RAR :

Cristalsky ; zaika ; Dreydrey : voila la suite, la fin pour bientôt. ( Si c'est une happy end, je devrai le savoir?)

The Wendy Malfoy : tu l'as remarquer, je m'en excuse, mais la grammaire et moi sa fait deux c'est pourquoi je m'excuse, au près de toi, bien sur, mais aussi au près de tout les autres lecteurs.

Je suis désolé de la grammaire, j'ai conscience de martyriser la langue française mais je n'y peut rien, je fait des efforts mais je n'y parvient pas. Désolé.

Bon, on arrête les lamentations, la suite de l'histoire :

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Chapitre 2.

C'était une maison qui se dressait devant lui, à l'écart de la civilisation. Grande, belle… Entourée de verdure. Drago ne put s'empêcher de constater qu'il s'agissait en majeur partit de saule pleureur, l'arbre de la tristesse.

D'un pas hésitant, il gravit les marches du perron et avança jusqu'à la porte d'entré. D'une main tremblante, il appuya sur la sonnette et attendit. Une attente qui ne fit que renforcer la boule qu'il avait dans l'estomac.

Au bout de quelque minute, il sonna à nouveau mais personne ne vint. Se pourrait-il qu'il se soit trompé d'adresse ? Non, il s'avait que s'était la bonne. Ils n'étaient peut-être pas là, c'est tout. Il repasserait.

Descendant les marche du perron, Drago cru entendre un rire. Il s'immobilisa et tendit l'oreille. Oui, à moins d'avoir des hallucinations, il entendait bien des rires. Il fit le tour de la maison, à pas lent, et arriva dans un grand terrain border de saule pleureur.

A l'ombre de l'un d'entre eu, autour d'une table, plusieurs adulte- dont Harry- discutait, tandis que des enfant de tout age jouaient, les plus grand avec des balais de course.

Le regard de Drago se posa sur les enfants. Non, sur un enfant. Il le reconnu tout de suite. L'Ange, comme il l'avait appeler lorsqu'il l'avait vu.

Des cheveux noir aussi décoiffer que ceux d'Harry, des yeux verrons : l'un vert, l'autre bleu, comme si la nature n'avait put se décider, le même nez fin que celui de Drago mais le visage d'Harry. Il était le mélange parfait des deux être.

Drago fut tirer de sa contemplation par les jumeaux Wesley. Fred et Gorges, comme d'ailleurs l'ensemble des convives ne semblait guère enchanté de sa présence, vu le silence qui régnait.

- Qu'est-ce que tu veux ? demanda Fred.

- Voir Harry et notre enfant.

- Mais lui ne veux pas, répondit Gorges.

- Qu'il vienne me le dire en face, alors.

Harry se leva et lorsqu'il fut en face de lui, il planta ses deux émeraudes dans les yeux Drago et dit :

- Je veux que tu dégage, tout de suite.

- Harry, je sais que tu m'en veux mais…

- Dégage !

- Laisse-moi te parler. Laisse-moi le voir, s'il te plait.

Drago lui jeta un regard suppliant.

- Tu trouve pas que c'es un peut tard pour ressentir les affres de l'instinct paternel ? question Gorges

- Je n'ai pas de compte à te rendre à toi ! Harry, je t'en pris.

- Tu veux me parler ? Ok. Mais tu ne le verra pas.

Harry se retourna vers la tablée, qui était constituée de Wesley à part entière puisque Hermione était devenu Madame Wesley en épousant Bill.

- Je vous demanderais de retournez chez vous, juste quelques heures. Hermione, emmène Julian avec toi, s'il te plait.

Tous acquiescèrent et se levèrent.

- Toi, me murmura Harry, t'attend ici.

Et il les vit tous disparaître dans la demeure, Julian, son fils, avec. Il ne pouvait bien sur ne pas en vouloir à Harry de ne pas me laisser lui parler. Après tous, il l'avait abandonné mais…

Quelque minute plus tard, Harry revint, seul. Il les installa à la table et d'un cou de baguette magique, leur servit à boire, se qui en chaud moi d'août, leur fit du bien. Drago ne put s'empêcher de remarquer qu'il n'avait pas oublier ses goûts, malgré les années.

- Que veux-tu ?

Son ton était calme, trop calme.

- Je suis d'abord venu pour apporter son cadeau d'anniversaire à notre fils.

- Mon fils avait anniversaire hier.

- Je sais. Je sais aussi que tu à organiser une fête avec ses amis d'école, donc je ne voulait pas tout gâcher par ma simple venu.

- Tu aurai put te contenter de le faire porter par un hiboux, comme à chaque foi…

- Mais je voulait le voir.

D'un cou de baguette, Drago fit apparaître un cadeau, d'une épaisseur de trois centimètre, large de vingt environ, et de vingt-cinq en longueur. Sur le papier, orange, un match de quidditch se jouait. Harry l'observa quelque instant avant de murmurer, plus pour lui-même :

- Je te trouve bien renseigner sur ses goûts…

Drago sourit. S'il savait. S'il savait que s'était Blaise, qui était ami avec Harry, qui lui donnait régulièrement des nouvelles de lui et de Julian.

- Douze ans que l'on ne s'est pas vu, reprit Harry, se n'est pas juste pour m'amener ça, en sachant que par hiboux, il l'aurait eut.

- Non, effectivement, je voulait aussi… m'excuser.

- T'excuser ? La colère grondait dans la voix d'Harry. T'excuser de quoi ? De m'avoir engrossé ? D'être partit ? Ou d'avoir agit comme les autres ?

- D'avoir agit comme les autres ? Qu'est-ce que tu veux dire ?

-Laisse tombé. Pour la psychanalyse, c'est un peut tard.

- Nan mais dit moi, qu'est-ce que tu veux dire par « agit comme les autres »

- Les Dursley me voyait comme un monstre et me traitait comme un esclave, Dumbledore et le reste du monde sorcier d'ailleurs me voyait comme l'Espoir et me traitait comme une arme de guerre et toi, toi comment tu me voyait ? Comment tu m'a traiter ?

Aucun sentiment ne s'était reconnut dans la voix d'Harry, elle était indifférente mais ces yeux, ces yeux brillaient de larmes.

- Harry, je t'aimais et je t'aime toujours…

- La ferme.

- Si je suis venu te parler aujourd'hui, douze ans après, c'est parce qu'il faut que tu comprenne.

- Que je comprenne quoi ? Que t'a assez se couille pour me baiser, que t'a assez de couille pour me dire « je t'aime »,que t'a assez de couille pour me m'engrosser, mais que t'a pas assez de couille pour assumer ?

Drago déglutit difficilement. La rage d'Harry était maintenant montrer au grand jour.

- C'est vrais que j'ai eu peur mais si j'ai fuit ce n'est pas pour ça. Ce n'est pas la raison principal.

- Tu sais, j'ai eux ta lettre, ta présence ici n'est donc pas obligatoire.

-Peut-être mais j'y tien. Il faut que…

- Je comprenne oui je sais je suis pas que con tu sais. Vas-y je t'écoute.

- Tu sais, cet enfant, quand je l'ai vu, il y à douze ans, ça n'a fait que renforcer m'a conviction.

- Tu l'a vu ? Il y douze ans ?

- Oui, on m'a prévenu de sa naissance et…

- Je savait que je n'avait pas rêvé, murmura Harry.

- Bref, cet enfant, c'est un ange et je l'aurait pervertit.

- Pardon ?

- Tu sais que je suis comme mon père. Cet enfant j'en aurais fait un Malefoy.

- Mais alors toi, t'es trop con. Ton père et toi, vous êtes vraiment très différent et crois-moi, je ne t'aurais pas laisser faire !

- Harry, tu peux dire ce que tu veux, mais il n'aurai pas eu de belle enfance si j'avait été là.

- Si c'est pour débité des ineptie pareille tu peux partir. Julian aurai aussi bien grandit, si se n'est mieux, si tu avait été là. Un enfant grandit mieux avec ses deux parents.

- Pas avec moi…

- Je te connais. Tu peux faire preuve de tendresse et d'amour, je le sais.

Le silence s'installe. Drago en profita pour écouter le bruissement du vent, le chant des oiseaux, le murmure de l'eau. Cet endroit était paradisiaque.

- Moi aussi j'ai commis une erreur.

La voix d'Harry était à peine perceptible.

- Laquelle ?

- Tu ne voulais pas de cet enfant…

- Si !

- Non, mais j'ai précipité les choses, parce que j'avait peur de ne pas avoir le temps. Peur que Voldemort ne me tue avant que je n'ai eu le temps de vivre et de donner la vie. A l'époque j'était persuader que je ne dépasserait pas les vingt-et-un ans.

- Harry, comment pouvais-tu ne pas avoir confiance en toi alors que tu venait de blesser mortellement le Lord ?

- Parce que personne ne me voyait en humain. Monstre pour les uns, arme pour les autres, quels étaient mes raison de Lui survivre ? Avec Julian, je m'en suis donner une. Mais à vingt ans, on est trop jeune, n'est-ce pas ? C'est pour ça que tu est partit.

- Alors, si Julian n'était pas né, tu… tu serais… mort ?

- Je crois que… Je crois que oui.

- Mais… Mais et moi dans l'histoire, qu'est-ce que je devient ? On s'était promis un amour éternel et là, tu m'annonce que tu serai mort avec Tu-Sais-Qui ?

- Drago comprend moi, pour le monde je ne suis pas Harry Potter, je suis Celui-Qui-A-Survécu-Et-Qui-A-Vaincu. S'il n'y avait Julian, qui lui me vois comme son père et rien de plus, je ne pourrait s'en doute pas le supporter !

- Mais…

- Il n'y à pas de « mais » . De toute manière c'est trop tard. J'ai tuer Voldemort après la naissance de Julian pour qu'il ne le connaisse pas, et on aurait put avoir une vie heureuse mais tu n'était pas là, quand il pleurait au milieu de la nuit, quand il à fait ses premières dents, quand il à fait ses premiers pas, ni pour toute les autres premières fois toute aussi émouvante. Tu n'était pas la quand il était malade, et qu'il fallait le veiller toute la nuit, tu n'était pas quand il à prit le Poudlard expresse, l'an dernier pour sa rentré, ni pour ouvrir sa lettre ou il annonce fièrement qu'il est à Gryffondor. Alors je crois qu'on à plus rien à se dire.

Drago se tut. L'accusation d'Harry lui avaitpercer le cœur, le lui faisait saigner mais elle était vrais trop vrai et une larme s'échappe de ses yeux bleu. Harry ne le regarde pas.

L'entretient était finit. Drago se leva et s'en alla.

Quelques heures plus tard, dans le salon de leur maison, tout les convives étaient de retour, et fixaient Julian qui lui tenait un cadeau.

L'enfant regarda quelques instant le match de quidditch qui se jouait sur l'emballage puis il l'ouvrit, prenant soin de ne pas trop le déchirer. Il s'agissait en réalité d'une boite à bijou, qui contenait un collier, une fine chaîne en or, sertit de quelque diamant, et accroché à la chaîne, un pendentif, plat, en forme de vif d'or, qui avec les aile, était large de cinq centimètres. Au bout de l'aile droite, il y avait une émeraude, et au bout de l'aile gauche un saphir. Le bijou était simplement élégant.

Dans la boite, il y avait aussi un parchemin, avec écrit d'une belle écriture penchée à l'encre verte :

Ait foi en tes rêves, ils sont une part de toi qu'il ne faut pas oublier. Dans les endroit les plus sombre, ta foi en eux viendra t'éclairer.

D.

Chaque année, à son anniversaire, il recevait un cadeau avec un mot signer « D » et quand il avait demandé à son père qui s'était, il lui avait répondu qui s'était un ami très éloigné.

De toute évidence, aussi éloigné qu'il puisse être, il devait savoir que son rêve était de devenir attrapeur, comme son père.

- Papa, tu me le met ?

Harry le lui mit et Julian ne put s'empêcher de remarquer que ses main tremblaient, ni que ses yeux brillaient. Mais Julian savait qu'il ne pleurerait pas, pas devant lui. Son père s'était fait la promesse silencieuse de ne jamais craquer devant son fils.

Une foi le collier mit, Julian s'approcha de Gwenn, la fille d'Hermione et de Bill qui avait un an de moins que lui.

- Il faut que je sache qui est ce « D », lui murmura-t-il.

Il regarda son père quitter la pièce, suivit de son parrain Ron. Les deux enfants les suivirent, discrètement.

Harry pleurait, dans les bras de Ron, et Julian était persuader que s'était à cause de l'homme blond qui était venu cet après-midi mais aussi à cause du collier.

- Cet phrase, articula Harry, il me l'a dit lors de notre première soirée.

Harry faisait référence au mot qui accompagnait le collier.

- Dites donc les enfants, Julian et Gwenn sursautèrent en entendant la voix de la mère de la jeune fille, ce n'est pas très polis d'écouter au porte. Aller, ouste !

Une foi dans la chambre de Julian, se dernier dit à Gwenn :

-Il faut qu'on sache qui son ces deux personnes.

- Si sa se trouve s'est une seul est unique personne.

- Ouais… Peut-être.

Julian regarda par la fenêtre, le soleil se couchait.

- Et si… Nan, nan c'est impossible.

- De quoi ? demanda Gwenn.

- Non, non laisse tomber…

- Mais si dit à quoi t'a penser

- Et bien… Papa m'a dit que j'ai deux père. Enfin, tu comprend se que je veux dire.

- Ouais et tu pense que c'est peut-être lui.

- Bas pour qu'il face pleurer papa…

- Ca se tien.

Julian regarda le soleil décroître et se fit la promesse de savoir.

A suivre…

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Une petite rewiew, s'il vous plait, sa fait toujours plaisir...