Comme toujours, je vous remercie pour vous nombreux encouragements qui me vont vraiment droit au cœur ! Et je suis ravi d'avoir des lecteurs tels que vous, voilà en somme, je suis content de vous retrouver dans ce nouveau chapitre. D'autre part, je m'excuse de mon grand retard, mais plusieurs événements marquants se déroulent dernièrement. À un moment, je voulais tout simplement abandonner tous mes projets, puisque je me sentais perdu. Mais, c'est grâce aux nombreux soutiens que j'ai continue. D'ici là, bonne lecture à vous tous et encore merci d'être là.


Célestin et Marguerite, s'évertua de fuir l'Automate qui les poursuivaient dans la ville basse. Mais, il était impossible de trouver refuge dans ce lieu, puisque le robot éléphantesque détruisait tout sur son passage, où que ses pas provoquèrent de terribles échos assourdissants. Aussitôt, un rire maléfique s'échappait du gigantesque robot, tandis que les deux tourtereaux se faufilèrent à l'intérieur d'un bâtiment sombre et insalubre.

- Oh, petite bergère, où êtes-vous, sonna le roi Charles dans le haut-parleur. Dans la noirceur, le ramoneur ne ressentit plus la présence de la bergère près de lui, ce qui l'alarme. Malgré les projecteurs qui naviguaient dans les environs, à la recherche des fuyards, le chauffagiste appelait désespérément sa dulcinée avec peu d'espoir de retrouver vivant.

Soudain, le ramoneur appréhenda l'éclat de voix aigre de Marguerite parvenir à ses oreilles. Le toit au-dessus de lui se défonça, en l'enterrant sous les décombres qui tombèrent toujours sur lui.

- Au secours ! Secouant la tête, Célestin leva les yeux pour apercevoir que la petite bergère avait été réalisée par le robot. Dans ce moment de consternation, Célestin vit le pied de l'Automate se lever, pour ensuite s'abattre sur lui.

- CÉLESTIIIIIIIIN !

Le ramoneur se réveilla brusquement en lâchant un cri de terreur. Sous lui, le plancher froid et mouillé de sa cellule, l'obligea à aller s'assoir sur le banc au mur. À la suite de son cauchemar, Célestin observait la lune qui dévoilait ses reflets à l'intérieur de sa cellule. A cet instant, il s'évoqua d'être en présence de Mr, Merveilleux pour obtenir de ses richissimes conseils pour se sentir moins seul. Un sentiment de culpabilité lui nouait l'esprit, en l'abstenant d'avoir un esprit de suite. Dans son village, on l'avait maintes fois remarqué ainsi, pourtant cela avait poussé les gens à se reverdir pour voir la vérité en face. Se préparant à se recoucher, c'est alors que la porte du cachot s'ouvra et qu'un geôlier pressa le pas.

- Ramoneur-de-rien-du-tout, s'adressa-t-il, ce qui rogna le charbonnier. Magne-toi, tu as de la visite. " Marguerite ? " Pensa Célestin, demeurant assit. Tu te magnes, oui !? Soudain, le jeune homme se leva d'un bond pour rejoindre le geôlier dans le corridor, tout en se faisant enchainer les poignets.

- Vous n'êtes pas obliger de faire ça, lui signale le ramoneur. Ce n'est pas comme si je tentais quoique ce soit.

- Ne joues pas l'innocent avec moi, espèce de ramoneur de-rien-du-tout, prévenu le geôlier, où qu'une fois de plus, le ramoneur grogna face à ce surnom. C'est le roi qui me l'ordonne, puisqu'il te trouve imprévisible. Un petit rire s'échappa du fumiste qui finit par répondre :

- Mais il est bête comme ses pieds ou quoi ? À propos, reprit longuement, cessez de m'appeler le ramoneur-de-rien-du-tout, ça m'embête. Mon nom est Célestin, d'accord ?

- Je m'en fiche, objecta brièvement le gardien. Je vais te donner ce nom, même si cela te plait ou non !

Peu de temps après, on conduit le ramoneur dans la salle des visites où l'attente Mr, Merveilleux qui se trouve sur une table, avec un regard serein... pour l'instant. Dès que le charbonnier venu s'asseoir à l'autre bout du meuble, après qu'on lui a détaché les chaines, l'Oiseau changea ses traits du visage face à lui. Affichant, un sourire bien honnête, Célestin commença :

- Alors, tout va bien, l'Oiseau ? En tout cas, ça fait longtemps que nous sommes pas vue. Quoi de neuf ? Malheureusement, son air faussement innocent a disparu lorsque Mr, Merveilleux l'attaqua en lui asssant furtivement des coups de pattes et d'ailes, où ce dernier tentait de se protéger. Une fois que ce délire fut réglé, Célestin, qui avait enlevé quelques plumes sur lui, leva les yeux vers l'oiseau.

- Je m'excuse, Monsieur Merveilleux ! Ce n'est pas de ma faute, incita de justifier le ramoneur.

- Ah non ? Monter le perroquet. J'ignore les raisons qui vous ont poussé à vous échapper, mais sachez que c'était l'idée la plus absurde à faire ! Pourquoi n'écoutez-vous jamais les conseils que je vous donne ? Honnêtement, je peux vous affirmer que vous n'êtes pas sorti de l'auberge, mon jeune ami.

- Pourtant, commença Célestin, j'y suis presque parvenu. Après ce qui s'est passé à la taverne avec les bandits, j'ai décidé d'aller me promener dans la ville basse, a lequel j'ai fait la rencontre d'une gitane qui m'a révélé que j'étais l 'élue d'une sorte de prophétie, expliqua distinctement le ramoneur. Elle m'a prévenue que si je ne sauverais pas Marguerite a tant, que les choses tourneraient mal dans ce pays. Mr, Merveilleux, enchaina le jeune homme avec des gros yeux, je sais que vous êtes fâché contre moi, mais il faut que vous me croyiez. Qu'est-ce que vous en pensez ?

- Vous voulez mon avis ?! Perso, je pense que vous avez besoin d'aide, confessa la perruche. Voyons, ramoneur, il n'y a pas de telles choses possibles.

- Mais oui ! Persuada discrètement Célestin en se levant de sa chaise, ce qui fit réagir sitôt le perroquet.

- Taisez-vous, malheureux, clama entre ses dents l'oiseau. Vous voulez vous faire enfermer chez les fous ! Alors que le calme revenu dans la pièce, le ramoneur qui s'était finalement apaisé, ajouta :

- J'ai toujours considéré les oiseaux comme étant des symboles de grande foi. Pour les habitants de la ville basse, vous êtes comme leur sauveur.

- Les pauvres, soupira le perroquet en secouant la tête. Les voilà qu'ils me vénèrent comme un dieu, alors que je n'avais rien demandé. Je veux bien croire que ce pays manque d'un inspirateur pour les secouer, mais ne nous emballons pas pour avoir joué aux fanatiques. Surtout que je suis athée ! expliqua l'oiseau.

- J'admets que ça diviserait tous les habitants, signala Célestin.

- C'est pour cette raison, que je veux que vous me promettiez que plus jamais vous allez faire quoique ce soit de risqué. Sinon, vous pouvez adieu à notre amitié. Me suis-je bien fait comprendre ? Questionna strictement Mr, Merveilleux qui ne lâchait pas du regard son interlocuteur.

- J'en fais serment, déclarait Célestin. Puis, après des échanges de regards, l'oiseau se leva de sa chaise avec le ramoneur qui l'escorte à la sortie, où se trouve précisément le surveillant qui l'attendait. Puis, avant de quitter les lieux, le volatile se vira vers le fumiste pour lui avertir :

- J'espère de vous revoir bientôt. Soyez vigilants. Puis, l'oiseau partit définitivement des lieux, alors que le ramoneur retourne dans la noirceur.


Pour Célestin, il était en train de constater à quel point la vie prison pouvait se montrer changeante et pourtant terriblement stagnante à la fois. Du fait, les prisonniers allaient et venaient dans leurs routines habituelles, en faisant des aller-retours dans leurs cellules ou dans l'entrepôt. C'était la même tension, la même ambiance glauque et assassine qui réagissait la vie en prison depuis longtemps. Le pire dans cette mésaventure, fut les attractions touristiques, planifiées par la police qui présentèrent les malheureux prisonniers comme de vulgaires animaux de zoo. Les invités indifférents, prenaient des photos des travailleurs qui n'appréciaient guère cette mascarade gênante, où les gueux les ridiculisaient. Et comme si cela n'était pas assez, Célestin fut celui qu'on cibla le plus, contenu des fausses rumeurs qu'

- Quel grossier personnage que tu es, ramoneur-de-rien-du-tout, résonna hautainement une femme aux habitudes datant de l'époque de Marie Antoinette. C'est bien que notre roi a décidé de t'envoyer ici, puisque tu te familiarise parfaitement avec la crasse de ces lieux, riait-t-elle. Alors que le ramoneur pour se défendre, un bruit strident vient interrompre le moment présent, où tous les yeux se tournèrent vers les étagères de bobines de films qui s'écroulèrent comme des dominos sur les uns sur les autres. Peu de temps après, le Voleur de Paratonnerre sortit péniblement des débris.

A la suite de son scandaleux désastre qui avait mis la salle sens dessus-dessous, une foule de cris et de rires moqueurs fusèrent aussitôt dans l'entrepôt. Les touristes s'esclaffaient face à l'humiliation n'arrivant pas à être victime du voleur qui eut du mal à camoufler sa gêne.

- Voleur de Paratonnerre ! Hurlait férocement un officier au loin. Si d'ici d'une heure tu n'as rien ramasser, je vais te botter les fesses si fort, que tu ne pourras plus pisser !

Sur le choc, le jeune filou se rua vers les étagères pour commencer son ménage qui s'avérait autant plus désastreux que tantôt, puisqu'il semblait plus paniqué. Durant les jours enfermés dans ce trou, Célestin avait fait la connaissance de nombreux personnages, beaucoup plus biscornu que le Voleur de Paratonnerre. Il y avait Boniface, le Renifleur. Il était reconnu pour traquer plusieurs trésors secrets du roi Charles, en tentant ensuite de les voler. D'ailleurs, la police l'utilisait pour enquêter sur des produits toxiques, nuisibles aux corps. On le traita tellement comme un chien, qu'il finit par agir comme une bête sauvage. L'autre personnage, était une vieille dame, d'origine Russe qui s'occupait à distribuer des repas aux détenus dans leur cellule, en leur serviteur du Surströmming avec le sourire aux lèvres. Sur la surnommait : Babushka l'Implacable. Apparemment, personne ne connaissait les raisons de son arrestation, ce qui rendait les autres inquiets.

De retour sur place, le ramoneur aida le Voleur de Paratonnerre à remettre la première étagère debout, en dépit des obstacles.

- Merci mille fois ! Répondit le voleur. Si tu savais comme c'est difficile d'être née maladroit. Mais le plus penible, je crois, c'est de se faire insulter par des pignoufs qui sont coiffés des foufounes des années 70, se lamentait-il, avant de tourner vers l'autre détenu. Puis, celui-ci sursauta en s'apercevant qu'il était en présence du fumeur.

- Bonté divin ! Mais, mais tu es le ramoneur ! S'exclama le brigand. Face à l'expression exagérée de l'adolescente, Célestin afficha un sourire et secoua la tête.

- Vas-y, moque-toi, prévenu patiemment Célestin. Si tu as entendu les nouvelles récemment, on mention que j'ai voulu assassiner le roi Charles. Fascinant, n'est-ce pas ? C'est pour ça que tout le monde me craint. Oh, j'imagine que tu es au courant de l'enlèvement de la reine ?

- Hum... non répondu, le voleur. Si tu veux mon avis, j'ai du mal à croire à cette histoire d'enlèvement, puisque je suis témoin de ce qui vous ai tous les deux arrivés.

- Quoi ? Fit le ramoneur. Tu étais présent quand nous sommes évadés ? Sur ce, l'adolescent fit un hochement de tête, avant de poursuivre :

- J'ai assisté à votre escapade, bien que j'aurais voulu vous être utiles. Mais, l'Oiseau s'est quand même bien chargé de votre protection, jusqu'à ce qu'il soit aussi efficace. C'est quand même dingue !

- Dingue et risqué, corrigea le ramoneur. Cependant, pourquoi est-ce maintenant en prison ?

- Car j'ai embêté à plusieurs reprises les gardes de me donner un paratonnerre. Je les ai tellement prévenus, que j'ai commencé à les menacer. Du coup, moi voilà ici, raconta le voleur

- Alors là, il ne faut pas rigoler avec toi, ria Célestin.

- Je suis sérieux, alerta le voleur. J'y tiens beaucoup à mon paratonnerre. C'est comme toi avec la bergère ; tu tiens toujours à elle, même si vous ne pouvez plus vous voir. Tu trouveras un moyen pour la retrouver.

- N'y songes même pas, alerta Célestin. J'ai promis à l'oiseau que plus jamais je recommencerais à faire ce coup. Je compte bien tenir ma promesse.

- Pff ! Depuis quand qu'on obéit aux ordres d'un perroquet ? Railla le voleur. Non mais, tu as vu sa tronche ? Une sacrée tête de guignol, quoi ! Que va-t-il te faire si tu lui désobéis, te bourrer de petites crottes blanches ?

- Monsieur Merveilleux, est un bon copain. Je ne prendrais aucune autre initiative pour sortir d'ici, expliqua Célestin. Le voleur haussa les épaules, avant d'ajouter :

- Comme tu le voudras. Mais, si le désire te rattrape... persuada-t-il de dire, avant de sortir dans la plus grande discrétion possible un trousseau de clés de ses poches. Durant un instant, le ramoneur observa les clés qui chatoyaient son regard remplis d'idées inimaginables. Mais, Célestin secoua frénétiquement la tête pour répliquer :

- Tu devras compter que sur toi-même. Alors que Célestin se vira de l'autre bord, il aperçut un jeu d'environ 9 ans devant lui, en train de licher une sucette géante. Tandis que les deux s'observèrent, la voix du geôlier s'éleva :

- Fils, viens ici ! Aussitôt que le gardien arriva, l'enfant tressauta pour aller rejoindre son père. Tu vas être en retard pour tes leçons.

- J'ai trop hâte de commencer, père ! Allez-vous me laisser la chance de punir un prisonnier ? Demanda enivrement le garçonnet. Puis, le ramoneur venu s'interposer dans la conversation :

- Je sais que cela ne me regarde pas, mais non-vous me dire qu'est-ce que je passe ?

- Bien-sûr, débuta avec enthousiasme le gardien. Pour te mettre au courant, c'est la journée où la police, les geôliers, les bourreaux et plusieurs autres au service de sa majesté suprême, peuvent emmener leur enfant au travail. Qui sait, ramoneur ? Peut-être que tu tomberas sur le fils d'un bourreau qui t'utiliseras comme une piňata, déclarant le geôlier, tandis que le ramoneur avait des yeux béants. Une fois que les lieux sont devenus déserts, le ramoneur observa le Voleur de Paratonnerre qui lui montrait de nouveau les clés qu'il faisait remuer silencieusement dans ses mains.

"Même pas en rêve," soupira le jeune homme, avant de retourner à ses corvées.

(Plus tard)

Dans ville, les soldats respecteront avec vigueur un couvre-feu pour vérifier toutes les zones. Les portes et fenêtres étaient barricadées, les cheminées des toits et les animaux se cachaient mieux qu'ils le pouvaient. Quelque chose allait se produire.

Tout était si la nuit en prison... Pourtant, et même que les cellules alors remplies de silhouettes allongées et endormies, sur des planches de bois choisies qui attire son attention, quoique son propre relâchement de fatigue. En effet, le Voleur de Paratonnerre, encore éveillé, semblait se préparer pour préparer le grand coup du siècle. Il ne restait qu'à savoir le moment idéal pour passer à l'action.

Déjà à cet instant le gardien avait quitté les lieux pour prendre sa pause, donnant l'occasion de rêver à passer à un plan. Et, ce fut justement ce que le Voleur de Paratonnerre s'apprêtait à faire lorsqu'il passe la clé dans la serrure de l'autre côté de la porte, où qu'un bruit gratifiant se fait entendre.

C'est ainsi qu'il parvint à sortir de sa cellule pour se retrouver dans le couloir, où qu'alors, il se dirige vers les cellules des autres prisonniers pour les libérer.

- Tu vas avoir des ennuis, chanta le ramoneur, confortablement allongé sur le banc. En tout cas, bonne chance dans ton évasion.

- Puisque tu doutes de mon plan, je ne vais même pas te libérer, prévenu-t-il, avant que la puissance d'alarme de la prison ne résonne à tut tête, réveillant tous les prisonniers.

En tournant les yeux, le voleur remarqua que le gardien avait appuyé sur le déclencheur.

- Nous jouons moins les malins, ria le gardien qui se positionne devant la sortie, avant qu'une nuée de prisonniers le repoussé pour défoncer la porte en hurlant leur allégresse de liberté. Au même moment, le brigand capuchonné utilisait la clé du gardien pour éteindre l'alarme, avant de se rendre devant la cellule du ramoneur pour tenter à nouveau de le persuader.

Mais sans crier gare, c'est alors que le geôlier s'empara de ce dernier !

- Ramoneur...aide-moi ! S'écria le Voleur de Paratonnerre, luttant pour sa vie. Prends les clés !

- Désolé, lança calmement Célestin qui préférait lire son livre. C'est à toi de ne pas penser à cette idée.

Puis, le jeune filou se retrouve bientôt par terre, où que le gardien commençait à l'étrangler. This fois, il ne semblait plus y avoir d'espoir pour le prisonnier qui tentait de se débattre, tout en réussissant à glisser les clés jusqu'à l'intérieur de la cellule de Célestin.

Bientôt, toutes les forces du voleur commençaient à l'abandonner, ce qui laissa la chance au gardien de prendre son arme pour l'abattre, bien que ce n'était pas ses intérêts. S'apprêtant à l'abattre, c'est alors que Célestin fonça comme un missile doré sur le geôlier en le plaquant violement contre le mur. Cette fois, un combat violent prit place entre les deux, où que le ramoneur esquivait les attaques de son adversaire qui balayait les airs avec sa matraque. Puis, ce fut au tour du voleur d'interagir en ce saisissant hâtivement de l'arme qu'il usa pour assommer le geôlier a la tête. Puis, plus rien.

Reprenant leur souffle, Célestin et le Voleur de Paratonnerre transportèrent le gardien jusqu'à' l'intérieur de la cellule du ramoneur, en s'assurant de verrouiller la porte.

- Et maintenant ? Débuta de plus en plus le brigand au ramoneur. Tu comptes toujours à rester ici, où tu préfères me suivre ?

- Vite ! Prenons ce passage, alerta le voleur. Célestin et le filou, empruntèrent tout de suite un passage très étroit jusqu'à un long tunnel peu éclairé par les lanternes. Le chemin s'arrête devant une petite porte secrète que le Voleur de Paratonnerre ouvrit avec une clé de couleur argent qu'il avait dérobé d'un autre soldat.

Par ensuite, ils entrèrent dans le réduit, en prenant des torches qui éclairaient le chemin rocailleux. Beaucoup de chauves-souris grouillaient de partout, allant à la rencontre des merveilleux rubis resplendissants, dessinés dans les fissures des rochers. Enfin, ils réussissent à monter de vieilles marches pour arriver finalement en haut. Les deux prisonniers eurent un grand étonnement, car l'endroit se trouve à être une aux trésors qui appartenaient à plusieurs pays, ayant visité Takicardie.

- Oh la vache ! S'exclama le jeune filou. Alors franchement, il est impossible de tomber sur quelque chose d'encore choisi plus fou que ça. S'apprêtant à fouiller les lieux c'est alors qu'ils se firent projetés dans une montagne de pièce d'or par l'Implacable Babushka qui les menaçait avec un Knout. *

- Tranquille, tranquille ! Signala avec précaution le Voleur de Paratonnerre en se levant. Nous ne sommes pas des criminels !

- takje ! Tebya zhdut babushkiny pytki, kotoryye zastavyat tebya ne oui' nichego, krome pereigryvaniya! " !

S'était exclamé la vieille dame qui lâcha un rire hystérique, tandis que les deux jeunes hommes s'observaient, confondaient.

- D'après toi, comment fait-on pour raisonner une vieille Russe en furie ? Demande le ramoneur au voleur. Sur-le-champ, la vieillarde s'empara d'un gros lasso qu'elle sortit de son manteau et l'enroula autour des deux prisonniers, avant de leur bander les yeux. Puis, la russe gravit leur collet pour les transporter dans chacune de ses mains, comme s'il s'agirait de valise.

- Madame, il faut que vous vous calmiez, raisonna le brigand. Ce n'est très aimable pour une maman de se mettre en furie. Je ferais n'importe quoi pour vous plaire.

- Vraiment ? Fit drôlement la vieille dame. YA polagayu, chto iz-za tvoyey lyubvi ko mne ty proglotish' odin iz moikh samykh otvratitel'nykh retseptov.

- J'ignore ce que vous comploter contre nous, mais j'espère que ça sera rapide, lança le ramoneur.

- Elle est trop zarbi, déclara le Voleur de Paratonnerre. Nous sommes mieux de nous tenir à carreaux, si nous ne voulons pas finir en bouillit.

Peu de temps après, la vieille russe dépôt rudement les deux prisonniers, en leur important le ruban sur les yeux. Célestin et le voleur découvrirent qu'ils étaient dans le dortoir des Policiers qui semblait complètement vide, malgré le tas de désordre qui jonchèrent le sol. En se relevant, le ramoneur se tourne vers l'Implacable Babushka qui ouvra sa grosse veste pour dévoiler des armes, des habitudes de police et des dynamites.

- Ce n'est pas possible, balbutia le charbonnier. Pour une maman, vous assurez carrément. Soudain, la vieille russe gifla le jeune homme au visage et répondu par la suite :

- Reste polie , molodoy chelovek. Vous...prendrez des munitions et des costumes de police, afin de défendre ce pays de pourriture !

Aussitôt, le ramoneur et le brigand enfilèrent les uniformes, bien que les habitudes les fissent paraitre beaucoup plus petit que d'habitude. Ensuite, ils terminèrent le tout en se collant des fausses moustaches avec du ruban transparent et se dirigèrent en face d'un miroir. Le résultat ne semblait pas convaincant.

- Alors là, ça ne va pas, articulait Célestin, bouche-bée. On va se faire ridiculiser.

- C'est clair, admettait le voleur. Puis, la vieille Russe frappait les deux jeunes hommes derrière leur tête, où qu'ils se blottirent par la puissance du coup.

- Aïe ! S'écriait Célestin en se tournant vers la femme. Qu'est-ce qui ne vas pas encore ?

- Improvisateur , déclara l'Implacable Babushka. Sinon, vous massacrés !

Tout à coup, un puissant sifflet retenu dans la caserne, s'ensuivit d'un deuxième encore plus fort.

- C'est la Police ! S'inquiéta le voleur, tandis que la vieille russe disparue à l'intérieur d'un passage secret. Bien que Célestin tente d'ouvrir le passage secret, celui-ci abandonna et retourna revoir le Voleur de Paratonnerre.

Peu de temps après, plusieurs policiers et même des enfants au service du roi, se hâtèrent désordonnément dans le poste pour commencer à se préparer. Au même moment, Boniface le Renifleur est apparu sur les lieux, en allant aussitôt à la rencontre des deux prisonniers.

- Nous sommes foutu, balbutia à voix basse le Voleur de Paratonnerre en demeurant immobile. Sous eux, l'individu reniflait leurs pieds, comme un chien au cœur d'une piste. Puis, ce dernier leva les yeux envers les deux jeunes hommes en traiter un léger grognement.

- Un sucre sucre ou la Police, siffla-t-il agressif. Soupirant, le Voleur de Paratonnerre ouvrit sa veste et sort un sucre à la crème pour donner au personnage loufoque qui l'attrape furtivement.

- Tu es mieux de te tenir tranquille, lui prévenu le ramoneur. Sinon, tu peux oublier tes friandises.

A cet instant, lorsque le shérif Stanislas entra dans le dortoir, celui-ci sifflait de nouveau dans son sifflet, avant de résonner :

- En position mesdemoiselles ! Immédiatement, tous les policiers se placèrent maladroitement en ligne devant le shérif, tandis que les enfants se retrouvèrent de l'autre côté. Une fois que tout le monde placé, le shérif allait se placer à l'avant, avec les mains derrière son dos et s'écria :

- Garde-à-vous ! Célestin et le Voleur de Paratonnerre, avaient le cœur qui battait à la chamade auquel ils se retrouvaient présentement. Mais, ils gardèrent leur sang-froid, puisqu'ils avaient tous sur eux pour se fondre dans la masse.

- Ramoneur, marmonnait fébrilement le filou au ramoneur, je sens que je fais dans mon froc.

- Alors, débuta le shérif Stanislas qui commençait à marcher. On s'est bien amuser à lire les 101 commandements de Takicardie. On est prêts à devenir des soldats au service de notre monarque ? C'est bien, c'est bien, je vous en félicite. Il y aurait-il des volontaires qui voudraient nous partager leurs belles expériences ?

Soudain, un jeune garçon leva rapidement la main pour ajouter :

- J'ai brulé des bibles et d'autres signes religieux, car il existe qu'un seul Dieu dans ce monde qui est notre maréchal de Takicardie, expliquait fièrement l'apprenti soldat.

- À mon tour, s'exalta un autre garçonnet. Comme me l'a enseigné mon daron, je me suis assuré que de prendre seulement les affaires de ces ventes démunies de la ville basse.

- Excellent, lança Stanislas qui se retrouve près de Célestin et du Voleur de Paratonnerre. Ça prouve que vous avez bien reçu votre lavage du cerveau. Et vous, lança-t-il directement au Voleur de Paratonnerre.

- Moi ?! S'écria gravement le filou. Oh vous savez, j'ai accompli des tas de trucs qui sont dignes de la dictature de ce pays. De plus, j'ai détruit tous les Paratonnerres pour que ce misérable voleur ne puisse plus en avoir, fini-il par dire en lâchant un rire amusé.

Aussitôt, le shérif Stanislas s'avança devant le faux policier en l'épiant attentivement, ce qui effaça immédiatement son sourire. Étrangement, l'officier le renifla avec un air dégouté.

- Mais c'est horrible ! Vous sentez le surströmming !

- C'est... c'est à cause de cette vieille russe, expliqua le Voleur de Paratonnerre. La vilaine ! Elle m'a aspergé de cette spécialité nauséabonde, alors que je ne faisais que mon boulot.

- Soit ! Soupira longuement le shérif en reculant. A ses côtés, Boniface le Renifleur se retrouvant à quatre pattes, en ayant la langue sortie. Le drôle personnage répétait sans cesse : « Un sucre sucre pour mon silence. Ouf ! »

Peu de temps après, l'officier regagna sa place à l'avant, en position de donner les ordres :

- Mesdemoiselles, interpela-t-il à voix haute. Offrons à Takicardie, la chance de voir sa magnifique et terrifiante armée défilée dans la ville.

A ce moment précis, Célestin et le Voleur de Paratonnerre, virent tous les policiers et leurs apprentis, emprunter un pas cadencé pour suivre le shérif Stanislas qui les escortaient en dehors du dortoir. Aussitôt, il y a eu une cadence militaire :

Nous sommes les gardiens de la nuit

(Nous sommes les gardiens de la nuit)

Nous combattons les ténèbres, en particulier l'Oiseau

(En particulier l'Oiseau)

Nous abattons les indésirables qui s'opposent à nos lois.

S'ils désobéissent, ça va faire Badaboom Badaboom !

(Badaboum, Badaboum !)

A présent, l'armée se retrouve désormais à l'extérieur, où d'autres soldats se joignent à eux. Durant ce temps, Célestin et le filou n'avaient plus le choix, que de suivre les autres, en prétendant d'être des soldats qui aimaient leur pays.

- Il va falloir trouver un moyen pour s'échapper, marmonna le ramoneur a son collègue. Maintenant, qu'on ne peut plus faire marche arrière, nous devons réfléchir à un plan et convaincre les autres prisonniers de nous suivre. Voleur de Paratonnerre, tu m'entends ?

En se tournant vers le voleur, celui-ci remarqua que le jeune homme observait quelque peu au loin. Il tenta de le rappeler, puis ce dernier lança :

- Il y a un Paratonnerre là-haut. Oh, il brille sur l'une des tours. Je dois aller le chercher.

- Quoi ? Non, nous n'avons pas le temps pour ça, lui avertit Célestin. Reviens à la réalité et retiens-toi ! Trop tard, car le brigand enleva discrètement son habit de policier, avant de sauter en bas du balcon. Soudain, Boniface le Renifleur se mit à japper en direction du fugitif, alertant tous les policiers qui arrêtèrent la cadence. "Sale traître ! On lui a dit de se taire."

- C'est le Voleur de Paratonnerre, s'écria le shérif Stanislas en pointant le personnage, maintenant rendu sur les toits. Attrapez-le ! Attrapez tous les traitres !

Profitant de cette occasion, Célestin emprunta un autre passage, enlevant lui aussi ses habitudes de patrouilleur qu'il jeta dans le vide. En se retournant rapidement, c'est alors qu'il tomba sur une bande d'enfants au service du roi Charles, qui, dès la présence du ramoneur, pointèrent leurs armes sur lui. "Oh que non, se disait Célestin. La plaisanterie a assez durée !"

Agissant spontanément, le ramoneur bondit juste à temps, avant d'être fusillé par les jeunes vêtements qui alertèrent les autres en hurlant des affaires comme : « Il est ici ! Aux armes ! À mort le ramoneur ! Sur ce, une alarme résonna dans toute la ville, ce qui réveilla les renforts.

Célestin, quant à lui, était sur le toit d'un bâtiment, tout en cherchant une solution pour échapper aux quelques gardes qui étaient à sa poursuite. Le ramoneur devait rapidement trouver une solution, sinon, il allait devoir retourner d'où il venait. Avançant rapidement sur l'immense toit à plusieurs niveaux du bâtiment, il se fraya un chemin entre le musée et un autre bâtiment qui juxtaposait l'édifice.

Le passage étroit, mais Célestin savait qu'il n'y aurait aucun mal à s'y engouffrant. Le jeune homme arrive au bout de ce passage non sans mal et finit par arriver au sol. Il regarde devant lui et décide de plus longtemps la façade du bâtiment jusqu'à l'autre d'après. Cependant, Célestin n'avait pas prévu que les gardes réussissent à le poursuivre.

Fort heureusement, le ramoneur regagna son rythme dans sa course et parvenu à semer en entrant à l'intérieur d'un bâtiment. Puis, il y a eu un silence.

Peu de temps après, celui-ci se vira de l'autre sens pour s'apercevoir qu'il était dans une salle de contrôle... vide ! "La police de Takicardie est nulle en surveillance", déclara Célestin. "Maintenant, voyez ce que je peux manigancer avec ces appareils."

Une fois devant les consoles, le jeune homme commençait à accepter sur tous les boutons, où l'un des boutons alluma les haut-parleurs. Soudain, une chanson se mit jouer :

Edith Piaf – L'hymne à l'amour.

Partout à Takicardie, la musique jouait fortement et facilement, stoppant momentanément la chasse à l'homme. A cet instant, tous les habitants de classes différentes, écoutèrent passionnément la chanson qui parvint à leurs oreilles et, ne purent s'empêcher d'être sur le choc.

Dans la ville basse, les habitants et les travailleurs à l'usine, se laissaient emporter par la tristesse et la compassion. Ils étaient bouleversés de vérité, de projets avortés, de plaisirs impossibles : dans leur regard, tout leur vie rêvée semblait impossible par la folie des hommes, mais ils continuaient à l'écouter, puisqu'elle visitait leurs âmes.

Pendant ce temps, le roi Charles longeait prestement les couloirs qui menaient jusque dans la salle d'audience. Devant l'entrée, le shérif Stanislas se tenait avec d'autres soldats, où qu'ils affichaient l'ensemble des regards nerveux.

Sans crier gare, la voix du ramoneur résonna dans les haut-parleurs :

« Allô...habitants de Takicardie. C'est moi, Célestin. Commentaire allez-vous ? Si je vous lance ce message, c'est pour vous dire de ne pas abandonner face à la terreur du roi Charles. Il vous nourrit de mensonges depuis toujours. Ma chère Marguerite, ô ma petite bergère, tu me manques terriblement. Chaque soir, je te vois dans mes rêves. Aussi... aussi... Oh zut ! Ils arrivent de partout !

Lorsque tout fut terminé, le roi Charles lança un regard furibond envers le shérif Stanislas qui grimaça :

- Eh bien, ce ramoneur ne manque pas de mots. Il... L'officier Stanislas se tut bien vite, réalisant subitement la tension colique qu'il avait obtenu deérique chez le roi. Celui-ci explose :

- CRÉTIN ! IDIOT ! IMBÉCILE ! Oh chérif, comme si vous seriez l'envie que j'aurais en ce moment de vous trouer la cervelle ! Grogna le roi Charles en serrant les poings. Mais, nous perdrions un temps fou à organiser vos funérailles insignifiantes. Pour l'instant, enchaînait-il d'un ton fort, en entrant dans la salle du trône, le roi Charles découvrit l'Implacable Babushka, le Voleur de Paratonnerre, Boniface le Renifleur et le troubadour Niglo ligotés en face du trône.

- Eh bien, en bien, débuta le dicteur en allant s'assoir sur son trône. Voyons voir dans mon livret, les tortures qui vous correspondraient le mieux, ricanait-il en sortant son petit carnet.

- Vous... êtres un pignouf ! lança directement la vieille russe, tandis que ces associés éclataient de rire.

- Silence ! s'écriait le roi Charles en se levant de sa chaise. Vous méritez la mort.

- Zhopa golova ! pokhozhi na tapocki, Vashi ushi , avait dit la vieille.

- Halte die Kloppe, alter Krug ! Signale agressivement le roi Charles. Il y a eu une pause, avant que la centenaire réplique :

- Moy Bog ! Etot idiot govorit chto ugodno.

-Ah ! Fit le jeune flûtiste, Questo re è stupido come quelle scarpe.

- Ça suffit ! Trancha indistinctement le roi Charles. Nous nous argumentons en multilingue, et cela nous mènera nulle part pour capturer le ramoneur. Gardes, reprit-il, emmenez ces insignifiantes créatures hors de ma vue et enfermez-les dans une nouvelle prison. Gardes !

Tous les policiers demeurèrent silencieux à cet instant, puisque leur regard capta quelque chose dans l'énorme fenêtre devant eux. En effet, il y avait bel et bien le ramoneur qui se retrouvait désormais dans une montgolfière, en route pour se rendre dans les appartements secrets du roi. Bien qu'ils n'étaient pas très subtils, les policiers tentèrent de distraire le roi, mais leur maladresse obligea ce dernier à se retourner pour voir la malheureuse surprise qu'il l'attendait.

En foudroyant du regard la police, le tyran a répondu calmement :

- Apportez moi mon fusil de précision.

Dans les airs, Célestin contrôlait méticuleusement la montgolfière qui montait de plus en plus haut, malgré les coups de vents. Avec lui, il avait emporté un gramophone où se diffusait fortement la même musique de tantôt.

Sans crier, c'est alors qu'un projectile atteignit le gramophone en le brisant en morceau, obligeant au ramoneur (autre synonyme) de gare les yeux.

- Ramoneur ! S'écria le roi Charles au balcon. Il était accompagné par d'autres soldats et plusieurs enfants à son service. Je te somme de t'écraser sur le champ !

Bientôt, plusieurs projectiles fusaient sur Célestin qui les évitèrent en faisant bouger la montgolfière de droite à gauche.

Tout à coup, une énorme rafale de vent commençait à faire tourbillonner la montgolfière. Le gros ballon tournoya frénétiquement, et les cordes rattachant le ballon a la nacelle se mirent à s'emmêler. Puis, les cordes se cassèrent petit à petit, faisant mouvementer Célestin, jusqu'au moment où qu'une balle creva le ballon.

Cet fois-ci, le jeune homme n'avait plus le contrôle de la montgolfière qui provoquait plusieurs boucles pour terminer sa violente chute sur le toit des appartements secrets. Le roi échappa un gigantesque :

- NOOOOOON ! Cela ne sera pas ! Malheureusement pour Célestin, celui-ci glissa en bas du toit qui le menait droit à sa mort. Celui-ci tomba, mais réussit à s'agripper sur les lierres, le suspendant justement en face des vitraux des appartements du roi où était paisiblement endormi Marguerite.

- Marguerite, appelait-t-il désespérément en tapant dans la vitrine. Réveille-toi, je suis là. Soudain, un « Bang » se fit entendre, avant qu'un violent projectile atteigne le ramoneur à la jambe. Une douleur inimaginable s'empara de ce dernier, alors qu'il tentait désespérément de réveiller la petite bergère. Hélas, il lâcha prix et tomba dans le vide.

Pendant ce temps, les patrouilleurs qui ont participé à la scène, virent le ramoneur finir sa chute dans une botte de foin qui le sauva de justesse. Même si le jeune homme gémissait terriblement, la police le plaqua brusquement au sol. Célestin leva la tête pour prononcer.

- Lai...laissez-moi partir. Je souffre terriblement.

- La souffrance te suivra jusqu'à ta mort, s'éleva la voix impétueuse du roi Charles. En espérant que cela te sert de leçon, ramoneur de mes deux. Jamais que tu parviendras à regagner le cœur de la petite bergère, puisqu'elle est mienne, grognassa inépuisablement le roi Charles qui lui lança un regard noir. Police, jeter ce chien en isolement carcérale et assurer-vous de prendre bien des soins de lui une fois à l'intérieur. Nous verrons s'il pensera toujours à s'évader.


Lexique de toutes les traductions :

* takje ! Tebya zhdut babushkiny pytki, kotoryye zastavyat tebya ne oui' nichego, krome pereigryvaniya! " !

- également ! La torture de grand-mère vous assistez, ce qui vous obligera à manger que du surströmming !"

* YA polagayu, chto iz-za tvoyey lyubvi ko mne ty proglotish' odin iz moikh samykh otvratitel'nykh retseptov ?

- J'imagine que pour votre amour que vous avez pour moi, vous allez avaler l'une de mes recettes les plus dégoutantes ?

* molodoy chelovek

- Jeune homme

* dermo

- De merde.

* Eta diktatura khuzhe moyey !

- Cette dictature est pire que la mienne !

* YA ukhozhu ! Udachi vam oboim

- Je pars ! Bonne chance à vous deux.

* Zhopa golova ! Vashi ushi pokhozhi na tapocki

- Tête de cul ! Tes oreilles sont comme des pantoufles

* Halte à Klappe, changez de Krug !

- Tais-toi, vieille tasse !

* Moy Bog ! Etot idiot govorit chto ugodno.

- Mon Dieu ! Cet idiot dit n'importe quoi

* Questo re è stupido come quelle scarpe.

- Ce roi est aussi stupide que ces chaussures.

D'autres chapitres arriveront cette semaine...