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Titre : Sang et Noirceur d'Homme.
Base : Harry Potter. I, II, III, IV, V.
Disclaimer : Rien à moi mis à part la petite puce, la rédaction, l'histoire.
Couple : C'est quoi mon couple fétiche ? Héhé
Rating : R (A bas le M ! ;-p) Pour sexe (beaucoup et violence, sang…)
Résumé : Le mal règne. C'est un monde brisé, ensanglanté ou violence, crime, sang, sexe font leurs lois. Seulement qui le dirige réellement ? Slash
Note de moi :
Voilà déjà la suite ! à peine rentrée je vous la poste ! Je m'épate moi-même ! Pas de RARs puisque je viens de rentrer mais je suis réellement ravie que cete histoire vous plaise! Elle me tient énormément à coeure! Merci!
Bonne lecture!
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Draco Malfoy marchait d'un pas vif dans l'aile Est de son château. Ses larges vêtements tournoyaient autour de lui alors que sa longue chevelure blanche, coiffé en catogan, suivait le rythme de sa course.
Il était devenu le maître du pays. Après la mort plutôt mystérieuse de son père il avait gardé le pouvoir de sa famille en place grâce à des stratégies élaborées et souvent sanglantes. Il était devenu l'homme le plus craint du Royaume. Tout le monde en avait peur et le respectait. Mais c'était un respect qu'il possédait à cause de son pouvoir, de sa force magique et de sa dureté.
On voyait sur ses traits la fermeté de son être. Ses yeux brillaient d'une lueur presque folle par moment. Il avait hérité de l'amour du sang que possédait la famille Black. Un amour dur à réfréner.
Après avoir traversé des dédalles de couloirs sombres, tapissés de vert et décorés de tableaux familiaux, il arriva devant une porte de chêne noir d'une taille impressionnante. Il la poussa sans difficulté après avoir levé les sorts qui la bloquaient.
La pièce dans laquelle il entra était sombre. Les volets des grandes fenêtres n'avaient pas été ouverts malgré l'heure avancée de l'après-midi et aucune bougie ne se consumaient. Il y avait aussi une odeur désagréable qui régnait. Une odeur d'urine.
Le blond poussa un soupir résigné.
Dans un coin de la pièce, accroupi, se blottissait une petite silhouette. Ses épaules frêles tremblotaient de peur. On pouvait entendre sa respiration irrégulière brisant le silence presque pesant de la pièce.
Draco haussa un sourcil et s'approcha de l'ombre qui se resserra contre l'angle dans lequel elle s'était cachée, comme pour se protéger. Il arriva à sa hauteur et se baissa. Il posa ensuite une de ses mains longues, fines et glaciales sur la tête de ce qui semblait être un enfant. Celui-ci eut un sursaut de terreur et laissa échapper un hoquettement.
« Je ne vais pas te frapper, tu sais. Je ne suis pas quelqu'un de bon mais je ne m'en prends pas aux enfants, surtout si c'est pour les punir d'avoir mouillé leurs lits. »
L'enfant se détendit quelque peu après ses paroles mais ne releva pas la tête.
Draco, lui, le fixait de ses yeux inexpressifs. Il le détaillait avec curiosité. Il l'avait déjà vu avant. Cela faisait quand même près d'un mois qu'il vivait dans le manoir mais aujourd'hui il y avait quelque chose en plus, quelque chose qu'il n'y avait pas les fois précédentes. Cette fois il en était sûr.
Cela avait pris trois semaines pour en avoir la confirmation. Les recherches avaient été lentes et minutieuses mais au finale ; fructueuses.
La petite forme bougea mal à l'aise. Elle semblait réfléchir à quelque chose. Puis il franchit le pas.
« Je veux Papa. »
Cela avait été dit d'une toute petite voix tremblante, timide, presque aussi fragile que du cristal.
Après avoir dit ses mots l'enfant s'était resserré sur lui-même, réaction logique d'un enfant qui se prépare à être frappé.
Draco connaissait bien cet instinct, souvent petit il avait répété ce geste d'auto défense, ce qu'il ne comprenait pas c'était pourquoi avait-il si peur de lui ? Ils ne se connaissaient pas.
« Je t'ai dis que je ne te frapperai pas. Pourquoi as-tu aussi peur de moi ? »
Sa voix avait presque été douce. Elle avait perdu pendant un instant sa froideur et sa sècheresse.
Il savait. Il en était sûr.
L'enfant releva légèrement la tête et Malfoy pu alors voir ses magnifiques yeux bleus à présent voilé par un voile opaque qu'avait formé la peur et l'absence. Absence de ce père réclamé mainte et mainte fois par cette petite voix fragile. Absence in comblé par le refus, toujours, de cette présence auprès d'elle.
« C'est tonton qui m'a toujours dis que le seigneur était méchant. Qu'il se croyait maître du monde et qu'il frappait tout ceux qui le dérangeait. »
Un renflement dédaigneux se fit entendre. Le blond abhorrait un rictus méprisant.
« Je suppose que par Tonton tu désigne Ronald Weasley. »
Il n'eut pour réponse qu'un petit hochement de tête qui fit retomber sur le visage pâle de l'enfant quelques mèches de cheveux d'un roux flamboyant.
Doucement Draco les écarta. Il eut un début de sourire quand il vit les joues pâles, le nez mutin, la bouche fine et les deux yeux bleu de la petite fille.
« Tu est bien plus jolie sans cheveux qui te bar le visage. »
La petite fille le regarda bizarrement, comme si elle ne l'avait jamais vu. C'était d'ailleurs un peu le cas. Elle ne le connaissait pas. Elle savait juste que c'était le plus puissant seigneur du royaume. Que c'était lui qui avait demandé à ce qu'on l'arrache à son père. Et enfin que c'était peut être lui qui était son deuxième géniteur.
Non, ça elle en était sûr. Son papa lui avait dit que son deuxième père était Draco Malfoy. Il ne lui avait jamais caché, il n'en avait pas honte.
« Je vais le revoir quand papa ? »
Toujours cette question qui revenait. C'était tout ce qui lui importait réellement. Revoir son père. Son père chéri et adoré qui avait tant fait pour elle. Ce père aimant et doux qui faisait tout pour rendre ses jours plus bleu. Ce père qui avait toujours été là et qui depuis un mois lui était interdit de voir.
Draco eut un soupir encore. Son père toujours son père. Il savait que cela était normal, logique. Après tout, il n'avait jamais été là. Il ignorait jusqu'à son existence. Et elle arrivait comme ça tout d'un coup, comme venu de nulle part. Avec LUI qu'il avait cherché si longtemps, pendant près de huit ans.
Sa fille. Leur fille.
Cette enfant au physique si fragile, aux cheveux rougeoyant, à la peau si pâle et aux yeux si purs. Cette petite fille qu'il avait nommée Gaëlle. Cette enfant qui maintenant avait sept ans.
« Tu sais qui je suis n'est-ce pas ?
- Vous êtes mon deuxième papa. »
Elle le regardait de ses grands yeux sans ressentir aucune peur ni surprise, il y avait juste de la curiosité.
« Oui je suis ton père. J'en ai eu la confirmation aujourd'hui.
- Pourquoi demander une confirmation alors que vous le saviez ? »
Innocence parfaite. Exactement comme il l'avait élevé.
« Parce que je demande toujours une confirmation. Nous vivons dans une époque où il faut avoir des preuves. »
Elle ne répondit rien, se contentant de le fixer, encore.
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Flash Back :
« On ne touche pas à ma fille. »
Le garde poussa un grognement digne d'un ours. Il essaya d'arracher la lanière de son fouet de la poigne de l'homme qui se tenait devant lui, le visage creusé, les vêtements sales, collant contre son torse aux abdominaux abîmés, mais une dernière lueur brillante dans ses yeux morts.
Le maître savait que l'homme souffrait. Le frottement du cuir contre la paume de sa main devait le brûler mais il voyait aussi sur ce visage fatigué une expression de détermination indestructible.
La petite fille s'était relevée entre temps et elle était allée se réfugier dans les bras de l'homme roux qui se chargeait à présent de la rassurer.
Le garde lui avait récupéré son fouet et le faisait claquer dans les airs dans un bruit sinistre, alors que le mineur avait la main en sang. L'autre garde nommé Callum s'était remis du coup que l'enfant lui avait porté et se tenait aux côtés de son collègue, un sourire mauvais collé sur ses lèvres épaisses.
« Tu va payer chien ! Aurais-tu oublié ta place ? Tu n'es qu'un détritus ! Un chien qui n'est ici que pour provoquer sa propre mort. Tu vas payer pour ta fille aussi. Il me semble que tu as déjà fais la putain pour l'un d'entre nous. Que dirais-tu de recommencer devant tous tes « copains » ? Ce n'est pas comme si tu avait le choix de toute façon. »
L'homme n'avait pas bougé. Son visage n'avait même pas tiqué sous les insultes ou les menaces. Il était resté de marbre, comme spectateur de la scène.
Le deuxième balourd s'approcha de lui et lui releva la tête à l'aide du manche de son arme. Il eu un sourire mauvais. D'un coup ses lèvres sèches et dures s'écrasèrent sur celle encore pleine du prisonnier.
Le maître tressaillit de dégoût. Ce rustre, cette barrique, osait le toucher LUI. Il le salissait de ses lèvres indélicates et de ses mains moites. De quel droit le touchait-il ?
Ce fut un coup de fouet violent qui le sortit de ses pensées. Un coup qui avait claqué contre le dos du prisonnier dont l'on pouvait compter plus de la moitié de ses vertèbres. Un autre suivit presque immédiatement. Plus fort, plus sec, plus claquant.
Mais l'homme ne broncha pas. Le seigneur ne s'était pas attendu à ce qu'il réagisse. Il l'avait déjà vu resté impassible sous un doloris. Mais ses coups le rendaient malade. Ils le frappaient LUI. De quel DROIT ? De quel droit le marquait-il ainsi lui qui ne craignait que la torture psychologique ?
Les seuls cris qui se répercutaient contre les parois meublent ou dures du couloir de terre appartenait à l'enfant de l'homme qui se débattait pour sortir de l'étreinte du roux.
Le claquement de la lanière sur le dos de l'homme déchirait la loque qui servait de chemise à celui-ci et marquait sa peau brillante de sueur salie par la terre, taché de sang.
Alors, ne pouvant en supporter plus, le blond envoya le bourreau contre l'une des parois de la mine d'un geste violent de la main. Il s'approcha ensuite de sa victime.
Callum se mit à travers son chemin.
« Qui es-tu mon gaillard ? Tu sais ce qu'il en coûte de toucher un garde ? »
Ce fut une voix froide qui lui répondit. Une voix dénudée de sentiments. Une voix presque inhumaine. Une voix qui fit relever la tête du prisonnier.
« Je sais ce qu'il en coûte à un garde de s'adresser ainsi à son maître. »
Il enleva alors la capuche de sa cape, laissant apparaître aux yeux de toute sa longue chevelure blanche, sa peau transparente et ses yeux de métal.
S'yeux qui se confrontèrent instantanément à leurs jumeaux d'émeraudes.
Fin du Flash Back.
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Les draps de Gaëlle avaient été changés et la petite fille autorisée à jouer dans le jardin sous surveillance des elfes de maison. Cela ne lui avait pas donné le sourire. Elle avait juste remercié Monsieur le Maître poliment, comme lui avait apprit son père.
Draco n'avait pas repris l'enfant. Il avait juste froncé les sourcils. Gaëlle avait tremblé à ce mouvement. Alors le blond n'avait pas imposé sa présence plus longtemps. Il savait que pour avoir la confiance d'une personne telle que ça fille le temps était le seul maître.
Il sortit du manoir et il descendit les marches qui, dans le sens inverse menaient au perron. Il se retourna pour regarder cette petite fille rousse courir dans le grand parc de sa propriété, s'émerveiller sur différentes plantes, rouler dans l'herbe et grimper aux arbres.
Il s'agissait sûrement d'une grande première fois pour elle. Les enfants de mineurs n'étaient pas gâtés. Ils vivaient dans la peur, la faim, la soif et la douleur aussi.
Leurs habitations étaient insalubres et la porte des médecins leur était fermé.
Les Sang pur avaient trop peur qu'ils reprennent des forces et ainsi reprennent leur combat pour la liberté. Ils étaient dangereux et tous le savaient.
Les colliers qu'ils portaient avaient été conçus spécialement pour eux. Un an de recherche qui avait aboutit à l'une des pires « armes » que possédait le pouvoir.
Ces colliers emprisonnaient toute la magie de l'être humain dans le métal qui les composaient. Un mélange de cuivre, de soude et d'argent lier avec des sorts complexes et anciens.
La douleur ressentit lors de la « pose » était quasi inhumaine. Ils étaient d'une façon ou d'une autre séparé d'une partie de leur âme. Certains devenaient fous, d'autres se tuaient pour abréger leur souffrance et les plus résistants -puissant- survivaient alors que la souffrance se faisait jour en jour plus forte puis finissait par disparaître d'un coup.
Draco se félicitait souvent de l'invention de ces colliers. Il leur devait une grande partie de sa réussite puisque c'était lui qui avait financé leur élaboration. Il se réjouissait aussi de leur fonctionnement. Grâce à cette « arme » nombreux rebelles avaient été stoppés.
Pourtant Draco eut une sorte de nausée quand il imagina ce collier de chien serrer cette gorge, meurtrir cette peau fragile.
Il monta dans son coche d'une vive impulsion et il donna ses directives au conducteur.
« Mines Malfoy. Le centre d'internement. »
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Flash Back.
(Environ un mois avant.)
C'était la fin de la journée. Les mineurs étaient éreintés. Tous leurs membres étaient endoloris. Ils leur auraient fallu une pommade revigorante avec une boisson fraîche mais cela n'était pas possible.
Le ciel était rouge du couché de soleil qu'il accueillait ce soir encore.
Gaëlle qui avait attendue bien sagement dehors, s'était jetée dans les bras de son père dès qu'elle l'avait aperçu. Il la faisait voler à présent, écoutant ses rires avec une délectation sans fin.
C'est à ce moment là qu'ils arrivèrent. Des hommes de la garde rouge. La garde attachée à Malfoy. La garde la plus puissante et la plus dangereuse.
D'un sort ils séparèrent le père et la fille. Puis ils se chargèrent de l'homme. Celui-ci se débattait de toutes ses forces, une lueur démente au fond des yeux.
Malfoy apparu et pris dans ses bras la petit fille qui pleurait. Elle se mit à le frapper violemment, hurlant « papa » avec désespoir. Mais rien n'y fit. Le blond ne la lâcha pas. On ne la rendit pas à son père.
Alors que le maître s'éloignait, portant Gaëlle contre lui, son père se mit à crier d'une voix cassée, brisée par les années qu'il avait traversées.
« N'oublie jamais l'éducation que je t'ai donné Gaëlle. Quoi qu'il se passe tu seras toujours ma fille ! Ne l'oublie jamais. »
À ces paroles Draco s'était retourné et l'avait fixé dans les yeux.
« Elle ne recevra pas une éducation différente de celle que tu lui as donnée. C'est tout ce que je peux te promettre. »
Fin du Flash Back.
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« Vous êtes arrivé Monseigneur.
- Je le vois bien, répliqua sèchement Malfoy en descendant de son coche. »
Il épousseta ses vêtements d'un geste négligé puis s'avança vers le bâtiment qui lui faisait face. Il s'agissait d'un bloque de béton aux fenêtres minuscules, munis de barreaux. Gravé juste au-dessus de la porte, à même la pierre se trouvait : Centre d'internement des mines. Ce n'était pas là un asile mais bien une sorte de prison.
Draco attendait à présent dans l'accueil de l'édifice. C'était un endroit dénué de toute décoration. Les murs étaient nus, idem pour le sol. Il y avait là une sorte de comptoir où une jeune fille travaillait.
En la voyant Draco eut un sourire méprisant. D'un pas vif, il rejoint son comptoir. Il s'y adossa ensuite dans une pose nonchalante.
« Alors Brown ? Contente de ton travail. »
Le ton n'aurait pas pu être plus méprisant.
La jeune fille ne releva même pas la tête.
« Parfaitement Malfoy. Encore plus si tu m'épargnais ta présence mais il ne faut pas trop en demander n'est-ce pas ? Surtout en ce moment. »
Draco eut un petit sourire.
« Tu apprends vite, dommage que ta petite amie ne l'aie pas appris plutôt. »
L'ancienne Griffondor leva alors la tête, plongeant un regard vide dans les yeux fous de son maître.
« Elle s'est battue jusqu'au bout et vaillamment. Ne salis pas sa mémoire Malfoy ou je n'hésiterais pas à me rebeller, quitte à me faire tuer. La mort n'est que la dernière action de notre vie. Je n'aurais rien à regretter tu sais. Ma vie m'importe peu. Prend Garde Malfoy, d'autre le comprendrons aussi. Plus vite que tu ne le penses. »
Un sourire malade prit naissance sur les lèvres pâles et fines du blond. Il se pencha de façon à ce que sa bouche soit au même niveau que l'oreille de Lavande.
« Je les écraserais tous jusqu'au dernier avant qu'il n'ait eut le temps de comprendre. Vous allez tous mourir comme des chiens que vous êtes. »
Le regard de Brown ne changea pas, il resta toujours aussi vide mais un rictus de plaisir apparut sur ses lèvres.
« Cela te prendra de court Malfoy. Et ça ne viendra pas de là où tu l'aurais cru. »
Draco eut un petit sifflement moqueur et se redressa.
« Possible. J'adore les surprises. »
Il tourna ensuite les talons, se dirigeant vers un couloir sombre.
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Un garde ouvrit une porte fermement bloquée par divers sorts. Il laissa passer son maître dans la cellule minuscule. Celui-ci fut ébahi par ce qu'il vit.
Il aurait cru que le prisonnier se jetterait sur lui pour lui arracher les yeux, puis le dépecer ensuite, mais celui-ci était terré dans un coin de sa cellule, comme sa fille précédemment dans sa chambre, le visage et les yeux vides.
Il leva les yeux vers son visiteur et lui murmura de sa voix cassée :
« Rends-moi ma fille Draco, rends-moi ma fille. »
Malfoy eut un sursaut. Cela faisait longtemps qu'on ne s'était pas montré si familier avec lui et les yeux qui le regardaient à ce moment étaient trop vide pour appartenir à l'homme qu'il avait connu. Il se reprit pour- tant et répondit d'une voix adoucit.
« Pas encore Harry. Pas encore. »
à suivre…
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Merci d'avoir lu ! J'espère que cela vous à plus ! La suite pour bientôt j'espère vu que le prochain chapitre est écrit !
Un énorme merci à tout ceux qui ont laissez un mots ! Je n'ai pas le temps de vous répondre, je ne devrais pas être sur l'ordi ! Donc un MERCI réel !
Un petit commentaire ?
Zoo.
