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Titre : Sang et Noirceur d'Homme.
Base : Harry Potter. I, II, III, IV, V.
Disclaimer : Rien à moi mis à part la petite puce, la rédaction, l'histoire.
Couple : C'est quoi mon couple fétiche ? Héhé
Rating : R (A bas le M ! ;-p) Pour sexe (beaucoup et violence, sang…)
Résumé : Le mal règne. C'est un monde brisé, ensanglanté ou violence, crime, sang, sexe font leurs lois. Seulement qui le dirige réellement ? Slash
Note de moi ! :
Voilà la suite tant attendue ! (Comment ça je me fais des films ? Mais pas du tout ! Je vous boude na :p)
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Le ciel rougeoyait. Il était comme incandescent. C'était un mélange de feu et de braise.
L'air était brûlant. On voyait des vapeurs s'élever dans les airs. La terre était rouge aussi. On aurait put se croire dans le sud.
On était pourtant en Angleterre.
Une Angleterre qui avait considérablement régressé. Une Angleterre pourrit jusqu'à la moelle. Une Angleterre du mal.
C'était sur cette Angleterre là que le soleil se couchait cette fois encore, mais cette fois-ci une ombre noire encapuchonnée faisait une ombre chinoise sur le ciel. Elle se dirigeait rapidement vers un village de « Paysan ». Un village où les maisons reposaient à même la boue, où l'eau courante était précaire et la magie restreinte.
Les rues étaient sales des eaux usées. La chaleur emportait avec elles les effluves nauséabondes. Ce qui rendait l'endroit encore plus invivable. Pourtant on trouvait des enfants jouer dans les rues, des adultes discuter entre eux comme si de rien n'était.
Seulement tout avait changé. Plus rien n'était comme avant. L'ombre s'arrêta un instant pour regarder deux petits enfants.
Deux petits garçons de moins de trois ans pataugeaient dans la boue du caniveau central. Ils étaient malingres, la peau sale, tendue, les cheveux pratiquement rasés à cause des poux qu'ils auraient pu attraper.
L'ombre passa près d'eux et avec un soupire, leur caressa la tête. Ils se retournèrent, surpris de cette attention. Doucement elle glissa dans leurs petites mains sale un gallion. Elle se retourna ensuite pour ne plus se détourner de sa route.
Elle passa par les rues les plus sombres et les plus escarpées. Lorsqu'elle arriva à sa destination, il faisait déjà nuit. Elle avait marché deux bonnes heures, rencontrant de temps en temps des « paysans ». Aucuns d'eux ne l'avaient arrêtée, aucuns d'eux ne l'avaient hélée comme si tous savaient, comme si tous étaient au courant du pourquoi de sa présence. Si elle aurait pu paraître hostile, elle leur paraissait à eux amicale, elle avait un coté providence.
Elle toqua à la porte de bois d'une maison basse. Un loquet de fer grinça et la porte s'entrouvris.
« Vous êtes ?
- L'ombre.
- Ahhh ce nom code ! Grogna la voix. Entrer. »
L'ombre se faufila alors à l'intérieure. Elle se retrouva dans une grande pièce meublée d'une table et trois chaises, aux murs de chaux et au sol de terre.
« Il vous attend là-bas, dit une jeune femme au ventre arrondie et aux traits tirés, je vous y conduis. »
L'ombre hocha la tête et suivis la femme. Celle-ci passa une porte qui se confondait dans le mur du fond. Elle la tient pour l'ombre. Elles marchèrent ensuite dans des boyaux de couloires sombres et humides. Ceux-ci semblaient s'enfoncer dans la terre.
Elles cheminèrent cinq bonnes minutes avant de se retrouver dans une autre petite pièce sombre au plafond bas et aux murs de terre.
La femme se tourna vers l'ombre et la regarda de ses deux yeux fatigués.
« Il est derrière la porte du fond. »
Une flamme s'alluma dans les yeux bleus délavés.
« Vous nous sortirez de là n'est ce pas ? Vous nous sortirez de là ? »
Derrière son capuchon, l'ombre sourit. La femme ne pue le voir mais c'était un sourire triste et doux.
« Je l'ai déjà promis à quelqu'un mais je vous le promets à vous aussi. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour que l'Angleterre redevienne ce qu'elle était avant. »
La voix était douce mais elle avait quelque chose de cassé, comme si elle avait été brisée. Il y avait aussi autre chose, une intonation de détermination qui donnait toute sa tonalité à cette voix.
La jeune femme hocha la tête, clairement reconnaissante.
« Je vous laisse, il ne faut pas que je me fatigue trop. »
L'ombre sourit encore sans qu'elle ne le voie, d'un sourire sincère cette fois.
« Faites bien attention à vous et à votre enfant. La vie continue malgré tout. C'est pour lui que je suis là ce soir. »
La future maman lui fit un sourire éclatant et la remercia sincèrement. Elle partit ensuite, laissant seule l'ombre dans la petite salle à peine éclairée de torche.
Elle soupira, regarda un instant la femme s'en retourner puis se tourna vers la petite porte du fond qu'elle n'avait pas remarqué au premier cou d'œil.
Elle s'avança vers elle et la poussa doucement.
Elle s'ouvrit sur une autre petite salle, éclairée d'une seule bougie. Un homme se tenait derrière le bureau, seul meuble -avec deux chaises- qui si trouvait. Il écrivait, pratiquement allongé sur sa feuille.
L'ombre émit un toussotement. L'homme suspendit sa plume, releva lentement la tête et planta son regard marron dans celui caché de l'ombre.
« Vous êtes à l'heure, dit-il d'un ton lent, mesuré.
- C'est dans mon intérêt, se contenta de répliquer l'ombre, s'asseyant sur la chaise libre.
- Vous avez des nouvelles ?
- Je ne serais pas là sinon, Colin.
- Ne m'appelez pas par mon prénom, ni par mon nom de famille, siffla le blond. Vous savez parfaitement que je devrais être mineur. Je ne peux pas me le permettre. Je dois continuer le travaille de mon frère et des autres. Nous, nous sommes trop battu pour abandonner maintenant. »
L'ombre eu un mouvement agacé de la main.
« Je sais tout cela. J'en faisais déjà partie. Je te rappelle que moi aussi j'ai perdu ce que j'avais de plus important. Mais j'ai promis et je tiendrais ma promesse. Je l'ai aussi promis à ta femme, je lui devais bien.
- Alors, ces nouvelles ?
- Si je te disais Harry tu me répondrais ? »
L'ancien Griffondor fronça les sourcils, ne voyant pas où l'ombre voulait en venir.
« Potter … ? »
L'ombre leva les yeux au ciel.
« Colin, un peu de sérieux, grogna t-elle.
- Je ne comprends pas. Vous savez bien que Harry est mineur.
- Colin on se connaît depuis ta première année à Poudlard, tutoie-moi !
- On parlait de Harry !
- Moi quand je te dis Harry je pense espoir, coupa l'Ombre, la voix vibrante.
Le blond se redressa encore sur sa chaise, totalement à l'écoute.
« Harry a été transféré au manoir Malfoy. »
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Le soleil était couché depuis deux heures. Dans le grand salon du manoir un feu craquait. Il lançait ses gerbes rouges et orangées dans l'âtre gigantesque. Il projetait aussi une lumière vive dans la pièce rendant l'ombre de Draco, calé dans un fauteuil de velours vert, un verre de fine à la main, sinistre et longétive.
Il fixait la danse envoûtante des flammes, les yeux vides, la tête remplis.
Gaëlle dormait dans sa petite chambre de l'aile Est. Il ne lui avait pas dit encore pour la présence de son père dans la résidence.
Harry avait été installé dans son aile. L'aile Ouest. Il lui avait donné un appartement de trois pièces. Il était affaiblit autant physiquement que mentalement. Sa fille était tout pour lui, il n'avait cessé de la réclamer. Dès qu'il avait été mené dans sa chambre, il s'était allongé sur le lit et s'était endormi pratiquement instantanément.
Le blond était resté à ses côtés un long moment. Il l'avait observé, avait remarqué sa maigreur, quelques bleus, ses cernes aussi. Il n'avait pu s'empêcher de caresser sa chevelure folle. Elle n'était plus douce au touché mais sèche.
Il avait aussi frôlé du bout des doigts son collier de chien. Cela avait provoqué un sursaut chez le blond. C'était froid et dur. Il s'était promis de lui enlever dès son réveil.
Il était parti ensuite, allant souhaiter la bonne nuit à sa fille.
Elle l'avait embrassé sans rechigner, réclamant son père, encore.
Il ne lui avait rien dit. Il voulait lui rendre un père en meilleure santé. Un père « libre », sans collier. Un père qui ressemblait au Harry que lui avait connu.
Il était plongé dans ses pensées lorsque la porte d'entré claqua violemment.
Le blond soupira. Il allait devoir supporter la tornade qu'il se préparait. Tornade, qui en l'occurrence, était sa femme.
Femme qui entrait à présent en grand fracas dans le salon où lui-même se trouvait.
Il se retourna deux secondes pour voir une jeune asiatique folle de rage, la chevelure ébouriffé par sa course, les traits tirés par la rage qui l'habitait. Il retourna ensuite à sa contemplation du feu. La jeune fille elle se planta devant lui, obstruant son champ de vision. Il soupira encore, sachant que la confrontation était inévitable.
« C'est quoi cette histoire ?
- Bonjour chérie ! Comment vas-tu depuis voyons… trois mois ? Richard va bien ? Demanda avec sarcasme le blond, avant de prendre une longue gorgée.
- C'est quoi cette histoire ? Cria encore sa femme avec rage.
- On dit : C'est vrai ce que les gens racontent chéri ?
- Tu vas répondre oui ! »
Draco lança un regard vide à sa femme. Il retourna ensuite à sa contemplation de l'âtre qui se consumait doucement.
« Que veux-tu que je te dise Cho ? Que non c'est juste des ragots de salon ? Tu sais que cette situation est pitoyable ? Cela fait six ans que nous sommes mariés et cinq que tu couches avec tous mes seconds. Et là tu reviens à la maison juste pour piqué ta crise de femme trompée ? Mais tu pouvais rester là où tu étais ! Personne n'à besoin de toi ici ! Moi moins que qui conque ! Je te rappelle comme ça, en passant, qu'il s'agissait d'un mariage arrangé. Je ne t'aime pas, je ne t'ai jamais aimé. Tu arrive à comprendre ça Cho ? Je ne peux aimer personne ! Surtout pas toi. Tu n'es qu'une petite intrigante arriviste. Il n'y à que lui pour moi. Que lui qui pousse mon intérêt, que lui qui m'obsède. Il a toujours été mon centre du monde, même à onze ans. Je l'ai fait rechercher dès que j'ai été mis au courant de sa disparition. Il fait partie de moi Cho. Ça a toujours été le cas. »
Elle le regardait les yeux ronds, puis la rage reprit le dessus.
« Tu es le chef du pays, le chef des sangs purs, tu ne peux pas héberger Harry Potter. Il est le symbole de la rébellion. Tu ne peux pas l'héberger. Tu te rends comptes ce que cela va provoquer au sein du pouvoir ? Tu risque une mutinerie, tu risque ta place de chef. »
Il la regarda avec haine. Il se leva ensuite violemment et alla s'adosser à la cheminée. Il sortit de sa poche un étui de cigarette en argent, en prit une et l'alluma à l'aide d'un briquet en forme de dragon. Il tira vivement dessus pour rejeter pratiquement immédiatement la fumée âpre et épaisse qu'il avait inhalé.
« Sangs purs hein ! Le pouvoir n'est pas Sang Pur ! Il est plein d'arriviste au sang mêlé qui se sont fait une place au soleil en collaborant. La plus part de tous petits copains le sont. De plus il suffit que je leur dise que je garde Potter près de moi pour mieux le surveiller pour qu'ils me mangent dans les mains. Et puis que m'importe le pouvoir ! Cela fait plus de sept ans que je le cherche, je l'ai enfin retrouvé, ce n'est pas une bande d'intrigant qui va me l'enlever. Il est à moi.
- Si tu le laisse habiter ici, c'est contre moi que tu devra te battre, hurla alors la jeune asiatique. »
Draco éclata d'un rire faux et dur. Il saisit son verre, qu'il avait posé sur le rebord de la cheminée, pris une longue gorgée, fixa sa femme dans les yeux, puis pointa un doigt sur, de la main qui tenait son verre.
« Toi ? Et tu crois qu'ils vont te suivre ? Tu n'es rien sans moi. Rien Cho, rien. Il suffit que je leur dise que je garde Potter à mes côtés comme symbole de la défaite des rebelles. Bella serra parfaitement d'accord avec cela. »
L'ancienne Serdaigle piqua une crise, elle jeta un sort incandescent sur un des tableaux qui décorait les murs de la pièce, brisa un vase de porcelaine chinoise qui trônait sur une sellette et envoya la bouteille de cognac se briser sur un des murs.
Le regard de son mari resta indifférent. D'un geste de la main il stoppa le feu, restaura le tableau, répara le vase et remis sur pied la bouteille ronde pleine de son liquide brûlant.
« Tu t'es calmé ? »
Cho poussa un cri de rage et se jeta sur Draco. Elle essaya de le frapper de ses poings ou de le griffer à l'aide de ses ongles taillés en griffes. Le blond saisit ses poignets et les serras entre l'une de ses mains. L'Asiatique planta ses yeux dans ceux vide de son mari et lui cracha dessus. De sa main libre, il essuya du revers la lie, que la jeune femme lui avait crachée à la figure et qui coulait le long de son menton pointu.
Il la jeta ensuite violemment à terre et plaça son pied droit sur sa gorge. Il appuya doucement dessus. Un sourire fou apparu sur ses lèvres alors qu'il la voyait commencer à suffoquer.
« Qu'est ce que ça fais de savoir que tu pourrais mourir là, tout de suite ? Tu es morte de peur n'est pas ? Tu te pisse dessus. Moi cela me remplit de joie. Je sens l'adrénaline qui monte. Je pourrais jouir de te voire comme ça. C'est moi qui te tuerais Cho, je t'en fais le serment. »
Il attendit que l'information soit bien digérée avant de retirer son pied.
La jeune femme mis un certain temps avant de retrouver une respiration normale.
Le blond s'était à nouveau installé dans son fauteuil et contemplait le feu mourant. Il claqua des doigts. Deux elfes de maisons arrivèrent une seconde plus tard en deux pof parfaitement synchronisés.
Ils étaient tous deux vêtu de torchons frappés aux insignes de la famille Malfoy. Un serpent et une rose noir entourant un poignard.
Ils ravivèrent le feu sans un mot. S'agenouillèrent devant leur maître puis partir comme ils étaient venus.
Cho se massait la gorge. Elle sentait encore la pression de la botte de son mari sur son cou délicat.
« Il faut que tu te fasses soigner ! »
Draco eu un sourire en coin.
« Comme tout les gens de ma famille. La consanguinité sûrement. »
Une bûche craqua, Cho haussa les épaules.
Un autre craquement se fit entendre. Plus grave, plus marqué. Il venait de derrière la porte. Quelqu'un avait marché sur une latte de parquet grinçante. Draco se leva vivement, Cho avait arrêté tout mouvement.
En quelques enjambés puissante le blond arriva à la porte imposante. Il l'ouvrit à la volé. Derrière il retrouva une petite silhouette tremblante portant une robe blanche, légère et vaporeuse.
« Gaëlle ! Tu devrais être couchée. »
La voix avait été douce. Cela fit sursauter sa femme. Jamais elle ne l'avait entendu parler ainsi à quelqu'un.
La petite fille entra dans la salle regardant, les yeux grand ouverts, les décorations et boiseries fines. Ses yeux si bleus se posèrent enfin sur Cho. Elle eu un petit sursaut et une lueur de déception passa dans ses bille de ciel d'été.
« Pourquoi t'es-tu levée Gaëlle ? Tu as eu peur. »
La petite fille hocha vivement de la tête, faisant danser ses cheveux de feu.
« Nan, j'ai entendu de bruit. Je suis venu voir si c'était papa qui venait me chercher. »
Le blond soupira et pris doucement sa fille dans ses bras. Cho paru scandalisée.
« Qui est cette gosse ? »
Le ciel éclata enfin. Un éclaire magnifique zébra le ciel noir d'encre puis, rapidement un coup de tonner formidable se fit entendre. Gaëlle sursauta et enfouie sa tête dans le cou de son deuxième père, affolée. Draco fut surpris mais n'en laissa rien paraître. Il caressa doucement le dos de sa fille.
Il se retourna ensuite vers sa femme.
« On dit enfant. Et elle est ma fille. Gaëlle je te présente ma femme Cho. Ne t'inquiète pas tu n'auras pas à la supporter. Et c'est elle qui t'as réveillée en faisant un bouquant à réveiller un troupeau d'éléphant. »
Il avait toujours se fameux sourire en coin. Cho elle ne semblait pas en état de rire.
« En plus de ramener ce… ce… ce cloporte à la maison tu me fais un enfant derrière le dos. Tu n'es qu'une ordure ! »
Le sourire de Draco s'agrandit.
« Parce que tu te crois blanche comme neige ? Et je ne t'ai pas fait d'enfant derrière le dos. Gaëlle est née que nous n'étions même pas fiancés ! »
Cho bouillait de rage.
« Tu ose ramener ici ta bâtarde ici ! Tu ose la faire habiter dans MA maison ! Tu n'es qu'un monstre ! Jamais cette enfant passera pour le mien. Jamais ! »
C'était à présent Draco qui était en colère. Mais c'était une colère froide et bien plus dangereuse. Il lui lança un regard noir qui la fit frissonner des pieds à la tête.
« Gaëlle est ma fille. Elle n'aura jamais aucun rapport avec toi Cho. Et ce n'est pas une bâtarde. Je la reconnaîtrais comme étant ma fille et celle de Harry. »
Un autre coup de tonner se fit entendre. Violent encore et rapproché. L'Asiatique était blême. Son teint était devenus presque aussi livide que celui de son mari.
« Ta fille et celle de Potter.
- Et oui Cho ! Harry n'est pas stérile, contrairement à toi. »
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Flash Back :
« Pas encore Harry. Pas encore. »
Le brun détourna les yeux pour fixer le mur qui se situait en face de lui. Draco fut surprit par le creux de ses joues maigres.
« J'ai eu les résultas aujourd'hui. C'est pour cela que je suis ici maintenant. Je voulais savoir pourquoi tu ne m'as rien dit. Pourquoi me l'as-tu cachée ? »
Un rire triste et moqueur sortit de la gorge de Harry. Mais ses yeux eux ne riaient pas. Ils restaient immobiles et vides.
« Et qu'aurais-je fais ? Écrire une lettre à ton père ? Je vois le style : Cher Lucius ou cher futur grand-père de mon enfant, Je vous écris, malgré le fossé qui nous sépare, car votre fils m'a engrossé lors de notre septième année et je me retrouve enceint jusqu'au yeux. Je vous demande avec tout l'honneur que j'éprouve pour vous –c'est à dire aucun- de bien vouloir le faire savoir à votre fils. J'aurais aimé vous demander de me payer une pension pour que je puisse élever mon enfant convenablement, bien que j'aie largement assez d'argent, mais j'aurais peur que vous empoisonniez l'enveloppe ou autre chose. De plus il vous aurait été trop facile de suivre la chouette. Avec tout mon respect –c'est à dire aucun non plus- et mes sentiments dévoués –ce qu'on peu écrire comme connerie !- Harry Potter. Le pauvre serait mort d'une crise cardiaque, la perte aurait été trop dure pour nous. »
Il avait toujours un sourire moqueur collé au visage mais ses yeux restaient inexpressifs. Draco eu un sourire en coin.
« Je vois que tu n'as rien perdu de ton sarcasme, nous sommes fait pour nous entendre.
- Pourquoi as-tu cherché à avoir la confirmation de ta paternité ? Tu le savais alors pourquoi chercher la confirmation ?
- Pour être sûr.
- Sûr. Toujours la sûreté, jamais la confiance. Toujours pareille. Vous êtes tous les mêmes, sangs purs toujours sûr d'eux mais jamais des autres. Vous me faites rire avec votre pouvoir. Qu'en faites-vous ? Vous baisé, torturé, tuer mais que faites-vous d'autres ? Que construisez-vous ? Rien. Tout est pour vous, rien n'est pour les autres. Tout n'est que ruine et sang. Vous vivez avec la peur que l'on se révolte. Cela va arriver un jour. Cela éclatera au moment ou vous vous y attendrait le moins. Et cela fera mal. Si mal que jamais vous ne vous en remettrez jamais. »
Le ton avait été dur et sec. Le contenu avait stupéfié Draco. Jamais encore il n'avait entendu quelque chose d'aussi dur pourtant il en avait entendu des discours virulents de rebelles, tant qu'il ne le contait plus. Mais celui-là était le plus violent et le plus fort. Il venait directement du cœur et du sang.
« C'est la deuxième mise en garde que je reçois aujourd'hui. Je dirais même la deuxième mise en garde que je reçois en à peine deux heures.
- Les gens comprendront bientôt que leur vie vaut la liberté.
- Oui mais aujourd'hui je viens te chercher. »
Harry sursauta. Il se retourna vivement vers Draco et fixa ses yeux vident dans ceux métalliques de son ancien amant.
« Comment ?
- Je viens te chercher pour t'amener chez moi.
- Je vais revoir Gaëlle. »
Un feu s'était allumé dans les yeux éteints.
« Oui, tu vas revoir notre fille. »
Fin du Flash Back.
à suivre …
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Voilà, voilà ! Je l'aime ce chapitre pas vous ? Héhé :D
Merci pour vos mots, ça me touche énormément :D
RARs :
M.K.W : Merci à toi :D Merci aussi pour ton mot sur mon blog ! ;D Bisous doux !
Sahada : Eh bien chacun ses goûts :) Ce n'est pas non plus mon histoire préféré mais j'y tiens énormément ! Merci d'avoir donné ton avis sincèrement :D Bisous doux !
Alinemcb54 : Intriguant ! Héhé ! et celui-là il est quoi :D Merci pour ton mot ! Bisous doux !
Eni : Et oui, j'avais envi de changer un peu :D c'est réussi nan ? Mouahha ! Merci et bisous doux !
Onarluca : Je suis ravie que tu es aimé ! La suite est là ! Bisous Doux !
Serpentis-draco : Ce qu'il va se passer ? Tu crois vraiment que je vais te le dire ? ;D Héhé ! La suite est là ! Merci et bisous doux !
Crystal d'avalon : Je SUIS sadique ! Elle est là la suite ! Je suis contente que ça te plaise :D Merci et bisous doux :D
Fanon : Ma puce ! Me décidé à vous faire languir ? Moi ? Naaannn ! c'est mal me connaître ma Fanou à moi ! Mouahaha ! Les yeux bleu clair elle les tient de sa grand mère du coté de Draco ! De Narcissa quoi :D Pour les cheveux c'est ça :D Harry va resté triste encore un booonnnnn moment ! Sorry :D Merci à toi girafolle ! Bisous doux !
Ange de un cisme : Désolé de t'avoir démoralisé ! – Ce chapitre n'est pas gaie nan plus ! – en fait je crois pas qu'il y aura un chapitre vraiment gai mais bon ! Euh pour Harry en prison tu as la réponse ici je crois :D S'arranger ? mouais ! dans un sens… La suite est là et j'espère que cela te plaira :D Merci à toi et bisous doux !
BadAngel666 : Pur génie ? Nan ! pas à ce point là ! (même si ça fait du bien à l'égo ! ;D) Je suis ravie que cela te plaise autant :D La suite est là ! ;D Merci et bisous doux !
Sucubei : Elle était si sadique que ça ma fin ? A bon ! Bref ! Tu as déjà eu ce chapitre si je me souviens bien ! je suis contente que cette histoire te plaise ! c'est vrai qu'en tant que Sadique tu aime les fic noirs :D Merci ma petite Sucub ! (Mouahah !) bisous doux !
Lyly : La suite est là ! Merci et bisous doux :D
Satya : Merci d'aimer et de laisser un mot :D bisous doux !
Vif d'or : Et oui, que fera Draco ! Mouahha ! Héhé ! elle est là la suite ! merci à toi ! bisous doux !
Lilounatic : Vi Gaëlle est la fille de Draco et Harry. Elle tient sa chevelure de sa grand-mère. (Lily quoi :D !) Voilà tu sais tout ! je suis ravie que ça te plaise :D Merci et bisous doux !
Tatunette : Et bien elle a l'air, en effet, de beaucoup te plaire ! ;D tu m'en vois ravie :D merci à toi et bisous doux !
Oxaline : Ce qui s'est passé entre Harry et Draco ? La guerre tout simplement ! Sinon je suis conte que ça te plaise :D Nan, je ne m'arrête jamais ! La preuve j'ai pleins de fic sur le feu :D Merci à toi ! Bisous doux :D
Merawen : Draco et honte ne vont pas dans la même phrase ! Enfin si c'est Draco qui est concerné :D Tu sais, Harry ne pouvait pas faire autrement comme c'est expliqué dans ce chapitre ! Draco n'a pas vraiment la belle vie ! Tu verra ça ensuite ! C'est clair que harry a vraiment eu la vie dure ! tu aura des détailles plus tard :D merci à toi pour toutes tes reviews ! ça m'as fait chaud au cœur ! Bisous doux !
Merci à vous tous !
Un petit commentaires ?
Bisous doux !
Zoo. †
