Je suis revenu et je vais rester aussi longtemps que possible, oui je vais continuer mon histoire, mais je sais pas si je vais réussir à la terminer avant la fin de l'année scolaire, ce qui m'a empêché d'écrire durant les deux derniers mois (à part les devoirs durant septembre. . .) c'est les vacances! Parce que pendant mes vacances, je n'ai jamais d'ordi, présentement j'écris à l'école, seule place ou j'ai accès à internet, ça résume bien!

Je tiens à dire que cette histoire découle d'un jeu que j'ai fait avec mon frère et ma sœur il y a au moins 6 mois. Alors je ne me rappelle plus de tout les détails, oui , j'en invente quelques uns pardon à Marc mon petit frère de 11 ans qui faisait Tyson, je vais te maganer plus que pendant notre jeu! Et non, mon frère ne ressemble pas à Tyson (d'un point de vue physique) mais il a son esprit gagnant, innocent et trognon (de pomme) En d'autre mot, ce qu'il est chou! Alors, voilà. . .

Lady naruto chan (et vive les espaces!) :Voici donc la suite, que je suis très fière de mettre enfin, j'espère que tu lis encore cette histoire de dingue et que tu vas l'adorer, dsl pour le retard.

Vierge : Est-ce que tu vas encore bavé en lisant ce chapitre de Niveau ultime? C'est d'un suspens à vous tuer quelqu'un! Mais bon, j'espère que tu vas lire et aimer autant que d'habitude. Merci d'avoir suivi jusqu'ici.

Fuschicho : Je sais jamais comment écrire ton nom d'une fois à l'autre, mais bon peu importe, voici la SUITE! Suis toute contente! Bon, alors c'est ça, et euh, est-ce que tu lisais pas Jeu amoureux toi? Parce que si oui, j'ai traduit un autre chap! Merci d'aller voir et de passer par ici, à plus!

Sailor Ocean :Merci d'être là, et d'écrire, reviens commenter dès que t'auras lu la suite ci-dessous, merci d'avance! Je suis très contente de continuer d'écrire cette histoire, espécialement quand je vois qu'il y a des gens qui veulent la lire!

Toutes les idées d'épreuve pour Tyson seront acceptées, il va m'en falloir si je veux faire 36 chapitres, par contre je n'ai des idées que pour 14 autres chapitre, il y en a 4 de fait, ça fait 18 de pré révisé, alors vous n'avez pas beaucoup de place pour les suggestions (rien que 8!) alors dépêcher vous de m,en envoyer, je les utiliserais avec plaisir si elles respectent mon sens des valeurs! Merci d'avance pour votre participation. Bonne lecture! (Ça fait pas un peu téteu ça?)

Niveau 4

-Monsieur, il est au niveau 4, et il n'a pas l'air prêt d'abandonner, fit Kai dans son communicateur en fronçant les sourcils. Il avait l'affreuse impression que bientôt son grand-père l'obligerait à se dévoiler à Tyson et à l'affronter alors qu'il n'en avait aucune envie. Ça l'inquiétait terriblement. Il avait déjà fait assez de choses affreuses pour sa famille pour ne plus vouloir en rajouter, surtout pas avec un de ses meilleurs ex-coéquipiers. Et bien que Tyson le fasse passablement chier (quel langage, c'est digne des Hiwatari!), il ne songeait pas être capable de lui faire du mal.

Pas comme Voltaire entendait que le mal devait être!

-Au niveau 15 Kai, alors si jamais il se rend jusque là, alors tu devras le faire payer pour son audace, compris?

Il n'avait pas le droit de faire ça, il n'avait pas assez trahi les Bladebreakers comme ça? Il fallait qu'il soit vraiment un lâche sur tous les plans?

Comme il ne répondait pas son grand-père s'énerva.

-Kai!

-Oui, grand-père, puis l'adolescent raccrocha, Tyson, on se retrouve au niveau 15, bonne chance mon vieux. Accroche-toi. Parce que je ne te suivrais pas pour voir ce qui suit.

Tyson lui, de son coté, poursuivait sa route, en se demandant dans qu'elle galère il s'était embarqué. Son grand-père allait lui tomber sur la tête si jamais il venait à apprendre qu'il avait encore commis un vol et une perquisition chez quelqu'un sous l'ordre de sa mère. Et peu importait si c'était Voltaire Hiwatari sa victime, peu importerait si c'était sous les ordres de Mr, Dickenson qu'il avait agit. Son grand-père lui tomberait sur la tête quand même.

Le jeune homme se souvint de la raison pour laquelle il vivait chez le père de son père avec un sourire, tout en enfilant un autre couloir au pas de course, ayant hâte d'en terminer. Sa mère n'avait jamais eu la côte avec le vieux Granger, elle était trop belle, trop jeune, trop bonne aux arts martiaux pour une femme, trop si et trop ça et trop patati et trop blablabla. Alors pas question qu'une petite voleuse de dernier ordre élève son petit-fils. Même pas pour tout l'or du monde.

La jeune Neiko n'avait pas eu le droit de garder son enfant et dans la famille, il y avait eu un véritable procès. Le père de l'enfant refusant qu'on traite ainsi son épouse, le père dudit père refusant que le pauvre enfant devienne un malfaiteur et la défunte grand-mère n'étant déjà plus là pour calmer les ardeurs des deux hommes de la famille, ce fut l'horreur. La mère de Tyson avait réussi à passer un marché et avait son fils avec elle durant la moitié de l'année, sous la surveillance de son mari.

Surveillance mal pratiquée, bien sûr. Mais qui s'en choquait encore, à part le vieux Granger?

Alors qu'il en était là dans ses pensées, Tyson tomba nez à nez avec son épreuve. Une énorme glissade qui s'étirait vers une sorte de trou sans fond, complètement noire. L'ombre qui l'enveloppait était tranché par des pics acérés de métal qui devaient être coupant comme des rasoirs. Mais encore là, le jeune champion de beyblade ne pouvait rien affirmer, puisqu'il ne suivait que ce que ses yeux lui disait.

-Ne te fis jamais complètement à ce que tu vois. Fis-toi à ce que tu ressens, disais son père. Ce n'est pas toujours en voyant les choses qu'on peut les comprendre.

Le jeune homme aux longues mèches bleues devinait que le piège caché devant lui en cachait un autre, bien pire. Alors il s'agenouilla très lentement devant le tunnel couvert de pics et y fit doucement passer sa main. Ses doigts disparurent derrière un filet de couleur noir qui n'avait aucune consistance. Un hologramme. « Voilà donc ce que tu dois voir » aurait dit son grand-père, quand Tyson passa avec beaucoup de précaution sa tête dans l'hologramme pour voir se qui l'attendait. Mais avant qu'il ait tout vu de la véritable épreuve qui l'attendait, un coup de pied l'envoya valdinguer dans le tunnel, sans trop lui laisser le choix.

-L'attention, c'est la clé de tout, pas d'attention, pas de trésor à voler au bout, que Neiko disait.

« On dirait un mauvais proverbe chinois maman! » hurla t'il dans ses pensées tout en considérant avec horreur qu'il se précipitait dans une fosse pleine d'eau et de requin! Avec son épaule ouverte et en sang, il allait les attirer à lui avant de trouver la sortie. Mais comment n'avait-il pas pu prévoir que Voltaire aurait caché un truc de ce genre dans son manoir, c'était trop gros, trop évident pour que le vieil Hiwatari ne se serve pas de cette astuce!

« Tyson espèce de pauvre idiot! »

Alors le jeune garçon tomba, et tomba et tomba pendant ce qui lui apparut des siècles, tandis que Kai, son observateur le suivait des yeux et espérait qu'il n'aurait pas à appeler son grand père pour lui annoncer que le jeune voleur avait raté son coup dans la quatrième épreuve et qu'il y était passé.

Et Tyson tomba encore et encore jusqu'à ce qu'il touche enfin le fond du fond. L'eau qui remplissait le bassin des requins. Des vaguelettes d'un bleu pur comme un ciel de printemps changèrent de sens quand il s'enfonça dans la substance liquide. Des ailerons gris, certains autres noirs, tourbillonnaient comme des vautours à la surface, annonçant l'issue mortelle que le joueur de Beyblade avait déjà devinée. Il pouvait toujours sortir d'ici dans la panse des requins s'il en avait le cran. Mais ça ne lui servirait à rien. Il ne pourrait plus rien faire après.

Alors avant que les prédateurs l'encerclant ne se ressaisissent de la frousse que son plongeon forcé venait de leur faire, Tyson s'enfonça autant que possible sous l'eau, verdâtre dans les profondeurs, pour voir s'il n'y avait pas une sortie quelque part qui lui serait plus salutaire. Ses yeux bleus se perdirent dans les vagues sous-marines, lui permettant de mesurer à quel point il était chétif et fragile comparé à ses cruels assassins de la mer qu'étaient les requins. La vue de leur corps suffit à l'effrayer, mais l'obligea à se montrer plus persévérant qu'il ne pensait pouvoir l'être encore.

L'adolescent fouilla le fond marin du regard, ses cheveux flottant au gré des remous tout autour de son visage, son être entier tremblant sous la menace qu'était les six animaux infestant les eaux autour de lui. Tyson aperçu alors, entre les morceaux verts d'algues qui traversaient son champ de vision et les éclairs noir et bleu qui passaient de temps à autre, une grille qui apportait dans l'aquarium de l'eau fraîche et salée, dont la surface était trop petite pour laisser des requins passer, mais assez grande pour lui.

Il ne se fit pas prier pour remercier tous les saints qu'il connaissait (mentalement) avant de se précipiter, sans trop réfléchir, vers la grille providentielle. Alors, la nature faisant son œuvre, les six requins qui tournaient autour de lui en hésitant à s'attaquer à ce qui semblait être une proie potentielle, se décidèrent à suivre cette petite lignée de sang qu'il laissait derrière lui. Tyson en comprenant ce qui arrivait augmenta la vitesse de sa nage et parvint à se sortir de cette impasse, en atteignant, uniquement par chance, la grille avant qu'un seul des requins ne soit sur lui.

La grille ne lui opposa heureusement aucune résistance pour s'ouvrir, mais il ne pu pas la refermer derrière lui, happé par le courant de l'eau qui aspirait en ce moment toutes les saletés de l'aquarium. Il fut entraîné vers le haut, irrémédiablement, et fut expulsé de ce torrent d'eau qui l'empêchait de respirer juste devant une porte de métal.

Tyson se redressa en cherchant son souffle, les yeux agrandis par la peur qui l'avait assaillie face aux êtres marins de tout à l'heure, un sourire au coin des lèvres. Il avait réussi, sans même utiliser une technique que son grand-père ou sa mère lui avait appris. Il avait utilisé la sienne, s'en remettre à la chance. Un sourire naquit au coin de ses lèvres quand il reconnu ce qui était écrit sur la porte qui se trouvait devant lui. C'était un chiffre.

-J'ai encore réussi, murmura t'il.

À quelques mètres de là, avec un soupir de résignation qui cachait son soulagement, Kai murmura dans son communicateur :

-Niveau 5 monsieur, cette fois il est au niveau cinq.