Road again, Allez c'est reparti! Après tout le temps qui s'était écoulé, il fallait bien que j'udpate cette fic, non?
N'empêche que ça me fait quand même un plaisir fou de pouvoir faire progresser la suite de Flat story, et puis je m'étais lancée un défi…
Celui d'écrire un chapitre plus long que d'habitude, vous m'en direz votre avis !
Ah oui, autre chose, il faut que vous sachiez ; les RAR → c'est fini ! Donc, chacun de vous aura droit à un mail dans sa boîte aux lettres de ma part, et inutile de me le dire, moi aussi je suis très triste quant à cela !...
Sinon, je tiens beaucoup à remercier Chaya, Orieul, Columbine Goblindancer, et MakeASecret pour leur fidélité à la fic, et je leur demanderai à l'avenir de se logger en reviewant, cela me donnera plus de facilité à répondre, merci de votre compréhension.
C'était tout ce que j'avais à dire :-)
Auteur : Regenerating Fire
Type : aventure, action, romance.
Flat story
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Chapitre IV : Les désillusions
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L'immeuble qui logeait les participants : un endroit très galamment décoré ; quantité de pièces plus ou moins réparties. Ça et là, quelques œuvres artistiques encadrées se voyaient accrochées dans les moindres recoins des murs. Dans la grande salle de séjour était aisément logé Abel Cameron dans un fauteuil de velours bleu rembourré ; lâchant de temps à autre de petits soupirs de soulagement. Brian Spy, quelque peu subjugué par la beauté de l'endroit, admirait, ébahi, la salle dans laquelle ils se trouvaient.
Au plafond, au beau milieu de la salle, un superbe lustre aux bougies couleur caramel ; et ses perles argentées, sous l'effet d'une douce brise, s'entrechoquaient légèrement, produisant ainsi dans la douce atmosphère de jolis tintements de cristal ; de ce fait, laissait se faire une jolie mélodie.
Les murs, peint d'un bleu ciel apaisant, conféraient à la pièce une belle harmonie, et dans un coin du salon, une table rectangulaire — toujours de couleur bleue ! — dissimulant les quelques fissures qui s'insinuaient sournoisement dans une partie du mur, suite à un récent tremblement de terre. De toute façon, il était patent que cet immeuble avait été refait, songea nébuleusement Spy.
Il sourit.
Dans la chambre 412…
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Yugi Mutô, déballa avec entrain ses affaires. L'idée seule de manquer à cinq mois d'école l'enchantait, et l'alarmait à la fois.
Enchanté de ne plus avoir affaire à des professeurs inflexibles et des camarades… plutôt turbulents.
Mis alarmé de savoir qu'il resterait néanmoins une bonne quantité de cours qui pourraient éventuellement s'avérer être importants.
…
Enfin, advienne que pourra !
…
Ça y était ! Il avait désormais aménagé sa chambre et rangé ses affaires ; et maintenant, il ôtait ses vêtements pour révéler une tenue plus décontractée car il s'agissait de faire bonne impression devant les caméras !
S'étant dévêtu de sa veste bleue, il alla, d'abord, prendre une bonne douche. Un débardeur noir sur un pantalon de même couleur, voilà qui devrait faire l'affaire en ce qui concernerait sa tenue vestimentaire….
« Tu devrais mettre les bracelets pour impressionner Téa. »
Yugi écarquilla les yeux, tandis qu'il posa un pied ruisselant d'eau sur le paillasson d'une petite salle de bains, située dans les couloirs.
« Qu… Quoi ? »
Le garçon aux doux yeux lilas se retourna, joues empourprées ; vers un mur sur lequel était accroché un porte-serviettes auquel se pendait un objet doré et triangulaire.
- Qu'est-ce que tu racontes ? se récria Yugi, au visage toujours aussi érubescent, pourquoi ferais-je une chose pareille ?
Son regard alla croiser l'éclat d'or de la petite pyramide, tandis qu'il s'affairait à frictionner sa chevelure tricolore au moyen d'une serviette enroulée autour de sa tête — et elle était d'un joli ton vert…
Un rire amusé retentit de l'objet mystérieux et Yugi s'empourpra davantage.
- Oh arrête, on est juste amis !...
« Très très amis… »
Le petit hikari posa ses mains sur ses hanches, tel une belle jeune fille, pour soupirer avec indignation. Ses joues n'étaient plus rouges, elles étaient tout bonnement en feu.
Puis, le temps aidant, la colère fut bien vite remplacée par le scepticisme.
- Mu hitori no boku1Sais-tu à quoi je pense ?
S'en suivit un long silence prolongé de la mystérieuse voix grave.
« Et à quoi penses-tu, Aibou ? »
Un sourire malicieux — Celui qu'ont les enfants, en général quand une idée relativement lumineuse leur traverse l'esprit — s'installa sur les lèvres du garçon qui saisit le puzzle en se concentrant intensément…
1: 'Mon autre moi'
2: 'Partenaire'
Dans la chambre 415…
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« Alors lequel m'iras le mieux, le vert ou le bleu ? »
Joey Wheeler manipulait, enchanté, ses tee-shirt, avec une délicatesse — des plus insoupçonnées chez ce garçon-là…—
Trop capturé par la contemplation de ses vêtements, il ne s'était pas inquiété que dans sa chambre régnait le plus grand désordre ; dû à toute l'installation de … ses affaires ; du moins si on veut...
Le regard béat du blondinet fut égayé d'un sourire qui en disait long sur ses fantasmes, où Joey Wheeler vivait de gloire…
Dans la chambre 423…
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Dans la chaude atmosphère d'une pièce tempêtait passionnément une blonde jeune femme. Mai Valentine repoussa un de ses effets personnels avec violence sur le lit qui lui avait été attribué. Les amas de poussières dans les moindres recoins, les tâches noires ou grises parsemées de part et d'autres sur les draps du lit, et l'insupportable odeur de renfermé laissait tout à deviner que cette chambre avait connue de bien meilleurs jours.
Mais le pire restait encore à venir, car dès que la jeune femme avait remué les draps ; un demie douzaine de cancrelats avait rapidement rampé vers le placard.
« Ce n'est pas vrai ! Comment vivrais-je dans un endroit pareil ? »
Elle entreprit sur l'instant d'aller en toucher deux, trois mots au responsable de cette émission…
Quand surgirent de derrière le mur une voix agacée et féminine. Mai ouvrit la porte et déambula dans le long couloir donnant accès aux chambres. Une autre chambre s'ouvrit. C'était celle de la 422 ; sa voisine...
Parut alors une adolescente d'une bonne dizaine de centimètres de moins qu'elle. Cheveux auburn et abondants — noués en catogan sur la nuque — de grands yeux verts, une jolie carnation dorée pour la peau, et tel était son physique.
Mais le jean bleu roi qu'elle portait sur lequel flottait un ample chemisier vert (qui allait si bien avec la jolie couleur de ses yeux !) et surtout la paire de baskets Nike qui chaussaient ses pieds, lui conférait la merveilleuse masculinité des hommes.
Somme toute, Mai avait affaire au parfait garçon manqué. Et lorsque leurs regards se croisèrent, la jeune fille ébaucha un sourire à son intention.
La blonde femme en fit de même.
- Bonjour ! »
- Bonjour, alors toi aussi tu veux parler au directeur ? s'enquit Mai. C'est génial ! Nous serons deux dans ce cas !
Sans se départir de son sourire, elle passa la main dans sa longue chevelure dorée qui retomba sensuellement le long de son dos, et se dirigea vers le hall d'entrée, en la charmante compagnie de sa jeune voisine. Et apparut, quelques instants plus tard, deux autres filles.
Téa Gardner et Sérénity Wheeler…
Dans le salon…
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Quand la demie heure se fut écoulée, tous les jeunes et futurs acteurs se dirigèrent vers le salon ; l'endroit du rendez-vous…
Mais à leur plus grande surprise, ils s'aperçurent qu'ils n'étaient que des garçons. t ce ne fut que lorsqu'ils pénétrèrent le hall, qu'ils virent un groupe de filles, affichant ostentatoirement leur colère contre Brian Spy, l'homme aux cheveux bruns désordonnés.
- Que se passe-t-il ? s'enquit Yugi, devenu mystérieusement plus grand, et dont le ton lilas des yeux s'était rapproché de la couleur de l'améthyste.
Mai Valentine leva les bras au ciel, en un geste théâtral.
- Ce qui se passe ? Oh rien sauf que l'on a traversées des heures de route pour se retrouver dans une sorte de château maudit aux chambres noires de poussières avec pour seuls locataires les cafards et les arts !
Téa Gardner vint à la charge :
- Et il n'y a même pas de douche !
- Les douches sont communes et se situent à l'étage supérieur ! justifia Spy en réajustant ses lunettes.
- C'est la meilleure ! ironisa une auburn aux yeux émeraudes, mains sur ses hanches.
Sérénity ; qui visiblement — avait remarqué Spy — était la plus calme et la plus docile de toutes ces filles, arbora un sourire désolé :
- Il faudra faire avec…
Abel Cameron surgit dans la salle, portant dans sa main une canette de bière :
- Hum, désolé, j'étais aux cuisines… (il jeta un long regard sur son entourage:) je n'ai pas raté un épisode au moins ?
Ce disant il sourit.
Les filles, ainsi que Brian Spy le fusillèrent du regard. Cameron déglutit et préféra ne rien dire d'autre. Surgit alors, bien au terme d'un long moment, une équipe composée d'hommes et de femmes. Parmi eux, une femme au visage enduit d'un maquillage excessif :
« Bonjour à tous et à toutes ! Je me nomme Nicole Eyre, présentatrice de l'émission Flat story ! »
Tous ces mots, elle les avait dits dans un accent fortement teinté d'anglais. Insector Haga et Rex Raptor manifestèrent leurs pensées.
- Hé, c'est pour quand le tournage ?
- Ouais, c'est pas ça, mais on voudrait vite être filmés !
Tristan Taylor et Joey Wheeler rétablirent bien vite le silence en les saisissant au col pour proférer maintes menaces à leurs intentions, s'ils ne se taisaient pas tut de suite.
Elle poursuivit par un long monologue abordant sur toute l'équipe, le tournage, et bien d'autre encore…
Durant ce, le temps s'écoulait toujours ; lentement, morne.
Sérénity frémit, et se blottit contre Téa.
« Je suis un peu stressée, lui chuchota-t-elle, c'est la première fois que je vais passer à la télé… »
« Et moi donc ! » sourit la brune adolescente.
L'américaine passa une main nerveuse dans ses cheveux.
- Bien, vous devez savoir que toute émission réalité qui se respecte doit toujours comporter quelques scènes humoristiques, c'est pourquoi l'on fera entendre de temps à autre des rires enregistrés. (Elle frappa des mains) Maintenant…
Sa voix fut couverte par un énorme bruit d'hélices. Intrigués, tous regardèrent au dehors, à travers une baie vitrée.
A quelques mètres du sol, volait une sorte d'avion en forme de dragon blanc.
« Kaiba ! » souffla Yami, quelque peu surpris. (Car c'était le nom que l'on avait attribué au mystérieux double du frêle et petit Yugi…)
Deux minutes suffirent à l'énorme engin pour se poser. Et des rafales de vent se dispersèrent pour faire place au majestueux appareil.
« Hé, vous avez vu ça ? commenta Joey, sourcils froncés. On aurait dit Kaiba…. Mais qu'est-ce qu'il viendrait foutre ici ? »
Les autres approuvèrent d'un mouvement de tête, têtes collées contres la vitre. Sortit de l'avion, bien au terme de cinq bonnes minutes, un grand châtain aux yeux bleus glacés : Seto Kaiba lui-même !
Il descendit dignement de l'engin pour promener ses regards notoires ; complètements indifférents, mais d'une froideur incroyable.
Une autre bourrasque affolée fuit de celui que l'on appelait le glaçon humain, réputé pour son immense sang-froid — et parfois un peu trop…
Lorsque les yeux bleus croisèrent les deux yeux améthyste du maître des jeux, il poussa un soupir bien ironique.
« Kaiba ! »
Joey, Tristan et Téa virent leur ami se précipiter au dehors, le regard toujours fixé sur ledit glaçon humain. Ils le suivirent sans trop réfléchir….
Devant l'appartement…
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Yami s'arrêta juste à quelques mètres du président de la grande Kaiba Corporation, le scrutant fixement, de son éternelle gravité, comme si une grande catastrophe allait se produire en ce bas monde…
- Kaiba, tu es venu ? »
Ce dernier secoua la tête, désabusé. Là où l'avait invité la voix mystérieuse du portable, il y trouvait également ; comble d'ironie ; des clowns, et pas n'importe lesquels ! Yugi Mutô, le glorieux maître des jeux et toute sa joyeuse bande de copains…
Le grand châtain fit volte-face pour remonter dans l'avion, et fit un geste bref de la main à l'intention de son domestique :
- Roland, nous allons ailleurs voir où se cache ce pathétique pantin! lâcha-t-il d'un ton froid et sec.
- Monsieur ! C'est que…
Ledit Roland tamponna ses tempes argentée au moyen d'un mouchoir rouge à pois.
- Quoi encore ? s'enquit Kaiba, sans se tourner vers lui. (Il n'avait qu'une seule envie : aller ailleurs, n'importe où…)
- Tous les moteurs sont en panne…
…
Le châtain étouffa un juron, et fit un second geste à l'employé.
- Contactez la base !
- Bien, monsieur Kaiba !
La présentatrice, éberluée, dévisageait le jeune homme, qui bras croisés, toisait silencieusement le maître des jeux.
- Kaiba ? s'écria Téa Gardner (Les yeux bleus de Téa s'écarquillèrent encore plus)
- Alors, toi aussi, ils t'ont convoqué, commenta Tristan, arrivant, mains dans les poches.
Joey Wheeler pointa son doigt vers le châtain en grognant.
- Rhaaaaaaa, c'est pas vrai ! pourquoi a-t-il fallu qu'il vienne, ce snob !
Sérénity, qui avait rejoint le groupe, quelques secondes plus tard, saisit doucement le bras de son frère, curieuse et interloquée.
- Du calme, Joey.
Kaiba abaissa ses regards vers Joey ; bras croisés; sa voix était tintée d'un certain mépris.
- Yugi, je vois que tu as emmené ton chien de compagnie (Téa et Tristan vinrent à la rescousse de la pauvre Sérénity pour retenir un Joey ivre de rage et de colère) c'est une très bonne idée pour te divertir, mais la prochaine fois, pense à amener une laisse ! je sens que tu en auras besoin !
Téa se saisit du bras droit du blondinet qui se débattait toujours pour aller tuer ce châtain arrogant. Une idée bien utopique, le pensaient ses amis, car il était évident que ce pauvre Joey ne serait pas à la hauteur de Kaiba ; qui plus était, ce n'était pas le moment de céder face aux provocations.
- Joey est mon ami, rétorqua Yami ; parfaitement calme, et il le sera aussi longtemps que je vivrais !
- C'est une chose que tu ne connais pas, n'est-ce pas ? intervint Téa, mais après tout c'est normal, tu n'as jamais eu d'amis !
Seto toisait à présent la brunette qui le toisait en retour.
- je n'ai pas de temps à perdre avec des prétendus amis.
- Mais au fond de toi-même, tu te sens seul et malheureux ! insista-t-elle, le fusillant toujours aussi intensément du regard.
Joey, malgré ses amis, parvint à se libérer de leur emprise étouffante pour se précipiter vers 'l'ennemi' ; se jurant qu'il ne serait plus qu'une vieille épave, après ça. Kaiba, comprenant ses intention, ne bougea d'un centimètre, préféra l'attendre, bras toujours croisés ; se sait de son poignet avec une grade force, pour l'envoyer 'valser' à des mètres de terre plus loin, et le choc fut plutôt rude…
Yami, Tristan, Téa et Sérénity poussèrent un cri de surprise.
« Et j'oubliais, dit ensuite Kaiba, lorsqu'ils se furent tous précipités vers le blondinet inconscient, n'oublies pas non plus la muselière. »
Dans une chambre, Kaiba Corp…
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« Hum, Seto n'est toujours pas rentré, ça m'inquiètes ! »
Mokuba Kaiba entortilla nerveusement une mèche noire de ses cheveux. Ses grands yeux lavande reflétaient l'ennui le plus vif et l'inquiétude la plus exacerbée. De plus, il s'était aperçu, quelques minutes plus tard qu'il n'y avait rien d'intéressant à la télévision.
Le garçon sauta d'un bond du canapé pour s'aventurer en courant dans l'ascenseur. Quelque seconde plus tard, les valves de l'appareils s'ouvraient pour révéler un homme aux longs cheveux argentés portant une blouse blanche ; l'ingénieur Soames…
- Bonjour, fit-il en se courbant avec humilité, je voudrais voir Mr Kaiba.
- Il est parti, s'écria Mokuba, sourcils froncés, maintenant, cela fait une heure, et pourtant il avait dit en avoir juste pour quelques minutes !
L'ingénieur sembla s'inquiéter.
- Savez-vous seulement où Mr Kaiba est allé ?
Le garçon à la longue chevelure d'ébène posa un doigt sur ses lèvres pincées, réfléchissant.
- Hum, il avait dit qu'il partirait dans une ville nommée 'Ghostdanger city'…
- Ghostdanger city ?... Cette ville se situe à des kilomètres de Domino, c'est très loin !
- De toute façon, je vais le rejoindre ! dit Mokuba en reprenant sa folle course.
- Je vais avec vous ! décida fermement Soames, suivant son jeune maître.
Mokuba lança quelques ordres aux employés, et ordonna aux aviateurs d'allumer les moteurs d'un avion, il partait pour Ghostdanger city…
Revenons à nos moutons…
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Nicole Eyre lança le compte à rebours, pour le début de l'émission ; Yami, lui, n'avait cessé depuis un long moment de dévisager Kaiba qui s'activait déjà à adresser moult injonctions à ses domestiques pour la réparations des moteurs ; Téa portait ses regards vers Yami, et tous les autres semblaient s'impatienter. Sérénity était restée avec son frère, dans une pièce de l'immeuble, où l'on le soignait de ses blessures.
Le voyant rouge des caméras se transforma en un vert lumineux…
L'émission commençait pour de bon…
à suivre…
Ah la la la Kaiba et son arrogance! XD Le pauvre Joey y a succombé (même si il est trop bêbête) et c'est triste pour lui, enfin !...
Ça m'a beaucoup amusé d'écrire cette (petite ?) confrontation ! Vous aussi ? Dans le cas positif, je vous garantis que vous n'allez pas rester en place, lors de la seconde confrontation, et cette fois, Sérénity en sera la cause ! (Ha ha Chaud chaud le cinquième chapitre! XD
De plus, comme je vous l'ai dit, précédemment, je vous répondais par mails, donc, ne vous attendez plus aux RAR. TT
Et, pour ceux que ça intéresserait, j'ai changée d'adresse, suite à une grosse idiotie de ma part, pour la voir, allez dans mon profil…
A part ça, je vous fais plein de bisous en vous annonçant que la prochaine update de cette fic est indéterminée, parce que l'inspiration me manque…
Encore un truc : XD Oui oui, je sais que je suis partie pour écrire un bon roman, mais la boîte à reviews m'a fait dire qu'elle n'attend que vous, et qu'elle a désespérément faim ; donc si vous avez bon cœur, vous voudriez bien lui donner un peu de quoi manger, s'il vous plaît ? (Fire avec une toute petite voix)
Il suffit juste d'appuyer sur le bouton juste en bas à gauche… SVP !
