras, l'embrassa sur le front et le coucha dans son lit. Mais juste au moment où elle partait, elle entendit le mot le plus espéré, recherché et envier de la terre.
- Merci maman… il s'ombra dans un sommeil sans rêve. Son toutou en forme de chiot noir collé confortablement sur sa joue.
Mais pourtant elle se sentit gênée et honteuse. Lily était la mère du petit, pas elle. Elle ne voulait pas lui voler sa place, mais en même temps…
Sirius partit, ENFIN de la chambre de son fils. Il marcha nonchalamment dans son manoir, pensant à tout ce que sa vie était devenue depuis Poudlard.
Lily avait accouché de Harry pendant leur septième année, ça avait fait tout un chaos à l'école. Surtout quand Harry avait décidé, à ses trois mois, de lancer toute sa nourriture sur Rogue qui passait pour aller à la table des professeurs, ou juste pour faire chier quelqu'un. Les maraudeurs, et la grande-salle, n'avaient pas autant rit depuis un long moment. Même Lily, qui d'habitude reniait et détestait par-dessus tout ce qui se rapportait à nuire à Rogue, avait pris un méchant fou rire.
Il se rappelait la première fois que Harry l'avait appelé papa, juste avant de courir jusqu'à sa mère et de chanter des « maman-maman-papa-papa »
Même aujourd'hui Lily lui manquait affreusement, comment un simple homme… Non un monstre! Oui, comment un vrai monstre avait pu vouloir lui enlever les deux seules choses qui lui étaient les plus chers au monde. Il lui en avait pris une, manquant de peu de prendre le plus précieux des joyaux sur terre. Lui, il n'avait pas été là cette soirée, partit de la maison pour faire un tour de moto. Il s'en était toujours voulu… peut-être que s'il avait été là ce soir fatidique, Lily ne serait pas morte… mais il le savait bien, Lily ET lui auraient périt.
Sirius se secoua la tête tristement. Il tourna les talons vers le salon où était assise Julie qui regardait les jeux olympiques (moldus) d'hivers d'un air intéressé, sursautant à chaque fois que l'image changeait pour une autre. Il sourit légèrement à cette vue, mais perdit vite son sourire en repensant à ce que son fils lui avait dit le matin même « promet moi de ne plus jamais me laisser tout seul pendant deux semaines avec Julie et sa peste de fille pour seule compagnie… » Sirius pris une grande respiration, sachant pertinemment ce qu'il allait devoir dire dans quelque instant. C'est pas qu'il n'était pas habituer, ho non! Mais s'est qu'il avait cru l'aimer pendant un certain temps… mais elle avait fini par lui montrer le vrai côté de sa personnalité… qui ressemblait beaucoup à celui de la sœur de sa défunte femme, Pétunia Dursley.
Il grimaça en se souvenant qu'il devrait aller chez elle demain pour des affaires de testament mal formulé, qui, selon eux, devaient avoir été mal lu. Ils ne pouvaient pas croire que Lily ne leur ai absolument rien donné, sauf des injures particulièrement polies, dans le testament… Ah! Lily, soupira-t-il en s'avançant vers Julie qui venait juste de sursauter pathétiquement.
Il pausa sa main sur son épaule avec un sourire désolé et triste, la faisant sursauter et crier de surprise. Mais elle sourit quand elle aperçut Sirius, mais son sourire se fana vite en voyant son air grave, elle tapota la place à côté d'elle et Sirius l'a rejoint bien vite.
- Julie je ne vais pas y aller par quatre chemins, expliqua Sirius d'une voix froide qu'il réservait pour ses séparations avec les femmes, je voudrais en premier te remercier pour ces années de bonheur et ta compréhension quand je t'ai appris que je passais mes nuits avec d'autres femmes. Peu de femmes peuvent comprendre le besoin de liberté d'un homme, déjà que mon fils m'en avait prit la majeure partie ( n.d.a. désolé, Sirius n'est pas un saint et essaye de passer bien envers Julie pour la plaquer avec grâce et qu'elle ne le gifle pas trop fort, lol ) Je suis désolé Julie mais tout est fini entre nous… il ne put continué plus loin qu'une main sèche frappé avec violence sa joue.
Julie le gifla violemment, une trace rouge en forme de main apparaissant immédiatement sur la joue de Sirius… non, NON pas Sirius! Black, oui une trace rouge, l'empreinte parfaite de sa main apparaissant sur la joue pâle de Black. Cet égoïste briseur de cœur qui avait profité d'elle, elle lui avait tout donné! Il ne pouvait pas la laisser comme sa!
Julie commença à crier le plus fort possible contre lui, lui donnant encore deux gifles profondément forte, cassa cinq vases de valeurs et fini avec un coup profondément gros dans la partie… hum, hum sensible de l'homme. Celui-ci s'écroula par terre, une douleur aigu l'envahissant de tout par. La porte claqua, il put enfin se reposer. Julie n'avait pas été facile! Il devait avouer qu'elle avait un sacré caractère! Il se releva péniblement, essayant de revenir sur ses jambes qui tremblaient plus qu'une feuille au vent. Il finit par s'écroulé lourdement sur le divan, le souffle cour il entendit des pas venant du manoir. Il soupira bruyamment et méchamment, si Julie était revenue pour ses bagages elle pouvait toujours courir! Les elfes de maison s'en chargeraient! Il entendit les pas se rapproché de plus en plus du salon et alors qu'il allait crier des injures contre elle il intercepta une petite pleurnicherie qui n'aurait jamais correspondu à celle de Julie. Il tourna la tête brusquement vers l'entré du salon et aperçu sur le seuil son fils, ses cheveux noir ébouriffé, habillé dans son petit pyjama vert pomme et son toutou en forme de hiboux blancs dans une main. Mais ce qui le frappa était les petits yeux rouges du petit, les larmes coulant sans interruption sur ses joues pâles.
Sirius se leva brusquement, oubliant la douleur et marcha avec vitesse vers son fils. Il s'agenouilla devant lui, et, il eut juste le temps d'ouvrir ses bras que Harry s'élançais déjà vers lui, ses pleurs redoublant d'intensité.
Sirius le souleva, inquiet, il s'assit sur le divan, Harry toujours dans ses bras et lui caressa tendrement les cheveux. Qu'avait donc Harry?… Est-ce qu'il avait entendu sa rupture avec Julie? Son fils n'avait jamais auparavant entendu une seule rupture. Pourquoi sa devait arriver maintenant? À Noël!
Sirius bascula Harry dans ses bras, les larmes et les sanglots avaient déjà semblé s'évanouir. Il releva son fils dans ses bras, pour pouvoir voir ses yeux émeraude.
- Qu'est-ce qui se passe Harry? Demanda t-il d'une voix douce.
- J'aii sniff entennndutt laaa sniff disputttte enntttre tooii ettt Julllie sniff bafouilla t-il. Il se mit alors a parlé à une vitesse étonnante des excuses qui semblait lui donnée de plus en plus de sanglots. Sirius continua de le bercé dans ses bras, jusqu'à ce que Harry fini par s'endormir, épuisé.
Sirius prit son fils comme un bébé dans ses bras, lui donna un tendre baissé remplis de regret et d'amour sur son front, à l'emplacement même où était gravé sa cicatrice en forme d'éclaire. Il monta ensuite les escaliers, non sans avoir chuchoté une formule magique devant l'immense sapin du salon, des cadeaux multiples apparaissant en dessous des branches vertes et scintillantes. Il monta les marches silencieusement, mais, au lieu d'allé vers le couloir qui menait à la chambre de Harry, décoré principalement avec des affiches de Quiditch, de vifs d'or et de balais-miniatures. Il partit vers un sombre couloir et décoré principalement de centaines de bougie rouge et noire avec des cadres de Salvador d'Ali, un peintre moldu extraordinaire, et de quelques photos de Lily et de Harry.
Sirius ouvrit la porte noire, dévalant sur une superbe pièce circulaire au plafond cathédrale, les murs étaient de couleur rouge bordeaux avec des moulures blanches et un immense dragon noir était peint sur le mur en arrière de son lit rond. Le plancher était sombre, un petit tapis en rond noir était placé au milieu de la pièce, comme s'il était perdu dans ce décor fantastique. Des fenêtres sans fin enroulaient la pièce entière dans sa transparence, seulement le mur du lit et de la porte était épargnée. Un mobilier en bois noir et bourgogne était disposé judicieusement dans la pièce. Les rideaux translucides de couleur rouge sang étaient tirés sur les fenêtres avec des bouts de soies noires qui les retenaient de façon élégante. Des immenses pots de fleurs noires et rouges aient disposé en avant de ceux-ci, donnant un look moderne à la pièce.
Sirius s'avança vers son lit rond et borda Harry dedans, lui donnant un léger baiser sur le front et partie de la chambre pour allé vers la salle d'essayage, une vraie boutique de vêtements fantastique autant moldu que sorcière s'étant sur tout la tour Nord, une qui était aussi haute que celle d'astronomie de BeauxBâttons, une école réputée sur ses nombreux cours d'astronomie avancés et de charmes mais bon…
Sirius revint une demi-heure plus tard propre et habillé seulement d'un bas de pyjamas de cotons rouge et noir. Sirius laissa voir dans l'obscurité de sa chambre un petit sourire attendrit en voyant son fils en boule sur le lit, riant légèrement, comme sous l'effet d'un rêve particulièrement comique. Sirius s'avança à pas félin de lui et se coucha avec le plus de grâce possible à cinq centimètres du corps de son fils, qu'il fini par prendre dans ses bras, sans pour autant le réveillé. Et il partie, oubliant sa rupture avec Julie, dans le merveilleux pays de Morphée y rejoindre son fils.
Harry ouvrit les yeux brusquement, reconnaissant tout de suite la chambre de son père. Les évènements de la nuit passé lui revenant en mémoire il laissant une dernière larme pour cette femme coulé sur sa petite joue pâle. Mais il se ressaisie vite en se rappelant la date de la journée même. Il se leva d'un coup sec, regardant dans tous les côtés possible de la chambre pour essayé de confirmé sa pensée. Il arrêta son regard d'un coup sec, sur son père, couché à côté de lui, la bouche grande ouverte en marmonnant des mots incompréhension dans son sommeil. Harry n'eut même pas le temps de réfléchir à ce qu'il faisait qu'il sauta abruptement sur son père, lui criant de se réveillé et que s'était Noël.
Sirius grogna chuchota un juron et ouvrit un œil pour voir une espèce de petite tornade avec une chevelure noir crier et sauté partout sur le lit… et sur lui. Sirius grogna encore plus fort et décida d'élaboré son vocabulaire du matin pour faire taire son fils.
- Harry Sirus Black! Si tu me ressaute dessus tu vas voir le vrai tempérament de Sirius Orion Black le matin! C'est clair mon phénix? Demanda t-il d'une voix fatigué et lasse.
Harry s'arrêta d'un coup sec, des larmes venant tranquillement à ses yeux. Pourquoi son père le grondait-il? Sirius sembla remarquer l'étant de son fils et le tira sur son coffre, soufflant des milliers d'excuses pour son comportement inacceptable.
Quelques minutes plus tard Harry traînait à bout de bras son père qui baillait encore aux corneilles.
Bientôt, ils arrivèrent en bas des escaliers (Sirius avaient manqué de peux de dévalé les quatre étages d'escaliers pendant sa « promenade » avec son gentil fils, qui semblaient toujours près pour lui venir en aide! Ah!) Enfin, ils arrivèrent ENFIN dans le petit salon où logeait un somptueux arbre de Noël, bas de Noël, cristaux de glace et boules de neiges artificiel flottantes qui étaient placé judicieusement dans le petit salon bleu et blanc déjà magnifique à la base mais devenant tout à fait magique!
Harry fini par enfin lâché la main de son père pour se jeter littéralement sur la pile de cadeaux or et rouge qu'abritait le sapin. Une musique de Noël s'abrasant dans la petit salle maintenant éclairé par les nombreux rayons de soleil oranges et rouge reflétant sur les boules argents et or de l'arbre.
Sirius sourit largement en voyant les yeux émeraudes de son fils scintillé avec tout l'enthousiasme et le bonheur qu'un enfant de son âge puisse avoir il l'entendit alors crier en direction de lui :
- PAPA, PAPA! REGARDE, IL Y A UN CADEAU DU PÈRE-NOËL! S'enthousiasma t'il tout en déchirant le papier rouge pour le laissé virevolté dans les airs.
Une heure plus tard, Sirius avait fini par allé se changé, prendre trois cafés noirs, un biscuit et un croissant à la confiture et de joué avec son fils sur sa maquette miniature à combattre des dragons en plastiques.
Sirius prit son fils dans ses bras et l'installa sur ses genoux, lui donnant en passant un baisé sur le front. Ils passèrent un quinzaines de minutes comme sa, comme si le monde n'existait plus, qu'ils n'étaient qu'eux deux, dans une vaste étendue de paix et de confort.
À suivrrrre!
J'ai fini le troixième chapitres! Cris de la foulle! Je suis désolé pour l'attente! Je n'ai pas d'excuse sauf que j'était en manque d'inspirasion! Merci à tout le monde pour les reviews que j'ai reçut! Et merci pour ceux que vous, je l'espère, vous m'envérez! Le prochain chapitre : aucun idée... pas encore conssut! Alors REVIEWWWS
