Auteur : RatselGott (anciennement Marieke5)

Origine : Fullmetal Alchemist à 100 pour ce chapitre

Résumé : Toujours le même depuis le début…

Disclaimer : Idem, mais si un jour ils sont enfin à moi, je vous tiens au courant c'est promis.

Genre : Parodique

Blabla : Je ne sais pas si je suis dans le bon état d'esprit pour rédiger ce sixième chapitre. Je viens de terminer la rédaction d'une fic tout ce qu'il y a de plus sombre.

Bonne lecture!

P.S.: Vous savez quoi ? Eh bien je ne dirais plus jamais que la suite risque d'arriver plus vite !

LE PETIT ALCHIMISTE ROUGE (Et oui, je l'ai dit ! 'BAFF' Même pas mal !)

Bien sûr, l'idée de tuer le colonel Mustang emplissait le Grand Méchant Envy d'une joie immense (L'Auteur : Non, "joie" n'est pas le mot que je voulais utiliser. Mais il fera l'affaire quand même). Cependant, il se demandait encore comment il allait s'y prendre. Avoir un rêve n'est pas comparable à ce que l'on ressent lorsque l'on se trouve sur le point de le réaliser. La crainte de gâcher stupidement l'occasion de vivre le meilleur moment de notre vie peut parfois nous empêcher d'en profiter pleinement. C'était exactement ce que ressentait le Grand Méchant Envy quand il se trouva enfin devant la maison du colonel ardant. (Grand Méchant Envy : Faudrait peut-être pas tout confondre : c'est la crevette rose que je rêve de tuer, pas le vieux ! Lui, c'est juste l'apéritif ! RG : Il n'est pas si vieux que ça… Grand Méchant Envy : Toi, t'es d'humeur lugubre aujourd'hui, faut que je me méfie…)

Respirant un grand coup pour calmer les tremblements nerveux qui l'agitaient (Grand Méchant Envy : N'exagère pas, s'il te plait ! RG : Tu dis "s'il te plait", maintenant ? Grand Méchant Envy : Oui, tu n'es pas en état d'être contrariée. RG : Brave petit !), le Grand Méchant Envy frappa à la porte.

CRAAASHH !

(RG : Hey ! Pas si fort ! T'as tout cassé ! Grand Méchant Envy : Mais c'est toi qui a dis que je frappais ! RG : C'est vrai, mais j'ai dis que tu frappais "à la porte", pas "la porte" ! Roy : Elle a raison, t'aurais pu faire gaffe ! C'est qui qui va réparer maintenant ? Grand Méchant Envy : Qui ? Roy : Breda, le pauvre. Tu aurais pu penser à lui et épargner ma porte. Grand Méchant Envy : Je vois vraiment pas pourquoi j'aurais dû penser à un type que je connais même pas !)

"Qui est là ?"

"C'est l'Alchimiste Rouge, colonel !" répondit le Grand Méchant Envy en prenant l'apparence de celui sous le nom duquel il se présentait. "Je viens vous apporter mon dernier rapport."

"Ah ! Tire la bobinette et la chevillette cherra."

"Hein ? Ca veut dire quoi, ça ?"

"C'est ce qu'il faut faire pour ouvrir la porte."

"Elle est déjà ouverte…"

"Je sais ! Mais j'ai toujours rêvé de dire ça !"

Ok, j'ai compris pourquoi la crevette le déteste…

"Alors, Petit Alchimiste Rouge ? Et ce nouveau rapport, comment se présente-t-il ?"

Il a dit "petit" ? Faut que je réagisse, sinon, il va griller ma couverture et je ne pourrais pas m'amuser.

"Qui est tellement petit qu'il aurait eu plus facile de passer sous la porte plutôt que de la défoncer ?"

Quelque chose cloche… pensait le colonel. Mais quoi (RG : Hé hé ! Moi, je sais !)

"Allons, ne t'énerve pas !"

Puis soudain, le colonel eu une illumination : SHAAA ! (bruit de l'illumination)

Quand il s'est insulté tout seul, ce n'était pas écrit en majuscules ! Ce n'est pas le Petit Alchimiste Rouge ! Mais qui est-ce ?

"Qui êtes-vous ?"

"Qui je suis ? Mais l'Alchimiste Rouge, bien sûr !"

Il ne s'est pas rendu compte qu'il venait de se trahir ! "Ne me sous-estime pas. Quand tu t'es fâché, tu n'as pas hurlé en majuscules ! Cela ne veux dire qu'une seule chose : tu n'es pas le Petit Alchimiste Rouge !" Merde, j'suis grillé ! Je savais que j'aurais dû utiliser des majuscules ! Hey ! Mais c'est l'auteur qui s'occupe de ça ! J'ai été trahi, alors que je lui faisais confiance ! (L'Auteur : Fuh fuh fuh ! RG : T'es pas sympa.)

"Hulahup, Barbatruc" s'écria le Grand Méchant Envy en reprenant son apparence originelle. (RG : Enfin, celle qu'il utilise d'habitude et qui est tellement géniale ! L'Auteur : Et voilà, elle nous refait le coup de la fan-girl hystérique…)

"Grand Méchant Envy, c'est toi !"

"Hein, tu me connais ? C'est la première fois qu'on se voit."

"L'Alchimiste Rouge m'a beaucoup parlé de toi. Je t'ai tout de suite reconnu."

"Il vous a parlé de moi ? Et qu'est-ce qu'il a dit ?" (RG : Comme si c'était le moment…)

Que ce soit le moment ou pas, le Grand Méchant Envy s'assit sur le lit aux côtés du colonel. (Qui était lui même allongé, vu qu'il est malade.) Les deux hommes se mirent à discuter de leur ami/ennemi/bouc émissaire commun. C'est tout ce qu'ils firent, ne vous imaginez rien d'autre (RG : Mais non, mais non…) : n'oublions pas que sur les deux, il y en a un qui veut tuer l'autre (même s'il semble l'avoir oublié, là…).

Bon, donc ils discutaient, voilà. C'est vachement intéressant, n'est-ce pas, et ça va faire chuter ma côte de popularité. (RG : T'en as une ? L'Auteur : J'sais pas, je dis ça comme ça.) D'autant plus que je ne rapporte pas ce qu'ils disent. Mais en même temps, personne n'ignore ce qu'ils pensent de l'Alchimiste Rouge :

Roy Mustang : "J'adore l'énerver, il est trop mimi quand il râle !"

Grand Méchant Envy : "J'adore l'emmerder, il est trop trippant quand il a la rage !"

Bref, en gros c'est la même chose. Donc ces deux mecs ne pouvaient que s'entendre et ça ne vaut pas le coup que je rapporte la conversation dans son entier, puisqu'elle se résume aux deux lignes ci-dessus.

"…Ah ah ah ! Bon, mais c'est pas tout ça : il faut que je vous tue maintenant !"

"Hein ? Mais pourquoi ? On est fait pour s'entendre toi et moi !"

"J'ai envie de vous tuer, c'est tout. Je suis venu pour ça en fait et… (il jeta un coup d'œil à sa montre (RG : Depuis quand t'as une montre ? Grand Méchant Envy : Environ cinq secondes. L'Auteur : C'est ce qu'on appelle "les besoins du scénario".))…et il vaut mieux que je ne traîne pas plus car la crevette ne va plus tarder."

Le Grand Méchant Envy se leva du lit et fit un tour dans la pièce. Tombant sur un service à Whisky, il se versa un verre et prit le temps de le déguster (RG: Je ne savais pas que tu étais amateur de Whisky. Grand Méchant Envy: Moi non plus.) Puis il prit un bouquin dans la bibliothèque qui traînait par là (RG: C'est quoi c'te façon de dire les choses ?) Le colonel le regarda un instant, puis lui dit:

"Ahem ! C'est pas que je soit pressé de mourir, mais t'étais pas sensé me tuer ?"

"Hein ? Ah oui, c'est vrai ! 'scuse moi, j'avais complètement zappé !"

"Tu oublies vite…"

"Ouais, mais j'suis pas comme ça d'habitude. J'comprend pas."

"C'est peut-être le Whisky, t'es pas habitué à en boire."

"Et t'en sais quoi, toi, si j'ai l'habitude ou pas ? Si tu savais les cuites qu'on se prend des fois avec Sloth ! C'est du grand delirium !"

Si tu le dis, pensa le colonel.

"Mais sache quand même que je ne me laisserais pas tuer facilement. J'ai beau être alité, je vais la vendre cher, ma peau !"

"J'espère bien, ce serais pas marrant, sinon ! A ton avis, pourquoi je veux te tuer ?"

"Bon, on y va alors ? Ah ! Attends une minute…"

Sous le regard patient (RG: C'est possible ça ?) du Grand Méchant Envy, le colonel se leva et alla chercher quelque chose dans le tiroir de sa commode. Il retourna se coucher et passa ses gants.

"Ok, je suis prêt maintenant. Fight !"

S'en suivit alors la plus grande bataille de l'Histoire d'Améstris. Moins meurtrière qu'Ishbal, mais plus dévastatrice encore. Enfin, dans le sens où si la maison du colonel tient encore debout après ça, c'est uniquement parce qu'Harry Potter est passé par là au bon moment. (RG : Quel rapport ? L'Auteur : Aucun, mais j'avais envie de dire ça. RG : …)

Vous savez tous qui gagne, pas besoin de vous faire un dessin. En plus, il est immortel alors… Il ne pouvait que gagner. (RG : J't'adore, mais t'es un tricheur ! Grand Méchant Envy : Sans blague !) A moins que vous ne vouliez absolument que je vous raconte comment le Grand Méchant Envy s'y est pris pour éplucher (oui, vous avez bien lu) le colonel pyromane ? Honnêtement, je préfère m'en passer, j'ai pas envie de faire des cauchemars. M'enfin, que le colonel ne se plaigne pas car au paradis (ou plus exactement en face du Paradis) il va faire la connaissance des atypiques anges Imamiah et Poyel. Il va même avoir la chance de croiser Arthur Rimbaud alors…

xxxxx à suivre xxxxx

Bouh, j'ai eu trop de mal à boucler ce chapitre : je ne savais pas comment tuer le colonel !

La suite égale : je sais pas quand, mais je sais à peu prés quoi: "Mère Grand, comme vous avez de grandes dents !" "C'est pour mieux ronger les os, mon enfant." Nyark !