RAR :

The Wendy Malfoy : dsl de te décevoir mais comme tu va pouvoir le constater, je ne focalise pas l'histoire sur la grossesse, bian que cela aurai put être intéressant s'aurai surtout été fastidieu (oh Drago, pourquoi, t'es partit… t'avait pas le droit de faire sa… je t'aime… et patati et patata durant neuf moi) mais j'espère que la fic va quand même te plaire.

Zaika : la suite, la voilà, d'ailleurs, la fin sera publier avant la fin de la semaine, parole de Dragon !

Lecteur, lectrice, sachez que des rewiew sa fait super plaisir, alors vous gêné pas pour m'en laisser, s'il vous plait.

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Chapitre 1

- Drago ! Drago ! C'est positif ! C'est positif !

Harry dévalait l'escalier en hurlant et arriva dans le salon en furie, se moquant des regards étonné voir moqueur qu'on lui portait. Son attention était entièrement fixer sur le jeune homme blond qui se tenait assis sur l'un des fauteuils et qui à son arrivé s'était levé.

- Répète ? dit le blond en question.

- C'est positif ! Le test, il est positif !

La réaction de Drago fut de prendre Harry dans ses bras et de le serrer fort dans l'espoir que leur corps comme leur joie ne face qu'un.

- Tu vas être papa, murmura le brun à son oreille.

Les futures parents reçurent les félicitations de toute les personne présente au douze square Grimmaurd, qui était le lieux ou ils vivaient pour leur sécurité. Ainsi, la famille Wesley, Hermione, Tonks, Lupin, Maugrey leurs présentèrent plus ou moins chaleureusement leur veux de bonheur ( ceux de Ron furent glacial, il en voulait toujours à Harry de ne pas avoir vu qu'il en pinçait pour lui !) et une atmosphère de fête s'installa. Ce n'était pas tout les jour que l'on fêtait la vie, sachant que ces dernières années, c'était la morts qui était sujette au plus de travaille.

Quand, des heures plus tard, Harry et Drago purent rejoindre leurs chambres, la lune était levée depuis un bon moment.

Drago s'assit sur le lit et regarda son amour se mettre en pyjama, la tête remplie de question.

-Tu a l'air soucieux, mon cœur ?

Harry le connaissait. Le connaissait trop.

- Rien.

- Qu'est-ce qui ne va pas ?

Il s'était assis près de lui, la tête posée sur son épaule.

- Je… Je me demande si c'est une bonne idée… un enfant… en temps de guerre…

- Tu sais aussi bien que moi que nous ne risquons rien ici… La maison est protégé par un Gardien du Secret.

-Certes mais Tu-Sais-Qui… Il est puissant… Il est lier à toi et toi à lui…

En disant cela, Drago avait effleuré la cicatrice en forme d'éclaire de son amour toute en revoyant dans sa tête le nombre incalculable de fois ou il s'était réveiller, en larme parce qu'Il avait pénétré les défenses de son esprit.

- Je l'ai blessé, gravement lors de notre dernière confrontation… il lui faudra des mois pour s'en remettre. Il se cache pour que je ne l'achève pas. Tu le sais. Voldemort ne peux rien.

Drago frémit à l'entente du nom interdit.

Un silence étrange s'installa. Un silence qui fit peur à Harry.

- Drago dit-moi, veux-tu de cet enfant ? reprit le brun.

Il y avait trop de sérieux dans cette voix.

- Oui.

- Regarde-moi droit dans les yeux et dit moi que tu veux de cet enfant.

Les saphirs se levèrent vers les émeraudes et les mots dés lors restèrent coincés dans sa gorge. Il voulait cet enfant, mais alors, pourquoi n'arrivait-il pas à le dire ?

- Harry… commença-t-il d'une voix faible, je… veux…

Le cœur d' Harry battait la chamade. Dans ses yeux, ancré dans ce de son amour, se lisait de multiple sentiments, notamment de la peur et de l'espoir.

- Cet enfant, finit Drago.

Harry lui offrit un sourire resplendissant avant de l'embrasser tendrement.

Drago le fit basculer dans le lit et il lui fit l'amour presque désespérément avant de s'endormir dans les bras de son Amour.

Le lendemain matin, alors que le soleil perçait au travers des rideaux, Harry sentit les draps vide, Drago n'était plus là. Le jeune homme regarda dans la salle de bain, attenante à leurs chambre mais il ne l'y trouva pas. Quand il revint dans la pièce principal, il avisa une lettre, sur la table et son cœur manqua un battement.

- Drago, murmura-t-il, tu ne m'a pas fait ça ?

Il s'approcha en tremblant de la table et saisit l'enveloppe. De la belle écriture verte et penchée qu'était celle du serpentard, le nom de Harry était écrit dessus. Le jeune homme à qui elle est destinée la reposa et recula, apeuré. Il alla dans la salle de bain et ferma à double tour.

Quand il ressortit, il était habillé et près pour sa journée d'aurore. Il avait décidé de faire comme si de rien n'était et lorsqu'il passa devant la table, il n'eut pas un regard pour la lettre .

Cependant, il du ce rendre à l'évidence, Drago n'était plus au douze, square Grimmaurd et lorsque, a midi, on lui demanda ou il était, il changea de conversation. Se fut le même cinéma le soir, au dîner.

Quand Harry, ayant prétexter la fatigue et une migraine, se retrouva seul dans leur chambre aux allures d'appartement, il fut prit d'une brusque envi de pleurer mais il ne pouvait se résigner à ouvrir la lettre, s'était admettre que Drago l'avait abandonné et ça, il ne le pouvait pas.

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Douze jours plus tard, alors que le soleil allait se coucher, Ron vint voir son meilleur amis dans sa chambre.

- Harry ?

Le jeune homme était à la fenêtre, en trains de regarder le ciel se colorer de sang.

- Harry ? Et-ce que sa va ?

Question stupide, se dit le rouquin.

- Oui… Oui, je vais très bien.

Harry faisait tout pour donner le change et tous était dupe, sauf lui.

- Non, sa ne va pas. Je sais que Drago…

- Ne me parle pas de lui.

Si la voix d'Harry pour la première réplique avait été douce, elle était devenu froide sur l'instant.

- D'un regard inquisiteur, Ron parcouru son ami des pied à la tête. Il n'avait pas bonne mine.

- Que tiens-tu à la main ?

Harry sursauta, comme s'il avait oublier la présence de Ron.

- Se… se n'est rien…

Le brun posa se qui semblait être une enveloppe sur le rebord de la fenêtre et se détourna pour aller s'asseoir sur le lit. Ron s'en saisit et l'observa sous tout les angles.

- Il l'a laissé avant de partir, n'est-ce pas ?

- Ron, que veux-tu ?

- Ecoute, Harry je sais que tu ne va pas bien. Tu peux dupé les autres mais tu ne peux pas me duper, moi.

- Qu'est-ce qui te dit que je ne vais pas bien ?

- Ton regard. Ton regard reflète ton âme. Et ton âme est triste depuis douze jours.

- Je ne te savait pas poète !

- Arrête tes sarcasme et ouvre cette lettre.

- Pourquoi devrais-je le faire ?

- Pour donner un sens à ta tristesse.

Ron s'était rapproché d'Harry et lui tendait la lettre. Le jeune homme s'en saisit et les main tremblante, l'ouvrit.

L'écriture, toujours à l'encre verte, était belle, mesuré. Il avait prit son temps, pesée le poids de chaque mots employé.

Quand Harry eu finit sa lecture, il laissa le parchemin lui glissé des mains et, le regard fixer dans le vague, se retenant de pleurer.

Ron s'agenouilla devant lui et lui demanda de quoi il en retourné.

- J'élèverais seul notre enfant.

Il ne peux retenir plus longtemps ses larme et il s'effondra dans les bras de Ron, secoué de sanglot incontrôlable.

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Quelque part en Ecosse, au même moment…

Drago tournait en rond dans la chambre d'hôtel miteuse qu'il avait prise. Voilà douze jour qu'il avait fuit, lâchement, en parfait petit serpentard, et voilà deux heures qu'il avait contacté Blaise pour lui demandait conseil mais cet imbécile ne semblait pas vouloir se montrer.

Blaise était quelqu'un de confiance, puisqu'il faisait partit de l'Ordre, et comme il était son meilleur ami, il serait l'aidé. Du moins c'est se que se disait Drago.

Un « clac » sonore se fit entendre, signe que quelqu'un venait de transplanner, et le blond se trouva nez à nez, enfin nez à tors avec Blaise.

- Et bien, t'en à mit du temps !

- Désoler ! Je peux pas disparaître quand je le veux, je ne suis pas toi !

- Ha ha, très drôle !

- Bon, je suppose que tu ne m'a pas fait venir pour parler de la pluie et du beau temps, d'ailleurs question temps je n'en ai pas beaucoup. Donc, je t'écoute. Pourquoi être partit alors que Potter est enceinte.

- Justement parce qu'il est enceinte !

- Explique.

- Merde, je vais être père ! Père, tu te rend compte ! Est-ce que j'en suis capable, moi d'élever un enfant ? Bon dieu mon père était un connard de mangemort qui ma apprit à ne jamais pleurer. J'ai été élevé à cou de doloris ! Tu sais comment j'ai été forger, Harry le sais, le monde le sais. Cet enfant j'en ferait un Malefoy. Je… je veux pas. Je ne peux pas lui faire sa. Je veux qu'il pleur s'il veux pleurer, qu'il rit, qu'il aime, qu'il est des vrais amis. Bref, je veux qu'il vive !

- Drago, qui s'était exciter durant son discours se calma.

- Tu n'est pas comme ton père…

- Je l'ai été, jusqu'à se que je rencontre et que j'aime Harry et tu sais comme moi que les gens ne change pas.

- Tu sais, c'est normal d'avoir peur, mais tu ne serra pas seul à l'élever, il y aura aussi Harry.

- Peur ? Oui j'ai peur, je suis un grand trouillard de serpentard et Harry… Harry s'est un grand courageux gryffondor. Blaise, je doit y retourner ?

- Tu doit faire se que tu pense honorable et juste.

- Honorable et juste ? Je suis un serpentard ! J'ai peur ! Je ne pervertirait pas cet enfant !

- Drago…

- Non ! Blaise ! Les gens ne change pas. Harry n'y pourra rien. Il est mieux sans moi. Ils sont mieux sans moi !

Non, les gens ne changent pas. Cet enfant grandira mieux sans lui, maintenant qu'il avait exposer les fait à Blaise et même si se dernier n'avait pas beaucoup parler, il était sur de sa décision.

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Neuf mois plus tard, au douze square Grimmaurd.

Le fils comme le père dormait. Quelques heures après la naissance, l'un comme l'autre avait besoin de sommeil.

La porte de la chambre s'ouvrit pour laisser entrer une ombre, une ombre aux yeux bleu glacé et au cheveux blond.

Drago s'approcha du lit ou dormait Harry et l'observa quelque minute. Ses traits fin était détendu, ses cheveux noir était comme à l'habitude en bataille, son torse musclé se soulevait au rythme de sa respiration calme.

- Pardonne-moi, murmura Drago.

Puis l'attention du blond se porta sur le berceau, près du lit, ou un nourrisson dormait lui aussi. Mais comme s'il eu sentit la présence de son père, l'enfant papillonna des yeux et le regarda. Aussitôt, Drago se demanda si s'était lourd un ange et il le prit délicatement dans ses bras. Non, se n'était vraiment pas lourd, mais s'était fragile, si fragile. Drago avait peur de lui faire mal, de le casser mais pour rien au monde, il ne le lâcherait. Pour quelque minutes, il était en droit de croire qu'il était le père de cette merveille.

Puis Harry gémit, remua. Il allait se réveiller. Prit de panique, Drago reposa l'enfant dans son berceau, une partit de lui-même sembla dés lors lui manquer, et se retourna pour sortir.

- Drago ?

Harry avait les yeux entre-ouvert, il était dans cette phase qui précède le réveille, ou l'on ne peut distinguer la réalité du rêve.

Drago le savait et il en profita pour quitter la chambre, rejoignant Blaise – s'était lui qui l'avait prévenu de la naissance de son fils- et transplanner.

Dans la chambre, Harry se demandait s'il avait rêvé ou si Drago été réellement venu dans la chambre.

Mais il n'eu pas le temps de se questionner longtemps qu'une douleur intense et innommable le saisit. Son crâne allait se fendre en deux tant sa cicatrice le brûlait.

Voldemort était heureux. Si heureux que même les cour d'occlumancie de Rogue ne pouvait empêcher Harry de savoir se que ressentait le Lord ni d'en subir les conséquence.

Quand la douleur cessa enfin, il n'était plus seul dans la chambre, autour du lit se tenait la majeur partit de la famille Wesley et Hermione tenait dans ses bras son fils qui pleurait.

- Donne-le moi.

Aussitôt dans les bras de son père, l'enfant se calma.

- Harry, sa va ?

La voix de Fred montrait son inquiétude.

- Voldemort était content, très content.

- Pourquoi, demanda Ron.

-Je ne sais pas.

- Il est sûrement guérit à l'heure actuel...

- Pourquoi tu dis ça, Harry.

Harry baissa les yeux sur son fils.

- Tu ne le connaîtra pas… Tu ne connaîtra pas se monstre.

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Quelque part en Ecosse, quelque moi après

Le bar de sorcier était sombre, miteux. Assis dans un coin plus sombre encor , Drago buvait une coupe de champagne, en l'honneur de la mort de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom.

Harry était à l'hospital, gravement blesser, d'après la Gazette, mais il devrait s'en sortir et lui, Drago était là, à se morfondre.

Quelqu'un vint s'asseoir face à lui. Des yeux bleu d'une froideur hautaine, des cheveux blond platine caché sous une capuche, Lucius observais son fils avec un dégoût non feint.

- N'est-tu pas en cavale ?

- Si, mais il fallait que je te félicite.

- Je bois à la santé de ton maître. Oups ! Pardon, il est mort. Désolé. Pas fait exprès… Me félicité ?

- Oui, cela fait un moment que je voulait le faire mais te retrouver ne fut pas facile.

- Pourquoi ?

- Engrosser le survivant et l'abandonner ensuite ! Diabolique. Certes, il à put tuer mon maître, mais tu aurai du le voir… face à lui… Il était brisé !… Il ne pleurait pas… mais c'était limite…

Les phrases de Lucius étaient entrecoupé de fou rire.

- Franchement, je doute qu'il s'en remette.

- Que veux-tu ? demanda froidement Drago.

- Je te l'ai dit, te félicité. Je me fiche de la mort de Voldemort mais la souffrance de Potter me fait plaisir, très plaisir.

Lucius se leva et quitta le bar, laissant Drago à ses pensées.

- Ha, au fait, Lucius était à quelque maître de son fils et se retourna, Endoloris !

Drago fut parcouru par une douleur immense mais se mordit la lèvre pour ne pas crier.

- Je ne t'ai pas appris l'insolence, que je sache ! Et se moquer de moi, c'est de l'insolence.

Lucius quitta le bar et Drago regarda sa coupe de champagne, toujours pleine et murmura :

- Tu vois, Harry, c'est parce que je finirait par faire subir ça à notre fils que je ne veux pas te rejoindre. C'est un ange, comme toi. Je ne veux pas le faire redescendre sur terre avec des doloris, se que, au final, je ferai. Les gens ne changent pas.

A suivre…